Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 avril 1923 26 avril 1923
Description : 1923/04/26 (T23,N2337). 1923/04/26 (T23,N2337).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391709
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES étrangères
N° 2337
Jeudi 26 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le discours de lord
Curzon et les intentions de l'Allemagne
(Georg Bernhard dans Vossische Zei-
tung). — Le crédit de l'Allemagne et
l'emprunt international (Berliner Tage-
blatt).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de lord
Curzon et les intentions de l'Allemagne
(Times). — M. Stresemann et le minis-
tère Cuno (Manchester Guardian). —
Bruits d'une offre prochaine de l'Alle-
magne (John Segrue dans Daily News ;
Daily Telegraph). — La reprise de la
conférence de Lausanne (Westminster
Gazette). — La concession Chester et
les finances kémalistes (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE LORD CURZON ET
LES INTENTIONS DE L'ALLEMAGNE. —
Sous le titre : « UN ESPRIT PLUS RAISONNABLE ».
— De Berlin, 23 avril : « La déclaration faite
hier par M. Stresemann, dans son discours
de Berlin, et suivant laquelle le discours de
lord Curzon constitue un événement que ne
peut ignorer le gouvernement allemand, a
reçu aujourd'hui une prompte confirmation
sous la forme d'une note officieuse. Cette
note déclare que le gouvernement considère
ce discours comme un fait politique impor-
tant susceptible d'avoir une grande influen-
ce sur la situation actuelle. Il est ajouté
que le gouvernement étudie les questions qui
se posent en conséquence..
Les sujets auxquels il est fait allusion font
actuellement l'objet de discussions en privé,
et bien qu'il n'ait pas encore été tenu de réu-
nion du cabinet, on s'attend à sa convocation
immédiate. On. avait émis la suppposition
que le docteur Cuno prononcerait à ce sujet
un nouveau discours au Reichstag, mais ce
n'est guère probable, d'autant plus que le
Reichstag prend des vacances à partir de
jeudi. La nouvelle offre allemande, quand on
aura décidé de la faire, sera présentée plu-
tôt au moyen d'une note collective.
On s'accorde généralement à penser qu'il
sera fait une offre et que cette offre aura un
caractère précis. Le projet de janvier n'a ja-
mais été présenté officiellement, et d'aucuns
pensent qu'il pourrait encore servir de base
à l'offre nouvelle. Ce projet a toutefois le
désavantage de comporter l'énoncé de chif-
fres déterminés. Dans l'état actuel du budget
et avec le mark de nouveau en état de fu-
sion, il est peu probable qu'un gouvernement
quelconque puisse s'engager à des chiffres
précis en marks-or, dont il est impossible
d'estimer la valeur future en marks-papier.
Aussi le mot d'ordre : « d'abord la stabilisa-
tion, puis les réparations » est-il fondé sur
de saines raisons financières. Il demeure
imposssible de disjoindre les deux opéra-
tions.
Néanmoins, de bons juges de la situation
véritable de l'Allemagne soutiennent que les
économistes auraient parfaitement pu élabo-
rer, quant aux réparations, un projet finan-
cier tenant compte des cours du change et
des réformes financières. Ils craignent,
comme ils l'ont toujours craint, l'influence
funeste de la situation politique sur la ques-
tion purement financière. De plus, le dernier
discours de M. Poincaré a été suivi d'une
nouvelle explosion d'acrimonie peu faite
pour créer une atmosphère favorable à une
discussion rationnelle. Mais, même en ce
qui concerne les garanties et la sécurité, un
esprit beaucoup plus raisonnable, se mani-
feste aujourd'hui en Allemagne. Les Alle-
mands ne sont pas disposés à se regarder
comme forcés de rester dans les limites de
leurs offres précédentes, et volontiers cer-
tains d'entre eux se rapprocheraient beau-
coup de celles que M. Poincaré a faites dans
un discours de Dunkerque.En ce qui concer-
ne les garanties et les gages, l'opinion publi-
que a aussi fait un grand pas. Et même,
dans certaines conditions, une commission
internationale de contrôle économique n'of-
fenserait pas les sentiments allemands, si
cela devait conduire à la libération de l'Al-
lemagne, dans un délai dont on puisse aper-
cevoir la fin.
Entre temps, la résistance passive conti-
nuera, pendant les négociations auxquelles
cela pourrait conduire. Toutefois, dans les
exhortations données aux ouvriers de la
Ruhr, on perçoit un écho de l'espoir qu'on
marche vers une solution. Peut-être vient-
il de la Bourse, où l'on spécule maintenant
sur des actions d'entreprises de matériavx
de constructions, en attendant qu'elles mon-
tent par suite de la demande de livraisons
en nature. Dans les milieux où on a des in-
formations politiques, il règne moins d'op-
timisme, mais là aussi une certaine amélio-
ration de ton se manifeste. — (Du correspon-
dant particulier.)
TIMES, 24.4.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre : « La
médiation ». — C'est un fait que le discours
de Curzon a scellé l'union anglo-française.
Voilà l'intervention anglaise que bien des
Allemands souhaitaient. Elle aide le gou-
vernement allemand à justifier une offre
devant son propre pays et devant le monde.
Elle contraint moralement le gouvernement
allemand à faire une offre, sans proposer
toutefois le moins du monde ce que celle-ci
doit contenir et sans laisser espérer une
aide matérielle du gouvernement britan-
nique 'quant aux paiements de l'Allemagne.
Les passages du discours de Curzon, où l'on
se déclare prêt à modifier, sur certains
points de détail, les propositions de Bonar
Law, sont adressés à la France et non à
l'Allemagne. Après comme avant, l'Angle-
terre considère que le plan de Bonar Law
contient, dans son ensemble, des bases de
négociation qu'elle approuve.
Tout homme politique réaliste d'Alle-
magne doit considérer la situation ainsi
créée comme base de toutes ses exigences
et de ses calculs. L'Allemagne est invitée
devant le monde à faire des propositions.
Le ministre des Affaires étrangères anglais
a expressément déclaré qu'à son avis c'est
à l'Allemagne qu'il appartenait, en tant que
« pays débiteur », de faire le premier pas
pour amener la solution du conflit de la
Ruhr. On pensera en Allemagne, avec rai-
son, que cette manière de voir est une in-
justice. L'opinion du peuple allemand tout
entier est, en effet, que, même en cas de
manquement de l'Allemagne aux promesses
de paiement de Versailles, l'opération de la
Ruhr ne peut se justifier par aucune dispo-
sition du traité de Versailles. Ainsi il ne
s'agit pas du tout, pour l'instant, des rap-
ports de débiteur à créancier. Bien plus, la
France, en envoyant ses armées dans la
Ruhr, a dépassé de beaucoup les limites
que l'on peut assigner aux intérêts légi-
times d'un créancier. Elle y a créé le désor-
dre. Elle a empiété sur la souveraineté du
Reich allemand, elle a fait la guerre à des
gens sans défense. Récemment, à Mülheim,
son attitude a favorisé le meurtre. Mais
qu'importe que l'Allemagne soutienne, en
s'appuyant sur de bonnes raisons de droit,
que la France a commis à son égard une
injustice, que la France doit d'abord répa-
rer ! En politique anglaise, la force prime
également le droit. Les Anglais n'entrent
pas en lice avec des tanks, des mitrailleuses
et des bataillons. Ils ne commandent et ne
grognent pas. Mais l'exemple de lord Cur-
zon montre précisément que, même en pre-
nant le ton d'une conversation mondaine
et en étant vêtu d'un smoking, on peut se
faire le défenseur d'une politique de force
brutale. Son discours montre avec une net-
teté effrayante que le seul moyen pour
chasser les Français de la Ruhr est que
l'Allemagne fasse des propositions. Car, si
l'Allemagne se dérobait à l'obligation de
faire les premières avances, alors qu'un
DES
AFFAIRES étrangères
N° 2337
Jeudi 26 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le discours de lord
Curzon et les intentions de l'Allemagne
(Georg Bernhard dans Vossische Zei-
tung). — Le crédit de l'Allemagne et
l'emprunt international (Berliner Tage-
blatt).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de lord
Curzon et les intentions de l'Allemagne
(Times). — M. Stresemann et le minis-
tère Cuno (Manchester Guardian). —
Bruits d'une offre prochaine de l'Alle-
magne (John Segrue dans Daily News ;
Daily Telegraph). — La reprise de la
conférence de Lausanne (Westminster
Gazette). — La concession Chester et
les finances kémalistes (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE LORD CURZON ET
LES INTENTIONS DE L'ALLEMAGNE. —
Sous le titre : « UN ESPRIT PLUS RAISONNABLE ».
— De Berlin, 23 avril : « La déclaration faite
hier par M. Stresemann, dans son discours
de Berlin, et suivant laquelle le discours de
lord Curzon constitue un événement que ne
peut ignorer le gouvernement allemand, a
reçu aujourd'hui une prompte confirmation
sous la forme d'une note officieuse. Cette
note déclare que le gouvernement considère
ce discours comme un fait politique impor-
tant susceptible d'avoir une grande influen-
ce sur la situation actuelle. Il est ajouté
que le gouvernement étudie les questions qui
se posent en conséquence..
Les sujets auxquels il est fait allusion font
actuellement l'objet de discussions en privé,
et bien qu'il n'ait pas encore été tenu de réu-
nion du cabinet, on s'attend à sa convocation
immédiate. On. avait émis la suppposition
que le docteur Cuno prononcerait à ce sujet
un nouveau discours au Reichstag, mais ce
n'est guère probable, d'autant plus que le
Reichstag prend des vacances à partir de
jeudi. La nouvelle offre allemande, quand on
aura décidé de la faire, sera présentée plu-
tôt au moyen d'une note collective.
On s'accorde généralement à penser qu'il
sera fait une offre et que cette offre aura un
caractère précis. Le projet de janvier n'a ja-
mais été présenté officiellement, et d'aucuns
pensent qu'il pourrait encore servir de base
à l'offre nouvelle. Ce projet a toutefois le
désavantage de comporter l'énoncé de chif-
fres déterminés. Dans l'état actuel du budget
et avec le mark de nouveau en état de fu-
sion, il est peu probable qu'un gouvernement
quelconque puisse s'engager à des chiffres
précis en marks-or, dont il est impossible
d'estimer la valeur future en marks-papier.
Aussi le mot d'ordre : « d'abord la stabilisa-
tion, puis les réparations » est-il fondé sur
de saines raisons financières. Il demeure
imposssible de disjoindre les deux opéra-
tions.
Néanmoins, de bons juges de la situation
véritable de l'Allemagne soutiennent que les
économistes auraient parfaitement pu élabo-
rer, quant aux réparations, un projet finan-
cier tenant compte des cours du change et
des réformes financières. Ils craignent,
comme ils l'ont toujours craint, l'influence
funeste de la situation politique sur la ques-
tion purement financière. De plus, le dernier
discours de M. Poincaré a été suivi d'une
nouvelle explosion d'acrimonie peu faite
pour créer une atmosphère favorable à une
discussion rationnelle. Mais, même en ce
qui concerne les garanties et la sécurité, un
esprit beaucoup plus raisonnable, se mani-
feste aujourd'hui en Allemagne. Les Alle-
mands ne sont pas disposés à se regarder
comme forcés de rester dans les limites de
leurs offres précédentes, et volontiers cer-
tains d'entre eux se rapprocheraient beau-
coup de celles que M. Poincaré a faites dans
un discours de Dunkerque.En ce qui concer-
ne les garanties et les gages, l'opinion publi-
que a aussi fait un grand pas. Et même,
dans certaines conditions, une commission
internationale de contrôle économique n'of-
fenserait pas les sentiments allemands, si
cela devait conduire à la libération de l'Al-
lemagne, dans un délai dont on puisse aper-
cevoir la fin.
Entre temps, la résistance passive conti-
nuera, pendant les négociations auxquelles
cela pourrait conduire. Toutefois, dans les
exhortations données aux ouvriers de la
Ruhr, on perçoit un écho de l'espoir qu'on
marche vers une solution. Peut-être vient-
il de la Bourse, où l'on spécule maintenant
sur des actions d'entreprises de matériavx
de constructions, en attendant qu'elles mon-
tent par suite de la demande de livraisons
en nature. Dans les milieux où on a des in-
formations politiques, il règne moins d'op-
timisme, mais là aussi une certaine amélio-
ration de ton se manifeste. — (Du correspon-
dant particulier.)
TIMES, 24.4.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre : « La
médiation ». — C'est un fait que le discours
de Curzon a scellé l'union anglo-française.
Voilà l'intervention anglaise que bien des
Allemands souhaitaient. Elle aide le gou-
vernement allemand à justifier une offre
devant son propre pays et devant le monde.
Elle contraint moralement le gouvernement
allemand à faire une offre, sans proposer
toutefois le moins du monde ce que celle-ci
doit contenir et sans laisser espérer une
aide matérielle du gouvernement britan-
nique 'quant aux paiements de l'Allemagne.
Les passages du discours de Curzon, où l'on
se déclare prêt à modifier, sur certains
points de détail, les propositions de Bonar
Law, sont adressés à la France et non à
l'Allemagne. Après comme avant, l'Angle-
terre considère que le plan de Bonar Law
contient, dans son ensemble, des bases de
négociation qu'elle approuve.
Tout homme politique réaliste d'Alle-
magne doit considérer la situation ainsi
créée comme base de toutes ses exigences
et de ses calculs. L'Allemagne est invitée
devant le monde à faire des propositions.
Le ministre des Affaires étrangères anglais
a expressément déclaré qu'à son avis c'est
à l'Allemagne qu'il appartenait, en tant que
« pays débiteur », de faire le premier pas
pour amener la solution du conflit de la
Ruhr. On pensera en Allemagne, avec rai-
son, que cette manière de voir est une in-
justice. L'opinion du peuple allemand tout
entier est, en effet, que, même en cas de
manquement de l'Allemagne aux promesses
de paiement de Versailles, l'opération de la
Ruhr ne peut se justifier par aucune dispo-
sition du traité de Versailles. Ainsi il ne
s'agit pas du tout, pour l'instant, des rap-
ports de débiteur à créancier. Bien plus, la
France, en envoyant ses armées dans la
Ruhr, a dépassé de beaucoup les limites
que l'on peut assigner aux intérêts légi-
times d'un créancier. Elle y a créé le désor-
dre. Elle a empiété sur la souveraineté du
Reich allemand, elle a fait la guerre à des
gens sans défense. Récemment, à Mülheim,
son attitude a favorisé le meurtre. Mais
qu'importe que l'Allemagne soutienne, en
s'appuyant sur de bonnes raisons de droit,
que la France a commis à son égard une
injustice, que la France doit d'abord répa-
rer ! En politique anglaise, la force prime
également le droit. Les Anglais n'entrent
pas en lice avec des tanks, des mitrailleuses
et des bataillons. Ils ne commandent et ne
grognent pas. Mais l'exemple de lord Cur-
zon montre précisément que, même en pre-
nant le ton d'une conversation mondaine
et en étant vêtu d'un smoking, on peut se
faire le défenseur d'une politique de force
brutale. Son discours montre avec une net-
teté effrayante que le seul moyen pour
chasser les Français de la Ruhr est que
l'Allemagne fasse des propositions. Car, si
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