Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 mai 1923 04 mai 1923
Description : 1923/05/04 (T24,N2344). 1923/05/04 (T24,N2344).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467016v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
I MINISTÈRE
? DES
AFFAIRS ÉTRANGÈRES
J
u 2344
Vendredi 4 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALLEMANDE. — L'offre allemande
'jeorg Bernhard dans Vossische Zei-
tung). n
Presse américaine. — La .régression du so-
cialisme aux Etats-Unis (New York,
Herald). - Un nouveau périodique, tra-
vailliste : l'American Lubor Magazine
(New York Times).
Presse anglaise. — L'offre allemande (Ti-
mes, Morning Post, Daily Telegraph,
Daily Chronicle, Daily Herald). — La
France et la Turquie (Daily Tclegraph).
Presse ESPAG')OfL — L'offre allemande
(Correspondencia Militar, Heraldo de
Madrid).
Presse ITALIENNE. — L'offre allemande (Giu-
;>ppe Bevione dans Gazzetta del Po-
polo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LOFFRE ALLEMANDE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Let Times considère que l'offre est en
elle-même très insuffisante, mais qu'il vaut mieux
ne pas la rejeter sans quelque discussion.
L'offre allemande a été présentée et on
Peut. dire tout de suite qu'elle ne résout pas
le problème des réparations. Elle est rédi-
gée en dépit du bon sens, elle n'offre que
les garanties les plus vagues, et elle est
formulée d'une façon si maladroite qu'elle
froisse toutes les susceptibilités des Fran-
çais. Nous pensons, néanmoins, que la
France et la Belgique seraient bien avisées
en ne rejetant pas trop péremptoirement
une offre qui laisse entrevoir certains points
d'où l'on pourrait faire quelques pas, si
courts et si hésitants fussent-ils, dans la
voie d'un règlement.Se conformant aux con-
seils que lui donnait lord Curzon, l'Allema-
gne présente une offre positive de paiement,
et la somme proposée ne s'écarte pas com-
plètement du total mentionné par M. Bonar
Law, à Paris, au mois de janvier. Ce total
était fondé, d'ailleurs, eomrnet l'indiqua à
l'époque le communiqué officiel britannique,
sur les chiffres présentés à la commission
des finances de la Chambre des députés par
Si)J1 rapporteur général comme représentant
la valeur approximative des bons « A » et
H B n dus par l'Allemagne aux termes du
llJ'njd de mai 1921. L'Allemagne est appa-
remment disposée, d'aulre part à fournir
des livraisons en nature, bien que la note
ne soit pas très explicite sur ce po,int, ni 8lH
beaucoup dciutres. Elle se déclare prête à
« faire en sorte que, par des mesures léga-
les appropriées, la totalité de l'économie al-
lemande soit mise à contribution pour as-
surer le service de l'emprunt ». Cela n'est
pas jugé suffisant à Paris, et nous n'en som-
mes pas surpris. L'offre entière ne pouvait.
manquer de paraître, à première vue, déri-
soire à l'opinion française. Il n'y a pas lieu
de supposer, d'ailleurs, que les emprunts
projetés auraient le moindre succès. Qui est-
ce qui prêterait de l'argent à l'Allemagne
dans les conditions actuelles ? Il est parfai-
tement exact que toute confiance dans la fi-
nance allemande est rendue impossible par
la politique française actuelle autant que par
toute autre chose ; mais il n'est guère pra-
tique pour l'Allemagne de demander à la
France d'évacuer la Ruhr « .dans le plus
court délai », ce qui peut vouloir dire n'im-
porte quoi et même rien du tout. Et c'est
une provocation pure et simple, de la part
du gouvernement allemand que de s'obliger,
comme alternative, à poursuivre une politi-
que d'obslructioii voulue.
Les Allemands se. disent, sans doute,
qu'en présentant séparément leur note à
chacun des principaux alliés, ils réussiront
peut-être à créer entre eux une divergence
d'opinion quant à la réponse à y opposer.
Mais le but final de la manœuvre est claire-
ment de provoquer une conférence où l'Al-
lemagne se rencontrerait avec les alliés sur
un pied d'égalité. D'autre part, le but que
poursuit la France est incontestablement la
capitulation de l'Allemagne. Pour notre
part, l'un et l'autre de ces objets nous sem-
blent, au fond, raisonnables ; au surplus,
nous ne les considérons pas comme étant in-
compatibles. La chose la plus profitable que
pourrait faire l'Allemagne, dans son propre
intérêt, comme dans l'intérêt de l'Europe,
serait d'abandonner, au lieu de renforcer, sa
politique insensée d'obstruction opiniâtre,
et de capituler. En échange, il y aurait-
avantage à.lui donner la promesse qu'il sera
lenu plus tard une conférence où elle serait
tout au moins représentée. Il va sans dire
que cette conférence ne pourrait compren-
dre que les principales puissances alliées si-
gnataires du traité de Versailles,. et intéres-
sées immédiatement à la satisfaction de
leurs revendications légitimes. — (Ed.)
TIMES, 3.5."
- Selon le Morning Post. l'Allemagne savait
d'nvanoe que ses propositions, complètement
i"acceptab!e.s. seraient repoussées. Le but de
('lie note, c'est d'aggraver la discorde parmi les
alliés.
Les notes aboutissent à des discussions,
et des discussions naît la mésentente. C'est.
ainsi que raisonnent les Allemands. Ils cher-
chent à faire retomber sur M. Poincaré toute
ia responsabilité d'un refus, dans l'espoir
que l'opinion publique américaine et britan-
nique sera gravement mécontentée et que
l'isolement de la France deviendra une cer-
titude Mais les Allemands perdent de vue
la dette anglo-américaine. Les Américains,
créanciers pressants, ne sauraient blâmer
M. Poincaré lorsqu'il présente la note à
payer, et les Britanniques, en débiteurs hon-
nêtes, ne verseront pas de larmes sur le
sort d'une Allemagne récalcitrante. Le jeu
allemand, nous en avons la conviction, ne
réussira pas. Mais il doit révéler aux alliés,
à la France et à la Grande-Bretagne en par-
ticulier, le véritable danger. En insistant
sur la nécessité de l'unité alliée, nous ne
voulons certes pas conclure que les hommes
d'Etat britanniques ont eu tort en toute oc-
casion et que les hommes d'Etat français
on toujours vu clair. Le conflit aigu qui met
actuellement, aux prises Français et krmn-
listes, et se manifeste par les concessions
Chester, les concentrations de troupes tur-
ques sur la frontière syrienne et les remar-
ques désobligeantes de Raouf bey, démontre
qu'une politique séparatiste, où qu'elle soit
poursuivie, a toujours son revers. La der-
nière note allemande doit convaincre tous
les hommes de bon sens de la nécessité
pour la France et la Grande-Bretagne d'ar-
rêter une politique commune et des mesures
solidaires pour son exécution. 'Il n'y a pas
d'autre façon de traiter avec Jes kemalistes
comme avec les Allemands. Le grand obs-
tacle au rétablissement d'un front commun
venait de la diplomatie tortueuse de M.
Lloyd Geonge, aidée d'ailleurs par la convic-
tion répandue dans certains milieux fran-
çais que la France était assez forte pour
agir à sa guise. Aucune des deux puissances
n'est assez forte pour se passer du con-
cours de l'autre, en Occident ou en Orient.
Les événements de la Ruhr et de Lausanne
ont confirmé cette vérité.
Nous espérons donc que le gouvernement
renoncera, dans le plus bref délai possible,
à son attitude de neutralité et se rangera
aux côtés de la France. Pour préparer cette
décision, nous suggérons que des experts,
appartenant aux deux pays, devraient cher-
cher à se mettre d'accord sur le montant de
la somme qu'on peut raisonnablement at-
tendre de l'Allemagne. Une fois l'entente
faite sur ce point, la Grande-Bretagne n'au-
rait plus à craindre un saut dans l'inconnu.
Elle devrait se joindre à la France dans la
Ruthr et ne s'en retirer qu'après avoir ob-
tenu l'assurance que l'Allemagne honorerait
sa parole. En même temps, les deux pays
devraient conclure un pacte réciproque ga-
rantissant les clauses du règlement de 1919.
Y a-t-il une autre issue ? Tant que la France
et la Grande-Bretagne demeureront dm-
? DES
AFFAIRS ÉTRANGÈRES
J
u 2344
Vendredi 4 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALLEMANDE. — L'offre allemande
'jeorg Bernhard dans Vossische Zei-
tung). n
Presse américaine. — La .régression du so-
cialisme aux Etats-Unis (New York,
Herald). - Un nouveau périodique, tra-
vailliste : l'American Lubor Magazine
(New York Times).
Presse anglaise. — L'offre allemande (Ti-
mes, Morning Post, Daily Telegraph,
Daily Chronicle, Daily Herald). — La
France et la Turquie (Daily Tclegraph).
Presse ESPAG')OfL — L'offre allemande
(Correspondencia Militar, Heraldo de
Madrid).
Presse ITALIENNE. — L'offre allemande (Giu-
;>ppe Bevione dans Gazzetta del Po-
polo).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LOFFRE ALLEMANDE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Let Times considère que l'offre est en
elle-même très insuffisante, mais qu'il vaut mieux
ne pas la rejeter sans quelque discussion.
L'offre allemande a été présentée et on
Peut. dire tout de suite qu'elle ne résout pas
le problème des réparations. Elle est rédi-
gée en dépit du bon sens, elle n'offre que
les garanties les plus vagues, et elle est
formulée d'une façon si maladroite qu'elle
froisse toutes les susceptibilités des Fran-
çais. Nous pensons, néanmoins, que la
France et la Belgique seraient bien avisées
en ne rejetant pas trop péremptoirement
une offre qui laisse entrevoir certains points
d'où l'on pourrait faire quelques pas, si
courts et si hésitants fussent-ils, dans la
voie d'un règlement.Se conformant aux con-
seils que lui donnait lord Curzon, l'Allema-
gne présente une offre positive de paiement,
et la somme proposée ne s'écarte pas com-
plètement du total mentionné par M. Bonar
Law, à Paris, au mois de janvier. Ce total
était fondé, d'ailleurs, eomrnet l'indiqua à
l'époque le communiqué officiel britannique,
sur les chiffres présentés à la commission
des finances de la Chambre des députés par
Si)J1 rapporteur général comme représentant
la valeur approximative des bons « A » et
H B n dus par l'Allemagne aux termes du
llJ'njd de mai 1921. L'Allemagne est appa-
remment disposée, d'aulre part à fournir
des livraisons en nature, bien que la note
ne soit pas très explicite sur ce po,int, ni 8lH
beaucoup dciutres. Elle se déclare prête à
« faire en sorte que, par des mesures léga-
les appropriées, la totalité de l'économie al-
lemande soit mise à contribution pour as-
surer le service de l'emprunt ». Cela n'est
pas jugé suffisant à Paris, et nous n'en som-
mes pas surpris. L'offre entière ne pouvait.
manquer de paraître, à première vue, déri-
soire à l'opinion française. Il n'y a pas lieu
de supposer, d'ailleurs, que les emprunts
projetés auraient le moindre succès. Qui est-
ce qui prêterait de l'argent à l'Allemagne
dans les conditions actuelles ? Il est parfai-
tement exact que toute confiance dans la fi-
nance allemande est rendue impossible par
la politique française actuelle autant que par
toute autre chose ; mais il n'est guère pra-
tique pour l'Allemagne de demander à la
France d'évacuer la Ruhr « .dans le plus
court délai », ce qui peut vouloir dire n'im-
porte quoi et même rien du tout. Et c'est
une provocation pure et simple, de la part
du gouvernement allemand que de s'obliger,
comme alternative, à poursuivre une politi-
que d'obslructioii voulue.
Les Allemands se. disent, sans doute,
qu'en présentant séparément leur note à
chacun des principaux alliés, ils réussiront
peut-être à créer entre eux une divergence
d'opinion quant à la réponse à y opposer.
Mais le but final de la manœuvre est claire-
ment de provoquer une conférence où l'Al-
lemagne se rencontrerait avec les alliés sur
un pied d'égalité. D'autre part, le but que
poursuit la France est incontestablement la
capitulation de l'Allemagne. Pour notre
part, l'un et l'autre de ces objets nous sem-
blent, au fond, raisonnables ; au surplus,
nous ne les considérons pas comme étant in-
compatibles. La chose la plus profitable que
pourrait faire l'Allemagne, dans son propre
intérêt, comme dans l'intérêt de l'Europe,
serait d'abandonner, au lieu de renforcer, sa
politique insensée d'obstruction opiniâtre,
et de capituler. En échange, il y aurait-
avantage à.lui donner la promesse qu'il sera
lenu plus tard une conférence où elle serait
tout au moins représentée. Il va sans dire
que cette conférence ne pourrait compren-
dre que les principales puissances alliées si-
gnataires du traité de Versailles,. et intéres-
sées immédiatement à la satisfaction de
leurs revendications légitimes. — (Ed.)
TIMES, 3.5."
- Selon le Morning Post. l'Allemagne savait
d'nvanoe que ses propositions, complètement
i"acceptab!e.s. seraient repoussées. Le but de
('lie note, c'est d'aggraver la discorde parmi les
alliés.
Les notes aboutissent à des discussions,
et des discussions naît la mésentente. C'est.
ainsi que raisonnent les Allemands. Ils cher-
chent à faire retomber sur M. Poincaré toute
ia responsabilité d'un refus, dans l'espoir
que l'opinion publique américaine et britan-
nique sera gravement mécontentée et que
l'isolement de la France deviendra une cer-
titude Mais les Allemands perdent de vue
la dette anglo-américaine. Les Américains,
créanciers pressants, ne sauraient blâmer
M. Poincaré lorsqu'il présente la note à
payer, et les Britanniques, en débiteurs hon-
nêtes, ne verseront pas de larmes sur le
sort d'une Allemagne récalcitrante. Le jeu
allemand, nous en avons la conviction, ne
réussira pas. Mais il doit révéler aux alliés,
à la France et à la Grande-Bretagne en par-
ticulier, le véritable danger. En insistant
sur la nécessité de l'unité alliée, nous ne
voulons certes pas conclure que les hommes
d'Etat britanniques ont eu tort en toute oc-
casion et que les hommes d'Etat français
on toujours vu clair. Le conflit aigu qui met
actuellement, aux prises Français et krmn-
listes, et se manifeste par les concessions
Chester, les concentrations de troupes tur-
ques sur la frontière syrienne et les remar-
ques désobligeantes de Raouf bey, démontre
qu'une politique séparatiste, où qu'elle soit
poursuivie, a toujours son revers. La der-
nière note allemande doit convaincre tous
les hommes de bon sens de la nécessité
pour la France et la Grande-Bretagne d'ar-
rêter une politique commune et des mesures
solidaires pour son exécution. 'Il n'y a pas
d'autre façon de traiter avec Jes kemalistes
comme avec les Allemands. Le grand obs-
tacle au rétablissement d'un front commun
venait de la diplomatie tortueuse de M.
Lloyd Geonge, aidée d'ailleurs par la convic-
tion répandue dans certains milieux fran-
çais que la France était assez forte pour
agir à sa guise. Aucune des deux puissances
n'est assez forte pour se passer du con-
cours de l'autre, en Occident ou en Orient.
Les événements de la Ruhr et de Lausanne
ont confirmé cette vérité.
Nous espérons donc que le gouvernement
renoncera, dans le plus bref délai possible,
à son attitude de neutralité et se rangera
aux côtés de la France. Pour préparer cette
décision, nous suggérons que des experts,
appartenant aux deux pays, devraient cher-
cher à se mettre d'accord sur le montant de
la somme qu'on peut raisonnablement at-
tendre de l'Allemagne. Une fois l'entente
faite sur ce point, la Grande-Bretagne n'au-
rait plus à craindre un saut dans l'inconnu.
Elle devrait se joindre à la France dans la
Ruthr et ne s'en retirer qu'après avoir ob-
tenu l'assurance que l'Allemagne honorerait
sa parole. En même temps, les deux pays
devraient conclure un pacte réciproque ga-
rantissant les clauses du règlement de 1919.
Y a-t-il une autre issue ? Tant que la France
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