Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 avril 1923 13 avril 1923
Description : 1923/04/13 (T23,N2326). 1923/04/13 (T23,N2326).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391598
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
, DES
ih AI»KS étuanGÈNES
N° 2326
Vendredi 13 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est aonne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~~E ALLEMANDE. - L'occupation de la
ttuhr (Flanhfurter lcUnHa), — Le dis-
cours de M. Cuno au. Reichstag, le 10
avril, en l'honneur des victimes d'Essen
(\ orwdrts, (irrmania, KGlnisclie Zei-
tll ng).
FLE*SE AMÉRICAINE. - L'occupation de la
Ruhr : un appel anglais, aux Etats-Unis
•*»>• Philipp Gibbs dans World). - La
Grande-Bretagne et le montant des ré-
parations (New Yorh■ Triuune).
ANGLAISE. - Le discours de M. Cuno
Uu Reichstag, le 10 avril, en l'honneur
qes victimes d'Essen (Manchester (iuar-
dian). — Le voyage de M. Loucheur en
Grande-Bretagne les possibilités d'un
Plan franco-britannique (Daily Telc-
Qraph, Times), - La démilitarisation
':'e la Rhénanie; : le plan du général
S'pars (Times). l,e -(le
ITALIENNE. — Le voyage de M. Lou-
cheur en Grande-Bretagne : les possibi-
lités d'un plan franco-britannique
[Kpoea). s
'----
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^OCCUPATION DE LA RUHR. - PRESSE
ALLEMANDE. - La Frankfurter Zeitung, dans son
éli tori e,, du 10.4 soir, fait un tableau des « atro-
de l'occupation.
bies soldats français ont certainement
qu'ù oup de défauts. Il est possible pourtant.
qu a cette heure où notre patrie est foulée
fi" Pieds, nous n'ayons pas l'objectivité si
SiJlclüt, pour les juger. Admettons que les
(141-s français ne sont pas en moyenne
d'., s que ne le seraient les représentants
e autre armée d'invasion: mais c'est
leV]^r,ission, c'est la tâche à laquelle on les
les e qui engendre les méfaits horribles,
les autés' .les atrocités qui couvrent au^ -
K,ïu' de honte le nom français.
jourd'hui de honte le nom français. On ne
peut pas, en pleine paix, envahir un pareil
industriel et faire violence à une po-
pulation qui est sans défense, mais qui n'a
l'Os Pe, flu le sens de l'honneur, sans cleve-
nir cruel, inhumainement cruel, et sans per-
°li'te tenue et tout honneur. Une arm •
a appris à combattre par les armes contre
un ennemi armé. Ce que Poincaré demande
à ses divisions du Rhin et de la Ruhr ne
peut que les pousser au désespoir. Cela les
pousse aux attentats avec la cravache con-
tre les femmes et les enfants, cela les
pousse à des destructions et des pillages
barbares comme à Bochum, à des brutalités
contre des écoliers, à l'assassinat bestial
d'hommes innocents comme à Buer. Cela
les conduit à des raffinements de cruauté
contre des otages, tels que ces quatre hom-
mes qu'on ne cesse de faire aller et venir en
chemin de fer entre Werden et Dusseldorf
sans leur donner l'occasion de, manger et de
dormir, sans même permettre à la Croix-
Rouge de les secourir.
Le peuple français est aujourd'hui aveu-
glé et, intimidé. Mais que disent les peuples
étrangers de ce déchaînement d'un milita-
risme en démence, de ces souffrances d'un
peuple qui a livré ses armes en se confiant
aux grands mots de justice et d'humanité ?
FRANKFURTER ZEITUNG, 10.4, soir.
PRESSE AMÉRICAINE. -- UN APPEL ANGLAIS
AUX ETATS-UNIS. — De Londres, 3 mars :
Les espoirs de la France ne se sont pas réailisés,
et l'occupation de la Ruhr n'a pas donné les ré-
sultats qu'on en attendait.
Bien qu'il y ait actuellement dans la Ruhr
10.000 ingénieurs et mécaniciens français, le
trafic ferroviaire est réduit à moins de 100
trains au lieu de 1.200. En cinq semaines
d'occupation, les Français n'ont pu envoyer
en France et en Belgique que 1.026 wagons,
contenant 15.000 tonnes de charbon ; c'est-
à-dire une quantité bien inférieure en cinq
semaines à la moitié de la quantité qui était
envoyée, en un seul jour, avant l'occupa-
tion.
Voilà le résultat négatif ; mais quels sont les
résultats positifs ? La réponse est bien simple :
La France a suscité en Allemagne une
haine tenace, le désespoir, la misère et la
faim, elle a reçu la désapprobation morale
de tous ceux, hommes et femmes, qui, en ce
monde, sont partisans du « fair play « con-
tre la brutalité, qui préfèrent défendre la
civilisation européenne plutôt que le milita-
risme français et qui songent à tous les
humbles travailleurs et à leurs enfants,
qu'ils soient Allemands, Français, Russes,
Anglais, quelle que soit leur race et leur
couleur, qui souffrent de la faim.
La France ne croit plus à la possibilité d'pb-
tenir une indemnité, elle ne feint même plus d'y
croire. Ses experts déclarent eux-mêmes que ja-
mais l'Allemagne ne pourra verser les sommes
fantastiques qui lui sont demandées ; l'opinion
publique, qui est d'ailleurs toujours demeurée
sceptique, se moque aujourd'hui de ces sommes.
« Nous voulons obtenir notre sécurité, di-
sent les Français ; nous écraserons l'Alle-
magne, et, si nous écrasons l'Europe en
même temps, ma foi, tant pis ! »
L'argument aurait quelque valeur, du
point de vue français, si l'on pouvait obtenir
ainsi cette sécurité ; ce serait une thèse
égoïste, certes, mais logique ; amorale, mais
excusable « nationalement ». Toutefois, cette
théorie est fausse, ce n'est pas en écrasant
l'Allemagne et en entraînant l'Europe vers
l'abîme que la France obtiendra sa sécurité.
La haine, en effet, qu'elle alimente dans les
cœurs allemands, à tous moments, le déses-
poir qu'elle provoque dans toutes les nations
dont la prospérité est fondée sur l'activité
industrielle de l'Allemagne engendreront un
jour un châtiment terrible.
La France succombera sous la révolte des
peuples affamés et vaincus, comme elle a
succombé lorsque toutes les nations se dres-
sèrent contre elle après les victoires de Na-
poléon. La France, qui avait gagné à sa
cause le monde entier par tout ce qu'elle a
souffert de l'impitoyable brutalité allemande
et par son merveilleux héroïsme, se voit
abandonnée de ses amis qui se tournent
maintenant contre elle, depuis qu'elle a ra-
massé, pour en coiffer sa tête, le casque à
pointe que l'Allemagne avait laissé tomber,
depuis qu'elle a substitué au militarisme al-
lemand le militarisme français.
On ne peut excuser Ia brutalité française en se
servant de cet argument que les Allemands se
sont montrés sauvages en France. Si l'on adop-
tait cette thèse, il n'y aurait plus d'idéal chré-
tien. Les gentlemen n'insultent jamais la brute,
ils n'insultent pas la mère ou les enfants d'un
homme qui les a insultés ; ils ne flagellent pas
des personnes sans défense.
Et pourtant voilà ce que fait la France en
Allemagne. Parce qu'ils se souviennent des
atrocités commises à Lille et dans les autres
villes occupées par les Allemands pendant
la guerre, les Français se servent du fouet
contre des citoyens allemands, en temps de
paix ; ils lancent des charges de cavalerie
arabe contre des foules allemandes. Ils met-
tent des menottes aux mains des maires, ils
terrorisent les villes industrielles où les ou-
vriers refusent de travailler sous les baïon-
netes françaises, et tout cela pourquoi ?
Parce que le gouvernement allemand pré-
tend qu'il ne peut verser des sommes d'ar-
gent que les experts français, anglais et
américains ont estimé supérieures à la ca-
pacité de paiement de l'Allemagne.
L'activité industrielle de l'Allemagne est ar-
rêtée et le nombre des affamés augmente, ainsi
que celui des enfants rachitiques. C'est un retour
vers la barbarie ; car il ne faut pas oublier que
nous sommes en paix, d'ailleurs, tous les Alle-
mands n'ont pas commis, pendant la guerre, des
actes de brutalité. C'est l'opinion de beaucoup
de Français, mais on ne leur permet, pas de
faire entendre leur voix dans la presse.
Il y a des millions de gens en Angleterre,
, DES
ih AI»KS étuanGÈNES
N° 2326
Vendredi 13 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est aonne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~~E ALLEMANDE. - L'occupation de la
ttuhr (Flanhfurter lcUnHa), — Le dis-
cours de M. Cuno au. Reichstag, le 10
avril, en l'honneur des victimes d'Essen
(\ orwdrts, (irrmania, KGlnisclie Zei-
tll ng).
FLE*SE AMÉRICAINE. - L'occupation de la
Ruhr : un appel anglais, aux Etats-Unis
•*»>• Philipp Gibbs dans World). - La
Grande-Bretagne et le montant des ré-
parations (New Yorh■ Triuune).
ANGLAISE. - Le discours de M. Cuno
Uu Reichstag, le 10 avril, en l'honneur
qes victimes d'Essen (Manchester (iuar-
dian). — Le voyage de M. Loucheur en
Grande-Bretagne les possibilités d'un
Plan franco-britannique (Daily Telc-
Qraph, Times), - La démilitarisation
':'e la Rhénanie; : le plan du général
S'pars (Times). l,e -(le
ITALIENNE. — Le voyage de M. Lou-
cheur en Grande-Bretagne : les possibi-
lités d'un plan franco-britannique
[Kpoea). s
'----
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^OCCUPATION DE LA RUHR. - PRESSE
ALLEMANDE. - La Frankfurter Zeitung, dans son
éli tori e,, du 10.4 soir, fait un tableau des « atro-
de l'occupation.
bies soldats français ont certainement
qu'ù oup de défauts. Il est possible pourtant.
qu a cette heure où notre patrie est foulée
fi" Pieds, nous n'ayons pas l'objectivité si
SiJlclüt, pour les juger. Admettons que les
(141-s français ne sont pas en moyenne
d'., s que ne le seraient les représentants
e autre armée d'invasion: mais c'est
leV]^r,ission, c'est la tâche à laquelle on les
les e qui engendre les méfaits horribles,
les autés' .les atrocités qui couvrent au^ -
K,ïu' de honte le nom français.
jourd'hui de honte le nom français. On ne
peut pas, en pleine paix, envahir un pareil
industriel et faire violence à une po-
pulation qui est sans défense, mais qui n'a
l'Os Pe, flu le sens de l'honneur, sans cleve-
nir cruel, inhumainement cruel, et sans per-
°li'te tenue et tout honneur. Une arm •
a appris à combattre par les armes contre
un ennemi armé. Ce que Poincaré demande
à ses divisions du Rhin et de la Ruhr ne
peut que les pousser au désespoir. Cela les
pousse aux attentats avec la cravache con-
tre les femmes et les enfants, cela les
pousse à des destructions et des pillages
barbares comme à Bochum, à des brutalités
contre des écoliers, à l'assassinat bestial
d'hommes innocents comme à Buer. Cela
les conduit à des raffinements de cruauté
contre des otages, tels que ces quatre hom-
mes qu'on ne cesse de faire aller et venir en
chemin de fer entre Werden et Dusseldorf
sans leur donner l'occasion de, manger et de
dormir, sans même permettre à la Croix-
Rouge de les secourir.
Le peuple français est aujourd'hui aveu-
glé et, intimidé. Mais que disent les peuples
étrangers de ce déchaînement d'un milita-
risme en démence, de ces souffrances d'un
peuple qui a livré ses armes en se confiant
aux grands mots de justice et d'humanité ?
FRANKFURTER ZEITUNG, 10.4, soir.
PRESSE AMÉRICAINE. -- UN APPEL ANGLAIS
AUX ETATS-UNIS. — De Londres, 3 mars :
Les espoirs de la France ne se sont pas réailisés,
et l'occupation de la Ruhr n'a pas donné les ré-
sultats qu'on en attendait.
Bien qu'il y ait actuellement dans la Ruhr
10.000 ingénieurs et mécaniciens français, le
trafic ferroviaire est réduit à moins de 100
trains au lieu de 1.200. En cinq semaines
d'occupation, les Français n'ont pu envoyer
en France et en Belgique que 1.026 wagons,
contenant 15.000 tonnes de charbon ; c'est-
à-dire une quantité bien inférieure en cinq
semaines à la moitié de la quantité qui était
envoyée, en un seul jour, avant l'occupa-
tion.
Voilà le résultat négatif ; mais quels sont les
résultats positifs ? La réponse est bien simple :
La France a suscité en Allemagne une
haine tenace, le désespoir, la misère et la
faim, elle a reçu la désapprobation morale
de tous ceux, hommes et femmes, qui, en ce
monde, sont partisans du « fair play « con-
tre la brutalité, qui préfèrent défendre la
civilisation européenne plutôt que le milita-
risme français et qui songent à tous les
humbles travailleurs et à leurs enfants,
qu'ils soient Allemands, Français, Russes,
Anglais, quelle que soit leur race et leur
couleur, qui souffrent de la faim.
La France ne croit plus à la possibilité d'pb-
tenir une indemnité, elle ne feint même plus d'y
croire. Ses experts déclarent eux-mêmes que ja-
mais l'Allemagne ne pourra verser les sommes
fantastiques qui lui sont demandées ; l'opinion
publique, qui est d'ailleurs toujours demeurée
sceptique, se moque aujourd'hui de ces sommes.
« Nous voulons obtenir notre sécurité, di-
sent les Français ; nous écraserons l'Alle-
magne, et, si nous écrasons l'Europe en
même temps, ma foi, tant pis ! »
L'argument aurait quelque valeur, du
point de vue français, si l'on pouvait obtenir
ainsi cette sécurité ; ce serait une thèse
égoïste, certes, mais logique ; amorale, mais
excusable « nationalement ». Toutefois, cette
théorie est fausse, ce n'est pas en écrasant
l'Allemagne et en entraînant l'Europe vers
l'abîme que la France obtiendra sa sécurité.
La haine, en effet, qu'elle alimente dans les
cœurs allemands, à tous moments, le déses-
poir qu'elle provoque dans toutes les nations
dont la prospérité est fondée sur l'activité
industrielle de l'Allemagne engendreront un
jour un châtiment terrible.
La France succombera sous la révolte des
peuples affamés et vaincus, comme elle a
succombé lorsque toutes les nations se dres-
sèrent contre elle après les victoires de Na-
poléon. La France, qui avait gagné à sa
cause le monde entier par tout ce qu'elle a
souffert de l'impitoyable brutalité allemande
et par son merveilleux héroïsme, se voit
abandonnée de ses amis qui se tournent
maintenant contre elle, depuis qu'elle a ra-
massé, pour en coiffer sa tête, le casque à
pointe que l'Allemagne avait laissé tomber,
depuis qu'elle a substitué au militarisme al-
lemand le militarisme français.
On ne peut excuser Ia brutalité française en se
servant de cet argument que les Allemands se
sont montrés sauvages en France. Si l'on adop-
tait cette thèse, il n'y aurait plus d'idéal chré-
tien. Les gentlemen n'insultent jamais la brute,
ils n'insultent pas la mère ou les enfants d'un
homme qui les a insultés ; ils ne flagellent pas
des personnes sans défense.
Et pourtant voilà ce que fait la France en
Allemagne. Parce qu'ils se souviennent des
atrocités commises à Lille et dans les autres
villes occupées par les Allemands pendant
la guerre, les Français se servent du fouet
contre des citoyens allemands, en temps de
paix ; ils lancent des charges de cavalerie
arabe contre des foules allemandes. Ils met-
tent des menottes aux mains des maires, ils
terrorisent les villes industrielles où les ou-
vriers refusent de travailler sous les baïon-
netes françaises, et tout cela pourquoi ?
Parce que le gouvernement allemand pré-
tend qu'il ne peut verser des sommes d'ar-
gent que les experts français, anglais et
américains ont estimé supérieures à la ca-
pacité de paiement de l'Allemagne.
L'activité industrielle de l'Allemagne est ar-
rêtée et le nombre des affamés augmente, ainsi
que celui des enfants rachitiques. C'est un retour
vers la barbarie ; car il ne faut pas oublier que
nous sommes en paix, d'ailleurs, tous les Alle-
mands n'ont pas commis, pendant la guerre, des
actes de brutalité. C'est l'opinion de beaucoup
de Français, mais on ne leur permet, pas de
faire entendre leur voix dans la presse.
Il y a des millions de gens en Angleterre,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Dauphin Léopold Dauphin Léopold /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Dauphin Léopold" or dc.contributor adj "Dauphin Léopold")Ronde des quatre saisons. La Petite mendiante. Zlélica ou la Princesse noire. Poésie de Léon Valade... 26 Illustrations de B. de Monvel, Poirson, etc. /ark:/12148/btv1b10076737x.highres Un mariage en Chine, opérette bouffe en 1 acte paroles de Emile et Edouard Clerc /ark:/12148/bpt6k11843924.highres
- Auteurs similaires Dauphin Léopold Dauphin Léopold /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Dauphin Léopold" or dc.contributor adj "Dauphin Léopold")Ronde des quatre saisons. La Petite mendiante. Zlélica ou la Princesse noire. Poésie de Léon Valade... 26 Illustrations de B. de Monvel, Poirson, etc. /ark:/12148/btv1b10076737x.highres Un mariage en Chine, opérette bouffe en 1 acte paroles de Emile et Edouard Clerc /ark:/12148/bpt6k11843924.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62391598/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62391598/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62391598/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62391598/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62391598
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62391598
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62391598/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest