Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 mai 1923 14 mai 1923
Description : 1923/05/14 (T24,N2351). 1923/05/14 (T24,N2351).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670230
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINlSTtRE
DES
AFFAIRES Étrangères
-"
4-
N° 2351
Lundi 14 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RE ALLEMANDE. - La garantie de l'in-
f- hws ne allemande (Paul Litwin dans
ossische Zeitung). — Bruit d'un trust
f.l'anco-allemand (Leonid dans Rote
Pahne).
pR A^ÉRIC.AINE. — Les colonies françai-
se d'Afrique (Boston Evening Trans-
(->'*ipt). Les groupements germano-
^mcncains aux Etats-Unis (New Yor'-
unes). La défense nationale aux
Etats-Unis (Chicago Daily News).
-,'SE ANGLAISE. — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Times).
- Le territoire, de la Sarre : le débat
fl u 10 mai à la Chambre des Communes
Uimes, Morning Post, Daily Telegraph).
- Les relations des soviets avec la
Grande-Bretagne (Observer). — Les ke-
malistès et la. France (Daily Telegraph).
RESSE ITALIENNE. — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Mondo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES REPONSES BRITANNIQUE ET
fcS ™ NNE A L'ALLEMAGNE. - On
garde encore une réserve complète sur le
Ilknu de la note que le gouveraemnt ita-
leu 1 °'nîSrnettra à ceux de Berlin, Bruxelles
€t. r, nris; pour préciser sa politique, après
pour préciser szt politique, après
le S Propositions allemandes.
ous n'avons rien à redire à cette réserve
le elle, est. comme nous avons le devoir de
le C10Jr°: un indice du sérieux de l'examen
: précède la prise déposition du gouverne-
jQei' itali,en. Nous sommes même bien heu-
rt:.1\" I-¡ll'On Procède cette fois avec tant de
pivr' C. U^°n e' r'° sévérité, car nous sommes
ton'M«ilieu s que, dans la première période
de kt crise de la Ruhr, la diplomatie italien-
lflle, errant derrière les nuages aux mille re-
tal du « do ut des „ et du „ bloc continen-
) a pelt"du une excellente occasion. Cette
usion se présenta à Paris lorsque le pro-
jet n on.ar Law fut repoussé d'une façon pé-
011'6 par la France et que le Premier
tili-nisti-e- anglais, qui n'était pas préparé à
^va i *6 Si, à ce moment-là, le projet
USSolml avait été présenté à nouveau et
e,-'UtAn11 avec énergie, Bonar Law aurait
s'y ®,e ,on toute probabilité, bien heureux de
s'y a-llier et de s'en servir comme d'une
■ sauvetage. Et ainsi l'Italie aurait,
eur et profit, sauvé l'Entente. Les
- h -s sont allées autrement pour notre
plus grand dommage et celui de tous les au-
tres, et la crise issue de l'occupation de la
Ruhr s'est aggravée et compliquée au point
que nous voici arrivés à un état de guerre
non déclarée où les propositions de pour-
parlers sont qualifiées « d'offensives de
paix ».
Mais de tout ce mal est né tout de même
un bien pour l'Italie : elle a retrouvé sa li-
berté d'action, une pleine autonomie politi-
que. La situation dans la Ruhr, tant au
point de vue industriel et militaire qu'au
point de vue du droit international strict
s'est si profondément modifiée. que FêTaI
de fait et de droit est complètement diffé-
rent de celui auquel l'Italie, en janvier der-
nir, donna son adhésion, avec réserves et
sous conditions. Cela suffisait à rendre à
l'Italie son entière liberté d'action basée sur
la lettre et l'esprit du traité de Versailles et
légitimée par lui.
Mais il y a plus. La politique anglaise
est sortie de la neutralité où elle était
restée depuis janvier. Ce fait est, selon
nous, d'une importance capitale : une action
anglaise se dessinant, il n'est pas possible
à l'Italie de rester, non seulement dans
l'inaction, mais même dans l'expectative.
D'autre part, nous sommes aujourd'hui
en présence de propositions concrètes de
l'Allemagne, adressées non seulement à la
France, mais à tous les alliés. L'Italie et
l'Angleterre peuvent donc les discuter, les
critiquer, les repousser et leur opposer d'au-
tres propositions plus concrètes et plus po-
sitives encore, sans que cela comporte une
diminution d'amitié à l'égard de la France.
Il y a, d'ailleurs, en France même, d'im-
portants courants d'opinion favorables à
une conciliation honorable.
Une action de l'Italie affirmant à nou-
veau la nécessité de préserver la France de
toute agression allemande (mais la « résis-
tance passive » ne démontre-t-elle pas pré-
cisément qu'il n'y a aucun danger prochain
d'ordre militaire à redouter ?), affirmant le
droit aux réparations mais soutenant, d'au-
tre part, la nécessité de sortir d'une situa-
tion toujours plus chaotique ne pourrait
qu'être la bienvenue. La chose peut paraître
paradoxale, c'est pourtant la vérité si la
France a droit à la solidarité de ses alliés,
elle a surtout besoin que cette- solidarité
s'exerce dans le sein d'une pacification en-
tre elle et l'Allemagne. Sinon ce serait la
guerre économique, l'insécurité politique,
l'incertitude financière et à la fin les émeu-
tes politiques et les révoltes nationales. Le
vainqueur tomberait sur le vaincu : et ce
serait la ruine de la France,, de l'Allemagne
et de tous.
MONDO rcie Rome], 11.5.
— De Paris, 11 mai : On prévoit que le
gouvernement français recevra aujourd'hui
communication de la note britannique. Il
n'est pas sans intérêt, à ce propos, de re-
chercher l'accueil qui sera fait en France à
ce document, car cet accueil aura autant,
sinon plus, d'importance que celui qui lui
sera réservé dans le, pays destinataire. Les
français font preuve d'une extrême ré-
serve ; mais cette attitude contraste heu-
reusement avec les vives critiques du con-
tenu supposé de la note britannique qui
n'auraient pas, manqué de se faire jour dans
certains milieux influents au début de la se-
maine. Des vues plus modérées commen-
cent à se répandre sur le droit que pos-
sède la Grande-Bretagne de manifester son
opinion dans de graves circonstances inté-
ressant également tous les signataires du
traité de Versailles, qui doit être interprété
et appliqué en commun.
La. France paraît s'attendre à trouver
dans la note britannique la confirmation de
sa thèse, à savoir que l'Allemagne n'a pas
cherché sérieusement à s'acquitter de ses
obligations et que son offre récente est insuf-
fisante. A la vérité, bien que le. Parlement
n'ait repris ses séances que mardi dernier,
il est évident que la situation de M. Poin-
caré est devenue quelque peu difficile. On
ne constate pas le moindre indice de flé-
chissement dans la question de la Ruhr, qui
domine la politique française ; mais le mé-
contentement s'est manifesté à propos de
sujets très divers. Le Sénat est visiblement
peu satisfait d'avoir à juger M. Cachin,
comme l'y invite le gouvernement. M. Léon
Bérard, ministre de l'Instruction publique,
est attaqué pour avoir promulgué les dé-
crets sur l'enseignement secondaire sans
l'approbation du Parlement. L'échec des dis-
cussions sur l'heure d'été a provoqué beau-
coup de critiques. La direction des opéra-
tions de la Ruhr elle-même a donné lieu à
quelques murmures dans les couloirs. Tout
cela indique qu'il serait dangereux pour M,
Poincaré d'accroître les difficultés qu'il ren-
contre en prenant une initiative quelconque
susceptible d'aggraver le malentendu avec
la Grande-Bretagne. L'émotion provoquée
par le franc-parler de lord' Curzon sur l'ac-
tion de la France s'est apaisée, et l'on s'est
aperçu à la réflexion, je crois, que la
Grande-Bretagne n'a pas le droit de con-
seiller à l'Allemagne de présenter une offre
raisonnable aux alliés.
Il apparaît donc que la note britannique
ne sera pas remise dans une- atmosphère
défavoralble. Le délai apporté à son envoi a
eu, dans l'ensemble, un effet salutaire : il
a permis à l'agitation de se calmer et il a
favorisé le retour au sang-froid et à la pru-
dence diplomatique qui s'opposent heureu-
sement à la fièvre avec laquelle les affaires
extérieures ont été dirigées récemment. Si
la note britannique avait été présentée mar-
di dernier, la France n'aurait pas manqué
DES
AFFAIRES Étrangères
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Lundi 14 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RE ALLEMANDE. - La garantie de l'in-
f- hws ne allemande (Paul Litwin dans
ossische Zeitung). — Bruit d'un trust
f.l'anco-allemand (Leonid dans Rote
Pahne).
pR A^ÉRIC.AINE. — Les colonies françai-
se d'Afrique (Boston Evening Trans-
(->'*ipt). Les groupements germano-
^mcncains aux Etats-Unis (New Yor'-
unes). La défense nationale aux
Etats-Unis (Chicago Daily News).
-,'SE ANGLAISE. — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Times).
- Le territoire, de la Sarre : le débat
fl u 10 mai à la Chambre des Communes
Uimes, Morning Post, Daily Telegraph).
- Les relations des soviets avec la
Grande-Bretagne (Observer). — Les ke-
malistès et la. France (Daily Telegraph).
RESSE ITALIENNE. — Les réponses britanni-
que et italienne à l'Allemagne (Mondo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES REPONSES BRITANNIQUE ET
fcS ™ NNE A L'ALLEMAGNE. - On
garde encore une réserve complète sur le
Ilknu de la note que le gouveraemnt ita-
leu 1 °'nîSrnettra à ceux de Berlin, Bruxelles
€t. r, nris; pour préciser sa politique, après
pour préciser szt politique, après
le S Propositions allemandes.
ous n'avons rien à redire à cette réserve
le elle, est. comme nous avons le devoir de
le C10Jr°: un indice du sérieux de l'examen
: précède la prise déposition du gouverne-
jQei' itali,en. Nous sommes même bien heu-
rt:.1\" I-¡ll'On Procède cette fois avec tant de
pivr' C. U^°n e' r'° sévérité, car nous sommes
ton'M«ilieu s que, dans la première période
de kt crise de la Ruhr, la diplomatie italien-
lflle, errant derrière les nuages aux mille re-
tal du « do ut des „ et du „ bloc continen-
) a pelt"du une excellente occasion. Cette
usion se présenta à Paris lorsque le pro-
jet n on.ar Law fut repoussé d'une façon pé-
011'6 par la France et que le Premier
tili-nisti-e- anglais, qui n'était pas préparé à
USSolml avait été présenté à nouveau et
e,-'UtAn11 avec énergie, Bonar Law aurait
s'y ®,e ,on toute probabilité, bien heureux de
s'y a-llier et de s'en servir comme d'une
■ sauvetage. Et ainsi l'Italie aurait,
eur et profit, sauvé l'Entente. Les
- h -s sont allées autrement pour notre
plus grand dommage et celui de tous les au-
tres, et la crise issue de l'occupation de la
Ruhr s'est aggravée et compliquée au point
que nous voici arrivés à un état de guerre
non déclarée où les propositions de pour-
parlers sont qualifiées « d'offensives de
paix ».
Mais de tout ce mal est né tout de même
un bien pour l'Italie : elle a retrouvé sa li-
berté d'action, une pleine autonomie politi-
que. La situation dans la Ruhr, tant au
point de vue industriel et militaire qu'au
point de vue du droit international strict
s'est si profondément modifiée. que FêTaI
de fait et de droit est complètement diffé-
rent de celui auquel l'Italie, en janvier der-
nir, donna son adhésion, avec réserves et
sous conditions. Cela suffisait à rendre à
l'Italie son entière liberté d'action basée sur
la lettre et l'esprit du traité de Versailles et
légitimée par lui.
Mais il y a plus. La politique anglaise
est sortie de la neutralité où elle était
restée depuis janvier. Ce fait est, selon
nous, d'une importance capitale : une action
anglaise se dessinant, il n'est pas possible
à l'Italie de rester, non seulement dans
l'inaction, mais même dans l'expectative.
D'autre part, nous sommes aujourd'hui
en présence de propositions concrètes de
l'Allemagne, adressées non seulement à la
France, mais à tous les alliés. L'Italie et
l'Angleterre peuvent donc les discuter, les
critiquer, les repousser et leur opposer d'au-
tres propositions plus concrètes et plus po-
sitives encore, sans que cela comporte une
diminution d'amitié à l'égard de la France.
Il y a, d'ailleurs, en France même, d'im-
portants courants d'opinion favorables à
une conciliation honorable.
Une action de l'Italie affirmant à nou-
veau la nécessité de préserver la France de
toute agression allemande (mais la « résis-
tance passive » ne démontre-t-elle pas pré-
cisément qu'il n'y a aucun danger prochain
d'ordre militaire à redouter ?), affirmant le
droit aux réparations mais soutenant, d'au-
tre part, la nécessité de sortir d'une situa-
tion toujours plus chaotique ne pourrait
qu'être la bienvenue. La chose peut paraître
paradoxale, c'est pourtant la vérité si la
France a droit à la solidarité de ses alliés,
elle a surtout besoin que cette- solidarité
s'exerce dans le sein d'une pacification en-
tre elle et l'Allemagne. Sinon ce serait la
guerre économique, l'insécurité politique,
l'incertitude financière et à la fin les émeu-
tes politiques et les révoltes nationales. Le
vainqueur tomberait sur le vaincu : et ce
serait la ruine de la France,, de l'Allemagne
et de tous.
MONDO rcie Rome], 11.5.
— De Paris, 11 mai : On prévoit que le
gouvernement français recevra aujourd'hui
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n'est pas sans intérêt, à ce propos, de re-
chercher l'accueil qui sera fait en France à
ce document, car cet accueil aura autant,
sinon plus, d'importance que celui qui lui
sera réservé dans le, pays destinataire. Les
français font preuve d'une extrême ré-
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opinion dans de graves circonstances inté-
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traité de Versailles, qui doit être interprété
et appliqué en commun.
La. France paraît s'attendre à trouver
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sa thèse, à savoir que l'Allemagne n'a pas
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il est évident que la situation de M. Poin-
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domine la politique française ; mais le mé-
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peu satisfait d'avoir à juger M. Cachin,
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est attaqué pour avoir promulgué les dé-
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cela indique qu'il serait dangereux pour M,
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susceptible d'aggraver le malentendu avec
la Grande-Bretagne. L'émotion provoquée
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Grande-Bretagne n'a pas le droit de con-
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Il apparaît donc que la note britannique
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dence diplomatique qui s'opposent heureu-
sement à la fièvre avec laquelle les affaires
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