Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 avril 1923 06 avril 1923
Description : 1923/04/06 (T23,N2320). 1923/04/06 (T23,N2320).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239153s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
^IRES ÉTRANGÈRES
N° 2320
Vendredi 6 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. - Les réparations : les
Possibilités de négociations (von Rhein-
babetn dans Vossische Zeitung).
RE*SE ANGLAISE. — Réparations et sécurité
Wally Telegraph). — L'incident des usi-
nes Krupp, le 31 mars (Manchester
Guardian). — Le régime des prisons en
Allemagne occupée (George Renwick
aris Daily Chronicle). — Les perspec-
tives de l'Entente (J. Spender dans
Westminster Gazette). - La condamna-
tion des prélats catholiques par les so-
viets (Times).
Pnt&:;E ESPAGNOLE. — L'occupation de la
Ruhr (Ramon de Olascoaga dans De-
bate). 0
1
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
Réparations ET SECURITE. — Sous
litl'e : « LE PROBLf:ME DES RÉPARATIONS. -
****** D'UNE SOLUTION. - PLANS POSSI-
<.,,;~ le Daily Telegraph publie l'article
tant:
~< y a du moins un bon côté à la grave
situ ation actuelle dans la Ruhr — j'entends
le fait indiscutable qu'il oblige les éléments
sérieux de l'opinion politique de tous les
pays, mais surtout en Angleterre et en
France, à se rendre compte qu'il faut ab-
solument trouver une solution prochaine
7°ul>le problème des réparations et de
la sécurité, si l'on veut éviter une catastro-
eUroP^enne- Bien que des conceptions
singulières du point de vue financier et
des plans d'annexion à peine déguisés sem-
iw enc°re trouver faveur auprès d'un bon
eu. r,e de journaux parisiens, on se préoc-
cupe de plus en plus de la recherche d'une
solution pratique, dans les milieux officiels
fiu 1) et on se montre très sensible à l'in-
ki s • genéral manifesté en Angleterre pour
la sécurité future de la France. J'ai lieu de
croire que (jes hommes politiques et des
chefs militaires éminents ont accueilli, de
~i~ çôté du Détroit, avec beaucoup de
satisfaction , ce témoignage nouveau de notre
amitié pour la France : les hommes d Etat,
%i ^'ticulior, ont pu étudier les problèmes
qui »,e Posent aujourd'hui, en se plaçant à
un point de vue plus large et plus pratique
que par le passé. Je vous donne ci-dessous
quelques indications au sujet de l'orienta-
tion C^e^e de l'opinion, parmi les esprits
les plus ouverts et les plus capables des
sphères influentes, y compris quelques-unes
des plus hautes personnalités de la France.
I. — RÉPARATIONS. — Les divers gouverne-
ments qui se sont succédé en France ont
revendiqué, à maintes reprises, un droit de
priorité en faveur des régions dévastées.
Comme il est désormais admis que l'indem-
nité totale devra être réduite à un chiffre
relativement modeste, on fait valoir aujour-
d'hui avec une certaine force que la majo-
rité des paiements et des livraisons devrait
être consacrée à la reconstitution des pro-
vinces envahies. La demande minima de la
France à ce titre s'élève après réduction à
26 milliards de marks.
D'autre part, on propose le transfert des
dettes des puissances de l'Entente envers les
Etats-Unis au compte de l'Allemagne ; grâce
à cette procédure, ajoute-t-on, la demande
émise par la Grande-Bretagne du paiement
par les alliés d'une somme proportionnelle
à la dette qu'elle a elle-même contractée en-
vers les Etats-Unis recevrait également sa-
tisfaction, mais par les soins du Reich. On
suppose également notre renonciation com-
plète aux réparations, en matière de pen-
sions. Il est permis de se demander à ce
sujet si l'Amérique, qui a refusé à maintes
reprises d'accepter de la part des alliés des
bons émis par l'Allemagne, au lieu d'un
remboursement direct, consentirait à cette
transaction. Les partisans de ce projet ré-
pondent à cette objection que les dettes du
Reich, qu'elles rentrent dans d'une ou l'au-
tre catégorie, seraient acquittées, en ce qui
concerne les paiements en espèces, au
moyen d'emprunts internationaux, et que
leur commercialisation fournirait toutes les
garanties nécessaires, supérieures même à
celles que donnerait le crédit d'un Etat
quelconque. Mais il serait dangereux de
compter, comme le font certains Français,
que les Etats-Unis feront remise à une date
peu éloignée de la dette française et même
du solde de la dette britannique, en raison
"i préjudice qu'un remboursement intégral
apporterait au commerce américain.
Vraisemblablement, le produit des em-
prunts internationaux serait employé con-
curremment, mais dans une proportion iné-
gale, aux réparations et au remboursement
de la dette aux Etats-Unis : si cette dernière
opération devait en effet être ajournée jus-
qu'à ce que les demandes de réparations
aient reçu satisfaction complète, il serait im-
possible de réduire la valeur capitalisée du
montant à rembourser ainsi à environ 15
milliards de marks-or, au lieu d'une som-
me dépassant 40 milliards.
Le total combiné des réparations et des
versements effectués au titre des dettes se
rapprocherait sensiblement du chiffre men-
tionné dans les mémorandums soumis en
jarvier dernier, à la conférence de Paris,
par la Grande-Bretagne, la France et l'Ita-
lie, soit cinquante milliards.
Les industriels allemands seraient invités
à fournir des garanties sérieuses ; d'autre
part, Berlin a déjà reconnu qa nécessité
d'une surveillance internationale rigoureuse
des finances du Reich. L'Allemagne obtien-
drait naturellement un moratoire important.
II. — SÉCURITÉ. — Il est plus facile de
résumer les opinions qui se manifestent à
cet égard. Il y aurait une évacuation gra-
duelle mais rapide de la Ruhr et des autres
territoires occupés sur la rive droite du
Rhin, à condition que les paiements et les
livraisons soient effectués régulièrement par
l'Allemagne. Aucun régime spécial ne se-
rait établi sur la rive droite, à l'exception
de la zone neutre stipulée par le Traité de
Versailles. Toutefois, la Rhénanie occiden-
tale deviendrait un Etat fédéral au même ti-
tre que liai République de Bade ou de Wur-
temberg, et faisant partie du Reich ; le but
de cette mesure serait de mettre fin à l'ad-
ministration prussienne, accusée par les
Français d'entretenir la haine de la France
et de favoriser l'idée de revanche. La dif-
férence établie entre le Prussien et l'Alle-
mand du Sud pourrait bien être une illusion,
mais nos alliés y tiennent beaucoup, même
lorsqu'il s'agit du Bavarois, aujourd'hui le
Junker par excellence. La République de
Rhénanie occidentale ainsi constituée de-
meurerait partie intégrante du Reich, du
triple point de vue politique, économique et
administratif, mais serait démilitarisée sous
la surveillance de la Société des nations ;
aucun contingent allemand n'y serait recru-
té ou n'y pourrait tenir garnison.
En dernier lieu, le Reich devrait conclure
un pacte solennel de non-agression avec les
autres puissances occidentales ; ce pacte au-
rait de préférence le caractère d'une enten-
te régionale, comme le prévoit l'article 10
du Traité. De cette façon, si l'Allemagne
effectuait régulièrement ses paiements et
ses livraisons, l'évacuation par les troupes
alliées de la Rhénanie occidentale elle-même
pourrait avoir lieu avant la date prévue
dans le Traité de Versailles.
Reste la question de l'enclave de la Sarre ;
la solution la plus simple serait de lui faire
partager le sort de l'Etat rhénan projeté.
tout en maintenant le droit de la France sur
le charbon extrait dans la région. Mais on
propose aussi qu'elle soit érigée immédiate-
ment en Etat autonome sous les auspices d1*»
la Société des nations, au lieu d'attendre
que son avenir soit réglé par un plébiscite
dans un délai de quinze ans
Il conviendrait de soumettre les détails
d'un tel plan à une étude aussi minutieuse
qu'approfondie, mais autant qu'on en peut
juger par ses grands traits, il mérite cer-
tainement de recevoir l'attention la plus vive
et la plus sympathique de ce côté du Dé-
troit. — (Du rédacteur diplomatique.
DAILY TELEGRAPH, 5.4.
DES
^IRES ÉTRANGÈRES
N° 2320
Vendredi 6 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ALLEMANDE. - Les réparations : les
Possibilités de négociations (von Rhein-
babetn dans Vossische Zeitung).
RE*SE ANGLAISE. — Réparations et sécurité
Wally Telegraph). — L'incident des usi-
nes Krupp, le 31 mars (Manchester
Guardian). — Le régime des prisons en
Allemagne occupée (George Renwick
aris Daily Chronicle). — Les perspec-
tives de l'Entente (J. Spender dans
Westminster Gazette). - La condamna-
tion des prélats catholiques par les so-
viets (Times).
Pnt&:;E ESPAGNOLE. — L'occupation de la
Ruhr (Ramon de Olascoaga dans De-
bate). 0
1
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
Réparations ET SECURITE. — Sous
litl'e : « LE PROBLf:ME DES RÉPARATIONS. -
****** D'UNE SOLUTION. - PLANS POSSI-
<.,,;~ le Daily Telegraph publie l'article
tant:
~< y a du moins un bon côté à la grave
situ ation actuelle dans la Ruhr — j'entends
le fait indiscutable qu'il oblige les éléments
sérieux de l'opinion politique de tous les
pays, mais surtout en Angleterre et en
France, à se rendre compte qu'il faut ab-
solument trouver une solution prochaine
7°ul>le problème des réparations et de
la sécurité, si l'on veut éviter une catastro-
eUroP^enne- Bien que des conceptions
singulières du point de vue financier et
des plans d'annexion à peine déguisés sem-
iw enc°re trouver faveur auprès d'un bon
eu. r,e de journaux parisiens, on se préoc-
cupe de plus en plus de la recherche d'une
solution pratique, dans les milieux officiels
fiu 1) et on se montre très sensible à l'in-
ki s • genéral manifesté en Angleterre pour
la sécurité future de la France. J'ai lieu de
croire que (jes hommes politiques et des
chefs militaires éminents ont accueilli, de
~i~ çôté du Détroit, avec beaucoup de
satisfaction , ce témoignage nouveau de notre
amitié pour la France : les hommes d Etat,
%i ^'ticulior, ont pu étudier les problèmes
qui »,e Posent aujourd'hui, en se plaçant à
un point de vue plus large et plus pratique
que par le passé. Je vous donne ci-dessous
quelques indications au sujet de l'orienta-
tion C^e^e de l'opinion, parmi les esprits
les plus ouverts et les plus capables des
sphères influentes, y compris quelques-unes
des plus hautes personnalités de la France.
I. — RÉPARATIONS. — Les divers gouverne-
ments qui se sont succédé en France ont
revendiqué, à maintes reprises, un droit de
priorité en faveur des régions dévastées.
Comme il est désormais admis que l'indem-
nité totale devra être réduite à un chiffre
relativement modeste, on fait valoir aujour-
d'hui avec une certaine force que la majo-
rité des paiements et des livraisons devrait
être consacrée à la reconstitution des pro-
vinces envahies. La demande minima de la
France à ce titre s'élève après réduction à
26 milliards de marks.
D'autre part, on propose le transfert des
dettes des puissances de l'Entente envers les
Etats-Unis au compte de l'Allemagne ; grâce
à cette procédure, ajoute-t-on, la demande
émise par la Grande-Bretagne du paiement
par les alliés d'une somme proportionnelle
à la dette qu'elle a elle-même contractée en-
vers les Etats-Unis recevrait également sa-
tisfaction, mais par les soins du Reich. On
suppose également notre renonciation com-
plète aux réparations, en matière de pen-
sions. Il est permis de se demander à ce
sujet si l'Amérique, qui a refusé à maintes
reprises d'accepter de la part des alliés des
bons émis par l'Allemagne, au lieu d'un
remboursement direct, consentirait à cette
transaction. Les partisans de ce projet ré-
pondent à cette objection que les dettes du
Reich, qu'elles rentrent dans d'une ou l'au-
tre catégorie, seraient acquittées, en ce qui
concerne les paiements en espèces, au
moyen d'emprunts internationaux, et que
leur commercialisation fournirait toutes les
garanties nécessaires, supérieures même à
celles que donnerait le crédit d'un Etat
quelconque. Mais il serait dangereux de
compter, comme le font certains Français,
que les Etats-Unis feront remise à une date
peu éloignée de la dette française et même
du solde de la dette britannique, en raison
"i préjudice qu'un remboursement intégral
apporterait au commerce américain.
Vraisemblablement, le produit des em-
prunts internationaux serait employé con-
curremment, mais dans une proportion iné-
gale, aux réparations et au remboursement
de la dette aux Etats-Unis : si cette dernière
opération devait en effet être ajournée jus-
qu'à ce que les demandes de réparations
aient reçu satisfaction complète, il serait im-
possible de réduire la valeur capitalisée du
montant à rembourser ainsi à environ 15
milliards de marks-or, au lieu d'une som-
me dépassant 40 milliards.
Le total combiné des réparations et des
versements effectués au titre des dettes se
rapprocherait sensiblement du chiffre men-
tionné dans les mémorandums soumis en
jarvier dernier, à la conférence de Paris,
par la Grande-Bretagne, la France et l'Ita-
lie, soit cinquante milliards.
Les industriels allemands seraient invités
à fournir des garanties sérieuses ; d'autre
part, Berlin a déjà reconnu qa nécessité
d'une surveillance internationale rigoureuse
des finances du Reich. L'Allemagne obtien-
drait naturellement un moratoire important.
II. — SÉCURITÉ. — Il est plus facile de
résumer les opinions qui se manifestent à
cet égard. Il y aurait une évacuation gra-
duelle mais rapide de la Ruhr et des autres
territoires occupés sur la rive droite du
Rhin, à condition que les paiements et les
livraisons soient effectués régulièrement par
l'Allemagne. Aucun régime spécial ne se-
rait établi sur la rive droite, à l'exception
de la zone neutre stipulée par le Traité de
Versailles. Toutefois, la Rhénanie occiden-
tale deviendrait un Etat fédéral au même ti-
tre que liai République de Bade ou de Wur-
temberg, et faisant partie du Reich ; le but
de cette mesure serait de mettre fin à l'ad-
ministration prussienne, accusée par les
Français d'entretenir la haine de la France
et de favoriser l'idée de revanche. La dif-
férence établie entre le Prussien et l'Alle-
mand du Sud pourrait bien être une illusion,
mais nos alliés y tiennent beaucoup, même
lorsqu'il s'agit du Bavarois, aujourd'hui le
Junker par excellence. La République de
Rhénanie occidentale ainsi constituée de-
meurerait partie intégrante du Reich, du
triple point de vue politique, économique et
administratif, mais serait démilitarisée sous
la surveillance de la Société des nations ;
aucun contingent allemand n'y serait recru-
té ou n'y pourrait tenir garnison.
En dernier lieu, le Reich devrait conclure
un pacte solennel de non-agression avec les
autres puissances occidentales ; ce pacte au-
rait de préférence le caractère d'une enten-
te régionale, comme le prévoit l'article 10
du Traité. De cette façon, si l'Allemagne
effectuait régulièrement ses paiements et
ses livraisons, l'évacuation par les troupes
alliées de la Rhénanie occidentale elle-même
pourrait avoir lieu avant la date prévue
dans le Traité de Versailles.
Reste la question de l'enclave de la Sarre ;
la solution la plus simple serait de lui faire
partager le sort de l'Etat rhénan projeté.
tout en maintenant le droit de la France sur
le charbon extrait dans la région. Mais on
propose aussi qu'elle soit érigée immédiate-
ment en Etat autonome sous les auspices d1*»
la Société des nations, au lieu d'attendre
que son avenir soit réglé par un plébiscite
dans un délai de quinze ans
Il conviendrait de soumettre les détails
d'un tel plan à une étude aussi minutieuse
qu'approfondie, mais autant qu'on en peut
juger par ses grands traits, il mérite cer-
tainement de recevoir l'attention la plus vive
et la plus sympathique de ce côté du Dé-
troit. — (Du rédacteur diplomatique.
DAILY TELEGRAPH, 5.4.
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