Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 avril 1923 05 avril 1923
Description : 1923/04/05 (T23,N2319). 1923/04/05 (T23,N2319).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239152c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
ift ^-IRES ÉTRANGÈRES
N° 2319
Jeudi 5 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
- et des resumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P1{E'S'SE ALLEMANDE. - La. résistance alile-
mande (Anton. Erkelenz dans Rilte;,
Morus dans Weltbühne).
«tssË; AMÉRICAINE. — La situation dans la
Ruihr r un rapport américain (New York
Times).
RESSE ANGLAISE. —- Les finances de l'Alle-
magne: (Evening Standard). — La pros-
périté de la, marine de commerce ale-
-Wiiarude! (Daily Telegraph). — Saisie de
mines fiscales dans la Ruhr (Daily Te-
legraph). — L'incident des usines
Kfuipp, le 31 mars (Manchester Guar-
dian). - Le commerce britannique à
Goftoigne (Westminster Gazette).
p ITALIENNE. — Les réparations : les
possibilités de négociations (Idea Na-
tionale!.
j/
POLITIQUE GENERALE
1 -
LES RÉPARATIONS
'- tEs POSSIBILITES DE NEGOCIATIONS.
-jv RES'SE ITALIENNE. — Sous le titre : «Temps
Ù a.l'rêt )J. - * Il y a dans la Rhur des ca-
lvres sur le terrain, des cadavres d'Alle-
aQds ; H pourra y avoir encore des mou-
tso,pula.ires, des épisodes d'insurrec-
^•0ïl contre les occupants français, mais ce
s seront certainement pas des faits de cette
ture'quî pourront changer [a situation •
s- esprits excités n'ont pas la. faculté de
j r® une politique, et la solution de la crise
jj.. a Rhur ne pourra être que de nature po-
v l'lrue. On n'a fait jusqu'ici que des tentati-
s dans- ce sens, mais aucune démarche
Relise n'a été faite ; des états d'âme ont
6 révélés, mais personne n'a voulu se
tL^r§er de prendre une initiative diploma-
•jj.
tique On sait parfaitement que la résis-
tance allemande ne pourra être éternelle,
s'affaiblit davantage chaque jour,
mais on ne cache pas que le gouvernement
tiêtBerlin i ait présenté soit à la France, soit
à la Be:lg,iQUie, soit en Italie, un plan propre-
î dit de solution, de solution du problème
W K réparations » qui est à la base de
to lte la crise ; on sait aussi que la France
.0 -d"Olaré qu'elle attend des offres alleman-
de ^ais on sait qu'elle n'est disposée à les
lc
celleill'ir que si elles lui sont présentées
J&uJl 1.IIle forme directe, tout intermédiaire
„ exclu.
Ce bilan sommaire de tous les gestes ap-
proximatifs faits' jusqu'ici pour se rappro-
cher d'une chance de solution peut être ex-
posé avec plus de détails encore. Résumons
exactement les choses : le gouvernement al-
lemand s'est adressé à Washington et il a
fait connaître avec une précision très dou-
teuse quelles étaient ses intentions : il a
fait savoir qu'il serait heureux qu'un con-
sortium de banquiers en majorité américain
se constituât pour réunir le capital nécessai-
re au Reich pour satisfaire ses dettes dans
une mesure encore inconnue ; il reste à sa-
voir (( combien et dans combien de temps »
l'Allemagne est disposée à payer ; — le gou-
vernement allemand s'est encore, croyons-
nous, adressé indirectement à des sphères
catholiques pour essayer de provoquer une
intervention pacificatrice, mais l' « Osser-
vatore Romano » a clairement déclaré, l'au-
tre soir, que le Saint Siège n'a pas été prié
de prendre d'initiative de ce genre et n'en-
tendait pas en prendre ; — quelques dis-
cours récents du chancelier sont d'un ton
plus modéré, mais ne rendent encore rien
possible ; — il 'y a enfin la déclaration de
samedi d'après laquelle l'Allemagne est dis-
posée à traiter même sans, que la France
ait d'abord évacué la Ruhr, et c'est peut-
être là le tout premier pas vers l'hypothèse
d'un accord.
Ce n'est pas tout. Le « statu quo » per-
siste et reste chargé de danger, aujourd'hui
comme hier. Il n'y sera certes pas mis un
terme par ces insurrections partielles qui
rendent plus rigide encore la politïque de la
France, il n'y sera pas davantage mis un
terme par des initiatives ou fragmentaires
ou insincères, ce ne sont là que des pallia-
tifs qui ne servent en rien à modifier la si-
tuation. Et cette situation est la suivante :
l'Allemagne a perdu tout espoir d'interven-
tion anglaise, tout espoir d'intervention amé-
ricaine, tout espoir d'intervention pontifi-
cale. Il est pourtant vrai que les trois puis-
sances seraient prêtes peut-être à donner
leur concours à une action décisive, si l'Al-
lemagne présentait des offres précises. Tout
est là. (
Substantiellement, l'initiative est entre
les mains allemandes, dans ce sens que l'Al-
lemagne n'a qu'à faire connaître ses vérita-
bles intentions. L'Allemagne ne doit pas
oublier que le problème à résoudre n'est
pas celui de l'occupation de la Ruhr, mais
celui des « réparations ». C'est sur cette
question des « réparations » qu'elle doit
faire entendre une parole précise et sincère.
Le temps d'arrêt prendra fin au moment
même où l'Allemagne dira les premières
choses précises.
IDEA NAZIONALE, 3A.
LES FINANCES DE L'ALLEMAGNE. —
SUBVENTIONS ET TRAVAUX PUBLICS. - [Cf. Bul-
letin, n° 2318, p. 3]. — Sous le titre : « La
déloyale Allemagne ». — L'Allemagne n'a
pas gaspillé son argent à payer ses dettes —
demies qu'elle avait contractées envers les al-
liés victorieux, en tout cas. Elle a payé les
dettes de guerre qu'elle avait contractées
envers des Allemands. Par exemple une
généreuse compensation a été donnée aux
compagnies coloniales allemandes, leur per-
mettant d'entreprendre ailleurs de nouvel-
les affaires. Les compagnies de transport
maritime ont été remises sur pied aux dé-
pens du public. Des subsides ont été am-
plement fournis pour des projets de « re-
construction », et des canaux pour lesquels
l'argent manquait sous les Hohenzollern
sont maintenant en voie de construction à
l'intérieur de l'Allemagne.
Il semble vraiment qu'en Allemagne il
y a de l'argent pour tout, sauf pour le paie-
ment de ce qui est dû aux alliés, et il est
hors de doute que la générosité dont le gou-
vernement allemand fait preuve est une po-
litique bien déterminée dont le but est de
duper le créancier étranger afin d'équiper
l'Allemagne pour la victorieuse campagne
économique qu'elle se propose d'engager
dans l'avenir contre ses anciens ennemis.
La dette intérieure de l'Allemagne a, en
somme, disparu en conséquence de la dé-
préciation du mark. L'Allemagne croit, -
et on lui donne toute raison de croire, —
qu'elle s'est débarrassée aussi de ses obli-
gations relatives au paiement des répara-
tions. Ainsi libérée de toute espèce de dette,
elle aura, quand elle procédera à la stabili-
sation de ses finances un énorme avantage
sur ses compétiteurs chargés de dettes.
« Trois banqueroutes et un incendie suffi-
sent pour qu'un commerçant puisse se re-
tirer des affaires », disait un cynique pro-
verbe. L'Allemagne espère évidemment
montrer qu'une nation peut faire de la dé-
faite une base de prospérité. — (Ed.)
EVENING STANDARD, 3.4.
LA PROSPERITE DE LA MARINE DE
COMMERCE ALLEMANDE. — Sous le titre:
« LA RIVALITÉ ALLEMANDE SUR MER ». — A
l'ombre du traité de Versailles. l'Allemagne
a réussi à se constituer une grande flotte
marchande. Elle a fait cela, et elle a même
fait davantage. Car les. navires en question
sillonnent les mers et réalisent de beaux
bénéfices, adors que dans à peu près tous
les pays les navires marchands sont ré-
duits à l'oisiveté, ou les armateurs tra-
vaillent à perte. Les compagnies de navi-
gation allemandes distribuent des dividen-
des dépassant. 25 %, après avoir versé de
grandes sommes à la réserve et avoir
constitué un fonds d'amortissement géné-
reux. Il y a quatre ans l'Allemange n'ar
vait pour ainsi dire pas de marine de com-
DES
ift ^-IRES ÉTRANGÈRES
N° 2319
Jeudi 5 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
- et des resumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P1{E'S'SE ALLEMANDE. - La. résistance alile-
mande (Anton. Erkelenz dans Rilte;,
Morus dans Weltbühne).
«tssË; AMÉRICAINE. — La situation dans la
Ruihr r un rapport américain (New York
Times).
RESSE ANGLAISE. —- Les finances de l'Alle-
magne: (Evening Standard). — La pros-
périté de la, marine de commerce ale-
-Wiiarude! (Daily Telegraph). — Saisie de
mines fiscales dans la Ruhr (Daily Te-
legraph). — L'incident des usines
Kfuipp, le 31 mars (Manchester Guar-
dian). - Le commerce britannique à
Goftoigne (Westminster Gazette).
p ITALIENNE. — Les réparations : les
possibilités de négociations (Idea Na-
tionale!.
j/
POLITIQUE GENERALE
1 -
LES RÉPARATIONS
'- tEs POSSIBILITES DE NEGOCIATIONS.
-jv RES'SE ITALIENNE. — Sous le titre : «Temps
Ù a.l'rêt )J. - * Il y a dans la Rhur des ca-
lvres sur le terrain, des cadavres d'Alle-
aQds ; H pourra y avoir encore des mou-
tso,pula.ires, des épisodes d'insurrec-
^•0ïl contre les occupants français, mais ce
s seront certainement pas des faits de cette
ture'quî pourront changer [a situation •
s- esprits excités n'ont pas la. faculté de
j r® une politique, et la solution de la crise
jj.. a Rhur ne pourra être que de nature po-
v l'lrue. On n'a fait jusqu'ici que des tentati-
s dans- ce sens, mais aucune démarche
Relise n'a été faite ; des états d'âme ont
6 révélés, mais personne n'a voulu se
tL^r§er de prendre une initiative diploma-
•jj.
tique On sait parfaitement que la résis-
tance allemande ne pourra être éternelle,
s'affaiblit davantage chaque jour,
mais on ne cache pas que le gouvernement
tiêtBerlin i ait présenté soit à la France, soit
à la Be:lg,iQUie, soit en Italie, un plan propre-
î dit de solution, de solution du problème
W K réparations » qui est à la base de
to lte la crise ; on sait aussi que la France
.0 -d"Olaré qu'elle attend des offres alleman-
de ^ais on sait qu'elle n'est disposée à les
lc
celleill'ir que si elles lui sont présentées
J&uJl 1.IIle forme directe, tout intermédiaire
„ exclu.
Ce bilan sommaire de tous les gestes ap-
proximatifs faits' jusqu'ici pour se rappro-
cher d'une chance de solution peut être ex-
posé avec plus de détails encore. Résumons
exactement les choses : le gouvernement al-
lemand s'est adressé à Washington et il a
fait connaître avec une précision très dou-
teuse quelles étaient ses intentions : il a
fait savoir qu'il serait heureux qu'un con-
sortium de banquiers en majorité américain
se constituât pour réunir le capital nécessai-
re au Reich pour satisfaire ses dettes dans
une mesure encore inconnue ; il reste à sa-
voir (( combien et dans combien de temps »
l'Allemagne est disposée à payer ; — le gou-
vernement allemand s'est encore, croyons-
nous, adressé indirectement à des sphères
catholiques pour essayer de provoquer une
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vatore Romano » a clairement déclaré, l'au-
tre soir, que le Saint Siège n'a pas été prié
de prendre d'initiative de ce genre et n'en-
tendait pas en prendre ; — quelques dis-
cours récents du chancelier sont d'un ton
plus modéré, mais ne rendent encore rien
possible ; — il 'y a enfin la déclaration de
samedi d'après laquelle l'Allemagne est dis-
posée à traiter même sans, que la France
ait d'abord évacué la Ruhr, et c'est peut-
être là le tout premier pas vers l'hypothèse
d'un accord.
Ce n'est pas tout. Le « statu quo » per-
siste et reste chargé de danger, aujourd'hui
comme hier. Il n'y sera certes pas mis un
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rendent plus rigide encore la politïque de la
France, il n'y sera pas davantage mis un
terme par des initiatives ou fragmentaires
ou insincères, ce ne sont là que des pallia-
tifs qui ne servent en rien à modifier la si-
tuation. Et cette situation est la suivante :
l'Allemagne a perdu tout espoir d'interven-
tion anglaise, tout espoir d'intervention amé-
ricaine, tout espoir d'intervention pontifi-
cale. Il est pourtant vrai que les trois puis-
sances seraient prêtes peut-être à donner
leur concours à une action décisive, si l'Al-
lemagne présentait des offres précises. Tout
est là. (
Substantiellement, l'initiative est entre
les mains allemandes, dans ce sens que l'Al-
lemagne n'a qu'à faire connaître ses vérita-
bles intentions. L'Allemagne ne doit pas
oublier que le problème à résoudre n'est
pas celui de l'occupation de la Ruhr, mais
celui des « réparations ». C'est sur cette
question des « réparations » qu'elle doit
faire entendre une parole précise et sincère.
Le temps d'arrêt prendra fin au moment
même où l'Allemagne dira les premières
choses précises.
IDEA NAZIONALE, 3A.
LES FINANCES DE L'ALLEMAGNE. —
SUBVENTIONS ET TRAVAUX PUBLICS. - [Cf. Bul-
letin, n° 2318, p. 3]. — Sous le titre : « La
déloyale Allemagne ». — L'Allemagne n'a
pas gaspillé son argent à payer ses dettes —
demies qu'elle avait contractées envers les al-
liés victorieux, en tout cas. Elle a payé les
dettes de guerre qu'elle avait contractées
envers des Allemands. Par exemple une
généreuse compensation a été donnée aux
compagnies coloniales allemandes, leur per-
mettant d'entreprendre ailleurs de nouvel-
les affaires. Les compagnies de transport
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construction », et des canaux pour lesquels
l'argent manquait sous les Hohenzollern
sont maintenant en voie de construction à
l'intérieur de l'Allemagne.
Il semble vraiment qu'en Allemagne il
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hors de doute que la générosité dont le gou-
vernement allemand fait preuve est une po-
litique bien déterminée dont le but est de
duper le créancier étranger afin d'équiper
l'Allemagne pour la victorieuse campagne
économique qu'elle se propose d'engager
dans l'avenir contre ses anciens ennemis.
La dette intérieure de l'Allemagne a, en
somme, disparu en conséquence de la dé-
préciation du mark. L'Allemagne croit, -
et on lui donne toute raison de croire, —
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gations relatives au paiement des répara-
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elle aura, quand elle procédera à la stabili-
sation de ses finances un énorme avantage
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tirer des affaires », disait un cynique pro-
verbe. L'Allemagne espère évidemment
montrer qu'une nation peut faire de la dé-
faite une base de prospérité. — (Ed.)
EVENING STANDARD, 3.4.
LA PROSPERITE DE LA MARINE DE
COMMERCE ALLEMANDE. — Sous le titre:
« LA RIVALITÉ ALLEMANDE SUR MER ». — A
l'ombre du traité de Versailles. l'Allemagne
a réussi à se constituer une grande flotte
marchande. Elle a fait cela, et elle a même
fait davantage. Car les. navires en question
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les pays les navires marchands sont ré-
duits à l'oisiveté, ou les armateurs tra-
vaillent à perte. Les compagnies de navi-
gation allemandes distribuent des dividen-
des dépassant. 25 %, après avoir versé de
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