Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 mai 1923 18 mai 1923
Description : 1923/05/18 (T24,N2355). 1923/05/18 (T24,N2355).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467027n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTRE
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2355
Vendredi 18 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
.1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE \f — L'élat d'esprit en Al-
'"••gne l'opinion des partis (Kölnis-
y-ci t un g).
'IERIC\I\E. - Les crimes des sous-
]J,I,Ll"ins allemands : à propos d'une dé-
"Ulu'i(>n de l'amirad Sims (Nation).
Y' U,,LA,S|:- - lkuits (( d'armistice »
Y!"s la Ruhr (Times). - La capacité
Y" puiemen¡: do 1 Allemagne (J. A. Spen-
-"J' dans Westminster Gazette). - L'in-
J)q"llce do la Franco à la commission d"
'\UYern('m('nt de la Sarre (J. Landa
aits Westminster Gazette— L'échan-
::> de notes entre la Grande-Bretagne
; Russie et le débat aux Communes
uiichester Guardian, Morning Post).
l'Ilb s 1.- L. 't "-
c. lTALIE\:\E. — La réponse italienne à
î- -Al, lemagne (Rastignae dans Tribuna;
''trière entoila).
Po LITIQUEG ENERALE
-
HISTOIRE DE LA GUERRE
"JES CRIMES DES SOUS-MARINS ALLE-
n<• -V PHOPOS ]) l M". DÉCLARATION DE
L^ '>AI*IA1S- — De Los Angeles : « On
lie-Y,i,SS'- 'dfî mi,"lu' l'renvo. annin document
.111/1' qlll 1)('l'mf'ltPllt d'affirmer que
indaj11s ol les éq uipa.gr s dos sous-
marins nlIf'n)aJJI!s se sont rendus coupables
",J''( îS ,, S.
S;illY s'Y ^0; -^'Jg<'ïes City Club» aujour-
d'hui même Los comptes rendus de
jjpfS Y0, eXpllSalent ces « terribles atro-
cités. Jetaient ou réalité qur de la propa-
j:rjlY' archives de la marine anglaise
<•; i(lHJtres contiennent de nombreux do-
cument qui prouvent, a Il contraire, que les
(Y'im ";)nts dos sous-marins allemands
se portaient nu secours des équipages et
«les navires qu'ils coulaient.
Il (.1.
'i¡ifl'Iïl<; 1111 pouvaient remorquer les na-
Y- f':-: *<•>'! ver. ils ne manquaient ja-
1, - '"diqnor à d'autres bâtiments, par
T. s j, la llusit ion exacte du navire en dé-
tr0> Y, 1" d 1,,,
""PII' — (Dépêche particulière de la
A' "„, ■«» .ork Tribune).
Y °xtrayons cette stupéfiante déclara-
ti.,:, lia ^Clr Vnr/c Tribune du i avril :
IYY, lr° a l'intérieur du journal et nous
:-¡ d Peu près certains que pas un lec-
teur sur dix mille ne l'a lue. Elle n'a d'ail-
leurs. été publiée, si nous sommes bien in-
formés. dans aucun autre journal, et pour-
tant elle peut être classée parmi les infor-
mations les plus importantes qui ont vu le
jour depuis 1917. Au seul point de vue de
l'information journalistique, nous n'hési-
tons pas à déclarer qu'elle méritait d'être
montée en épingle et que son importance
est, de beaucoup, supérieure à celle de tous
les autres articles qui ont été publiés par
la Tribune ce jour-là.
A l'exception du World, de New York,
qui l'a commentée brièvement et sans y in-
sister, cette déclaration semble avoir été
complètement ignorée, aussi bien de la
presse que des agences. Le même jour,
pourtant, les agences consacraient de lon-
gues colonnes à certains extraits des dis-
cours de l'amiral, qui dénonçait les paci-
fistes et démontrait la nécessité de » la pré-
paration ».
Ainsi, l'une des plus hautes personnalités
de la période de guerre fait une déclaration
stupéfiante au cours de laquelle (die dévoile
les mensonges de la propagande alliée, en
ce qui concerne l'attitude des marins alle-
mands, et personne ne se soucie de la re-
produire. Quelques rédacteurs en chef n'o-
seront certainement pas la publier, parce
qu'ils craindront d'être accusés de germa-
nophilie. D'autres ne la verront pas. Et
pourtant elle constitue la plus grave des
attaques contre l'honnêteté et la loyauté de
notre presse. On se rend compte aujour-
d hui que, pendant la guerre, les colonnes
d"1 la plupart de nos quotidiens contenaient
une quantité phénoménale de mensonges et
rie poisons de propagande. C'était, il est
vrai, l'une des inévitables conséquences de
lil guerre (le mensonge, le meurtre et les
crimes de toute nature, tout cela c'est, en
effet, la guerre), mais, maintenant que la
guerre est terminée, ne peut-on donc plus
trouver, dans la presse américaine, quel-
ques hommes honnêtes et énergiques qui
ne craignent pas de publier les documents
historiques du grand conflit ? Nous pen-
sions qu'il en existait encore, lorsque sir
Philip (iibljs reconnut, ses erreurs et cher-
cha à s'excuser du rôle qu'il avait tenu
dans la campagne de mensonge et de si-
lence qui eut pour effet ci entraîner les
Etats-Unis dans la guerre — (campagne à
laquelle, d'ailleurs, les Allemands essayè-
rent. de répondre, en employant des procé-
dés identiques). - car, à cette époque, .la
presse accorda une certaine importance aux
aveux de sir Philip. Mais que vont dire nos
directeurs de journaux maintenant que
l'amiral Sims avoue à son tour ? Nous n'hé-
sitons pas à déclarer qu'ils ignorèrent cette
déclaration, comme ils ignorent la plupart
des faits particulièrement importants qui
ont immédiatement précédé la guerre, que
l'on arrache, patiemment et non sns peine,
aux archives de l'étranger, et qui révèlent
les origines de la catastrophe.
Les écrits du professeur Sidney tuy de
Smith College ont-ils retenu l'attention de
la presse américaine ? A-t-on jamais accor-
dé une importance quelconque aux révéla-
tions du procès Soukhomlinov, aux rensei-
gnements donnés par la correspondance
Isvolski-Sasonov sur l'altitude de Poin-
caré acceptant la guerre d'un cœur léger,
sur ses machinations avec les militaristes
russes et sur tous les autres documents qui
éclairent la question fondamentale de la
responsabilité unique de l'Allemagne dans
la guerre ? Quand on se rappelle les nom-
breuses colonnes qui furent consacrées à
exploiter les atrocités des sous-marins, on
voudrait croire que les principaux quoti-
diens, obéissant sinon à un souci de vérité,
tout au moins au désir de maintenir leur
réputation, vont demander que l'amiral soit
officiellement appelé à justifier sa déclara-
lion ou que le Département de la Marine
reconnaisse sa participation dans la campa-
gne de duperie contre le peuple américain.
YoiMI, à notre avis, ce qu'exige la situation.
Nous ne partageons d'ailleurs pas entière-
ment le point de vue de l'amiral. Il se peut
que l'attitude des Allemands ait été confor-
me aux lois de la guerre et qu'ils aient agi
aussi humainement que cela est possible à
des marins. Mais nous ne pouvons oublier
que des innocents, des femmes, des enfants
ont trouvé la mort sur le Lusitania et sur
d'autres navires, et que des marins sont
morts de froid et de privations dans des
canots de sauvetage ou ont coulé avec leurs
navires. Si cette attitude est conforme aux
lois de la guerre, si aucun blâme ne s'attache
a cette manière de tuer alors qu'on le dise -
non pas seulement pour rendre justice aux
Allemands, mais aussi pour montrer une
fois de plus quelle chose infernale est ce
jeu de ia guerre. Joignons-nous donc au
président de la commission de la Marine
du Sénat français, Gustave de Kerguezec,
et demandons comme lui, non seulement
l'envoi à la ferraille des navires de haut
bord, mais l'abolition totale et complète
,':' toutes tes marines "de guerre. Car aussi
longtemps qu'elles rendront possibles des
« actes conformes au droit » comme ceux
que les Allemands et les Alliés ont per-
pétrés sur les mers, l'atmosphère de l'hu-
manité sera empoisonnée. Il nous est arri-
vé, à certains moments, de penser que la
vérité, écrasée pendant la guerre, ne pour-
rait jamais se relever. Il nous est arrivé de
désespérer, et, aujourd'hui même, quand
nous constatons que, pour certains, les Al-
lemands sont toujours des démons qui ont
pris forme humaine : quand nous voyons
des hommes et des femmes qui vont à
l'église et qui s'en vantent, refuser de ve-
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2355
Vendredi 18 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
.1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE \f — L'élat d'esprit en Al-
'"••gne l'opinion des partis (Kölnis-
y-ci t un g).
'IERIC\I\E. - Les crimes des sous-
]J,I,Ll"ins allemands : à propos d'une dé-
"Ulu'i(>n de l'amirad Sims (Nation).
Y' U,,LA,S|:- - lkuits (( d'armistice »
Y!"s la Ruhr (Times). - La capacité
Y" puiemen¡: do 1 Allemagne (J. A. Spen-
-"J' dans Westminster Gazette). - L'in-
J)q"llce do la Franco à la commission d"
'\UYern('m('nt de la Sarre (J. Landa
aits Westminster Gazette— L'échan-
::> de notes entre la Grande-Bretagne
; Russie et le débat aux Communes
uiichester Guardian, Morning Post).
l'Ilb s 1.- L. 't "-
c. lTALIE\:\E. — La réponse italienne à
î- -Al, lemagne (Rastignae dans Tribuna;
''trière entoila).
Po LITIQUEG ENERALE
-
HISTOIRE DE LA GUERRE
"JES CRIMES DES SOUS-MARINS ALLE-
n<• -V PHOPOS ]) l M". DÉCLARATION DE
L^ '>AI*IA1S- — De Los Angeles : « On
lie-Y,i,SS'- 'dfî mi,"lu' l'renvo. annin document
.111/1' qlll 1)('l'mf'ltPllt d'affirmer que
indaj11s ol les éq uipa.gr s dos sous-
marins nlIf'n)aJJI!s se sont rendus coupables
",J''( îS ,, S.
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d'hui même Los comptes rendus de
jjpfS Y0, eXpllSalent ces « terribles atro-
cités. Jetaient ou réalité qur de la propa-
j:rjlY' archives de la marine anglaise
<•; i(lHJtres contiennent de nombreux do-
cument qui prouvent, a Il contraire, que les
(Y'im ";)nts dos sous-marins allemands
se portaient nu secours des équipages et
«les navires qu'ils coulaient.
Il (.1.
'i¡ifl'Iïl<; 1111 pouvaient remorquer les na-
Y- f':-: *<•>'! ver. ils ne manquaient ja-
1, - '"diqnor à d'autres bâtiments, par
T. s j, la llusit ion exacte du navire en dé-
tr0> Y, 1" d 1,,,
""PII' — (Dépêche particulière de la
A' "„, ■«» .ork Tribune).
Y °xtrayons cette stupéfiante déclara-
ti.,:, lia ^Clr Vnr/c Tribune du i avril :
IYY, lr° a l'intérieur du journal et nous
:-¡ d Peu près certains que pas un lec-
teur sur dix mille ne l'a lue. Elle n'a d'ail-
leurs. été publiée, si nous sommes bien in-
formés. dans aucun autre journal, et pour-
tant elle peut être classée parmi les infor-
mations les plus importantes qui ont vu le
jour depuis 1917. Au seul point de vue de
l'information journalistique, nous n'hési-
tons pas à déclarer qu'elle méritait d'être
montée en épingle et que son importance
est, de beaucoup, supérieure à celle de tous
les autres articles qui ont été publiés par
la Tribune ce jour-là.
A l'exception du World, de New York,
qui l'a commentée brièvement et sans y in-
sister, cette déclaration semble avoir été
complètement ignorée, aussi bien de la
presse que des agences. Le même jour,
pourtant, les agences consacraient de lon-
gues colonnes à certains extraits des dis-
cours de l'amiral, qui dénonçait les paci-
fistes et démontrait la nécessité de » la pré-
paration ».
Ainsi, l'une des plus hautes personnalités
de la période de guerre fait une déclaration
stupéfiante au cours de laquelle (die dévoile
les mensonges de la propagande alliée, en
ce qui concerne l'attitude des marins alle-
mands, et personne ne se soucie de la re-
produire. Quelques rédacteurs en chef n'o-
seront certainement pas la publier, parce
qu'ils craindront d'être accusés de germa-
nophilie. D'autres ne la verront pas. Et
pourtant elle constitue la plus grave des
attaques contre l'honnêteté et la loyauté de
notre presse. On se rend compte aujour-
d hui que, pendant la guerre, les colonnes
d"1 la plupart de nos quotidiens contenaient
une quantité phénoménale de mensonges et
rie poisons de propagande. C'était, il est
vrai, l'une des inévitables conséquences de
lil guerre (le mensonge, le meurtre et les
crimes de toute nature, tout cela c'est, en
effet, la guerre), mais, maintenant que la
guerre est terminée, ne peut-on donc plus
trouver, dans la presse américaine, quel-
ques hommes honnêtes et énergiques qui
ne craignent pas de publier les documents
historiques du grand conflit ? Nous pen-
sions qu'il en existait encore, lorsque sir
Philip (iibljs reconnut, ses erreurs et cher-
cha à s'excuser du rôle qu'il avait tenu
dans la campagne de mensonge et de si-
lence qui eut pour effet ci entraîner les
Etats-Unis dans la guerre — (campagne à
laquelle, d'ailleurs, les Allemands essayè-
rent. de répondre, en employant des procé-
dés identiques). - car, à cette époque, .la
presse accorda une certaine importance aux
aveux de sir Philip. Mais que vont dire nos
directeurs de journaux maintenant que
l'amiral Sims avoue à son tour ? Nous n'hé-
sitons pas à déclarer qu'ils ignorèrent cette
déclaration, comme ils ignorent la plupart
des faits particulièrement importants qui
ont immédiatement précédé la guerre, que
l'on arrache, patiemment et non sns peine,
aux archives de l'étranger, et qui révèlent
les origines de la catastrophe.
Les écrits du professeur Sidney tuy de
Smith College ont-ils retenu l'attention de
la presse américaine ? A-t-on jamais accor-
dé une importance quelconque aux révéla-
tions du procès Soukhomlinov, aux rensei-
gnements donnés par la correspondance
Isvolski-Sasonov sur l'altitude de Poin-
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sur ses machinations avec les militaristes
russes et sur tous les autres documents qui
éclairent la question fondamentale de la
responsabilité unique de l'Allemagne dans
la guerre ? Quand on se rappelle les nom-
breuses colonnes qui furent consacrées à
exploiter les atrocités des sous-marins, on
voudrait croire que les principaux quoti-
diens, obéissant sinon à un souci de vérité,
tout au moins au désir de maintenir leur
réputation, vont demander que l'amiral soit
officiellement appelé à justifier sa déclara-
lion ou que le Département de la Marine
reconnaisse sa participation dans la campa-
gne de duperie contre le peuple américain.
YoiMI, à notre avis, ce qu'exige la situation.
Nous ne partageons d'ailleurs pas entière-
ment le point de vue de l'amiral. Il se peut
que l'attitude des Allemands ait été confor-
me aux lois de la guerre et qu'ils aient agi
aussi humainement que cela est possible à
des marins. Mais nous ne pouvons oublier
que des innocents, des femmes, des enfants
ont trouvé la mort sur le Lusitania et sur
d'autres navires, et que des marins sont
morts de froid et de privations dans des
canots de sauvetage ou ont coulé avec leurs
navires. Si cette attitude est conforme aux
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a cette manière de tuer alors qu'on le dise -
non pas seulement pour rendre justice aux
Allemands, mais aussi pour montrer une
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président de la commission de la Marine
du Sénat français, Gustave de Kerguezec,
et demandons comme lui, non seulement
l'envoi à la ferraille des navires de haut
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,':' toutes tes marines "de guerre. Car aussi
longtemps qu'elles rendront possibles des
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que les Allemands et les Alliés ont per-
pétrés sur les mers, l'atmosphère de l'hu-
manité sera empoisonnée. Il nous est arri-
vé, à certains moments, de penser que la
vérité, écrasée pendant la guerre, ne pour-
rait jamais se relever. Il nous est arrivé de
désespérer, et, aujourd'hui même, quand
nous constatons que, pour certains, les Al-
lemands sont toujours des démons qui ont
pris forme humaine : quand nous voyons
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