Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 avril 1923 11 avril 1923
Description : 1923/04/11 (T23,N2324). 1923/04/11 (T23,N2324).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239157f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
-' MINISTÈRE
DES
ih FAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2324
Mercredi 11 avril 1923
¡ Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
E ALLEMANDE. — Le voyage de M. Lou-
cheur et l'article du Daily Telegraph
l!JerlineT Borsen-Courier). — Répara-
j tions et sécurité ; un manifeste alde-
! ttiand (Deutsche Allgemeine Zeitung).
; «T-SSE AMÉRICAINE. — L'attitude des Etats-
'Ellis envers ).a Société des nations (New
rorl; Times). — Les Etats-Unis et
l'Amérique latine (William H. Crawford
d-ans New York Times).
REssE ANGLAISE. — Le voyage de AI. Lou-
cheur et l'article du Daily Telegraph
> (Daily Telegraph, Times). — L'admi-
■ lllstration du territoire de la Sarre (H.
i Wilson Harris dans Daily News). — La
'Presse française et l'Entente : « Les ar-
tooles anti-britanniques ; un démenti de
^1- Poincaré » (Daily Telegraph).
i POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'LE VOYAGE DE M. LOUCHEUR ET
eelICLE DU « DAILY TELEGRAPH »
A. BULLETIN, IR 2323]. — PRESSE ANGLAISE, — Le
!l¡.;{Jl'I'C'spolldunt diplomatique » du Daily Tele-
l'W signale les bruits qui circulent à Paris au
Kt d une prochaine conférence interalliée.
1 * \1 les milieux officiels britanniques, ni
1 * milieux français de Londres n'avaient
e?tt confirmation hier, jusqu'à une heure
1 Cee de la journée, des bruits émanant
cep. suivant lesquels il se tiendrait,
~s un avenir prochain, une conférence
!-s quatre puissances alliées, au sujet des
,epur.ations. et donnant à entendre que les
; ^bassadeurs britannique et italien assiste-
ront, ainsi que M. Loucheur, aux conversa-
0lls qui doivent se tenir cette semaine a
11 fUIS entre les ministres français et belges.
Pst- aussi agréable que significatif de cons-
01 que des bruits de ce genre ont pu être
oy .l'.S dans la capitale française et qu'ils y
t rouvé créance et bon accueil. Car ce
:ut uiontre à quel point l'opinion publique
üPPl'ouve en France la politique de M. Lou-
rve"r tendant à une reprise prochaine entre
¡s qUatre puissances alliées de leur colla-
loti pi-imitive Il m'a été dit que le mou-
lent en faveur de cette collaboration n'a
f e (lcrueilJi nulle part avec plus de faveur
? dans les milieux italiens, officiels et
r0'S' où l'on envisage également avec plai-
*i î > ^a. possibilité d'une visite prochaine de
M. Loucheur à Rome. L'idée, reprise au-
jourd'hui dans certains milieux ouvertement
ou secrètement hostiles à ce mouvement, et
suivant laquelle la Grande-Bretagne ne se-
rait consultée qu'après la conclusion d'un
accord entre la France, la Belgique et l'Ita-
lie, est naturellement tournée en dérision
dans la Péninsule.
Je tiens à insister encore sur le fait, si-
gnalé hier déjà dans ces colonnes, qu'en
donnant son approbation définitive aux
grandes lignes de la politique exposée à
Londres par M. Loucheur, avec tout au
moins l'assentiment du Président de la Ré-
publique et du président du Conseil, le gou-
vernement français ne ferait mine ni de fai-
blir dans sa résolution d'arracher à l'Alle-
magne son consentement à un plan de ré-
parations et de sécurité pour la France, ni
même de s'écarter, au préjudice de la
France, des principes posés par M. Poincaré
lui-même à la conférence tenue à Paris, au
mois de janvier. Le premier ministre fran-
çais a accepté, à cette conférence, comme
montant total de l'indemnité, le chiffre de
50 milliards de marks-or, à condition que
sur ces 50 milliards il en fût attribué 26 à
»'-( France et que, sur les obligations C de
l'état de paiements établi à Londres en 1921,
il fût réservé un nombre suffisant pour li-
bérer la France de ses dettes envers des
Etats-Unis et la Grande-Bretagne dans la
mesure où ces Etats en demanderaient le
paiement. La proposition Loucheur, telle
que je la comprends, est que le paiement de
ces. dettes, s'il est exigé, se fasse dans les
limites du solde des 50 milliards restants
après la déduction des sommes dues à la
France, à la Belgique et, probablement, à
l'Italie pour le compte de leurs régions dé-
vastées. Dans ces conditions, il ne serait
pas demandé à la France de consentir à au-
cun nouveau sacrifice financier, venant
s'ajouter à ceux auxquels M. Poincaré avait
donné son adhésion en janvier. De fait, les
nouveaux sacrifices seraient supportés par
la Grande-Bretagne, qui serait invitée à re-
noncer à toutes ses créances au titre des
réparations (notamment des pensions) et
d'annuler la totalité des dettes de ses alliés.
au lieu des 71 proposés, à certaines con-
ditions, par M. Bonar Law.
On voit que la France ne risque pas de
perdre quoi que ce soit par rapport au
projet de janvier si le nouveau projet fran-
çais est adopté. D'ailleurs, si on l'examine
avec soin, la déclaration attribuée à M.
Poincaré. suivant laquelle la France ne
pourra ni ne voudra évacuer complètement
la Ruhr tant que les réparations n'auront
pas été entièrement payées, n'est pas néces-
sairement contraire aux idées Que l'on prête
aujourd'hui à M. Loucheur. La régularité
des prestations en nature provenant de cette
région pourrait être assurée et contrôlée par
les soins d'une commission internationale
d'experts, dont la tâche pourrait, en vertu
d'un accord conclu avec le Reich, s'accom-
plir d'une manière efficace avec un mini-
mum d'occupation militaire, minimum qui
irait en décroissant à condition que les obli-
gations allemandes fussent exécutées à la
lettre.
On est porté à s'attendre à une prompte
déclaration de Berlin. Il faut espérer que
cette déclaration contiendra une offre vrai-
ment concrète. Plus d'une offre de ce genre
a été préparée, mais n'a pu être présentée
par suite des divergences d'opinions qui rè-
gnent dans les plus hautes sphères alleman-
des.
L'ambassadeur de France revient aujour-
d'hui de Paris, où il a conféré avec M. Poin-
caré. Il se peut qu'il soit porteur de commu-
nications importantes de la part du gouver-
nement. (français. — (Du correspondant di-
plomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 10.4.
— Par ailleurs. le Daily Telegraph expose
dans un éditorial les raisons qui l'ont poussé à
publier un plan nouveau de réparationse; il se 03:
fuse à admettre que la question des réparations
et le problème de la Ruhr intéressent exclusive-
ment la France et la Belgique, d'une part, et
l'Allemagne, de l'autre, comme l'ont prétendu
certains journaux français.
Les principes du règlement esquissé par
notre collaborateur résultaient exclusive-
ment d'un examen de l'opinion française. Il
est exact d'ailleurs que les vues exposées
dans ce plan n'ont pas reçu en France jus-
qu'à présent une expression très vigoureu-
se, et c'est précisément pour cette raison
que nous avons cru devoir prendre l'initia-
tive qui a soulevé tant de commentaires. Les
discussions auxquelles ce plan a donné lieu
en France prouvent suffisamment qu'il n'est
pas d'origine britannique. Des journaux très
influents et en relations étroites avec le gou-
vernement français ont reconnu que le pro-
jet publié par nous correspondait sur beau-
coup de points avec les idées en faveur, dans
les milieux que nous signalions. M. Lou-
cheur, de son côté, a déclaré qu'à part cer-
taines réserves, ses vues s'accordaient avec
celles que nous avions exposées. Nous
avons espoir et confiance que la publication
de ces suggestions a stimulé des deux côtés
du Détroit la pensée des milieux politiques
et fait naître le sentiment qu'il conviendrait
peut-être de reviser jusqu'à un certain point
la ligne de conduite adoptée jusqu'à présent.
La situation en fait ne s'améliore pas. Le
danger d'une catastrophe européenne n'a
point diminué ; il s'est rapproché au contrai-
re, à mesure que le temps s'écoulait. Aussi
comprend-on de plus en plus que les problè-
mes connexes des réparations et de la sé-
curité doivent être abordés rapidement et
DES
ih FAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2324
Mercredi 11 avril 1923
¡ Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
E ALLEMANDE. — Le voyage de M. Lou-
cheur et l'article du Daily Telegraph
l!JerlineT Borsen-Courier). — Répara-
j tions et sécurité ; un manifeste alde-
! ttiand (Deutsche Allgemeine Zeitung).
; «T-SSE AMÉRICAINE. — L'attitude des Etats-
'Ellis envers ).a Société des nations (New
rorl; Times). — Les Etats-Unis et
l'Amérique latine (William H. Crawford
d-ans New York Times).
REssE ANGLAISE. — Le voyage de AI. Lou-
cheur et l'article du Daily Telegraph
> (Daily Telegraph, Times). — L'admi-
■ lllstration du territoire de la Sarre (H.
i Wilson Harris dans Daily News). — La
'Presse française et l'Entente : « Les ar-
tooles anti-britanniques ; un démenti de
^1- Poincaré » (Daily Telegraph).
i POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'LE VOYAGE DE M. LOUCHEUR ET
eelICLE DU « DAILY TELEGRAPH »
A. BULLETIN, IR 2323]. — PRESSE ANGLAISE, — Le
!l¡.;{Jl'I'C'spolldunt diplomatique » du Daily Tele-
l'W signale les bruits qui circulent à Paris au
Kt d une prochaine conférence interalliée.
1 * \1 les milieux officiels britanniques, ni
1 * milieux français de Londres n'avaient
e?tt confirmation hier, jusqu'à une heure
1 Cee de la journée, des bruits émanant
cep. suivant lesquels il se tiendrait,
~s un avenir prochain, une conférence
!-s quatre puissances alliées, au sujet des
,epur.ations. et donnant à entendre que les
; ^bassadeurs britannique et italien assiste-
ront, ainsi que M. Loucheur, aux conversa-
0lls qui doivent se tenir cette semaine a
11 fUIS entre les ministres français et belges.
Pst- aussi agréable que significatif de cons-
01 que des bruits de ce genre ont pu être
oy .l'.S dans la capitale française et qu'ils y
t rouvé créance et bon accueil. Car ce
:ut uiontre à quel point l'opinion publique
üPPl'ouve en France la politique de M. Lou-
rve"r tendant à une reprise prochaine entre
¡s qUatre puissances alliées de leur colla-
loti pi-imitive Il m'a été dit que le mou-
lent en faveur de cette collaboration n'a
f e (lcrueilJi nulle part avec plus de faveur
? dans les milieux italiens, officiels et
r0'S' où l'on envisage également avec plai-
*i î > ^a. possibilité d'une visite prochaine de
M. Loucheur à Rome. L'idée, reprise au-
jourd'hui dans certains milieux ouvertement
ou secrètement hostiles à ce mouvement, et
suivant laquelle la Grande-Bretagne ne se-
rait consultée qu'après la conclusion d'un
accord entre la France, la Belgique et l'Ita-
lie, est naturellement tournée en dérision
dans la Péninsule.
Je tiens à insister encore sur le fait, si-
gnalé hier déjà dans ces colonnes, qu'en
donnant son approbation définitive aux
grandes lignes de la politique exposée à
Londres par M. Loucheur, avec tout au
moins l'assentiment du Président de la Ré-
publique et du président du Conseil, le gou-
vernement français ne ferait mine ni de fai-
blir dans sa résolution d'arracher à l'Alle-
magne son consentement à un plan de ré-
parations et de sécurité pour la France, ni
même de s'écarter, au préjudice de la
France, des principes posés par M. Poincaré
lui-même à la conférence tenue à Paris, au
mois de janvier. Le premier ministre fran-
çais a accepté, à cette conférence, comme
montant total de l'indemnité, le chiffre de
50 milliards de marks-or, à condition que
sur ces 50 milliards il en fût attribué 26 à
»'-( France et que, sur les obligations C de
l'état de paiements établi à Londres en 1921,
il fût réservé un nombre suffisant pour li-
bérer la France de ses dettes envers des
Etats-Unis et la Grande-Bretagne dans la
mesure où ces Etats en demanderaient le
paiement. La proposition Loucheur, telle
que je la comprends, est que le paiement de
ces. dettes, s'il est exigé, se fasse dans les
limites du solde des 50 milliards restants
après la déduction des sommes dues à la
France, à la Belgique et, probablement, à
l'Italie pour le compte de leurs régions dé-
vastées. Dans ces conditions, il ne serait
pas demandé à la France de consentir à au-
cun nouveau sacrifice financier, venant
s'ajouter à ceux auxquels M. Poincaré avait
donné son adhésion en janvier. De fait, les
nouveaux sacrifices seraient supportés par
la Grande-Bretagne, qui serait invitée à re-
noncer à toutes ses créances au titre des
réparations (notamment des pensions) et
d'annuler la totalité des dettes de ses alliés.
au lieu des 71 proposés, à certaines con-
ditions, par M. Bonar Law.
On voit que la France ne risque pas de
perdre quoi que ce soit par rapport au
projet de janvier si le nouveau projet fran-
çais est adopté. D'ailleurs, si on l'examine
avec soin, la déclaration attribuée à M.
Poincaré. suivant laquelle la France ne
pourra ni ne voudra évacuer complètement
la Ruhr tant que les réparations n'auront
pas été entièrement payées, n'est pas néces-
sairement contraire aux idées Que l'on prête
aujourd'hui à M. Loucheur. La régularité
des prestations en nature provenant de cette
région pourrait être assurée et contrôlée par
les soins d'une commission internationale
d'experts, dont la tâche pourrait, en vertu
d'un accord conclu avec le Reich, s'accom-
plir d'une manière efficace avec un mini-
mum d'occupation militaire, minimum qui
irait en décroissant à condition que les obli-
gations allemandes fussent exécutées à la
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On est porté à s'attendre à une prompte
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cette déclaration contiendra une offre vrai-
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par suite des divergences d'opinions qui rè-
gnent dans les plus hautes sphères alleman-
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L'ambassadeur de France revient aujour-
d'hui de Paris, où il a conféré avec M. Poin-
caré. Il se peut qu'il soit porteur de commu-
nications importantes de la part du gouver-
nement. (français. — (Du correspondant di-
plomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 10.4.
— Par ailleurs. le Daily Telegraph expose
dans un éditorial les raisons qui l'ont poussé à
publier un plan nouveau de réparationse; il se 03:
fuse à admettre que la question des réparations
et le problème de la Ruhr intéressent exclusive-
ment la France et la Belgique, d'une part, et
l'Allemagne, de l'autre, comme l'ont prétendu
certains journaux français.
Les principes du règlement esquissé par
notre collaborateur résultaient exclusive-
ment d'un examen de l'opinion française. Il
est exact d'ailleurs que les vues exposées
dans ce plan n'ont pas reçu en France jus-
qu'à présent une expression très vigoureu-
se, et c'est précisément pour cette raison
que nous avons cru devoir prendre l'initia-
tive qui a soulevé tant de commentaires. Les
discussions auxquelles ce plan a donné lieu
en France prouvent suffisamment qu'il n'est
pas d'origine britannique. Des journaux très
influents et en relations étroites avec le gou-
vernement français ont reconnu que le pro-
jet publié par nous correspondait sur beau-
coup de points avec les idées en faveur, dans
les milieux que nous signalions. M. Lou-
cheur, de son côté, a déclaré qu'à part cer-
taines réserves, ses vues s'accordaient avec
celles que nous avions exposées. Nous
avons espoir et confiance que la publication
de ces suggestions a stimulé des deux côtés
du Détroit la pensée des milieux politiques
et fait naître le sentiment qu'il conviendrait
peut-être de reviser jusqu'à un certain point
la ligne de conduite adoptée jusqu'à présent.
La situation en fait ne s'améliore pas. Le
danger d'une catastrophe européenne n'a
point diminué ; il s'est rapproché au contrai-
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