Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 mai 1923 09 mai 1923
Description : 1923/05/09 (T24,N2348). 1923/05/09 (T24,N2348).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467020r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
AFF AIR É S Ê T R AN G ÈRE S
- -
N° 2348
Mercredi 9 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^1: ALLEMANDE. — L'offre allemande
(Georg Bernhard dans Vossische Zei-
LUllg).
PRESSE ANGLAISE. - La réponse franco-belge
Times, Morning Post, Daily News,
Westminster Gazette, Vailu Chronicle).
- L'opinion aux Etats-Unis sur l'occu-
pation de la Ruhr : déclarations de
miss Maude Royden (Manchester Guar-
f KESSE ESPAGNOLE. - L'offre allemande
dian). L'off re a, l lema,nde
(A. B C, Epoca-, Hel'aldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OFFRE ALLEMANDE. - Sous le titre :
ET CHIFFRES ». — Les contempteurs
a forme devraient étudier la politique
allemande de l'époque impériale et post-
lll);ra'e au cours des dernières décades.
Sl | a',eilt probablement vite convertis. La
mie des discours impériaux, la forme
l'attitude politique des Allemands à
] étranger la forme des notes allemandes,
1'1 ,uprès la l'évolution, ont fait à l'Alle-
Uwag-ne plus d'ennemis, ont soulevé plus
d bS>lUeles et de résistance que le contenu
pnie de la politique allemande, lequel, la
P l!Purt du temps, ne fut pas même exa-
lne' a cause de la forme maladroite. La
j n'est jamais chose accessoire.
hii Allemagne on a, plus que partout ail-
lllX la tendance à négliger toute forme.
* • par un mauvais sort, plus fréquent en-
ort, nous choisissons précisément la forme
r) moins adaptée qui se puisse concevoir
il11 but que nous voulons atteindre.
1 °Ul' comprendre la forme de la note al-
i( Hande sur les réparations, il faut savoir
tornInent les notes de ce genre se préparent
a 0 Elles ne naissent point de
j' , vO'lonté précise d'un chancelier ou d'un
UD.~tre, qui sait ce qu'il veut en politique
rieure et qui est prêt à faire passer ce
Vr ,011 en action. La note est bien plutôt
le buttât de la collaboration entre gens qui
t des volontés divergentes. C'est donc,
(j. f"8 fonds et dans la forme, un compro
jjj et non pas seulement entre les mem-
1 (iu cabinet, car le compromis élaboré
«II sljn du gouvernement fait ensuite l'oh.
jet de nouveaux compromis. Dans le résul-
tat final, les exigences impératives du mi-
nistre bavarois Knilling sont très nettement
visibles. Aussi n'est-il pas étonnant que
cette œuvre faiblarde n'ait satisfait per-
sonne. La presse nationaliste fit ressortir
les chiffres, qui lui semblaient énormément
trop élevés et contre lesquels elle partit en
guerre. La presse, qui veut soutenir la poli-
tique extérieure du gouvernement, fit ce
qu'elle pouvait faire de mieux : elle se tut
jusqu'à ce que fussent connus les commen-
taires de l'étranger. Les journalistes de la
Socialdemocratie, de la démocratie et du
parti du centre, conscients de leur respon-
sabilité. ne voulaient pas que la polémique
de presse à l'étranger pût tenir profit de
critiques allemandes. Ceux qui pensent jus-
tement qu'il faut chercher un accord dans
la question des réparations regrettent les
dommages causés par la forme de la der-
nière note allemande.
Cependant, les chiffres paraissent finale-
ment devoir l'emporter sur la forme défec-
tueuse. Ils ont produit leur effet. A moins
que tous les signes soient trompeurs, la
France et la Belgique repousseront la note,
— peut-être avec vigueur et sur un ton
agressif, — mais ce refus n'exclura pas des
négociations ultérieures. D'après, tout ce
que l'on entend dire jusqu'ici, les nouveaux
entretiens interalliés ne portent pas sur le
point de savoir s'il faut ou non négocier.
Les Français eux-mêmes ne semblent pas
s'opposer à des négociations, mais les en-
tretiens tournent autour de ceci : que faut-il
exiger ?
11 faut que l'Allemagne établisse claire-
ment ce qu'elle croit pouvoir concéder dans
des négociations générales. Si. l'Allemagne
ne prend pas une position nette, et qui
semble acceptable aux alliés, il arrivera —
cela est dès maintenant très clair — que
les alliés tous ensemble imposeront leurs
conditions, comme à Londres et comme,
récemment, à Paris.
Il est vraiment inutile de taire au
peuple allemand que les frais de l'occupa-
tion de la Ruhr ont notablement accru les
dépenses des réparations ; il est inutile aus-
si de cacher que, pour l'Allemagne aujour-
d'hui, il ne s'agit plus de savoir si elle
supportera ou non ces frais, mais si elle
les paiera sous forme de diminution à son
prestige et à sa souveraineté nationale, en
abandonnant les intérêts des Rhénans (;t
des habitants de la Ruhr qui font la résis-
tance,- ou si elle paiera en argent. Le choix
ne saurait être difficile pour tout Allemand
qui ne place pas ses affaires et son porte-
monnaie au-dessus des intérêts nationaux.
La somme de 50 ou 60 milliards que
réclament les Français est une exigence
qui s'adresse moins à l'Allemagne qu'aux
propres alliés de la France, afin de les
amener à consentir à la France des délais
ou des remises de dette. Des déclarations
françaises récentes ont émis à nouveau
cette idée qu'il s'agit essentiellement pour
la France des 26 milliards de marks-or, qui
représentent la part française de 52 0/0 sur
50 milliards, somme totale des réparations.
C'est là justement ce qui, dans la situa-
tion présente, permet d'espérer quelque
succès. Au sujet des réparations seules,
on ne marchande plus que sur des chiffres
et à propos d'une différence qui n'est pas
du tout si considérable qu'elle parait de
prime abord. L'Allemagne offre 30 mil-
liards : les Alliés disent 50. Mais ils n'exi-
gent pas 50 milliards, car ils évaluent ce
que l'Allemagne a fourni jusqu'ici, à envi-
ron 10 milliards. La différence, n'est donc
plus qu'entre 30 à 40 milliards. Il s'agit
maintenant essentiellement, de la réponse
à cette question : Combien l'Allemagne a-
t-elle fourni jusqu'ici ? Les évaluations al-
lemandes sont naturellement plus élevées
que celles des .alliés. Mais même du côté
français l'évaluation faite par Gide atteint
environ 14 milliards. En admettant que
l'évaluation allemande soit de 20 milliards,
la dffférence totale n'est plus que de 5 à
8 milliards. Or des experts internationaux
sans partialité évalueront plus facilement
ce que l'Allemagne a effectivement fourni,
plutôt que sa capacité de paiement. Dans
les procès civils aussi, lorsqu'il y a désac-
cord sur la valeur de fournitures effec-
tuées, on a recours à l'évaluation des ex-
perts. Le point important, à quoi tout se
ramène aujourd'hui, c'est de fixer nette-
ment les obligations de l'Allemagne quant
aux fournitures et paiements à effectuer. —
Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.5.
PRESSE ESPAGNOLE. — En résumé nous ne
pouvons que répéter ce que nous disons
depuis un an et demi, c'est-à-dire que lr
problème des réparations est insoluble.
tant que subsisteront les dettes interalliées.
Ce problème est encore aggravé par la
chute du mark et par la grande diminution
dies importations allemandes, si bien que
la solution en serait encore itt-ès difficile,
même si l'on annulait les dettes interalliées.
Ce que lA'llemagne pourrait payer en „
mettant la meilleure volonté du monde se-
rait insuffisant pour les alliés, qui sont;
nombreux et ont de grands besoins, si l'on
tient compte' des ressources financières ré-
duites du vaincu. La France repoussera in-
dubitaiblement les propositions allemandes,
prolongera l'occupation de la Ruhr et se re-
fusera à payer les dettes de guerre à ses
créanciers anglo-saxons, tant qu'elle n'au-
ra pas touché elle-même ses propres créan-
DES
AFF AIR É S Ê T R AN G ÈRE S
- -
N° 2348
Mercredi 9 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^1: ALLEMANDE. — L'offre allemande
(Georg Bernhard dans Vossische Zei-
LUllg).
PRESSE ANGLAISE. - La réponse franco-belge
Times, Morning Post, Daily News,
Westminster Gazette, Vailu Chronicle).
- L'opinion aux Etats-Unis sur l'occu-
pation de la Ruhr : déclarations de
miss Maude Royden (Manchester Guar-
f KESSE ESPAGNOLE. - L'offre allemande
dian). L'off re a, l lema,nde
(A. B C, Epoca-, Hel'aldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OFFRE ALLEMANDE. - Sous le titre :
ET CHIFFRES ». — Les contempteurs
a forme devraient étudier la politique
allemande de l'époque impériale et post-
lll);ra'e au cours des dernières décades.
Sl | a',eilt probablement vite convertis. La
mie des discours impériaux, la forme
l'attitude politique des Allemands à
] étranger la forme des notes allemandes,
1'1 ,uprès la l'évolution, ont fait à l'Alle-
Uwag-ne plus d'ennemis, ont soulevé plus
d bS>lUeles et de résistance que le contenu
pnie de la politique allemande, lequel, la
P l!Purt du temps, ne fut pas même exa-
lne' a cause de la forme maladroite. La
j n'est jamais chose accessoire.
hii Allemagne on a, plus que partout ail-
lllX la tendance à négliger toute forme.
* • par un mauvais sort, plus fréquent en-
ort, nous choisissons précisément la forme
r) moins adaptée qui se puisse concevoir
il11 but que nous voulons atteindre.
1 °Ul' comprendre la forme de la note al-
i( Hande sur les réparations, il faut savoir
tornInent les notes de ce genre se préparent
a 0 Elles ne naissent point de
j' , vO'lonté précise d'un chancelier ou d'un
UD.~tre, qui sait ce qu'il veut en politique
rieure et qui est prêt à faire passer ce
Vr ,011 en action. La note est bien plutôt
le buttât de la collaboration entre gens qui
t des volontés divergentes. C'est donc,
(j. f"8 fonds et dans la forme, un compro
jjj et non pas seulement entre les mem-
1 (iu cabinet, car le compromis élaboré
«II sljn du gouvernement fait ensuite l'oh.
jet de nouveaux compromis. Dans le résul-
tat final, les exigences impératives du mi-
nistre bavarois Knilling sont très nettement
visibles. Aussi n'est-il pas étonnant que
cette œuvre faiblarde n'ait satisfait per-
sonne. La presse nationaliste fit ressortir
les chiffres, qui lui semblaient énormément
trop élevés et contre lesquels elle partit en
guerre. La presse, qui veut soutenir la poli-
tique extérieure du gouvernement, fit ce
qu'elle pouvait faire de mieux : elle se tut
jusqu'à ce que fussent connus les commen-
taires de l'étranger. Les journalistes de la
Socialdemocratie, de la démocratie et du
parti du centre, conscients de leur respon-
sabilité. ne voulaient pas que la polémique
de presse à l'étranger pût tenir profit de
critiques allemandes. Ceux qui pensent jus-
tement qu'il faut chercher un accord dans
la question des réparations regrettent les
dommages causés par la forme de la der-
nière note allemande.
Cependant, les chiffres paraissent finale-
ment devoir l'emporter sur la forme défec-
tueuse. Ils ont produit leur effet. A moins
que tous les signes soient trompeurs, la
France et la Belgique repousseront la note,
— peut-être avec vigueur et sur un ton
agressif, — mais ce refus n'exclura pas des
négociations ultérieures. D'après, tout ce
que l'on entend dire jusqu'ici, les nouveaux
entretiens interalliés ne portent pas sur le
point de savoir s'il faut ou non négocier.
Les Français eux-mêmes ne semblent pas
s'opposer à des négociations, mais les en-
tretiens tournent autour de ceci : que faut-il
exiger ?
11 faut que l'Allemagne établisse claire-
ment ce qu'elle croit pouvoir concéder dans
des négociations générales. Si. l'Allemagne
ne prend pas une position nette, et qui
semble acceptable aux alliés, il arrivera —
cela est dès maintenant très clair — que
les alliés tous ensemble imposeront leurs
conditions, comme à Londres et comme,
récemment, à Paris.
Il est vraiment inutile de taire au
peuple allemand que les frais de l'occupa-
tion de la Ruhr ont notablement accru les
dépenses des réparations ; il est inutile aus-
si de cacher que, pour l'Allemagne aujour-
d'hui, il ne s'agit plus de savoir si elle
supportera ou non ces frais, mais si elle
les paiera sous forme de diminution à son
prestige et à sa souveraineté nationale, en
abandonnant les intérêts des Rhénans (;t
des habitants de la Ruhr qui font la résis-
tance,- ou si elle paiera en argent. Le choix
ne saurait être difficile pour tout Allemand
qui ne place pas ses affaires et son porte-
monnaie au-dessus des intérêts nationaux.
La somme de 50 ou 60 milliards que
réclament les Français est une exigence
qui s'adresse moins à l'Allemagne qu'aux
propres alliés de la France, afin de les
amener à consentir à la France des délais
ou des remises de dette. Des déclarations
françaises récentes ont émis à nouveau
cette idée qu'il s'agit essentiellement pour
la France des 26 milliards de marks-or, qui
représentent la part française de 52 0/0 sur
50 milliards, somme totale des réparations.
C'est là justement ce qui, dans la situa-
tion présente, permet d'espérer quelque
succès. Au sujet des réparations seules,
on ne marchande plus que sur des chiffres
et à propos d'une différence qui n'est pas
du tout si considérable qu'elle parait de
prime abord. L'Allemagne offre 30 mil-
liards : les Alliés disent 50. Mais ils n'exi-
gent pas 50 milliards, car ils évaluent ce
que l'Allemagne a fourni jusqu'ici, à envi-
ron 10 milliards. La différence, n'est donc
plus qu'entre 30 à 40 milliards. Il s'agit
maintenant essentiellement, de la réponse
à cette question : Combien l'Allemagne a-
t-elle fourni jusqu'ici ? Les évaluations al-
lemandes sont naturellement plus élevées
que celles des .alliés. Mais même du côté
français l'évaluation faite par Gide atteint
environ 14 milliards. En admettant que
l'évaluation allemande soit de 20 milliards,
la dffférence totale n'est plus que de 5 à
8 milliards. Or des experts internationaux
sans partialité évalueront plus facilement
ce que l'Allemagne a effectivement fourni,
plutôt que sa capacité de paiement. Dans
les procès civils aussi, lorsqu'il y a désac-
cord sur la valeur de fournitures effec-
tuées, on a recours à l'évaluation des ex-
perts. Le point important, à quoi tout se
ramène aujourd'hui, c'est de fixer nette-
ment les obligations de l'Allemagne quant
aux fournitures et paiements à effectuer. —
Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 6.5.
PRESSE ESPAGNOLE. — En résumé nous ne
pouvons que répéter ce que nous disons
depuis un an et demi, c'est-à-dire que lr
problème des réparations est insoluble.
tant que subsisteront les dettes interalliées.
Ce problème est encore aggravé par la
chute du mark et par la grande diminution
dies importations allemandes, si bien que
la solution en serait encore itt-ès difficile,
même si l'on annulait les dettes interalliées.
Ce que lA'llemagne pourrait payer en „
mettant la meilleure volonté du monde se-
rait insuffisant pour les alliés, qui sont;
nombreux et ont de grands besoins, si l'on
tient compte' des ressources financières ré-
duites du vaincu. La France repoussera in-
dubitaiblement les propositions allemandes,
prolongera l'occupation de la Ruhr et se re-
fusera à payer les dettes de guerre à ses
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