Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 avril 1923 30 avril 1923
Description : 1923/04/30 (T23,N2340). 1923/04/30 (T23,N2340).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239173j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N" 2340
Lundi 30 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
£
£
PRESSE ALLEMANDE. — La nouvelle offre al-
lemande (Kôlnische Zeilung). — L'atti-
tude de la Socialdemocratle (Frankfur-
ter Zeitung). — Réparations et sécurité
(Wilhelm Sollmann dans Vorwärts).
PRESSE ANGLAISE. — Les conditions de la
France (Westminster Gazette, Daily Te-
legraph). — l'opinion en Allemagne
(Manchester Guardian). — La nouvelle
offre allemande (Westminster Gazette,
| Morning Post). — L'attitude de la So-
cialdemocratie (Morning Post).
PRESSE ITALIENNE. — Un article du général
Cadorna sur Caporetto (Rassegna Ita-
liana).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
UN ARTICLE DU GENERAL CADORNA
SUR CAPORETTO [Cf. Bulletin n° 2329]
- La Rassegna Italiana va publier dans
Son numéro du 1er mai un article du géné-
Tal Cadorna sur ses rapports avec le maré-
chal Foch après Caporetto. Cette revue a
communiqué un long résumé de cet article
à la presse italienne, qui le public le 27.4.
On connaît la légende créée en France et
répandue à l'étranger par la propagande
française, légende qui consiste à dire que
l'organisation et la ténacité de la résistance
italienne sur la Piave, après Caporetto, sont
} dues à l'intervention personnelle du maré-
chal Foch.
Contre cette légende, évidemment recueil-
lie pour le compte de l'état-major français
dans la Revue des Deux Mondes de juillet
1920, puis dans un livre récent du général
Mangin, la Rassegna Italiana, dirigée par
Tomaso Sillani, a publié en octobre dernier
un article très vif complété par une note.
qui réclamait du maréchal Foch une décla-
ration loyale qui, rétablissant la physiono-
- mie des faits, mît fin à un regrettable débat.
Le directeur de la revue formulait, en outre,
cette demande dans une lettre privée qui
accompagnait l'envoi au maréchal de l'ar-
ticle en question.
Le 14 novembre 1922, le maréchal Foch
fit parvenir à M. Sillani une lettre dans la-
quelle il était dit entre autre choses: « L'ar
ticle sur la mission du général Foch en Ita-
lie, publiée dans la Revue des Deux Mondes
(le juillet 1920, rend de la façon la plus
exacte et avec pièces à l'appui le rôle joué
par le maréchal en ces circonstances ».
Ainsi, le grand chef français, non seule-
ment ne démentait pas la légende, mais en-
core la confirmait nettement, assumant ainsi
entièrement la responsabilité de la publica-
tion tendancieuse de la revue française.
La lettre du maréchal Foch fut communiquée
au général Cadorna qui consentit à y répondre
du moment que le maréchal Foch assumait la
paternité de l'article de la Revue des Deux
Mondes. Le général Cadorna a écrit, sous le
titre de : « La fin d'une légende », un article com-
posé de huit paragraphes et d'une introduction.
Cadorna fait d'abord remarquer que l'ar-
ticle de la revue française fut écrit dans le
dessein apparent de contrebattre l'assertion
d'après laquelle Foch aurait déconseillé au
commandement italien de défendre la Piave.
Il dit qu'il n'a rien à opposer à la destruc-
tion de cette légende. Mais, ajoute-t-il, « pour
détruire cette légende, l'anonyme en crée
d'autres ». Et il poursuit textuellement par
cette impressionnante narration de sa ren-
contre avec Foch :
« Le général Foch arriva à Trévise le 30
« octobre, à 6 h. 30 du matin, et se rendit
« aussitôt au siège du G.Q.G. italien. Le pu-
« bliciste français reconnaît, page 279 : « Il
<( trouve en celui-ci (dans le général Cador-
« na) un chef, certes, d'une dignité parfaite,
« mais précisément d'une dignité assez
« vraie pour accueillir sans aucune suscep-
« tibilité mal placée un compagnon d'armes
« lustre qui vient à lui ». Il aurait, en vé-
« rité, été tout à fait incorrect et inconce-
« vable, de ma part, de ne pas accueillir
« avec la plus cordiale et la plus reconnais-
« sante déférence un si illustre soldat qui
« précédait l'arrivée de ses troupes sponta-
« nément offertes pour nous aider dès le 26
« octobre, comme l'article le note fort jus-
« tement.
« Mais, après que je lui eus sommaire-
« ment exposé la situation et après quel-
« ques minutes de méditation sur la carte
cc jugées évidemment suffisantes pour pren-
« dre des décisions dans cette très difficile
« situation), sur un ton qui ne me sembla
« pas précisément celui d'un camarade, il
« me dit à plusieurs reprises d'une façon
« tranchante : « Il faut faire ceci, il faut or-
« donner cela ». Ce qu'il me suggérait sous
« cette forme avait déjà été réalisé ou avait
« été ordonné par moi; aussi, avec un
!( grand calme, je lui répondais invariable-
« ment; « Mon général, c'est déjà fait », ou
« bien : « Mon général, c'est déjà ordonné »
« A la fin il me regarda, surpris, en me
(1 disant: « Je vois que nous allons d'ac-
« cord ». Et je me hâtais de répondre:
« Mais parfaitement, mon général ». A par-
« tir de ce moment, les conseils qui ne lui
« étaient pas demandés et qui n'étaient pas
« nécessaires prirent fin.
1 Il Je n'aurais pas rendu public cet épisode
« s'il ne servait plus que toute autre chose
« à mettre en lumière l'état d'esprit dans le-
« quel le général Foch arriva en Italie et a
Il expliqué comment, en juillet 1920 encore
« l'article de la Revue des Deux Mondes
« tendait à la faire apparaître comme le
« conseiller providentiel de l'état-major ita-
« lien. Bien que je fusse tout disposé à dis-
CI cuter, avec un général si remarquable
« des graves problèmes du moment, une at-
« titude semblable ne me parut ni justifiée
« ni compatible avec la dignité de l'état-ma
« jor italien. »
Après quoi, le général Cadorna examine
et réfute les points de l'article français qui
le méritent.
Dans le paragraphe 1er, il dément avoir
jamais eu aucun porte-parole, tout en ex-
primant sa reconnaissance à ceux qui l'ont
volontairement défendu, ainsi que la vérité.
Dans le paragraphe 2, il nie que le géné-
ral Foch ait prévu, comme il le fait affirmer,
l'offensive de Caporetto. Et il explique:
« Il est très vrai qu'après avoir donné le
« 18 septembre, l'ordre de passer de l'offen-
« sive à la défensive sur tout le front Julien
(C j'en avertis les alliés, en leur exposant les
cc raisons de ma décision. Les munitions et
CI les troupes de réserve manquaient, elles
Il étaient insuffisantes pour un développe-
« ment ultérieur de notre offensive et, d'au-
Ct tre part, on était déjà renseigné sur la
concentration de forces austro-allemandes
« en vue d'une prochaine offensive. Mais il
« est également vrai que les états-majors
« alliés ont refusé jusqu'au dernier jour de
» faire crédit à ces informations et de tenir
compte des motifs qui me poussaient à
« suspendre l'offensive. Ils ont énergique-
cc ment insisté pour que je continue l'offen-
sive et, en présence de mon opposition
« absolue, ils m'ont invité à retirer immé-
« diatement du front l'artillerie qu'ils
« avaient envoyée en Italie pour la diriger
« sur un autre théâtre des opérations. Il
s'agissait de 64 obusiers anglais de 152, de
« 25 bouches à feu françaises en grande
« partie de gros calibre, déjà arrivées de-
« puis le printemps et de 101 bouches à feu
« françaises en partie déjà arrivées et en
« partie en route. Soit un total de 200 bou-
c. ches à feu alliées de moyen et de gros
« calibre qui ont été soustraites à la dé-
« fense, et ç'aurait été là un explicable re-
ci trait si la bataille avait été prévue par les
« alliés. »
Dans le paragraphe 3, le général Ca-
dorna affirme que, contrairement aux asser-
tions françaises, si aucune objection ne fut
soulevée par Foch quant à la zone de débar-
quement de la Xe armée française dans le
triangle Vicence-Cittadella-Padoue, il s'op-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N" 2340
Lundi 30 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
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PRESSE ALLEMANDE. — La nouvelle offre al-
lemande (Kôlnische Zeilung). — L'atti-
tude de la Socialdemocratle (Frankfur-
ter Zeitung). — Réparations et sécurité
(Wilhelm Sollmann dans Vorwärts).
PRESSE ANGLAISE. — Les conditions de la
France (Westminster Gazette, Daily Te-
legraph). — l'opinion en Allemagne
(Manchester Guardian). — La nouvelle
offre allemande (Westminster Gazette,
| Morning Post). — L'attitude de la So-
cialdemocratie (Morning Post).
PRESSE ITALIENNE. — Un article du général
Cadorna sur Caporetto (Rassegna Ita-
liana).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
UN ARTICLE DU GENERAL CADORNA
SUR CAPORETTO [Cf. Bulletin n° 2329]
- La Rassegna Italiana va publier dans
Son numéro du 1er mai un article du géné-
Tal Cadorna sur ses rapports avec le maré-
chal Foch après Caporetto. Cette revue a
communiqué un long résumé de cet article
à la presse italienne, qui le public le 27.4.
On connaît la légende créée en France et
répandue à l'étranger par la propagande
française, légende qui consiste à dire que
l'organisation et la ténacité de la résistance
italienne sur la Piave, après Caporetto, sont
} dues à l'intervention personnelle du maré-
chal Foch.
Contre cette légende, évidemment recueil-
lie pour le compte de l'état-major français
dans la Revue des Deux Mondes de juillet
1920, puis dans un livre récent du général
Mangin, la Rassegna Italiana, dirigée par
Tomaso Sillani, a publié en octobre dernier
un article très vif complété par une note.
qui réclamait du maréchal Foch une décla-
ration loyale qui, rétablissant la physiono-
- mie des faits, mît fin à un regrettable débat.
Le directeur de la revue formulait, en outre,
cette demande dans une lettre privée qui
accompagnait l'envoi au maréchal de l'ar-
ticle en question.
Le 14 novembre 1922, le maréchal Foch
fit parvenir à M. Sillani une lettre dans la-
quelle il était dit entre autre choses: « L'ar
ticle sur la mission du général Foch en Ita-
lie, publiée dans la Revue des Deux Mondes
(le juillet 1920, rend de la façon la plus
exacte et avec pièces à l'appui le rôle joué
par le maréchal en ces circonstances ».
Ainsi, le grand chef français, non seule-
ment ne démentait pas la légende, mais en-
core la confirmait nettement, assumant ainsi
entièrement la responsabilité de la publica-
tion tendancieuse de la revue française.
La lettre du maréchal Foch fut communiquée
au général Cadorna qui consentit à y répondre
du moment que le maréchal Foch assumait la
paternité de l'article de la Revue des Deux
Mondes. Le général Cadorna a écrit, sous le
titre de : « La fin d'une légende », un article com-
posé de huit paragraphes et d'une introduction.
Cadorna fait d'abord remarquer que l'ar-
ticle de la revue française fut écrit dans le
dessein apparent de contrebattre l'assertion
d'après laquelle Foch aurait déconseillé au
commandement italien de défendre la Piave.
Il dit qu'il n'a rien à opposer à la destruc-
tion de cette légende. Mais, ajoute-t-il, « pour
détruire cette légende, l'anonyme en crée
d'autres ». Et il poursuit textuellement par
cette impressionnante narration de sa ren-
contre avec Foch :
« Le général Foch arriva à Trévise le 30
« octobre, à 6 h. 30 du matin, et se rendit
« aussitôt au siège du G.Q.G. italien. Le pu-
« bliciste français reconnaît, page 279 : « Il
<( trouve en celui-ci (dans le général Cador-
« na) un chef, certes, d'une dignité parfaite,
« mais précisément d'une dignité assez
« vraie pour accueillir sans aucune suscep-
« tibilité mal placée un compagnon d'armes
« lustre qui vient à lui ». Il aurait, en vé-
« rité, été tout à fait incorrect et inconce-
« vable, de ma part, de ne pas accueillir
« avec la plus cordiale et la plus reconnais-
« sante déférence un si illustre soldat qui
« précédait l'arrivée de ses troupes sponta-
« nément offertes pour nous aider dès le 26
« octobre, comme l'article le note fort jus-
« tement.
« Mais, après que je lui eus sommaire-
« ment exposé la situation et après quel-
« ques minutes de méditation sur la carte
cc jugées évidemment suffisantes pour pren-
« dre des décisions dans cette très difficile
« situation), sur un ton qui ne me sembla
« pas précisément celui d'un camarade, il
« me dit à plusieurs reprises d'une façon
« tranchante : « Il faut faire ceci, il faut or-
« donner cela ». Ce qu'il me suggérait sous
« cette forme avait déjà été réalisé ou avait
« été ordonné par moi; aussi, avec un
!( grand calme, je lui répondais invariable-
« ment; « Mon général, c'est déjà fait », ou
« bien : « Mon général, c'est déjà ordonné »
« A la fin il me regarda, surpris, en me
(1 disant: « Je vois que nous allons d'ac-
« cord ». Et je me hâtais de répondre:
« Mais parfaitement, mon général ». A par-
« tir de ce moment, les conseils qui ne lui
« étaient pas demandés et qui n'étaient pas
« nécessaires prirent fin.
1 Il Je n'aurais pas rendu public cet épisode
« s'il ne servait plus que toute autre chose
« à mettre en lumière l'état d'esprit dans le-
« quel le général Foch arriva en Italie et a
Il expliqué comment, en juillet 1920 encore
« l'article de la Revue des Deux Mondes
« tendait à la faire apparaître comme le
« conseiller providentiel de l'état-major ita-
« lien. Bien que je fusse tout disposé à dis-
CI cuter, avec un général si remarquable
« des graves problèmes du moment, une at-
« titude semblable ne me parut ni justifiée
« ni compatible avec la dignité de l'état-ma
« jor italien. »
Après quoi, le général Cadorna examine
et réfute les points de l'article français qui
le méritent.
Dans le paragraphe 1er, il dément avoir
jamais eu aucun porte-parole, tout en ex-
primant sa reconnaissance à ceux qui l'ont
volontairement défendu, ainsi que la vérité.
Dans le paragraphe 2, il nie que le géné-
ral Foch ait prévu, comme il le fait affirmer,
l'offensive de Caporetto. Et il explique:
« Il est très vrai qu'après avoir donné le
« 18 septembre, l'ordre de passer de l'offen-
« sive à la défensive sur tout le front Julien
(C j'en avertis les alliés, en leur exposant les
cc raisons de ma décision. Les munitions et
CI les troupes de réserve manquaient, elles
Il étaient insuffisantes pour un développe-
« ment ultérieur de notre offensive et, d'au-
Ct tre part, on était déjà renseigné sur la
concentration de forces austro-allemandes
« en vue d'une prochaine offensive. Mais il
« est également vrai que les états-majors
« alliés ont refusé jusqu'au dernier jour de
» faire crédit à ces informations et de tenir
compte des motifs qui me poussaient à
« suspendre l'offensive. Ils ont énergique-
cc ment insisté pour que je continue l'offen-
sive et, en présence de mon opposition
« absolue, ils m'ont invité à retirer immé-
« diatement du front l'artillerie qu'ils
« avaient envoyée en Italie pour la diriger
« sur un autre théâtre des opérations. Il
s'agissait de 64 obusiers anglais de 152, de
« 25 bouches à feu françaises en grande
« partie de gros calibre, déjà arrivées de-
« puis le printemps et de 101 bouches à feu
« françaises en partie déjà arrivées et en
« partie en route. Soit un total de 200 bou-
c. ches à feu alliées de moyen et de gros
« calibre qui ont été soustraites à la dé-
« fense, et ç'aurait été là un explicable re-
ci trait si la bataille avait été prévue par les
« alliés. »
Dans le paragraphe 3, le général Ca-
dorna affirme que, contrairement aux asser-
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