Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 avril 1923 07 avril 1923
Description : 1923/04/07 (T23,N2321). 1923/04/07 (T23,N2321).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391546
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Xl I NI S T K l\ li
r. DES
f|. ^kes étrangères
N° 2321
Samedi 7 avril 1923
x
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
V,',• ALLEMANDE. - L'échec DO l'empruint-
cl lu situation financière de l'Alle-
fi r'! l
,N; AMÉRICAINE. — Les dépenses mili-
Jlr"e« de la Grande-Bretagne, de la
'«mce et des Etats-Unis (World, New
I; Tribune). — Les secours améri-
à la Russie (Public Ledger.) —
frais de l'occupation américaine
'f Yori.,,
Les dettes de la France et
1 Italie : une déclaratif))! du profes-
Pn Solio'rnan (World).
1' ANfîi.AisE. — Le voyage de M. Lou-
f.jleiu' en Grande-Bretagne (Daily Te-
j '■l,aph, 'Westminster Gazette). — Les
possibilités de négociations : les inten-
dc, l'Allemagne (Times). — Le
°^merèe britannique dans la zone de
,:O!ugne (Times). - Le Saint-Siège et
'JocUPation de la Ruhr (Times). — La
'?lldéUnnation des prélats catholiques
,'f les soviets (Daily Telegraph, Mor-
! ,II/a POSI).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
S DE M. LOUCHEUR EN
'"Bretagne. — * L'attitude plus
^(Igk aK'HDv* <'0s milieux 'les plus influents eu
i il l'égard d'un règlement avec l'Al-
tI¡, e u "1"
1, s îcf a'été signalée hier dans nos colon-
~k.) ", RUl[ptill n° ');{')Ül 11 s'y attache
Ie un caractère plus significatif par
~"t)~ lu presence en Angleterre de M.
Sv% f1 .; et du fait que celui-ci s'est entre-
l; Li,.^ i°urs- rlerniers, non seulement avec
ifriwç - ci George et des banquiers et indus-
Mi-g .LI)0l'tan[s. mais avec le Premier mi-
¡ y TI"]jans le Devonshire, et avec M Stan-
J'Ji seul ..ID aux Chequers. Ce fait suffirait
L lonri d ail,e justice de la suggestion que
~t Ur est venu en Angleterre unique-
St Jl 11'' affaires personnelles, même SI
«■W, r!' à cette visile qu'un caractère of-
1 ePerc oi l11'11 en soit, M. Loucheur est
n 1011<' ité avec laquelle doivent comp-
?e!es es hommes d'Etat français, ainsi
q: O.frt.r„ ^^ernements étrangers, son attilu-
Jftf! r,,,. L'^tique neutralité, et il a toujours
e rlu Président Millerand, qui a un
rnarfiué pour les solutions prati-
et. est, jamais long à abjurer les héré-
iqlles.
sans dire que le plan français le
plus modéré en ce qui concerne les répara-
tions ne sera jamais considéré comme tel en
Allemagne, pas plus qu'une offre allemande
même raisonnable ne serait agréée en Fran-
ce. C'est pourquoi le succès d'une tentative
de règlement quelconque paraît si peu pro-
bable sans la collaboration de la Grande-
Bretagne et de l'Italie. Il serait peut-être
à souhaiter que M. Loucheur, après avoir
complété son enquête en Angleterre, se ren-
dît en Italie avec le même objet.
En attendant, le gouvernement allemand
n'est pas encore décidé à faire publique-
ment une offre concrète, c'est-à-dire une
offre énonçant des chiffres en même temps
que des principes, tandis qu'en France les
milieux chauvins parlent, un peu à la légère
d'une nouvelle avance du côté du Sud. vers
les réservoirs d'essence de Regensburg, sur
le Danube, en Bavière. Aucun des alliés de
la France n'approuverait de nouveaux mou-
vements militaires de cette nature, et en
France même, aucun groupe ne l'approuve-
rait à l'exception de ceux qui tiennent à
empêcher tout règlement prochain.
Les vues des modérés français, dans la
mesure où on les connaît, ne peuvent man-
quer d'agrééer, sur les points essentiels, à
une partie considérable de l'opinion chez les
alliés et même chez les neutres, même si
elles prêtent à de nombreuses critiques sur
certains points techniques. C'est ainsi que
l'idée du .transfert à l'Allemagne de la dette
alliée française envers les Etats-Unis ne
trouve aucun accueil dans les milieux amé-
ricains. où l'on craint qu'elle n'implique le
danger pour les Etals-Unis d'être pris, mal-
gré eux. à l'engrenage des affaires euro-
péennes. Il me revient, d'ailleurs, que les
ambassadeurs américains dans les princi-
pales capitales ont récemment donné a en-
tendre nettement aux ministres et aux diplo-
mates alliés que Washington leur saurait
gré de quelque geste indiquant une dispo-
sition à prendre en sérieuse considération
les droits et lies espérances de leur créan-
cier américain.
pondant qu'à Strasbourg les délégués hol-
landes de la Commission internationale
font entendre une vigoureuse protestation
contre les récents enipiéteniejTts sur la li-
berté statutaire de la navigation du Rhin,
telle qu'elle est stipulée dans les articles
351 et -355 du traité de Versailles, le gou-
vernement suisse adresse à la France des
représentations au sujet du préjudice grave
porté au commerce et à l'industrie de la
Suisse par l'occupation française de l'em-
branchement d'Offenburg, sur la ligne de
Francfort à BAlo. Cette occupation a obligé
l'administration allemande des chemins de
fer à diriger le trafic des marchandises
suisses sur des lignes quelque peu resser-
rées du Wurtemburg et de la Bavière. Les
communications entre la Suisse et les p..Æts
allemands de la mer du Nord, la Tchéco-Slo-
vaquie et la Silésie se trouvent gravement
entravées de ce fait. Avant l'occupation de
la Ruhr, la Suisse importait de la Ruhr
15.000 tonnes de charbon et de coke par
mois : les livraisons se trouvent à peu près
suspendues depuis le 3 mars. En revanche,
le gouvernement suisse insiste sur les
égards réservés aux intérêts de la Suisse
dans la zone britannique de Cologne. Depuis
de nombreuses années la Suisse importe de
cette région 1.000 tonnes de briquettes par
mois, et ces livraisons se font encore avec
une régularité satisfaisante .—- (Du corres-
pondant diplomatique.)
fU/LY TELEC.RAPIl. 1.4,
-- Sous le titre : « La mission de M. Lou-
cheur. - * Le mystérieux M. Loucheur,
après avoir rendu visite à M. Lloyd George
à (Jiurt, s'est acheminé vers le Devonshire
où ill a ou une entrevue avec M. Bonar Law.
La déclaration suivant laquelle il ne se-
rait venu en Angleterre que pour affaires
personnels peut donc être tenue pour nulle
eit non avenue, son but étant de sonder
l'opinion politique anglaise responsable au
sujet de l'occupation de la Ruhr et de la
question des réparations.
Comme M. Loucheur passe pour être un
successeur possible de M. Poincaré, et
comme, il y a eu ces teimips derniers une
nouvelle poussée de rumeurs concernant la
possibilité d'un changement de gouverne-
ment en France, ses entrevues avec M. Bo-
nar Law et avec M. Lloyd George, à un
moment où M. Poincaré ne veut entendre
aucun conseil de provenance anglaise, sont
par tien 1 i è r e i n e n t intéressantes.
Sa visite suggère une nouvelle orientation
de la politique française et le désir de col-
laborer de nouveau avec la Grande-Breta-
gne en ce qui concerne le règlement du pro-
blème de la BUihr qui se fait de plus en
plus embrouillé tous les jours.
M. Loucheur déclarait récemment à Gre-
noble que la France n'avait aucune visée
annexionniste, mais qu'elle cherchait uni-
quement à s'assurer des réparations en oc-
cupant, la Ruhr. M. Poincaré a dit la mê-
me chose, mais on croit que M. Loucheur
serait disposé à aller beaucoup plus loin
que le président du Conseil en cherchant à
trouver un modus ricendi avec l'Allemagne.
Les négociations qu'il eut avec M. Ra-
thenau firent naître cette impression au
moment où fut rédigé ne projet de paiements
en nature de la part de l'Allemagne, pro-
jet qui par suite de l'invasion de la Ruhr
est resté sans effet.
Dans son récent discours. M. Loucheur se
déclarait partisan d'un statut spécial pour
les provinces rhénanes. Il soutenait qu'il
y avait lieu de constituer ces provinces en
r. DES
f|. ^kes étrangères
N° 2321
Samedi 7 avril 1923
x
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
V,',• ALLEMANDE. - L'échec DO l'empruint-
cl lu situation financière de l'Alle-
fi r'! l
,N; AMÉRICAINE. — Les dépenses mili-
Jlr"e« de la Grande-Bretagne, de la
'«mce et des Etats-Unis (World, New
I; Tribune). — Les secours améri-
à la Russie (Public Ledger.) —
frais de l'occupation américaine
'f Yori.,,
Les dettes de la France et
1 Italie : une déclaratif))! du profes-
Pn Solio'rnan (World).
1' ANfîi.AisE. — Le voyage de M. Lou-
f.jleiu' en Grande-Bretagne (Daily Te-
j '■l,aph, 'Westminster Gazette). — Les
possibilités de négociations : les inten-
dc, l'Allemagne (Times). — Le
°^merèe britannique dans la zone de
,:O!ugne (Times). - Le Saint-Siège et
'JocUPation de la Ruhr (Times). — La
'?lldéUnnation des prélats catholiques
,'f les soviets (Daily Telegraph, Mor-
! ,II/a POSI).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
S DE M. LOUCHEUR EN
'"Bretagne. — * L'attitude plus
^(Igk a
i il l'égard d'un règlement avec l'Al-
tI¡, e u "1"
1, s îcf a'été signalée hier dans nos colon-
~k.) ", RUl[ptill n° ');{')Ül 11 s'y attache
Ie un caractère plus significatif par
~"t)~ lu presence en Angleterre de M.
Sv% f1 .; et du fait que celui-ci s'est entre-
l; Li,.^ i°urs- rlerniers, non seulement avec
ifriwç - ci George et des banquiers et indus-
Mi-g .LI)0l'tan[s. mais avec le Premier mi-
¡ y TI"]jans le Devonshire, et avec M Stan-
J'Ji seul ..ID aux Chequers. Ce fait suffirait
L lonri d ail,e justice de la suggestion que
~t Ur est venu en Angleterre unique-
St Jl 11'' affaires personnelles, même SI
«■W, r!' à cette visile qu'un caractère of-
1 ePerc oi l11'11 en soit, M. Loucheur est
n 1011<' ité avec laquelle doivent comp-
?e!es es hommes d'Etat français, ainsi
q: O.frt.r„ ^^ernements étrangers, son attilu-
Jftf! r,,,. L'^tique neutralité, et il a toujours
e rlu Président Millerand, qui a un
rnarfiué pour les solutions prati-
et. est, jamais long à abjurer les héré-
iqlles.
sans dire que le plan français le
plus modéré en ce qui concerne les répara-
tions ne sera jamais considéré comme tel en
Allemagne, pas plus qu'une offre allemande
même raisonnable ne serait agréée en Fran-
ce. C'est pourquoi le succès d'une tentative
de règlement quelconque paraît si peu pro-
bable sans la collaboration de la Grande-
Bretagne et de l'Italie. Il serait peut-être
à souhaiter que M. Loucheur, après avoir
complété son enquête en Angleterre, se ren-
dît en Italie avec le même objet.
En attendant, le gouvernement allemand
n'est pas encore décidé à faire publique-
ment une offre concrète, c'est-à-dire une
offre énonçant des chiffres en même temps
que des principes, tandis qu'en France les
milieux chauvins parlent, un peu à la légère
d'une nouvelle avance du côté du Sud. vers
les réservoirs d'essence de Regensburg, sur
le Danube, en Bavière. Aucun des alliés de
la France n'approuverait de nouveaux mou-
vements militaires de cette nature, et en
France même, aucun groupe ne l'approuve-
rait à l'exception de ceux qui tiennent à
empêcher tout règlement prochain.
Les vues des modérés français, dans la
mesure où on les connaît, ne peuvent man-
quer d'agrééer, sur les points essentiels, à
une partie considérable de l'opinion chez les
alliés et même chez les neutres, même si
elles prêtent à de nombreuses critiques sur
certains points techniques. C'est ainsi que
l'idée du .transfert à l'Allemagne de la dette
alliée française envers les Etats-Unis ne
trouve aucun accueil dans les milieux amé-
ricains. où l'on craint qu'elle n'implique le
danger pour les Etals-Unis d'être pris, mal-
gré eux. à l'engrenage des affaires euro-
péennes. Il me revient, d'ailleurs, que les
ambassadeurs américains dans les princi-
pales capitales ont récemment donné a en-
tendre nettement aux ministres et aux diplo-
mates alliés que Washington leur saurait
gré de quelque geste indiquant une dispo-
sition à prendre en sérieuse considération
les droits et lies espérances de leur créan-
cier américain.
pondant qu'à Strasbourg les délégués hol-
landes de la Commission internationale
font entendre une vigoureuse protestation
contre les récents enipiéteniejTts sur la li-
berté statutaire de la navigation du Rhin,
telle qu'elle est stipulée dans les articles
351 et -355 du traité de Versailles, le gou-
vernement suisse adresse à la France des
représentations au sujet du préjudice grave
porté au commerce et à l'industrie de la
Suisse par l'occupation française de l'em-
branchement d'Offenburg, sur la ligne de
Francfort à BAlo. Cette occupation a obligé
l'administration allemande des chemins de
fer à diriger le trafic des marchandises
suisses sur des lignes quelque peu resser-
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vaquie et la Silésie se trouvent gravement
entravées de ce fait. Avant l'occupation de
la Ruhr, la Suisse importait de la Ruhr
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mois : les livraisons se trouvent à peu près
suspendues depuis le 3 mars. En revanche,
le gouvernement suisse insiste sur les
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dans la zone britannique de Cologne. Depuis
de nombreuses années la Suisse importe de
cette région 1.000 tonnes de briquettes par
mois, et ces livraisons se font encore avec
une régularité satisfaisante .—- (Du corres-
pondant diplomatique.)
fU/LY TELEC.RAPIl. 1.4,
-- Sous le titre : « La mission de M. Lou-
cheur. - * Le mystérieux M. Loucheur,
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où ill a ou une entrevue avec M. Bonar Law.
La déclaration suivant laquelle il ne se-
rait venu en Angleterre que pour affaires
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eit non avenue, son but étant de sonder
l'opinion politique anglaise responsable au
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question des réparations.
Comme M. Loucheur passe pour être un
successeur possible de M. Poincaré, et
comme, il y a eu ces teimips derniers une
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possibilité d'un changement de gouverne-
ment en France, ses entrevues avec M. Bo-
nar Law et avec M. Lloyd George, à un
moment où M. Poincaré ne veut entendre
aucun conseil de provenance anglaise, sont
par tien 1 i è r e i n e n t intéressantes.
Sa visite suggère une nouvelle orientation
de la politique française et le désir de col-
laborer de nouveau avec la Grande-Breta-
gne en ce qui concerne le règlement du pro-
blème de la BUihr qui se fait de plus en
plus embrouillé tous les jours.
M. Loucheur déclarait récemment à Gre-
noble que la France n'avait aucune visée
annexionniste, mais qu'elle cherchait uni-
quement à s'assurer des réparations en oc-
cupant, la Ruhr. M. Poincaré a dit la mê-
me chose, mais on croit que M. Loucheur
serait disposé à aller beaucoup plus loin
que le président du Conseil en cherchant à
trouver un modus ricendi avec l'Allemagne.
Les négociations qu'il eut avec M. Ra-
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moment où fut rédigé ne projet de paiements
en nature de la part de l'Allemagne, pro-
jet qui par suite de l'invasion de la Ruhr
est resté sans effet.
Dans son récent discours. M. Loucheur se
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