Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 mai 1923 17 mai 1923
Description : 1923/05/17 (T24,N2354). 1923/05/17 (T24,N2354).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670267
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2354
Jeudi 17 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. — Le voyage du maré-
ehal Foch à Varsovie (Amelung dans
n Gcimaniu).
Pj>p -, AMÉRICAINE. — Une déclaration de
amiral Chester (Washington Post). -
L'amitié franco-américaine (Journal of
Commerce).
PRESSE ANGLAISE. — L'état d'esprit en lle-
magne (Times, Daily Telegraph). —
L cchange de notes entre la Grande-Bre-
tagne et. la Russie et Le débat aux Com-
munes (Times Morning Post, Dailu
Chmniclc, Manchester Guardian). — Les
Tuees à Lausanne (Perceval Landon
dans Daily Telegraph):
"E AUTmCHIENNE. — Déclarations des
chefs des partis allemands (Neue Freie
Presse)..
PRESSE ITALIENNE.' — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Stampa,
Tribuna, Corriere d'Italia, Corriere della
bera).
E!)E SUÉDOISE. — Les procès de Mayence
et de Werden (Social-Demokraten).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
h- REPONSES BRITANNIQUES ET ITA-
NE AL' ALLEMAGNE.-PnEssE ITALIENNE.-
plupart des journaux commentent la réponse
"jCnle.Le Secolo, qui mène depuis une semaine
10 nte campagne contre la politique fran-
çaiSe è 1Usis^e sur la ressemblance de la note an-
s: et e la note italienne. Les autres jour-
naux- GXP ^clu'ent au contraire pour quelles rai-
lIflS les deux notes n'ont pu être fondues en
un-i S(ie.- Stampa le regrette. Ces raisons
s°ni U nombre de trois : 1° l'Italie qui avait
.r%!P Ollssé le projet anglais de janvier dernier
au tau u l'air, en s'associant à la note anglaise,
(lç i'n ; ';¿o, l'Italie avait le devoir d'affir-
nier Ssolut)ilité de la question des répara-
tio Ils "et d celle (les dettes interalliées - 30
l'Itali -pt celle des dettes interalliées ; 3°
gie ;: .avaIt le devoir de réclamer avec éner-
Tün. dQ à ]'A11ernagne.
Tou tG la presse est d'accord pour estimer que
la note i Mussolini sert à la fois les inté-
rêts itall- ens Mussolini sert qu'elle s'exprime
sur thens et européens et qu'elle s'exprime
(;it!l11f1 n. ton de modération, de noblesse et de
^lirie éri ^rgi.e particulièrement remarquable.
Le S -
<^VVertfff0'0' l'Epoca, la Stampa soulignent
è'lns :.lssemet implicite à la France contenu
s "l 110te italienne.
C^s înemes journaux insistent sur le caractère
politique de l'occupation de la Ruhr par la
France. Ils ne croient pas que des propositions
acceptables de l'Allemagne amèneraient la
France à se montrer moins intransigeante.
La Stampa regrette, contrairement à tout le
reste de la presse, que M. Mussolini ait soulevé
le prpblème des dettes interalliées dans sa ré-
ponse. L'Allemagne n'a, en effet, rien à voir
dans cette question, dont la France se sert pour
empéoher toutes les négociations d'aboutir.
La presse italienne approuve unanimement la
réponse de M. Mussolini ; elle juge que les
propositions allemandes étaient inacceptables ;
elle souhaite que l'Italie puisse servir de média-
trice entre la France et l'Allemagne, entre la
France et l'Angleterre ; elle émet le vœu que la
France se montre moins intransigeante. Sur
ce dernier point les organes froncophobes se
déclarent sceptiques.
— Les deux notes, anglaise et italienne,
sont, comme on le prévoyait, très sembla-
bles entre elles. Toutes deux constatent l'in-
suffisance de la proposition allemande pour
les mêmes raisons (chiffre global trop-bas,
absence de garanties) ; toutes deux invitent
le gouvernement allemand à présenter de
nouvelles propositions plus satisfaisantes ;
toutes deux enfin affirment que ces propo-
sitions ultérieures devraient être discutées
en commun par les alliés. Sur ce point,
c'est le cas de le dire, en paraphrasant le
mot historique, que l'adresse est pour l'Al-
lemagne, mais que l'avertissement est pour
la France. Nous' savions déjà quelle était
l'opinion du gouvernement anglais là-des-
sus. Cette opinion est implicitement adop-
tée par notre gouvernement dans, le pas-
sage en question de la note, mais, en vé-
rité, il aurait beaucoup mieux valu qu'il se
prononçât clairement — par une note à la
presse ou par tout autre moyen, la Cham-
bre n'étant pas réunie ; cela aurait mieux
valu, et pour le principe juridique à sau-
vegarder (compétence interalliée en matière
de réparation), et pour protéger le prestige
national en présence de la procédure du
gouvernement Poincaré et, de son manque
d'égards envers les Alliés.
En ce qui concerne l'abjection italo-an-
glaise contre le chiffre global proposé par
l'Allemagne, il y a, dans les deux notes,
une lacune qui saute tout de suite aux
yeux, et c'est qu'elles ne tiennent aucun
compte de la proposition complémentaire
allemande tèndant à soumettre à un tribu-
nal technique international l'appréciation de
la capacité de paiement allemande. Le
Times avait accordé, une grande importance
à cette' proposition ; il soutenait que c'était
là le point principal qu'il ne fallait pas lais-
ser tomber, qu'il fallait au contraire déve-
lopper. C'était aussi le point qui avait pro-
duit la meilleure impression en Amérique.
Mais les convenances diplomatiques ont im-
posé le silence là-dessus à l'Angleterre et à
l'Italie : en mentionnant avec quelque bien-
veillance la proposition d'arbitrage interna-
tional, Italie et Angleterre auraient poussé
le gouvernement allemand à insister, alors
qu'on sait que le gouvernement français
actuel est hostile à cette idée
Nous touchons là le nœud de la difficul-
té. : Italie et Angleterre ne peuvent jouer
jusqu'au bout leur rôle de Mentor de l'Alle-
magne, pour la raison très simple qu'éilles
n'ont aucune garantie que la France soit
disposée à accueillir les résultats des sug-
gestions qu'elles pourraient faire accepter à
l'Allemagne.
A côté des parties communes des deux
notes, la note italienne a une partie qui lui
est spéciale : c'est celle qui a trait à la con-
nexion des réparations et des dettes inter-
alliées. C'est là qu'il faut chercher la raison
(une des raisons, tout au moins) du fait
qu'il n'y a pas eu une réponse commune de
l'Italie et de l'Angleterre, ce qui aurait été
fort opportun pour la politique générale ita-
lienne et européenne.
Mais il convient d'observer que les dettes
interalliées sont un sujet où l'Allemagne n'a
rien à voir : la capacité de paiement de
l'Allemagne demeure ce qu'elle est, que la
France et l'Italie paient ou non leurs dettes
aux Etats anglo-saxons. Il faut prendre
garde, en outre, de ne pas faire, dans l'En-
tente même, le jeu de Poincaré, qui met
en avant. la question des dettes interalliées
quand elle peut servir d'obstacle à un rè-
glement du' problème des réparations ;
mais il se hâte de la laisser de côté quand
la possibilité d'un accord apparaît.
STAMPA, 15.5.
— Le gouvernement italien, en fixant ses
légitimes revendications dans la répartition
du total de l'indemnité, a voulu s'en tenir à
un pourcentage extiraordinairement bas. Il
a ainsi donné au monde un rare exemple de
modération et de générosité, en considéra-
tion de la faible capacité financière du Reich.
Mais la modération est une chose, l'accep-
tation d'une quote-part ridicule, dispropor-
tionnée, insuffisante, comparée à la part ré-
clamée par les autres Alliés, est une chose
toute différente. L'Italie ne pouvait qu'affir-
mer à nouveau, d'une façon particulière et
individuelle, tous ses droits, d'autant plus
qu'elle les a, de son plein gré, réduits au
minimum.
Si le memorandum italien de Londres
avait été accueilli et appliqué, probablement
la question des réparations serait à l'heure
actuelle en voie de solution; et l'Europe
n'aurait pas connue le sanglant épisode de
la Ruhr, et l'Entente ne se serait pas brisée,
comme, par malheur, on s'en aperçoit au-
jourd'hui.
TRIBUNA, 15.5.
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2354
Jeudi 17 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. — Le voyage du maré-
ehal Foch à Varsovie (Amelung dans
n Gcimaniu).
Pj>p -, AMÉRICAINE. — Une déclaration de
amiral Chester (Washington Post). -
L'amitié franco-américaine (Journal of
Commerce).
PRESSE ANGLAISE. — L'état d'esprit en lle-
magne (Times, Daily Telegraph). —
L cchange de notes entre la Grande-Bre-
tagne et. la Russie et Le débat aux Com-
munes (Times Morning Post, Dailu
Chmniclc, Manchester Guardian). — Les
Tuees à Lausanne (Perceval Landon
dans Daily Telegraph):
"E AUTmCHIENNE. — Déclarations des
chefs des partis allemands (Neue Freie
Presse)..
PRESSE ITALIENNE.' — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Stampa,
Tribuna, Corriere d'Italia, Corriere della
bera).
E!)E SUÉDOISE. — Les procès de Mayence
et de Werden (Social-Demokraten).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
h- REPONSES BRITANNIQUES ET ITA-
NE AL' ALLEMAGNE.-PnEssE ITALIENNE.-
plupart des journaux commentent la réponse
"jCnle.Le Secolo, qui mène depuis une semaine
10 nte campagne contre la politique fran-
çaiSe è 1Usis^e sur la ressemblance de la note an-
s: et e la note italienne. Les autres jour-
naux- GXP ^clu'ent au contraire pour quelles rai-
lIflS les deux notes n'ont pu être fondues en
un-i S(ie.- Stampa le regrette. Ces raisons
s°ni U nombre de trois : 1° l'Italie qui avait
.r%!P Ollssé le projet anglais de janvier dernier
au tau u l'air, en s'associant à la note anglaise,
(lç i'n ; ';¿o, l'Italie avait le devoir d'affir-
nier Ssolut)ilité de la question des répara-
tio Ils "et d celle (les dettes interalliées - 30
l'Itali -pt celle des dettes interalliées ; 3°
gie ;: .avaIt le devoir de réclamer avec éner-
Tün. dQ à ]'A11ernagne.
Tou tG la presse est d'accord pour estimer que
la note i Mussolini sert à la fois les inté-
rêts itall- ens Mussolini sert qu'elle s'exprime
sur thens et européens et qu'elle s'exprime
(;it!l11f1 n. ton de modération, de noblesse et de
^lirie éri ^rgi.e particulièrement remarquable.
Le S -
<^VVertfff0'0' l'Epoca, la Stampa soulignent
è'lns :.lssemet implicite à la France contenu
s "l 110te italienne.
C^s înemes journaux insistent sur le caractère
politique de l'occupation de la Ruhr par la
France. Ils ne croient pas que des propositions
acceptables de l'Allemagne amèneraient la
France à se montrer moins intransigeante.
La Stampa regrette, contrairement à tout le
reste de la presse, que M. Mussolini ait soulevé
le prpblème des dettes interalliées dans sa ré-
ponse. L'Allemagne n'a, en effet, rien à voir
dans cette question, dont la France se sert pour
empéoher toutes les négociations d'aboutir.
La presse italienne approuve unanimement la
réponse de M. Mussolini ; elle juge que les
propositions allemandes étaient inacceptables ;
elle souhaite que l'Italie puisse servir de média-
trice entre la France et l'Allemagne, entre la
France et l'Angleterre ; elle émet le vœu que la
France se montre moins intransigeante. Sur
ce dernier point les organes froncophobes se
déclarent sceptiques.
— Les deux notes, anglaise et italienne,
sont, comme on le prévoyait, très sembla-
bles entre elles. Toutes deux constatent l'in-
suffisance de la proposition allemande pour
les mêmes raisons (chiffre global trop-bas,
absence de garanties) ; toutes deux invitent
le gouvernement allemand à présenter de
nouvelles propositions plus satisfaisantes ;
toutes deux enfin affirment que ces propo-
sitions ultérieures devraient être discutées
en commun par les alliés. Sur ce point,
c'est le cas de le dire, en paraphrasant le
mot historique, que l'adresse est pour l'Al-
lemagne, mais que l'avertissement est pour
la France. Nous' savions déjà quelle était
l'opinion du gouvernement anglais là-des-
sus. Cette opinion est implicitement adop-
tée par notre gouvernement dans, le pas-
sage en question de la note, mais, en vé-
rité, il aurait beaucoup mieux valu qu'il se
prononçât clairement — par une note à la
presse ou par tout autre moyen, la Cham-
bre n'étant pas réunie ; cela aurait mieux
valu, et pour le principe juridique à sau-
vegarder (compétence interalliée en matière
de réparation), et pour protéger le prestige
national en présence de la procédure du
gouvernement Poincaré et, de son manque
d'égards envers les Alliés.
En ce qui concerne l'abjection italo-an-
glaise contre le chiffre global proposé par
l'Allemagne, il y a, dans les deux notes,
une lacune qui saute tout de suite aux
yeux, et c'est qu'elles ne tiennent aucun
compte de la proposition complémentaire
allemande tèndant à soumettre à un tribu-
nal technique international l'appréciation de
la capacité de paiement allemande. Le
Times avait accordé, une grande importance
à cette' proposition ; il soutenait que c'était
là le point principal qu'il ne fallait pas lais-
ser tomber, qu'il fallait au contraire déve-
lopper. C'était aussi le point qui avait pro-
duit la meilleure impression en Amérique.
Mais les convenances diplomatiques ont im-
posé le silence là-dessus à l'Angleterre et à
l'Italie : en mentionnant avec quelque bien-
veillance la proposition d'arbitrage interna-
tional, Italie et Angleterre auraient poussé
le gouvernement allemand à insister, alors
qu'on sait que le gouvernement français
actuel est hostile à cette idée
Nous touchons là le nœud de la difficul-
té. : Italie et Angleterre ne peuvent jouer
jusqu'au bout leur rôle de Mentor de l'Alle-
magne, pour la raison très simple qu'éilles
n'ont aucune garantie que la France soit
disposée à accueillir les résultats des sug-
gestions qu'elles pourraient faire accepter à
l'Allemagne.
A côté des parties communes des deux
notes, la note italienne a une partie qui lui
est spéciale : c'est celle qui a trait à la con-
nexion des réparations et des dettes inter-
alliées. C'est là qu'il faut chercher la raison
(une des raisons, tout au moins) du fait
qu'il n'y a pas eu une réponse commune de
l'Italie et de l'Angleterre, ce qui aurait été
fort opportun pour la politique générale ita-
lienne et européenne.
Mais il convient d'observer que les dettes
interalliées sont un sujet où l'Allemagne n'a
rien à voir : la capacité de paiement de
l'Allemagne demeure ce qu'elle est, que la
France et l'Italie paient ou non leurs dettes
aux Etats anglo-saxons. Il faut prendre
garde, en outre, de ne pas faire, dans l'En-
tente même, le jeu de Poincaré, qui met
en avant. la question des dettes interalliées
quand elle peut servir d'obstacle à un rè-
glement du' problème des réparations ;
mais il se hâte de la laisser de côté quand
la possibilité d'un accord apparaît.
STAMPA, 15.5.
— Le gouvernement italien, en fixant ses
légitimes revendications dans la répartition
du total de l'indemnité, a voulu s'en tenir à
un pourcentage extiraordinairement bas. Il
a ainsi donné au monde un rare exemple de
modération et de générosité, en considéra-
tion de la faible capacité financière du Reich.
Mais la modération est une chose, l'accep-
tation d'une quote-part ridicule, dispropor-
tionnée, insuffisante, comparée à la part ré-
clamée par les autres Alliés, est une chose
toute différente. L'Italie ne pouvait qu'affir-
mer à nouveau, d'une façon particulière et
individuelle, tous ses droits, d'autant plus
qu'elle les a, de son plein gré, réduits au
minimum.
Si le memorandum italien de Londres
avait été accueilli et appliqué, probablement
la question des réparations serait à l'heure
actuelle en voie de solution; et l'Europe
n'aurait pas connue le sanglant épisode de
la Ruhr, et l'Entente ne se serait pas brisée,
comme, par malheur, on s'en aperçoit au-
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TRIBUNA, 15.5.
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