Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 mai 1923 16 mai 1923
Description : 1923/05/16 (T24,N2353). 1923/05/16 (T24,N2353).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467025t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
1 - MlNlSTÈHs
- DES
AFFAIH'ES ÉTRANGÈRES
1 ----
N° 2353
Mercrecli 16 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Les réponses brifaiv
nique et itnlieIm8 à Berlin (Kölnische
-¿,eilung,\ KOlnische Volkszeitung). - Le
procès de Werden (Georg Bernhard dans
pftr
américaine. - Les Etats-Unis et les
es (Arthur Sears Henning dans
p nca'Jo Daihj Tribune)'.
PRESSt A'\GLAISE. - Les réponses britannique
et italienne à l'Allemagne (Times, Daily
T clet/raph, Daily Chronicle). — La situa-
- (Dail-?J Telegraph). — Les relations an-
crusses (Daily Telegraph, J\lornin(l
Daily News).
EïE iTAUenne- — Apres le meurtre de
Vor,ovski (Stampci)..
esse suédoise. - La réponse franco-belge
(SoCiat-Dcnwkratcn).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LIes REPONSES BRITANNIQUE ET
ITALIENNE A L'ALLEMAGNE. - - PRESSE
ANGLaISE. - De Berlin: Les notes britanni-
que ■î.f1- î^• emie reçues hier soir à Berlin
n'ont guère apaisé la vague de pessimisme
à ont gu/ere apai.sé la vague de pessimisme
na^Uc^e la réponse franco-belge a donné
llitlsèlnce. La première impression a été
e lrnPression de surprise, mais ceci était
'd CI au langage ferme et au ton raide em-
f;loYés, ie monde officiel allemand n'étant
ts accoutumé à recevoir des communica-
fcons Précisés à ce point entre souverains
1 quoique dans ses communications
'ec des puissances secondaires cette ma-
Ilière ne lui s-oit pas étrangère. Les com-
tent ai'res' 'de presse renferment de nom-
du eUses allusions à la hauteur « indienne »
t ,stYle de lord Curzon. De plus, on a été
esappomté de voir que la réponse an-
glgj ® etait lirpitée. Elle passe sur tous les
j>roipl o^rc demande, dont la Wil-
Mm t Qsse avait espéré se servir pour
«lise ,Ses fils )> — l'élasticité de l'estima-
tioll,la Proposition d'une commission, la
séc politique et ainsi de suite.
Mal" s quand, la première impression de
c|^SiljSi°n Pas,s^e, la note britannique fut
llle de plus près, on s'est aperçu
exany lnee • P;,|US près, on s'est aperçu
qu'elle etmt susceptible d'une plus géné-
Qdrse Interprétation. D'une part, elle est
I&IlSée à l'Allemagne et on y trouve un
re sans avantages ; mais, de l'autre,
oti 0lt Voir qu'elle est aussi adressée à la
rance, et, à ce point de vue aussi, on la
considère d'une très grande franchise vrai-
ment. Dans l'état de choses actuel, l'Alle-
magne est prête à empocher le manque de
considération, pour ses tendres susceptibili-
tés, à cause du dernier paragraphe où elle
voit clairement indiqué que la porte reste
ouverte pour de nouvelles négociations. Ce
qui est arrivé, c'est que nous sommes re
venus à la question économique et que la
partie va être reprise de là
On en déduit que lord Curzon reconnaît,
qu'il a été lé promoteur de l'offre allemande
et que, jusqu'à un certain point, il se pro-
pose comme intermédiaiire. Si la question
de sécurité politique est mise de côté comme
une chose à régler quand on en aura fini
avec; le problème financier, la tâche qui
s'offre maintenant à l'Allemagne, c'est d'ar-
river à un accord avec la Grande-Bretagne
et l'Italie, qui pourrait servir de base à un
accord avec la France. Ceci, toutefois, se
heurte, aux problèmes soulevés par les ter-
mes des deux notes, étant donné que lord
Curzon semblerait partir du plan proposé à
Paris par M. Bonar Law, que l'Italie jugea
alors-et que M. Musschini paraît tou-
jours juger — inadéquat.
Il est généralement admis, en consé-
quence, que l'Allemagne doit combler les
lacunes de sa précédente note et faire des
offres nouvelles. Il n'est guère possible de
déterminer actuellement, d'après ce qu'on
en dit, ce que seront ces offres.
Pour le moment, on ne se montre disposé
nulle part à discuter une augmentation de
la somme proposée (et soumise à revision)
dans la note allemande. La seule proposi-
tion nette que j'aie entendue est que le
chiffre pourrait en être élevé par une ex-
tension de la période, mais il existe une
grande: répugnance à adopter ce procédé.
Quant aux garanties, tous les biens d'Etat
susceptibles d'être hypothéqués sont regar-
dés comme donnés en garantie à la com-
mission des réparations. Toutes les fois
qu'à titre d'indication on signale une som-
me ide revenus qui pourrait servir de garan-
tie à un emprunt international, le cri de
« souveraineté » s'élève. La demande d'une
plus précise définition des garanties insé-
rée dans la réponse britannique, a provoqué
aussitôt les réponses négatives habituelles.
-nien de ce qui pourrait. même suggérer
l'idée « d'ottomanisation » ne sera fait. Un
contrôle international des chemins de fer
ne saurait, être toléré. Des commissions de
garantie se mêlant des questions d'impôts
sont hors de question, et ainsi de suite.
Mais on reconnaît que le gouvernement au-
rait pu être précis dans son projet et défi-
nir les garanties offertes par l'agriculture,
l'industrie, le commerce et la banque. Dans
cet ordre; d'idées, il pourrait aller beaucoup
plus loin avant de dépasser l'opinion pu-
blique.
H est inutile de s'attendre à une offre vo-
lontaire de quiconque ou de tous et, s'il est
question de quelque chose de sérieux, le
gouvernement devra prendre des mesures
coercitives. On ne voit pas clairement si
cela suffirait. - (Du correspondant, particu-
lier.)
TIMES; 15.5.
— C'est- à Munster, explique le corres-pundant
de la Morning Post à Berlin, que 3e -chancelier
Cirno a, pris connaissance de la réponse anglaise.
On ne connaît, pas encore l'attitude des milieux
gouvernementaux. Malgré la déception produite
par le « ton brusque » de la note Curzon, l'opi-
nion allemande croit, à la nécessité de ne pas
a aggraver l'humiliation » de l'Allemagne. On
était convaincu que la note britannique mettrait
en évidence les divergences d'opinion qui sa
manifestent entre la France et la Grande-Bre-
tagne sur certains aspects de la politique des
réparations et dans la question de la Ruhr,
mais cet espoir a été complètement déçu. Bien
qu'on se plaigne que la Grande-Bretagne ait
parlé à l'Allemagne sur le ton qu'elle pourrait
employer envers des vassaux, l'opinion géné-
rale demande que des nouveaux efforts soient
tentés pour satisfaire les vœux du gouvernement
britannique.
Quelle forme prendront ces nouveaux ef-
forts et qui les accomplira, telle est la ques-
tion du moment. M. Cuno et M. von Rosen-
beirg estiment que l'offre faite par l'Alle-
magne va jusqu'à la limite extrême de ses
facultés ; ils ont déclaré qu'ils ne signeraient
aucune proposition qui leur paraîtrait inexé-
cutable. Mais peut-être seraient-ils disposés
à apporter des précisions dans la question
des garanties.
Le parti socialiste juge indispensable de pour-
suivre les négociations avec la Grande-Bretagne.
MORNING POST, 15.5. 1
— Pareillement, le correspondant du Daily
Telegraph (15.5) déclare, que tous les partis du
Reichstag, sauf les conservateurs, estiment que
le cabinet doit répondre à lord Curzon et lui
donner satisfaction, au moins sur certaines de
ses. demandes. Le gouvernement actuel ne peut
pas offrir une somme plus élevée que celle in-
diquée dans la note initiale, mais la question
des garanties permettrait de présenter des pro-
positions entièrement nouvelles. Le Reichstag ,\:1,
le désir d'éviter une crise ministérielle. 1
Les objections de lord Curzon ont été surtout
bien accueillies par les socialists comme Schei-
demann et Breitscheid.
- Le rédacteur diplomatique du Daily Tele-
graph s'étonne que M. Mussolini ait -rait men-
tion, dans une note adressée à Berlin, du pro-
blème des dettes interalliées.
Les déclarations de lord Curzon devront
écarter définitivement les projets tendant à
restreindre les réparations à la seule recons-
titution des régions dévastées et à exclure
ainsi indirectement la Grande-Bretagne de
toute participation au moins immédiate au
produit commun des versements allemands,
DAILY TELEGRAPH, 15.5.
- DES
AFFAIH'ES ÉTRANGÈRES
1 ----
N° 2353
Mercrecli 16 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Les réponses brifaiv
nique et itnlieIm8 à Berlin (Kölnische
-¿,eilung,\ KOlnische Volkszeitung). - Le
procès de Werden (Georg Bernhard dans
pftr
américaine. - Les Etats-Unis et les
es (Arthur Sears Henning dans
p nca'Jo Daihj Tribune)'.
PRESSt A'\GLAISE. - Les réponses britannique
et italienne à l'Allemagne (Times, Daily
T clet/raph, Daily Chronicle). — La situa-
-
crusses (Daily Telegraph, J\lornin(l
Daily News).
EïE iTAUenne- — Apres le meurtre de
Vor,ovski (Stampci)..
esse suédoise. - La réponse franco-belge
(SoCiat-Dcnwkratcn).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LIes REPONSES BRITANNIQUE ET
ITALIENNE A L'ALLEMAGNE. - - PRESSE
ANGLaISE. - De Berlin: Les notes britanni-
que ■î.f1- î^• emie reçues hier soir à Berlin
n'ont guère apaisé la vague de pessimisme
à ont gu/ere apai.sé la vague de pessimisme
na^Uc^e la réponse franco-belge a donné
llitlsèlnce. La première impression a été
e lrnPression de surprise, mais ceci était
'd CI au langage ferme et au ton raide em-
f;loYés, ie monde officiel allemand n'étant
ts accoutumé à recevoir des communica-
fcons Précisés à ce point entre souverains
1 quoique dans ses communications
'ec des puissances secondaires cette ma-
Ilière ne lui s-oit pas étrangère. Les com-
tent ai'res' 'de presse renferment de nom-
du eUses allusions à la hauteur « indienne »
t ,stYle de lord Curzon. De plus, on a été
esappomté de voir que la réponse an-
glgj ® etait lirpitée. Elle passe sur tous les
j>roipl o^rc demande, dont la Wil-
Mm t Qsse avait espéré se servir pour
«lise ,Ses fils )> — l'élasticité de l'estima-
tioll,la Proposition d'une commission, la
séc politique et ainsi de suite.
Mal" s quand, la première impression de
c|^SiljSi°n Pas,s^e, la note britannique fut
llle de plus près, on s'est aperçu
exany lnee • P;,|US près, on s'est aperçu
qu'elle etmt susceptible d'une plus géné-
Qdrse Interprétation. D'une part, elle est
I&IlSée à l'Allemagne et on y trouve un
re sans avantages ; mais, de l'autre,
oti 0lt Voir qu'elle est aussi adressée à la
rance, et, à ce point de vue aussi, on la
considère d'une très grande franchise vrai-
ment. Dans l'état de choses actuel, l'Alle-
magne est prête à empocher le manque de
considération, pour ses tendres susceptibili-
tés, à cause du dernier paragraphe où elle
voit clairement indiqué que la porte reste
ouverte pour de nouvelles négociations. Ce
qui est arrivé, c'est que nous sommes re
venus à la question économique et que la
partie va être reprise de là
On en déduit que lord Curzon reconnaît,
qu'il a été lé promoteur de l'offre allemande
et que, jusqu'à un certain point, il se pro-
pose comme intermédiaiire. Si la question
de sécurité politique est mise de côté comme
une chose à régler quand on en aura fini
avec; le problème financier, la tâche qui
s'offre maintenant à l'Allemagne, c'est d'ar-
river à un accord avec la Grande-Bretagne
et l'Italie, qui pourrait servir de base à un
accord avec la France. Ceci, toutefois, se
heurte, aux problèmes soulevés par les ter-
mes des deux notes, étant donné que lord
Curzon semblerait partir du plan proposé à
Paris par M. Bonar Law, que l'Italie jugea
alors-et que M. Musschini paraît tou-
jours juger — inadéquat.
Il est généralement admis, en consé-
quence, que l'Allemagne doit combler les
lacunes de sa précédente note et faire des
offres nouvelles. Il n'est guère possible de
déterminer actuellement, d'après ce qu'on
en dit, ce que seront ces offres.
Pour le moment, on ne se montre disposé
nulle part à discuter une augmentation de
la somme proposée (et soumise à revision)
dans la note allemande. La seule proposi-
tion nette que j'aie entendue est que le
chiffre pourrait en être élevé par une ex-
tension de la période, mais il existe une
grande: répugnance à adopter ce procédé.
Quant aux garanties, tous les biens d'Etat
susceptibles d'être hypothéqués sont regar-
dés comme donnés en garantie à la com-
mission des réparations. Toutes les fois
qu'à titre d'indication on signale une som-
me ide revenus qui pourrait servir de garan-
tie à un emprunt international, le cri de
« souveraineté » s'élève. La demande d'une
plus précise définition des garanties insé-
rée dans la réponse britannique, a provoqué
aussitôt les réponses négatives habituelles.
-nien de ce qui pourrait. même suggérer
l'idée « d'ottomanisation » ne sera fait. Un
contrôle international des chemins de fer
ne saurait, être toléré. Des commissions de
garantie se mêlant des questions d'impôts
sont hors de question, et ainsi de suite.
Mais on reconnaît que le gouvernement au-
rait pu être précis dans son projet et défi-
nir les garanties offertes par l'agriculture,
l'industrie, le commerce et la banque. Dans
cet ordre; d'idées, il pourrait aller beaucoup
plus loin avant de dépasser l'opinion pu-
blique.
H est inutile de s'attendre à une offre vo-
lontaire de quiconque ou de tous et, s'il est
question de quelque chose de sérieux, le
gouvernement devra prendre des mesures
coercitives. On ne voit pas clairement si
cela suffirait. - (Du correspondant, particu-
lier.)
TIMES; 15.5.
— C'est- à Munster, explique le corres-pundant
de la Morning Post à Berlin, que 3e -chancelier
Cirno a, pris connaissance de la réponse anglaise.
On ne connaît, pas encore l'attitude des milieux
gouvernementaux. Malgré la déception produite
par le « ton brusque » de la note Curzon, l'opi-
nion allemande croit, à la nécessité de ne pas
a aggraver l'humiliation » de l'Allemagne. On
était convaincu que la note britannique mettrait
en évidence les divergences d'opinion qui sa
manifestent entre la France et la Grande-Bre-
tagne sur certains aspects de la politique des
réparations et dans la question de la Ruhr,
mais cet espoir a été complètement déçu. Bien
qu'on se plaigne que la Grande-Bretagne ait
parlé à l'Allemagne sur le ton qu'elle pourrait
employer envers des vassaux, l'opinion géné-
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tentés pour satisfaire les vœux du gouvernement
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Quelle forme prendront ces nouveaux ef-
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tion du moment. M. Cuno et M. von Rosen-
beirg estiment que l'offre faite par l'Alle-
magne va jusqu'à la limite extrême de ses
facultés ; ils ont déclaré qu'ils ne signeraient
aucune proposition qui leur paraîtrait inexé-
cutable. Mais peut-être seraient-ils disposés
à apporter des précisions dans la question
des garanties.
Le parti socialiste juge indispensable de pour-
suivre les négociations avec la Grande-Bretagne.
MORNING POST, 15.5. 1
— Pareillement, le correspondant du Daily
Telegraph (15.5) déclare, que tous les partis du
Reichstag, sauf les conservateurs, estiment que
le cabinet doit répondre à lord Curzon et lui
donner satisfaction, au moins sur certaines de
ses. demandes. Le gouvernement actuel ne peut
pas offrir une somme plus élevée que celle in-
diquée dans la note initiale, mais la question
des garanties permettrait de présenter des pro-
positions entièrement nouvelles. Le Reichstag ,\:1,
le désir d'éviter une crise ministérielle. 1
Les objections de lord Curzon ont été surtout
bien accueillies par les socialists comme Schei-
demann et Breitscheid.
- Le rédacteur diplomatique du Daily Tele-
graph s'étonne que M. Mussolini ait -rait men-
tion, dans une note adressée à Berlin, du pro-
blème des dettes interalliées.
Les déclarations de lord Curzon devront
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restreindre les réparations à la seule recons-
titution des régions dévastées et à exclure
ainsi indirectement la Grande-Bretagne de
toute participation au moins immédiate au
produit commun des versements allemands,
DAILY TELEGRAPH, 15.5.
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