Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 avril 1923 16 avril 1923
Description : 1923/04/16 (T23,N2328). 1923/04/16 (T23,N2328).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239161b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
* MINISTÈRE
DES
K?PÀI a Es ÉTRANGÈRES
N° 2328
Lundi 16 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est aonné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraiu,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Réparations et sécu-
cur'ité : un article de M. Stresemann
(Vossische Zeitung). — L'attitude de la
Sotei ald é m ocr ati ei (Vorwârts, Berliner
Lokal-Anzeiger). — La garantie de l'in-
dustrie allemande (Vossische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Amérique lapine (New York Tribune).
— Pour la science et pour l'art alle-
mands (Nation). — Un accord entre les
Etats-Unis et le Canada (Chicago Daily
Tribune). — Le voyage en France de la
« Good Will » délégation (New York
Tribune. )
DRRSSE ANGLAISE. — Les entretiens franco-
belges de Paris, les 13 et 14 avril (Daily
Express). -- La résistance allemande
(Daily Telegraph, Daily News). — Le'
gouvernement allemand et le commerce
britannique (Daily Telegraph).
(
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES ENTRETIENS FRANCO-BELGES DE
be p S (13-14 AVRIL). - PRESSE ANGLAISE.
illlié Paris 13 avril : Le but des deux
S,lr ''Allemagne est de l'obliger à faire des
llvertures en vue d'un règlement. On croit
gOéendant que l'Allemagne n'est pas éloi-
loue 1 de faire une offre fondée sur le plan
Relieur - réduction de l'indemnité et in-
^ationalisation de la Rhénanie. Si la re-
ls'ance allemande n'est pas vaincue d'ici
Pe,1i on aura recours à une sorte d'ultima-
tum.
Sir' nouvelles sanctions seront tenues
Btricternent secrètes, mais je crols savoir
q\)¡l est question de sanctions navales, ce
JUl expliquerait l'occupation partielle du
C d,e. Hamlbourg.
Conformément au désir exprimé par les
ministres belges, M. Loucheur a été invité
assister au banquet officiel offert ce tre
au Quai d'Orsay par le premier mlmstre
français. Le fait a créé une certaine émo-
d'tl car M. Loucheur est le seul membre
Parti non gouvernemental à être invité.
y après des informations, les Belges
lent déclaré nettement qu'ils ne sonT
nullement opposés au projet Loucheur dans
ses grandes lignes, mais ils sont très' mé-
contents des conditions dans lesquelles ce
plan a été proposé ; ils sont très vexés,
notamment, de n'avoir pas été avisés au
préalable de la visite de M. Loucheur à Lon-
dres, visite entreprise, on le sait aujour-
d'hui, avec l'approbation formelle de M.
Millerand.
Il semble que la brèche entre le premier
ministre et le Président de la République
s'élargisse. M. Poincaré est de plus en plus
éloigné du projet de règlement conçu par
M. Loucheur. Le président Millerand est
disposé à accueillir une base de négocia-
tions.
Si la Grande-Bretagne témoigne d'une
disposition quelconque à soutenir le pro-
gramme Loucheur, il n'est pas douteux que
les Belges accepteront également ce pro-
gramme. Les Belges ont déclaré une fois
de plus qu'ils ne participeront pas à des né-
gociations officielles, à moins que la Gran-
de-Bretagne et l'Italie y soient représen-
tées. - (Du correspondant particulier.)
DAILY EXPRESS, 14.4.
REPARATIONS ET SECURITE. — LE
(c PROGRAMME LOUCHEUR ». — UN ARTICLE DE
M. STRESEMANN. — * Ce qui a été publié
des plans de Loucheur concerne la question
internationale des réparations et la question
politique de la prétendue « sécurité » de la
France. Loucheur place au premier plan la
créance de la France, qui exige 26 milliards
de marks-or. Il est hors de doute que la
France est, de tous les alliés, celui qui a le
plus souffert de la guerre et qui aura le plus
de peine à rétablir ses finances. Mais c'est
un procédé impossible que de mettre en
avant la créance française, pour augmenter
ensuite les paiements à fournir par l'Alle-
magne, en se basant sur le pourcentage
convenu entre alliés pour la répartition. Si
l'on veut que la question des réparations
soit réglée à nouveau par des conférences
internationales, il faut mettre à l'ordre du
jour la question de savoir s'il n'est pas né-
cessaire, dans -l'intérêt de la paix, que le
droit de priorité de la France, pour la part
qui lui revient sur les paiements de l'Alle-
magne. soit garanti d'autre façon. Compa-
rée à l'offre que l'Allemagne fit remettre à
la conférence de Paris, la somme demandée
par Loucheur pour la France se tient en-
core dans les limites de ce que l'Allemagne
offrait alors. Nous sommes donc en face de
la situation suivante : l'Allemagne offre un
paiement (fui suffirait à la France, mais dont
l'Entente tout entière ne peut se contenter.
Cependant les conséquences économiques d-
l'état de guerre sont si grandes, pour le-
alliés de la France aussi, qu'en définitive il
appartient aux ministres des Finance de
calculer ce qui revient le pius cher ; l'im-
productivité économique avec secours aux
chômeurs, ou la renonciation aux répara-
tions allemandes avec le droit à une vie éco-
nomique normale. Il est nécessaire qu'une
explication de ce genre ait lieu entre alliés.
La somme totale indiquée par Loucheur est
au delà du possible depuis que, au lieu de
résoudre définitivement la question des ré-
parations, on a créé l'insécurité politique et
économique, qui ôte à l'Allemagne la possi-
bilité même d'affermir sa situation écono-
mique et financière pour exécuter les paie-
ments des réparations. Par cet état de cons-
tante insécurité politique, qui a conduit à
des violations de la souveraineté allemande
et à la guerre économique'acharnée, on a
au contraire diminué de plus en plus notre
capacité de paiement.
Pourquoi la presse française ne répond-
elle pas aux propositions que le ministre des
affaires étrangères a faites dans son der-
nier discours à la Commission des affaires
étrangères ? Pourquoi les déclarations de
Hughes trouvent-elles si peu d'écho dans la
presse française ? En somme il n'existe pas
encore une opinion mondiale qu'on puisse
appeler de la sympathie pour l'Allemagne
et qui soit de nature à faire craindre à la
France qu'un comité '(l'experts estime la
capacité de paiement de l'Allemagne au-des-
sous de sa valeur réelle. L'Allemagne a vo-
lontiers acquiescé à la proposition de Hu-
ghes. En effet, pour pouvoir juger dans
quelle mesure l'action dans la Ruhr a affai-
bli l'économie allemande, il serait indispen-
sable de se faire une idée nette des dévas-
tations. La France empêche le gouverne-
ment allemand de s'en rendre compte, en
interdisant aux ministres et, tout récem-
ment, aux députés allemands de séjourner
dans la Ruhr pour se renseigner. Une seule
chose est certaine, c'est qu'après les dom-
mages causés dans la Ruhr l'Allemagne a
besoin d'un temps plus long pour se re-
mettre en état de prospérité économique ;
c'est que la situation monétaire s'est consi-
dérablement aggravée à cause de la circu-
lation de papier non couvert, et -que l'exten-
sion des dommages économiques diminue
sans cesse la capacité de paiement de. l'Alle-
magne. Tout cela eût pu être évité si, en
présence de la proposition officielle écrite
du gouvernement allemand, que M. Berg-
mann en innvier, avait mission de déposer,
même si Toccasion ne lui était pas donnée
de prendre part à la discussion, M. Poin-
caré avait pris la peine de traiter cette pro-
position autrement que comme l' « annonce
d'une visite », selon l'expression des com-
muniqués officiels français.
Peu^après son entrée en fonctions, le
chancelier du Reich m'a exposé quelle tâche
il s'assignait à lui-même. Il m'a dit que,
grâce à ses relations comme chef d'une des
DES
K?PÀI a Es ÉTRANGÈRES
N° 2328
Lundi 16 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est aonné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraiu,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Réparations et sécu-
cur'ité : un article de M. Stresemann
(Vossische Zeitung). — L'attitude de la
Sotei ald é m ocr ati ei (Vorwârts, Berliner
Lokal-Anzeiger). — La garantie de l'in-
dustrie allemande (Vossische Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et
l'Amérique lapine (New York Tribune).
— Pour la science et pour l'art alle-
mands (Nation). — Un accord entre les
Etats-Unis et le Canada (Chicago Daily
Tribune). — Le voyage en France de la
« Good Will » délégation (New York
Tribune. )
DRRSSE ANGLAISE. — Les entretiens franco-
belges de Paris, les 13 et 14 avril (Daily
Express). -- La résistance allemande
(Daily Telegraph, Daily News). — Le'
gouvernement allemand et le commerce
britannique (Daily Telegraph).
(
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES ENTRETIENS FRANCO-BELGES DE
be p S (13-14 AVRIL). - PRESSE ANGLAISE.
illlié Paris 13 avril : Le but des deux
llvertures en vue d'un règlement. On croit
gOéendant que l'Allemagne n'est pas éloi-
loue 1 de faire une offre fondée sur le plan
Relieur - réduction de l'indemnité et in-
^ationalisation de la Rhénanie. Si la re-
ls'ance allemande n'est pas vaincue d'ici
Pe,1i on aura recours à une sorte d'ultima-
tum.
Sir' nouvelles sanctions seront tenues
Btricternent secrètes, mais je crols savoir
q\)¡l est question de sanctions navales, ce
JUl expliquerait l'occupation partielle du
C d,e. Hamlbourg.
Conformément au désir exprimé par les
ministres belges, M. Loucheur a été invité
assister au banquet officiel offert ce tre
au Quai d'Orsay par le premier mlmstre
français. Le fait a créé une certaine émo-
d'tl car M. Loucheur est le seul membre
Parti non gouvernemental à être invité.
y après des informations, les Belges
lent déclaré nettement qu'ils ne sonT
nullement opposés au projet Loucheur dans
ses grandes lignes, mais ils sont très' mé-
contents des conditions dans lesquelles ce
plan a été proposé ; ils sont très vexés,
notamment, de n'avoir pas été avisés au
préalable de la visite de M. Loucheur à Lon-
dres, visite entreprise, on le sait aujour-
d'hui, avec l'approbation formelle de M.
Millerand.
Il semble que la brèche entre le premier
ministre et le Président de la République
s'élargisse. M. Poincaré est de plus en plus
éloigné du projet de règlement conçu par
M. Loucheur. Le président Millerand est
disposé à accueillir une base de négocia-
tions.
Si la Grande-Bretagne témoigne d'une
disposition quelconque à soutenir le pro-
gramme Loucheur, il n'est pas douteux que
les Belges accepteront également ce pro-
gramme. Les Belges ont déclaré une fois
de plus qu'ils ne participeront pas à des né-
gociations officielles, à moins que la Gran-
de-Bretagne et l'Italie y soient représen-
tées. - (Du correspondant particulier.)
DAILY EXPRESS, 14.4.
REPARATIONS ET SECURITE. — LE
(c PROGRAMME LOUCHEUR ». — UN ARTICLE DE
M. STRESEMANN. — * Ce qui a été publié
des plans de Loucheur concerne la question
internationale des réparations et la question
politique de la prétendue « sécurité » de la
France. Loucheur place au premier plan la
créance de la France, qui exige 26 milliards
de marks-or. Il est hors de doute que la
France est, de tous les alliés, celui qui a le
plus souffert de la guerre et qui aura le plus
de peine à rétablir ses finances. Mais c'est
un procédé impossible que de mettre en
avant la créance française, pour augmenter
ensuite les paiements à fournir par l'Alle-
magne, en se basant sur le pourcentage
convenu entre alliés pour la répartition. Si
l'on veut que la question des réparations
soit réglée à nouveau par des conférences
internationales, il faut mettre à l'ordre du
jour la question de savoir s'il n'est pas né-
cessaire, dans -l'intérêt de la paix, que le
droit de priorité de la France, pour la part
qui lui revient sur les paiements de l'Alle-
magne. soit garanti d'autre façon. Compa-
rée à l'offre que l'Allemagne fit remettre à
la conférence de Paris, la somme demandée
par Loucheur pour la France se tient en-
core dans les limites de ce que l'Allemagne
offrait alors. Nous sommes donc en face de
la situation suivante : l'Allemagne offre un
paiement (fui suffirait à la France, mais dont
l'Entente tout entière ne peut se contenter.
Cependant les conséquences économiques d-
l'état de guerre sont si grandes, pour le-
alliés de la France aussi, qu'en définitive il
appartient aux ministres des Finance de
calculer ce qui revient le pius cher ; l'im-
productivité économique avec secours aux
chômeurs, ou la renonciation aux répara-
tions allemandes avec le droit à une vie éco-
nomique normale. Il est nécessaire qu'une
explication de ce genre ait lieu entre alliés.
La somme totale indiquée par Loucheur est
au delà du possible depuis que, au lieu de
résoudre définitivement la question des ré-
parations, on a créé l'insécurité politique et
économique, qui ôte à l'Allemagne la possi-
bilité même d'affermir sa situation écono-
mique et financière pour exécuter les paie-
ments des réparations. Par cet état de cons-
tante insécurité politique, qui a conduit à
des violations de la souveraineté allemande
et à la guerre économique'acharnée, on a
au contraire diminué de plus en plus notre
capacité de paiement.
Pourquoi la presse française ne répond-
elle pas aux propositions que le ministre des
affaires étrangères a faites dans son der-
nier discours à la Commission des affaires
étrangères ? Pourquoi les déclarations de
Hughes trouvent-elles si peu d'écho dans la
presse française ? En somme il n'existe pas
encore une opinion mondiale qu'on puisse
appeler de la sympathie pour l'Allemagne
et qui soit de nature à faire craindre à la
France qu'un comité '(l'experts estime la
capacité de paiement de l'Allemagne au-des-
sous de sa valeur réelle. L'Allemagne a vo-
lontiers acquiescé à la proposition de Hu-
ghes. En effet, pour pouvoir juger dans
quelle mesure l'action dans la Ruhr a affai-
bli l'économie allemande, il serait indispen-
sable de se faire une idée nette des dévas-
tations. La France empêche le gouverne-
ment allemand de s'en rendre compte, en
interdisant aux ministres et, tout récem-
ment, aux députés allemands de séjourner
dans la Ruhr pour se renseigner. Une seule
chose est certaine, c'est qu'après les dom-
mages causés dans la Ruhr l'Allemagne a
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mettre en état de prospérité économique ;
c'est que la situation monétaire s'est consi-
dérablement aggravée à cause de la circu-
lation de papier non couvert, et -que l'exten-
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sans cesse la capacité de paiement de. l'Alle-
magne. Tout cela eût pu être évité si, en
présence de la proposition officielle écrite
du gouvernement allemand, que M. Berg-
mann en innvier, avait mission de déposer,
même si Toccasion ne lui était pas donnée
de prendre part à la discussion, M. Poin-
caré avait pris la peine de traiter cette pro-
position autrement que comme l' « annonce
d'une visite », selon l'expression des com-
muniqués officiels français.
Peu^après son entrée en fonctions, le
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