Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 avril 1923 18 avril 1923
Description : 1923/04/18 (T23,N2330). 1923/04/18 (T23,N2330).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391635
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-
MINISTÈRE
DES
rPAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2330
Mercredi 18 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en. petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^.SE ALLEM ,P'D!" — Les entretiens franco-
■)elges de Paris (Berliner Börsen-Cou-
1 n'er, Vorw(lrls). — La politique alle-
mande du Vatican (Vossische Zeitung).
HESSE AMÉRICAINE. — L'opinion de la Ruhr
et l'opinion américaine : la méthode
occupation, française et la prussienne
■^ew York Tribune) ; une déclaration
•' Ile 'M. Gessler (Washington Post). —
T j-a ratification et l'application des trai-
ts de Washington UYpw York Tribune,
* ew York Evening Post). — Les pro-
grès de l'aviation navale aux Etats-Unis
'New York Herald). — La revue Fo-
l'eign Affairs (New York Evening Post).
,-F. ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
caré à Dunkerque (Morning Post, Ti-
o' mes, Daily Mail, Westminster Gazette,
Jlanchester Guardian). — Le discours
de M. von Rosenberg au Reichstag, le
16 'alvril (Daily Telegraph).
POLITIQUE GENERALE
-----
LES RÉPARATIONS
OJÎJ DISCOURS DE M. POINCARE A
UNKERQUE — PRESSE ANGLAISE. -
Sans une entente véritable entre la Gran-
ij. irstagne et la France, il ne saurait y
tf¡eIlt de paix réelle en Europe. Le gouverne-
trie,, actuel n'a malheureusement pas cru
\n°lr se Jomdre à la France pour mettre
V, Igne à la raison, mais il est tout a
T donneur — et sous ce rapport M. Bonar
'JM s'est avéré homme d'Etat de premier
an re - d'avoir su s'abstenir sans porter
<}e lnte aux relations amicales entre les
tow M. Poincaré a même pu faire
part son auditoire de la bonne impression
cerI) l'tee par M- Loucheur en ce qui con-
e les dispositions amicales de la Grande-
hr,t,,C, envers la France. Ces dispositions,
buera lent discours de M. Poincaré contre
K9, fortement à les entretenir. Il a parlé
eu le de Dunkerque de la rigueur
]çs c. laquelle leur ville avait été traitée par
gu/^glais. Pourquoi ? « Parce que les An-
%S la regardaient comme un pistolet brn-
qué sur le cœur de l'Angleterre. » M. Poin-
caré jurait dû citer un autre exemple de ce
qil ait l'Angleterre des pistolets braqués
tQell Il cœur. La flotte allemande repose ac-
ement au fond de la baie de Scape-
Flow ; mais, si cette flotte naviguait encore
à la surface des mers, y aurait-il chez nous
autant de germanophiles ? Cependant la
France ne possède pas une sécurité égale à
celle dont nous jouissons actuellement, aussi
convient-il d'excuser pleinement l'inquiétude
et les appréhensions de l'opinion publique
française, ainsi que la résolution dont témoi-
gnent les hommes d'Etat français de faire
disparaître les causes de cette inquiétude et
d'assurer à leur pays la sécurité à laquelle
lui donnent droit ses souffrances et sa vic-
toire.
Nous espérons, en conséquence, que nos
hommes d'Etat s'efforceront de maintenir le
contact le plus étroit avec la France, de ma-
nière que, même si les deux pays n'ont pu
entrer ensemble dans la Ruhr, ils présentent
tout au moins un front uni à la table du
Conseil quand viendra l'heure des négocia-
tions. Il est essentiel que les Allemands
comprennent qu'ils n'ont à compter chez
nous sur aucun appui dans la résistance
qu'ils opposent à la France. Déjà ils mani-
festent la déception que leur cause notre
attitude et ils parlent tout bas de « Ponce
Pilate ». Nous espérons qu'ils seront déçus
encore bien davantage avant qu'il soit long-
temps. Car les Anglais se rendent compte
que leur frontière est encore sur le Rhin et
que, si l'Allemagne se soustrait aujourd'hui
à une lourde charge financière, ce sera pour
former demain une armée nouvelle. Si la
France ne réussit pas à se faire payer son
dû l'Angleterre ne jouira d'aucune sécurité.
Une politique d'isolement- est impossible.
Une Angleterre isolée implique soit une
France isolée elle aussi, soit une France en-
rôlée dans les rangs de nos ennemis. D'une
manière comme de l'autre, la sécurité de
l'Empire britannique se trouverait menacée.
- (Ed.)
MOBN1NG POST, 17.4.
- Le corespondant parisien du Times explique
que le discours de M. Poincaré a rencontré- en
France l'aocueil le plus favorable.
Les journaux de droite paraissent satis-
faits de la fermeté dont M. Poincaré a fait
preuve et de la confiance- qu'il manifeste
dans le succès de l'occupation de la Ruhr. Il
y a bien quelques exceptions, mais dans
l'ensemble l'opinion est favorable. Par
ailleurs, les journaux de gauche apprécient
les passages du discours dirigés contre les
extrémistes et ceux qui dénotent un certain
esprit de conciliation. Le ton adopté envers
la Grande-Bretagne (suggère la possibilité
de négociations ultérieures), la décision
prise d'établir un plan précis de réparations
qui devra nécessairement différer de façon
sensible de l'état des paiements de la com-
mission des réparations, la cordialité mon-
trée à l'égard de M. Loucheur, tout indique
qu'il y a quelque chose de changé. Ce chan-
gement serait difficile à définir mais il ne
me parait pas moins incontestable.
Les paroles de M. Poincaré suffiront, pour dis-
siper les projets d'annexion mis en avant par
certains Français.
Il existe un journal, sans importance sans
doute, mais qui n'en représente pas moins
une petite fraction d'opinion, qui réclame
ouvertement chaque semaine l'annexion de *
la Ruhr. Je veux parler de la Démocratie
Nouvelle ; il a organisé dans diverses
villes de France des réunions publiques
dont l'une au moins a été troublée par la
foule. Cet organe a contribué, avec d'autres
organes de droite, à créer la légende de
desseins impérialistes français, imposés par-
le besoin de sécurité. M. Poincaré a rendu
à la France un service signalé et a grande-
ment facilité la tâche de ses amis qui s'ap-
pliquent à le représenter à l'étranger sous
ses traits véritables, en démontrant toute ia
propagande réactionnaire de cette secte.
Il faut espérer que ces suggestions trompeu-
ses ont été détruites une fois pour toutes.
Selon l'opinion générale, le discours de
M. Poincaré a hâté le jour où les négocia-
tions pourront s'engager.
TIMES, 17.4.
— Le discours extrêmement important
que M. Poincaré a prononcé à Dunkerque
dissipera une bonne partie du malentendu
existant au sujet de la politique française
dans la Ruhr. Ce discours chasse les nua-
ges, rend la position du gouvernement fran-
çais tout à fait claire, et démontre que son
attitude est rationnelle et judicieuse.
Nous désirons rectifier sur un point
les déclarations de M. Poincaré. Il a parlé
d'un changement d'opinion en faveur de la
France qu'il estime s'être produit aux
Etats-Unis et dans l'Empire britannique. Il a
ajouté que lors de sa récente visite en An-
gleterre, M. Loucheur « avait recueilli des
preuves d'un changement d'opinion » favo-
rable à la mesure prise par la France de
concert avec la Belgique.
Il ne s'est produit aucun changement
d'opinion dans ce pays, parce qu'aucun
changement n'était nécessaire. Notre con-
viction est que, du moment où la France
est entrée dans la Ruhr, elle a eu l'approba-
tion de la majorité prépondérante du peu-
ple britannique. La nation anglaise est con-
vaincue que l'Allemagne n'avait, pas l'inten-
tion de payer, que la France avait parfai-
tement raison de prendre des mesures des-
tinées à l'obliger à soumettre des propo-
sitions. et qu'elle a le droit de garder les
garanties qu'elle a prises jusqu'à ce que les
Allemands aient rempli leurs engagements.
Se retirer de la Ruhr au fur et à mesure
que les paiement seront effectués, voilà la
vraie marche à suivre.
En même temps, il est satisfaisant d'ap-
MINISTÈRE
DES
rPAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2330
Mercredi 18 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en. petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^.SE ALLEM ,P'D!" — Les entretiens franco-
■)elges de Paris (Berliner Börsen-Cou-
1 n'er, Vorw(lrls). — La politique alle-
mande du Vatican (Vossische Zeitung).
HESSE AMÉRICAINE. — L'opinion de la Ruhr
et l'opinion américaine : la méthode
occupation, française et la prussienne
■^ew York Tribune) ; une déclaration
•' Ile 'M. Gessler (Washington Post). —
T j-a ratification et l'application des trai-
ts de Washington UYpw York Tribune,
* ew York Evening Post). — Les pro-
grès de l'aviation navale aux Etats-Unis
'New York Herald). — La revue Fo-
l'eign Affairs (New York Evening Post).
,-F. ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
caré à Dunkerque (Morning Post, Ti-
o' mes, Daily Mail, Westminster Gazette,
Jlanchester Guardian). — Le discours
de M. von Rosenberg au Reichstag, le
16 'alvril (Daily Telegraph).
POLITIQUE GENERALE
-----
LES RÉPARATIONS
OJÎJ DISCOURS DE M. POINCARE A
UNKERQUE — PRESSE ANGLAISE. -
Sans une entente véritable entre la Gran-
ij. irstagne et la France, il ne saurait y
tf¡eIlt de paix réelle en Europe. Le gouverne-
trie,, actuel n'a malheureusement pas cru
\n°lr se Jomdre à la France pour mettre
V, Igne à la raison, mais il est tout a
T donneur — et sous ce rapport M. Bonar
'JM s'est avéré homme d'Etat de premier
an re - d'avoir su s'abstenir sans porter
<}e lnte aux relations amicales entre les
tow M. Poincaré a même pu faire
part son auditoire de la bonne impression
cerI) l'tee par M- Loucheur en ce qui con-
e les dispositions amicales de la Grande-
hr,t,,C, envers la France. Ces dispositions,
buera lent discours de M. Poincaré contre
K9, fortement à les entretenir. Il a parlé
eu le de Dunkerque de la rigueur
]çs c. laquelle leur ville avait été traitée par
gu/^glais. Pourquoi ? « Parce que les An-
%S la regardaient comme un pistolet brn-
qué sur le cœur de l'Angleterre. » M. Poin-
caré jurait dû citer un autre exemple de ce
qil ait l'Angleterre des pistolets braqués
tQell Il cœur. La flotte allemande repose ac-
ement au fond de la baie de Scape-
Flow ; mais, si cette flotte naviguait encore
à la surface des mers, y aurait-il chez nous
autant de germanophiles ? Cependant la
France ne possède pas une sécurité égale à
celle dont nous jouissons actuellement, aussi
convient-il d'excuser pleinement l'inquiétude
et les appréhensions de l'opinion publique
française, ainsi que la résolution dont témoi-
gnent les hommes d'Etat français de faire
disparaître les causes de cette inquiétude et
d'assurer à leur pays la sécurité à laquelle
lui donnent droit ses souffrances et sa vic-
toire.
Nous espérons, en conséquence, que nos
hommes d'Etat s'efforceront de maintenir le
contact le plus étroit avec la France, de ma-
nière que, même si les deux pays n'ont pu
entrer ensemble dans la Ruhr, ils présentent
tout au moins un front uni à la table du
Conseil quand viendra l'heure des négocia-
tions. Il est essentiel que les Allemands
comprennent qu'ils n'ont à compter chez
nous sur aucun appui dans la résistance
qu'ils opposent à la France. Déjà ils mani-
festent la déception que leur cause notre
attitude et ils parlent tout bas de « Ponce
Pilate ». Nous espérons qu'ils seront déçus
encore bien davantage avant qu'il soit long-
temps. Car les Anglais se rendent compte
que leur frontière est encore sur le Rhin et
que, si l'Allemagne se soustrait aujourd'hui
à une lourde charge financière, ce sera pour
former demain une armée nouvelle. Si la
France ne réussit pas à se faire payer son
dû l'Angleterre ne jouira d'aucune sécurité.
Une politique d'isolement- est impossible.
Une Angleterre isolée implique soit une
France isolée elle aussi, soit une France en-
rôlée dans les rangs de nos ennemis. D'une
manière comme de l'autre, la sécurité de
l'Empire britannique se trouverait menacée.
- (Ed.)
MOBN1NG POST, 17.4.
- Le corespondant parisien du Times explique
que le discours de M. Poincaré a rencontré- en
France l'aocueil le plus favorable.
Les journaux de droite paraissent satis-
faits de la fermeté dont M. Poincaré a fait
preuve et de la confiance- qu'il manifeste
dans le succès de l'occupation de la Ruhr. Il
y a bien quelques exceptions, mais dans
l'ensemble l'opinion est favorable. Par
ailleurs, les journaux de gauche apprécient
les passages du discours dirigés contre les
extrémistes et ceux qui dénotent un certain
esprit de conciliation. Le ton adopté envers
la Grande-Bretagne (suggère la possibilité
de négociations ultérieures), la décision
prise d'établir un plan précis de réparations
qui devra nécessairement différer de façon
sensible de l'état des paiements de la com-
mission des réparations, la cordialité mon-
trée à l'égard de M. Loucheur, tout indique
qu'il y a quelque chose de changé. Ce chan-
gement serait difficile à définir mais il ne
me parait pas moins incontestable.
Les paroles de M. Poincaré suffiront, pour dis-
siper les projets d'annexion mis en avant par
certains Français.
Il existe un journal, sans importance sans
doute, mais qui n'en représente pas moins
une petite fraction d'opinion, qui réclame
ouvertement chaque semaine l'annexion de *
la Ruhr. Je veux parler de la Démocratie
Nouvelle ; il a organisé dans diverses
villes de France des réunions publiques
dont l'une au moins a été troublée par la
foule. Cet organe a contribué, avec d'autres
organes de droite, à créer la légende de
desseins impérialistes français, imposés par-
le besoin de sécurité. M. Poincaré a rendu
à la France un service signalé et a grande-
ment facilité la tâche de ses amis qui s'ap-
pliquent à le représenter à l'étranger sous
ses traits véritables, en démontrant toute ia
propagande réactionnaire de cette secte.
Il faut espérer que ces suggestions trompeu-
ses ont été détruites une fois pour toutes.
Selon l'opinion générale, le discours de
M. Poincaré a hâté le jour où les négocia-
tions pourront s'engager.
TIMES, 17.4.
— Le discours extrêmement important
que M. Poincaré a prononcé à Dunkerque
dissipera une bonne partie du malentendu
existant au sujet de la politique française
dans la Ruhr. Ce discours chasse les nua-
ges, rend la position du gouvernement fran-
çais tout à fait claire, et démontre que son
attitude est rationnelle et judicieuse.
Nous désirons rectifier sur un point
les déclarations de M. Poincaré. Il a parlé
d'un changement d'opinion en faveur de la
France qu'il estime s'être produit aux
Etats-Unis et dans l'Empire britannique. Il a
ajouté que lors de sa récente visite en An-
gleterre, M. Loucheur « avait recueilli des
preuves d'un changement d'opinion » favo-
rable à la mesure prise par la France de
concert avec la Belgique.
Il ne s'est produit aucun changement
d'opinion dans ce pays, parce qu'aucun
changement n'était nécessaire. Notre con-
viction est que, du moment où la France
est entrée dans la Ruhr, elle a eu l'approba-
tion de la majorité prépondérante du peu-
ple britannique. La nation anglaise est con-
vaincue que l'Allemagne n'avait, pas l'inten-
tion de payer, que la France avait parfai-
tement raison de prendre des mesures des-
tinées à l'obliger à soumettre des propo-
sitions. et qu'elle a le droit de garder les
garanties qu'elle a prises jusqu'à ce que les
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