Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 avril 1923 17 avril 1923
Description : 1923/04/17 (T23,N2329). 1923/04/17 (T23,N2329).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239162r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Ministère
DES
'tlIR.ES ÉTRANGÈRES
f
N° 2329
Mardi 17 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^SE ALLEMANDE. — La participation de
Allemagne aux négociations et la ga-
; rantie de- l'industrie (Dernburg dans
£ erliner Tageblatt et Germania ; Köl-
l> nische Volkszeitung).
liESSE AMÉRICAINE. — Une lettre du général
Cadorna sur Caporetto (New York
Finies). — L'occupation de la Ruhr et
le commerce américain (New York Ti-
mes). — La situation financière de la
France (Washington Post). — La léga-
lité de la Standard Oil : un rapport de
l> M. La Follette (New York Times).
liEsSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
i Ca*"é à Dunkerque (Times). — Répara-
Wons et sécurité : le « programme Lou-
eur » (Observer). — Les régions dé-
vastées (Julius Price dans Sunday Pic-
toridl).
8S]E ESPAGNOLE. — Réparations et sécu-
rité ; le « programme Loucheur »
p u fi C).
p ~~SE ITALIENNE. — Réparations et sécu-
rlté : le « programme Loucheur »
(Epoca).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
&ïï?E LETTRE DU GENERAL CADORNA
J\.tta' CAPORETTO. - La revue Foreign
Jairs (de New York) publie aujourd'hui
une lettre dans laquelle le général Gadorna,
>i„ leri commandant en chef de l'armée ita-
ri réfute les assertions émises recem-
tn "t par le général Tasker H. Bliss, an-
chef d'état-major de l'armée américai-
ne. Le général Tasker H. Bliss avait dit que
1,,i,c bele de Caporetto avait eu pour effet de
etis?r^ar^ser l'armée italienne, qui avait été
Peor anisée par le général Foch, dès
son arri vee au quartier général des Italiens.
La déclaration du général Bliss était conte-
lV.f;ar|s un article sur le développement de
Lé de commandement, publié par cette
même revue. « La retraite sur 'la ligne du
Piave se termina le 9 novembre et l'offen-
^stro-allemande se déclencha le 10 >>
rr^ ^général Cadorna. « Comment une ar-
fn pleine désorganisation aurait-elle pu
,^ seule et victorieusement à l'assaut
ennemi. ? En réalité, si la moitié de la
seconde armée était désorganisée, l'autre
moitié ausi bien que les troisième et quatriè-
me armées n'étaient nullement affectées et
ces troupes étaient capables (les événements
l'ont d'ailleurs prouvé) de résister, sans être
soutenues par les alliés. » La réorganisa-
tion de l'armée italienne par Foch, ajoute
le général, est une légende, née en France.
Le général Foch est arrivé au quartier gé-
néral italien le 30 octobre, alors que toutes
les dispositions étaient prises pour la dé-
fense du Piave et que le commandement su-
prême italien avait déjà réorganisé les uni-
tés qui avaient été atteintes.
Lorsqu'on lui a montré cette lettre, le gé-
néral Bliss a délaré qu'il regrettait vivement
que son article eût pu faire croire à une in-
justice quelconque :
« Je songeais seulement, dit-il, à l'influen-
ce qu'exerça le désastre de Caporetto — et
non pas les événements qui suivirent le re-
pli sur le Piave — sur la constitution du
Conseil suprême à Rapallo, le 7 novembre
1917, trois jours avant que les Italiens eus-
sent réussi à repousser la nouvelle offen-
sive austro-allemande. On ne peut éprouver
plus d'admiration que moi-même pour la
merveilleuse activité du commandement ita-
lien qui dut alors faire face à des événe-
ments graves. Quoi qu'il en soit, il y a eu
un désastre à Caporetto, on ne peut le nier,
et ce désastre a provoqué, comme première
conséquence, une certaine désorganisation,
— désorganisation très sérieuse même, qui
fut, d'ailleurs, rapidement arrêtée. »
NEW YORK TIMES, 8.3.
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A DUN-
KERQUE. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris,
15 avril : La conférence franco-belge, re-
prise samedi, et le discours prononcé au-
jourd'hui par M. Poincaré offrent certains
signes encourageants. On devait s'attendre
tout au moins à une affirmation nette de la
résolution franco-belge, et c'est en effet ce
qui s'est produit. Mais cela n'implique pas
nécessairement le désaveu de M. Loucheur
et des idées dont il a été le missionnaire
officieux.
Les conversations les plus importantes de
cette fin de semaine n'ont pas été celles qui
se sont tenues au cours des réunions for-
melles des ministres, mais bien celles qui se
sont tenues, comme disent les Français
-c dans les coulisses ». Dans les réunions
privées, plus nombreuses en cette occasion
qu'elles ne le sont généralement au cours
d'une conférence aussi brève, M. Loucheur
était l'invité sur lequel se fixaient tous les
regards. Cela eût été impossible si M. Poin-
caré s'était formalisé de l'initiative de l'an-
cien ministre. Si on ne trouve aucun reflet
des vues de M. Loucheur dans les commu-
niqués du Quai d'Orsay, c'est parce que la
situation de M. Poincaré ne lui permet pas
de faire preuve vis-à-vis du monde et, plus
particulièrement, de l'opinion publique fran-
çaise et allemande, de rien qui puisse être
pris pour de la faiblesse. Cependant il ne
peut pas se permettre non plus d'obstruer,
de couper toutes les voies qui mènent à un
accord avec la Grande-Bretagne et à la paix
avec l'Allemagne
Le passage le plus' remarqué, peut-être,
de son discours d'aujourd'hui est celui où
M. Poincaré appelle M. Loucheur « un émi-
nent représentant français qui a recueilli
des témoignages des dispositions amicales
de la Grande-Bretagne ». A lire og,on discours
tout au long il n'est guère possible de se
bercer de telle ou telle illusion. Il contient
tant d'indications contraires qu'il est diffi-
cile de se rendre compte de la direction que
prendront les événements. Comparons, en
effet, la rédaction du communiqué de presse
du vendredi soir avec celle du communiqué
du samedi. Dans le premier, il était dit que
les gouvernements français et belge étaient
résolus à poursuivre leur action commune
dans la Ruhr jusqu'à ce que l'Allemagne se
décidât à faire des offres directes quant au
paiement des réparations. Cette phraséolo-
gie se prêtait à l'interprétation que la France
serait peut-être disposée à évacuer la Ruhr
lorsque serait accepté un plan de règlement,
en dehors de toute exécution effective de
ses obligations, par l'Allemagne. Hier, en
raison sans doute de l'émotion soulevée par
cette phrase, il fut jugé nécessaire de ren-
forcer les termes de la déclaration, et le
deuxième communiqué déclarait que les
deux gouvernements confirmaient la résolu-
tion de Bruxelles, qui précisait que l'éva-
cuation des territoires récemment occupés
sur la rive droite du Rhin ne dépendrait pas
de simples promesses de la part de l'Allema-
gne, mais qu'elle s'effectuerait au fur et à
mesure que l'Allemagne tiendrait ses enga-
gements. Ce fut également la note dominante
du discours de M. Poincaré. Néanmoins, s'il
n'est pas possible de se méprendre sur la
fermeté actuelle de M. Poincaré, le premier
ministre français est également résolu à ne
pas se laisser mettre dans la situation im-
possible où on voudrait l'engager dans cer-
tains milieux et à ne pas abandonner la pos-
sibilité d'établir des relations plus étroites
avec la Grande-Bretagne.
D'après mes informations, il a été décidé
de maintenir le contact avec la Grande-Bre-
tagne rétabli par M. Loucheur, et, si les
temps ne sont pas encore mûrs pour de nou-
velles démarches, on conserve l'espoir de
voir s'engager tôt ou tard des négociations
officielles. En toute probabilité, la Grande-
DES
'tlIR.ES ÉTRANGÈRES
f
N° 2329
Mardi 17 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^SE ALLEMANDE. — La participation de
Allemagne aux négociations et la ga-
; rantie de- l'industrie (Dernburg dans
£ erliner Tageblatt et Germania ; Köl-
l> nische Volkszeitung).
liESSE AMÉRICAINE. — Une lettre du général
Cadorna sur Caporetto (New York
Finies). — L'occupation de la Ruhr et
le commerce américain (New York Ti-
mes). — La situation financière de la
France (Washington Post). — La léga-
lité de la Standard Oil : un rapport de
l> M. La Follette (New York Times).
liEsSE ANGLAISE. — Le discours de M. Poin-
i Ca*"é à Dunkerque (Times). — Répara-
Wons et sécurité : le « programme Lou-
eur » (Observer). — Les régions dé-
vastées (Julius Price dans Sunday Pic-
toridl).
8S]E ESPAGNOLE. — Réparations et sécu-
rité ; le « programme Loucheur »
p u fi C).
p ~~SE ITALIENNE. — Réparations et sécu-
rlté : le « programme Loucheur »
(Epoca).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
&ïï?E LETTRE DU GENERAL CADORNA
J\.tta' CAPORETTO. - La revue Foreign
Jairs (de New York) publie aujourd'hui
une lettre dans laquelle le général Gadorna,
>i„ leri commandant en chef de l'armée ita-
ri réfute les assertions émises recem-
tn "t par le général Tasker H. Bliss, an-
chef d'état-major de l'armée américai-
ne. Le général Tasker H. Bliss avait dit que
1,,i,c bele de Caporetto avait eu pour effet de
etis?r^ar^ser l'armée italienne, qui avait été
Peor anisée par le général Foch, dès
son arri vee au quartier général des Italiens.
La déclaration du général Bliss était conte-
lV.f;ar|s un article sur le développement de
Lé de commandement, publié par cette
même revue. « La retraite sur 'la ligne du
Piave se termina le 9 novembre et l'offen-
^stro-allemande se déclencha le 10 >>
rr^ ^général Cadorna. « Comment une ar-
fn pleine désorganisation aurait-elle pu
,^ seule et victorieusement à l'assaut
ennemi. ? En réalité, si la moitié de la
seconde armée était désorganisée, l'autre
moitié ausi bien que les troisième et quatriè-
me armées n'étaient nullement affectées et
ces troupes étaient capables (les événements
l'ont d'ailleurs prouvé) de résister, sans être
soutenues par les alliés. » La réorganisa-
tion de l'armée italienne par Foch, ajoute
le général, est une légende, née en France.
Le général Foch est arrivé au quartier gé-
néral italien le 30 octobre, alors que toutes
les dispositions étaient prises pour la dé-
fense du Piave et que le commandement su-
prême italien avait déjà réorganisé les uni-
tés qui avaient été atteintes.
Lorsqu'on lui a montré cette lettre, le gé-
néral Bliss a délaré qu'il regrettait vivement
que son article eût pu faire croire à une in-
justice quelconque :
« Je songeais seulement, dit-il, à l'influen-
ce qu'exerça le désastre de Caporetto — et
non pas les événements qui suivirent le re-
pli sur le Piave — sur la constitution du
Conseil suprême à Rapallo, le 7 novembre
1917, trois jours avant que les Italiens eus-
sent réussi à repousser la nouvelle offen-
sive austro-allemande. On ne peut éprouver
plus d'admiration que moi-même pour la
merveilleuse activité du commandement ita-
lien qui dut alors faire face à des événe-
ments graves. Quoi qu'il en soit, il y a eu
un désastre à Caporetto, on ne peut le nier,
et ce désastre a provoqué, comme première
conséquence, une certaine désorganisation,
— désorganisation très sérieuse même, qui
fut, d'ailleurs, rapidement arrêtée. »
NEW YORK TIMES, 8.3.
LES RÉPARATIONS
LE DISCOURS DE M. POINCARE A DUN-
KERQUE. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris,
15 avril : La conférence franco-belge, re-
prise samedi, et le discours prononcé au-
jourd'hui par M. Poincaré offrent certains
signes encourageants. On devait s'attendre
tout au moins à une affirmation nette de la
résolution franco-belge, et c'est en effet ce
qui s'est produit. Mais cela n'implique pas
nécessairement le désaveu de M. Loucheur
et des idées dont il a été le missionnaire
officieux.
Les conversations les plus importantes de
cette fin de semaine n'ont pas été celles qui
se sont tenues au cours des réunions for-
melles des ministres, mais bien celles qui se
sont tenues, comme disent les Français
-c dans les coulisses ». Dans les réunions
privées, plus nombreuses en cette occasion
qu'elles ne le sont généralement au cours
d'une conférence aussi brève, M. Loucheur
était l'invité sur lequel se fixaient tous les
regards. Cela eût été impossible si M. Poin-
caré s'était formalisé de l'initiative de l'an-
cien ministre. Si on ne trouve aucun reflet
des vues de M. Loucheur dans les commu-
niqués du Quai d'Orsay, c'est parce que la
situation de M. Poincaré ne lui permet pas
de faire preuve vis-à-vis du monde et, plus
particulièrement, de l'opinion publique fran-
çaise et allemande, de rien qui puisse être
pris pour de la faiblesse. Cependant il ne
peut pas se permettre non plus d'obstruer,
de couper toutes les voies qui mènent à un
accord avec la Grande-Bretagne et à la paix
avec l'Allemagne
Le passage le plus' remarqué, peut-être,
de son discours d'aujourd'hui est celui où
M. Poincaré appelle M. Loucheur « un émi-
nent représentant français qui a recueilli
des témoignages des dispositions amicales
de la Grande-Bretagne ». A lire og,on discours
tout au long il n'est guère possible de se
bercer de telle ou telle illusion. Il contient
tant d'indications contraires qu'il est diffi-
cile de se rendre compte de la direction que
prendront les événements. Comparons, en
effet, la rédaction du communiqué de presse
du vendredi soir avec celle du communiqué
du samedi. Dans le premier, il était dit que
les gouvernements français et belge étaient
résolus à poursuivre leur action commune
dans la Ruhr jusqu'à ce que l'Allemagne se
décidât à faire des offres directes quant au
paiement des réparations. Cette phraséolo-
gie se prêtait à l'interprétation que la France
serait peut-être disposée à évacuer la Ruhr
lorsque serait accepté un plan de règlement,
en dehors de toute exécution effective de
ses obligations, par l'Allemagne. Hier, en
raison sans doute de l'émotion soulevée par
cette phrase, il fut jugé nécessaire de ren-
forcer les termes de la déclaration, et le
deuxième communiqué déclarait que les
deux gouvernements confirmaient la résolu-
tion de Bruxelles, qui précisait que l'éva-
cuation des territoires récemment occupés
sur la rive droite du Rhin ne dépendrait pas
de simples promesses de la part de l'Allema-
gne, mais qu'elle s'effectuerait au fur et à
mesure que l'Allemagne tiendrait ses enga-
gements. Ce fut également la note dominante
du discours de M. Poincaré. Néanmoins, s'il
n'est pas possible de se méprendre sur la
fermeté actuelle de M. Poincaré, le premier
ministre français est également résolu à ne
pas se laisser mettre dans la situation im-
possible où on voudrait l'engager dans cer-
tains milieux et à ne pas abandonner la pos-
sibilité d'établir des relations plus étroites
avec la Grande-Bretagne.
D'après mes informations, il a été décidé
de maintenir le contact avec la Grande-Bre-
tagne rétabli par M. Loucheur, et, si les
temps ne sont pas encore mûrs pour de nou-
velles démarches, on conserve l'espoir de
voir s'engager tôt ou tard des négociations
officielles. En toute probabilité, la Grande-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Feuerbach Ludwig Feuerbach Ludwig /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Feuerbach Ludwig" or dc.contributor adj "Feuerbach Ludwig")
- Auteurs similaires Feuerbach Ludwig Feuerbach Ludwig /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Feuerbach Ludwig" or dc.contributor adj "Feuerbach Ludwig")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/11
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6239162r/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6239162r/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6239162r/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6239162r/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6239162r
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6239162r
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6239162r/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest