Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 avril 1923 09 avril 1923
Description : 1923/04/09 (T23,N2322). 1923/04/09 (T23,N2322).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239155m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
*,SISTÈRE
DES
HEs ÉTRANGÈRES
N° 2322
Lundi 9 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraita,.
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SEssi-
~~,.~LF~tA:\u).;. - Le voyage de M. Lou-
rjjj en Grande-Bretagne ? l'article
rllC y Tclcljl'aph du 5 avril (Vossis-
ti-lig
't~~E -
rle ^:|Uf:\i\E. — Les frais doccupation
f]e arrnée américaine (Chicago Daily
Jf)llrl:nc). - Achats et suppressions de
h\\ 111aux américains (Nation).
PRESSE ANGLA ,USE. - Le voyage de ~l. Lou-
r, — Le voyage de M. Lou-
x„n ! en Grande-Bretagne (Observer,
'I( al Tîntes, Daily Chronicle ) — La
f|o j a§ilnde allemande et roccupation
IfY;til Ruhr (Daily News). - Les pers-
Ves de l'Entente (Westminster Ga-
;e
FC ITALIEX\E:. — L'incident des usines
Krupp. le 31 mars (Slmnpa)
^ITIQÏÏE GENERALE
tt LES RÉPARATIONS
SÎStGE DE M. LOUCHEUR EN
!,','JQs ^TAGNE. - PRESSE ANGLAISE.
.I ^re : « Le point de vue français
inadmissible — Loucheurne fait
1. L oilicli eu-r n e fa i t
'(j'une e du gouvernement français, mais
'Iltt&il Part, ill trouve une solution que
/l'ï'tiit accepter le gouvernement britan-
I?eet J|Ue> d'autre part, il s'assure un
,;QtCqté PPUI en France, la politique de M.
'D¡¡r'illtr sera probablement condamnée à
(ltre
j, t :\1. Loucheur a montré pendant
i' %-;q £ en Grande-Bretagne qu'il sou-
Ve fle sur un point important, la po-
~~tj Poincaré. C'est pourquoi ses
';ii ^Pa]^ n'ont Pu entrer dans la sphère
ê lque pratique. Il diffère de M.
en ce qu'il reconnait, que l'état de
^i au mois de mai 1921 est
îj^taj0 a Irréalisable mais il est d'ac
avec M Poincaré, comme le sont d ail-
C ViteS les fractions de l'opinion pu-
'i fr-i"^!80' excepté l'extrême-gauche,
le maintien, sous une forme
k s Uh autre, de la mainmise française
) b,
k henanie.
S 'it
que .'q\li 'de, vye du gouvernement hn~an.
\ïSe & a été exposé avec une entière
V~ent :\1. Loucheur, est que tout rap-
V 110llt franco-britannique doit se subs-
er, non Il Pas s'üdJ'oindre à la politiql¡.e
\as s'adjoindre à la politique
ançaise actuelle dans la Ruhr. Manifeste-
■ le rfnUvernernent britannique ne sau-
rait se prêter au démembrement du Reich,
que ce démembrement se fasse brutalement
et ouvertement, ou sous le voile de la Socié-
té des nations, ou d'une administration in-
ternationale de la Rhénanie, avec un con-
trôle franco-belge prépondérant. Ce point
de vue a été exposé nettement à M. Lou-
cheur qui, officiellement ou officieusement,
en fera part sans doute à M. Poincaré.
L'avantage essentiel qui découle de la vi-
site de M. Loucheur est qu'il s'est montré
disposé à accepter un chiffre se rapprochant
du chiffre énoncé au mois de janvier par M.
Bonar Law. Il est vrai que M. Loucheur y
voit un élément de transaction, dont la con-
trepartie serait l'acceptation du plan fran-
çais pour la Rhénanie: ; il est vrai aussi que
le gouvernement britannique ne saurait ac-
cepter cette transaction, mais la glace est
rompue, et il sera peut-être possible d'ac-
cepter de nouvelles propositions émanant
du côté français.
On reconnaît, en Angleterre, que le gou-
vernement allemand pourrait jouer un rôle
important au cours des quelques semaines
qui vont suivre. En proposant, par exem-
ple, de payer une somme dont le montant
correspondrait au plan Bonar Law de jan-
vier, et qui, en même temps, aurait l'appui
de la tendance Loucheur en France, l'Alle-
magne exécuterait une manœuvre habile qui
permettrait peut-être de trouver une issue à
l'impasse de la Ruhr. - (Du correspondant
diplomatique.)
OBSERVER, RA.
- Sous le titre : « Une politique claire ».
- Il est regrettable que le Premier minis-
tre français actuel n'ait pas pu, comme M.
Briand, établir avec les hommes d'Etat an-
glais ces relations intimes qui si souvent
conduisent, à un accord politique et il est
compréhensible que M. Loucheur, avec sa
personnalité plus sympathique, ait réussi
à se frayer un passage à travers cette atmos-
phère glaciale qui a dernièrement envelop-
pé les négociations franco-britanniques.
D'autre part, il ne faut pas oublier que
l'aventure de la Ruhr est un échec économi-
que reconnu et que, si elle peut donner à la
France le sentiment, d'une sécurité tempo-
raire, aille a considérablement, accru la me-
nace de l'avenir. De plus, la résistane op-
posée par les Allemands a été plus formida-
ble qu'on ne s'y attendait, et à côté de l'an-
nonce d'une capitulation imminente, il faut
mettre les indications relatives ) leur ferme
intention de faire cette guerre d'usure avec
la même ténacité et le même esprit de sacri-
fice qui ont caractérisé leur lutte contre le
blocus organisé par les alliés pendant la
Grande Guerre.
Il est donc possible que M. Poincaré n'ar-
rive pas à mener sa politique à bonne fin,
et que les intérêts nationaux de la France,
sans parler des exigences de la situation in-
ternationale, viennent à rendre désirable
que quelque politicien moins rigide que lui
se charge de terminer l'entreprise qu'il a
commncée.
Dans ce cas, son successeur au poste de
Premier ministre ne pourrait guère se trou-
ver que dans un M. Loucheur qui. à une
égale volonté d'obtenir justice et sécurité
pour la France, jouit d'un esprit vif, un bril-
lant savoir-faire, une vaste expérience finan-
cière et industrielle, et ce qui est tout aussi
important, une politique à lui, claire, définie
et pratique.
Nous comprenons sans peine que M. Lou-
cheur soit reparti content des résultats de
son voyage. Il a su saisir le caractère an-
glais un peu mieux que la plupart de .ses
contemporains. Il a sans doute reconnu que
loin que les sentiments d'animosité si libre-
ment exprimés à Paris aient rencontré de la
réciprocité dans l'opinion anglaise, celle-ci
souhaite aussi vivement que M. Poincaré
lui-même que la France soit indemnisée des
torts qu'elle a soufferts et protégé contre
toute future injure.
L'objection faite ici ne concerne pas l'ob-
jet en vue, mais les moyens adoptés pour y
parvenir. — (Du correspondant diplomati-
que.)
SUNDAY TIMES, 8.4.
* Les comptes rendus des propositions
que M. Loucheur a discutées avec le Pre-
mier ministre, M. Lloyd George, et M. Bal-
dwin, sont trop vagues et trop tendancieux
pour permettre d'en juger facilement. Il
semble avoir ressuscité le vieux plan des
Chequers suivant lequel les dettes interal-
liées devaient être passées au compte de
l'Allemagne, - en fait abolies. Mais, entre
temps, nous payons l'Amérique, et l'Amé-
rique -ne s'est jamais montrée le moins du
monde disposée à accepter une aussi mau-
vaise garantie que des obligations alleman-
des différées, à la place de l'excellente ga-
rantie qu'elle a. Le plan de beaucoup le
meilleur en ce qui concerne les réparations
pures et simples était celui des Anglais à
la dernière conférence de Paris, et. M. Poin-
caré lui-même en a admis la générosité,
bien qu'il l'ait rejeté. Nous ne saurions
concevoir une meilleure base de discussion
des réparations que ce plan.
Quant à la garantie, M. Loucheur semble
avoir proposé une République rhénane sous
le contrôle de la Soiété des nations. Nous
avons chaudement, plaidé en faveur de l'idée
d'une zone démilitarisée,ce qui,à notre avis,
DES
HEs ÉTRANGÈRES
N° 2322
Lundi 9 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraita,.
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SEssi-
~~,.~LF~tA:\u).;. - Le voyage de M. Lou-
rjjj en Grande-Bretagne ? l'article
rllC y Tclcljl'aph du 5 avril (Vossis-
ti-lig
't~~E -
rle ^:|Uf:\i\E. — Les frais doccupation
f]e arrnée américaine (Chicago Daily
Jf)llrl:nc). - Achats et suppressions de
h\\ 111aux américains (Nation).
PRESSE ANGLA ,USE. - Le voyage de ~l. Lou-
r, — Le voyage de M. Lou-
x„n ! en Grande-Bretagne (Observer,
'I( al Tîntes, Daily Chronicle ) — La
f|o j a§ilnde allemande et roccupation
IfY;til Ruhr (Daily News). - Les pers-
Ves de l'Entente (Westminster Ga-
;e
FC ITALIEX\E:. — L'incident des usines
Krupp. le 31 mars (Slmnpa)
^ITIQÏÏE GENERALE
tt LES RÉPARATIONS
SÎStGE DE M. LOUCHEUR EN
!,','JQs ^TAGNE. - PRESSE ANGLAISE.
.I ^re : « Le point de vue français
inadmissible — Loucheurne fait
1. L oilicli eu-r n e fa i t
'(j'une e du gouvernement français, mais
'Iltt&il Part, ill trouve une solution que
/l'ï'tiit accepter le gouvernement britan-
I?eet J|Ue> d'autre part, il s'assure un
,;QtCqté PPUI en France, la politique de M.
'D¡¡r'illtr sera probablement condamnée à
(ltre
j, t :\1. Loucheur a montré pendant
i' %-;q £ en Grande-Bretagne qu'il sou-
Ve fle sur un point important, la po-
~~tj Poincaré. C'est pourquoi ses
';ii ^Pa]^ n'ont Pu entrer dans la sphère
ê lque pratique. Il diffère de M.
en ce qu'il reconnait, que l'état de
^i au mois de mai 1921 est
îj^taj0 a Irréalisable mais il est d'ac
avec M Poincaré, comme le sont d ail-
C ViteS les fractions de l'opinion pu-
'i fr-i"^!80' excepté l'extrême-gauche,
le maintien, sous une forme
k s Uh autre, de la mainmise française
) b,
k henanie.
S 'it
que .'q\li 'de, vye du gouvernement hn~an.
\ïSe & a été exposé avec une entière
V~ent :\1. Loucheur, est que tout rap-
V 110llt franco-britannique doit se subs-
er, non Il Pas s'üdJ'oindre à la politiql¡.e
\as s'adjoindre à la politique
ançaise actuelle dans la Ruhr. Manifeste-
■ le rfnUvernernent britannique ne sau-
rait se prêter au démembrement du Reich,
que ce démembrement se fasse brutalement
et ouvertement, ou sous le voile de la Socié-
té des nations, ou d'une administration in-
ternationale de la Rhénanie, avec un con-
trôle franco-belge prépondérant. Ce point
de vue a été exposé nettement à M. Lou-
cheur qui, officiellement ou officieusement,
en fera part sans doute à M. Poincaré.
L'avantage essentiel qui découle de la vi-
site de M. Loucheur est qu'il s'est montré
disposé à accepter un chiffre se rapprochant
du chiffre énoncé au mois de janvier par M.
Bonar Law. Il est vrai que M. Loucheur y
voit un élément de transaction, dont la con-
trepartie serait l'acceptation du plan fran-
çais pour la Rhénanie: ; il est vrai aussi que
le gouvernement britannique ne saurait ac-
cepter cette transaction, mais la glace est
rompue, et il sera peut-être possible d'ac-
cepter de nouvelles propositions émanant
du côté français.
On reconnaît, en Angleterre, que le gou-
vernement allemand pourrait jouer un rôle
important au cours des quelques semaines
qui vont suivre. En proposant, par exem-
ple, de payer une somme dont le montant
correspondrait au plan Bonar Law de jan-
vier, et qui, en même temps, aurait l'appui
de la tendance Loucheur en France, l'Alle-
magne exécuterait une manœuvre habile qui
permettrait peut-être de trouver une issue à
l'impasse de la Ruhr. - (Du correspondant
diplomatique.)
OBSERVER, RA.
- Sous le titre : « Une politique claire ».
- Il est regrettable que le Premier minis-
tre français actuel n'ait pas pu, comme M.
Briand, établir avec les hommes d'Etat an-
glais ces relations intimes qui si souvent
conduisent, à un accord politique et il est
compréhensible que M. Loucheur, avec sa
personnalité plus sympathique, ait réussi
à se frayer un passage à travers cette atmos-
phère glaciale qui a dernièrement envelop-
pé les négociations franco-britanniques.
D'autre part, il ne faut pas oublier que
l'aventure de la Ruhr est un échec économi-
que reconnu et que, si elle peut donner à la
France le sentiment, d'une sécurité tempo-
raire, aille a considérablement, accru la me-
nace de l'avenir. De plus, la résistane op-
posée par les Allemands a été plus formida-
ble qu'on ne s'y attendait, et à côté de l'an-
nonce d'une capitulation imminente, il faut
mettre les indications relatives ) leur ferme
intention de faire cette guerre d'usure avec
la même ténacité et le même esprit de sacri-
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blocus organisé par les alliés pendant la
Grande Guerre.
Il est donc possible que M. Poincaré n'ar-
rive pas à mener sa politique à bonne fin,
et que les intérêts nationaux de la France,
sans parler des exigences de la situation in-
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Dans ce cas, son successeur au poste de
Premier ministre ne pourrait guère se trou-
ver que dans un M. Loucheur qui. à une
égale volonté d'obtenir justice et sécurité
pour la France, jouit d'un esprit vif, un bril-
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cière et industrielle, et ce qui est tout aussi
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et pratique.
Nous comprenons sans peine que M. Lou-
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glais un peu mieux que la plupart de .ses
contemporains. Il a sans doute reconnu que
loin que les sentiments d'animosité si libre-
ment exprimés à Paris aient rencontré de la
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lui-même que la France soit indemnisée des
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toute future injure.
L'objection faite ici ne concerne pas l'ob-
jet en vue, mais les moyens adoptés pour y
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SUNDAY TIMES, 8.4.
* Les comptes rendus des propositions
que M. Loucheur a discutées avec le Pre-
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l'Allemagne, - en fait abolies. Mais, entre
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monde disposée à accepter une aussi mau-
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la dernière conférence de Paris, et. M. Poin-
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bien qu'il l'ait rejeté. Nous ne saurions
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Quant à la garantie, M. Loucheur semble
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le contrôle de la Soiété des nations. Nous
avons chaudement, plaidé en faveur de l'idée
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