Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 avril 1923 02 avril 1923
Description : 1923/04/02 (T23,N2318)-1923/04/04. 1923/04/02 (T23,N2318)-1923/04/04.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239151z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r MINISTÈRE
DES
IPp1 AIRES ÉTRANGÈRES
';
i '",-
N° 2318
Lundi 2-Mercredi 4 avril 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJ *
PRESSE ALLEMAND. — L'incident, des usines
VruPP {Rote Fahne).
■■
lrïdustrie américaine : une protestation
entre le monopole britannique (New
ork Times).
P1\tSSE ., D' t. t, .t'
"IE ANGLAISE, — Réparations et sécurité
finies). - Le maintien des troupes bri-
}annlques en Rhénanie (lieutenant-co-
On el Repington dans Daily Tewgraph).
Les conséquences économiques de
J olCiClUpation de la Ruhr (Morning Post).
'Les déclarations de M. von Rosen-
b erg à la Commission des affaires étran-
gères du Reichstag (Times, Daily Tele-
; 1'laph). - Les finances de l'Allemagne
Irnes). - L'incident des usines Krupp
'Dai/y Ne,es).
SSE ESPGNOLE. - Les déclarations de
M.. von Rosenberg à la Commission du
■•'faires étrangères du Reichstag (Hc-
(lido rie Madrid). 1
ITALIENNE. - Une interview du chan-
tier Seiped (Tribuna). 1
'---- —————————-———
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^ARATÏONS ET SECURITE. LE
S°U<5'R DE DÉM1LITARISATI0N DE LA RHÉNANIE. —
J:lill'i. le tIt.re « Les buts de la France ». - De
hi'iJ aVril: Le' correspondant du Times à
, se que l'opinion française n'accueil-
^■briL^ faveur la conclusion d'un pacte fran-
Iit'Ec', ilflrllquc que s'il remplit deux conditions
Pa I)ZIcte devra suivre et compléter des ga-
S locales pour la neutralisation per-
V eote de la Rhénanie ; en second lieu, il
Q'aid Contenir une promesse déterminée
d'ai e iiit 're et navale de la part de la
qué - 1 etagne, M. Louis Millet, a expli-
s complètement que tout autre jour-
Près 'a thèse française ; aussi est-ce d'a-
~t exposé que je formulerai mes ob-
l'elle hons. Il est dit que depuis la Confé-
fle Cannes la situation s'est entière-
édifiée. La France et la Grande-
~)~.
nQlit¡ t'ine se sont séparées à propos de la
Ir ait, de lia Ruhr: elles interprètent le
e de Versailles de façon entièrement
^lle6l^e ; de vagues assurances d'aide mu-
~L ne Peuvent donc pas suffire ; elles se-
~M reSardées avec défaveur par tous ceux
à qui cet exemple frappant rappelle combien
l'exécution d'un instrument diplomatique
dépend du sens qu'on lui prête. Rien ne peut
être accepté en remplacement de la certitu-
de absolue de la démilitarisation de la Rhé-
nanie. La pleine autorité sur cette province,
même si elle appartient nominalement à une
commission internationale, doit être exer-
cée, selon les écrivains politiques français,
par les deux puissances les plus directement
intéressées, c'est-à-dire la France et la Bel-
gique. Peu importe le nom de l'organe res-
ponsable ou ses rapports avec la Société
des nations, pourvu que la gendarmerie
soit française. On déclare qu'un pacte de
garantie franco-britannique ne sera accepté
que s'il prévoit ce mode de surveillance.
D'autre part, les effectifs que la. Grande-
Bretagne s'engagerait à fournir en cas de
besoin devraient être déterminés, par avan-
ce ; il s'agirait naturellement d'effectifs mi-
nimum, sans qu'il soit question de deman-
der une augmentation d'armements. Il faut
reconnaître que si ce programme représente
fidèlement le point de vue français (j'ai lieu
de croire qu'il correspond avec une exacti-
tude suffisante aux idées de M. Poincaré).
les chances de succès des plans mis en
avant afin de garantir la sécurité de la
France sont fort éloignés.
-y/M ES, 3.4.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE. - LE MAINTIEN DES TROUPES BRITANNI-
QUES EN RHÉNANIE. -' Le lieutenant-colonel
Repington expose, dans le Daily Telegraph, le
rôle joué par le délégué britannique à la haute-
commission de Rhénanie ; il croit à la nécessité
de maintenir cette collaboration avec les alliés.
Notre présence sur le Rhin devait nous
fournir une garantie de l'exécution du trai-
té de Versailles par l'Allemagne ; nous de-
vons y demeurer jusqu'à ce qu'il soit exécu-
té, ou bien nous romprons avec un pacte ap-
prouvé unanimement par les alliés, les do-
minions et l'Inde. Il convient d'obtenir
l'agrément de ces divers gouvernements
avant que l'arrangement relatif aux terri-
toires rhénans puisse être modifié ou aban-
donné. Toutes nos dépenses d'ordre civil
ou militaire dans les territoires rhénans
sont payées par l'Allemagne ; elles n'ont
pas cessé de l'être, à ma connaissance, de-
puis l'ocupation de la Ruhr. Le retrait de
nos troupes ne faciliterait pas le paiement
des réparations qui nous sont dues ; bien
que le gouvernement semble porter à les
perdre de vue, les versements de l'Allema-
gne lorsqu'ils seront effectués, nous apporte-
ront un soulagement, considérable. C'est à
la fois notre privilège et notre devoir de de-
meurer aux côtés de nos amis français, bel-
ges et italiens, d'empêcher par des conseils
et notre influence modératrice que la situa-
tion n'empire et de guider l'Europe vers la
paix durable.
Nous possédons dans cette partie du
monde des intérêts considérables que notre
départ mettrait gravement en péril. Actuel-
lement nos représentants vigilants à Co-
blence ne les perdent pas de vue et tra-
vaillent à les défendre, même s'ils doivent
s'abstenir de voter. Bien que la plupart d'en-
tre nous n'aient jamais approuvé l'entre-
prise de la Ruhr, nous n'avons pas contesté
sa légalité au regard du traité. M. Lloyd
George en 1921, et M. Bonar Law cette an-
née même à Paris, avaient promis que nous
participerions aux sanctions dans certaines
conditions qu'il est superflu de rappeler.
Un règlement interviendra tôt ou tard ou
bien ce serait la guerre. Nous conservons
le droit d'intervenir dans ce règlement tant
que nous demeurons sur la Ruhr, et notre
présence est le meilleur moyen de parer au
danger de guerre. Ce faisant nous rendons
un grand service à la cause de la paix défi-
nitive ; si, par lassitude, on dans un mo-
ment de découragement passager, nous
abandonnions l'Europe à la merci des évé-
nements, nous aurions tout lieu plus tard
de déplorer notre décision. - Lieutenant-
colonel Repington.
DAILY TELEGRAPH, 3.4.
LES CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DE L'OCCUPA-
TION DE LA RUHR. - Sous le titre : « Au ser-
vice de Stinnes ». - Le fabricant alle-
mand, en éludant toutes les obligations de
la guerre et en échappant à la lourde charge
des impôts qui pèsent sur l'industrie an-
glaise a pu vendre ses produits à des prix
inférieurs aux prix anglais sur les marchés
du monde. Les hauts fourneaux anglais
s'éteignaient et les métallurgistes anglais
voyaient leurs prix battus par leurs concur-
rents allemands, surtout parce qu'on permet-
tait aux industriels allemands de tromper
les alliés. Le gouvernement britannique qui
se contentait de laisser faire dans le vain
espoir que les Allemands payeraient quelque
jour leurs réparations, mais le gouverne-
ment, français, avec plus d'intelligence et
de courage, se rendit compte que l'Allema-
gne, en rejetant ses obligations, était en
train de regagner posément et sûrement son
ancienne position de plus grande puissance
industrielle et, par conséquent, de plus puis-
sante nation politique et militaire en Eu-
rope. Car c'est un axiome d'économie po-
litique que la puissance politique et mili-
taire est fondée sur la puissance industrielle
et, en particulier, sur les industries métal-
lurgiques et chimiques. La dernière guerre
a prouvé que la fortune des armes dépend
pour une bonne part du nombre d'hommes
qu'une nation peut mettre sur pied et de
DES
IPp1 AIRES ÉTRANGÈRES
';
i '",-
N° 2318
Lundi 2-Mercredi 4 avril 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJ *
PRESSE ALLEMAND. — L'incident, des usines
VruPP {Rote Fahne).
■■
lrïdustrie américaine : une protestation
entre le monopole britannique (New
ork Times).
P1\tSSE ., D' t. t, .t'
"IE ANGLAISE, — Réparations et sécurité
finies). - Le maintien des troupes bri-
}annlques en Rhénanie (lieutenant-co-
On el Repington dans Daily Tewgraph).
Les conséquences économiques de
J olCiClUpation de la Ruhr (Morning Post).
'Les déclarations de M. von Rosen-
b erg à la Commission des affaires étran-
gères du Reichstag (Times, Daily Tele-
; 1'laph). - Les finances de l'Allemagne
Irnes). - L'incident des usines Krupp
'Dai/y Ne,es).
SSE ESPGNOLE. - Les déclarations de
M.. von Rosenberg à la Commission du
■•'faires étrangères du Reichstag (Hc-
(lido rie Madrid). 1
ITALIENNE. - Une interview du chan-
tier Seiped (Tribuna). 1
'---- —————————-———
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^ARATÏONS ET SECURITE. LE
S°U<5'R DE DÉM1LITARISATI0N DE LA RHÉNANIE. —
J:lill'i. le tIt.re « Les buts de la France ». - De
hi'iJ aVril: Le' correspondant du Times à
, se que l'opinion française n'accueil-
^■briL^ faveur la conclusion d'un pacte fran-
Iit'Ec', ilflrllquc que s'il remplit deux conditions
Pa I)ZIcte devra suivre et compléter des ga-
S locales pour la neutralisation per-
V eote de la Rhénanie ; en second lieu, il
Q'aid Contenir une promesse déterminée
d'ai e iiit 're et navale de la part de la
qué - 1 etagne, M. Louis Millet, a expli-
s complètement que tout autre jour-
Près 'a thèse française ; aussi est-ce d'a-
~t exposé que je formulerai mes ob-
l'elle hons. Il est dit que depuis la Confé-
fle Cannes la situation s'est entière-
édifiée. La France et la Grande-
~)~.
nQlit¡ t'ine se sont séparées à propos de la
Ir ait, de lia Ruhr: elles interprètent le
e de Versailles de façon entièrement
^lle6l^e ; de vagues assurances d'aide mu-
~L ne Peuvent donc pas suffire ; elles se-
~M reSardées avec défaveur par tous ceux
à qui cet exemple frappant rappelle combien
l'exécution d'un instrument diplomatique
dépend du sens qu'on lui prête. Rien ne peut
être accepté en remplacement de la certitu-
de absolue de la démilitarisation de la Rhé-
nanie. La pleine autorité sur cette province,
même si elle appartient nominalement à une
commission internationale, doit être exer-
cée, selon les écrivains politiques français,
par les deux puissances les plus directement
intéressées, c'est-à-dire la France et la Bel-
gique. Peu importe le nom de l'organe res-
ponsable ou ses rapports avec la Société
des nations, pourvu que la gendarmerie
soit française. On déclare qu'un pacte de
garantie franco-britannique ne sera accepté
que s'il prévoit ce mode de surveillance.
D'autre part, les effectifs que la. Grande-
Bretagne s'engagerait à fournir en cas de
besoin devraient être déterminés, par avan-
ce ; il s'agirait naturellement d'effectifs mi-
nimum, sans qu'il soit question de deman-
der une augmentation d'armements. Il faut
reconnaître que si ce programme représente
fidèlement le point de vue français (j'ai lieu
de croire qu'il correspond avec une exacti-
tude suffisante aux idées de M. Poincaré).
les chances de succès des plans mis en
avant afin de garantir la sécurité de la
France sont fort éloignés.
-y/M ES, 3.4.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE. - LE MAINTIEN DES TROUPES BRITANNI-
QUES EN RHÉNANIE. -' Le lieutenant-colonel
Repington expose, dans le Daily Telegraph, le
rôle joué par le délégué britannique à la haute-
commission de Rhénanie ; il croit à la nécessité
de maintenir cette collaboration avec les alliés.
Notre présence sur le Rhin devait nous
fournir une garantie de l'exécution du trai-
té de Versailles par l'Allemagne ; nous de-
vons y demeurer jusqu'à ce qu'il soit exécu-
té, ou bien nous romprons avec un pacte ap-
prouvé unanimement par les alliés, les do-
minions et l'Inde. Il convient d'obtenir
l'agrément de ces divers gouvernements
avant que l'arrangement relatif aux terri-
toires rhénans puisse être modifié ou aban-
donné. Toutes nos dépenses d'ordre civil
ou militaire dans les territoires rhénans
sont payées par l'Allemagne ; elles n'ont
pas cessé de l'être, à ma connaissance, de-
puis l'ocupation de la Ruhr. Le retrait de
nos troupes ne faciliterait pas le paiement
des réparations qui nous sont dues ; bien
que le gouvernement semble porter à les
perdre de vue, les versements de l'Allema-
gne lorsqu'ils seront effectués, nous apporte-
ront un soulagement, considérable. C'est à
la fois notre privilège et notre devoir de de-
meurer aux côtés de nos amis français, bel-
ges et italiens, d'empêcher par des conseils
et notre influence modératrice que la situa-
tion n'empire et de guider l'Europe vers la
paix durable.
Nous possédons dans cette partie du
monde des intérêts considérables que notre
départ mettrait gravement en péril. Actuel-
lement nos représentants vigilants à Co-
blence ne les perdent pas de vue et tra-
vaillent à les défendre, même s'ils doivent
s'abstenir de voter. Bien que la plupart d'en-
tre nous n'aient jamais approuvé l'entre-
prise de la Ruhr, nous n'avons pas contesté
sa légalité au regard du traité. M. Lloyd
George en 1921, et M. Bonar Law cette an-
née même à Paris, avaient promis que nous
participerions aux sanctions dans certaines
conditions qu'il est superflu de rappeler.
Un règlement interviendra tôt ou tard ou
bien ce serait la guerre. Nous conservons
le droit d'intervenir dans ce règlement tant
que nous demeurons sur la Ruhr, et notre
présence est le meilleur moyen de parer au
danger de guerre. Ce faisant nous rendons
un grand service à la cause de la paix défi-
nitive ; si, par lassitude, on dans un mo-
ment de découragement passager, nous
abandonnions l'Europe à la merci des évé-
nements, nous aurions tout lieu plus tard
de déplorer notre décision. - Lieutenant-
colonel Repington.
DAILY TELEGRAPH, 3.4.
LES CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DE L'OCCUPA-
TION DE LA RUHR. - Sous le titre : « Au ser-
vice de Stinnes ». - Le fabricant alle-
mand, en éludant toutes les obligations de
la guerre et en échappant à la lourde charge
des impôts qui pèsent sur l'industrie an-
glaise a pu vendre ses produits à des prix
inférieurs aux prix anglais sur les marchés
du monde. Les hauts fourneaux anglais
s'éteignaient et les métallurgistes anglais
voyaient leurs prix battus par leurs concur-
rents allemands, surtout parce qu'on permet-
tait aux industriels allemands de tromper
les alliés. Le gouvernement britannique qui
se contentait de laisser faire dans le vain
espoir que les Allemands payeraient quelque
jour leurs réparations, mais le gouverne-
ment, français, avec plus d'intelligence et
de courage, se rendit compte que l'Allema-
gne, en rejetant ses obligations, était en
train de regagner posément et sûrement son
ancienne position de plus grande puissance
industrielle et, par conséquent, de plus puis-
sante nation politique et militaire en Eu-
rope. Car c'est un axiome d'économie po-
litique que la puissance politique et mili-
taire est fondée sur la puissance industrielle
et, en particulier, sur les industries métal-
lurgiques et chimiques. La dernière guerre
a prouvé que la fortune des armes dépend
pour une bonne part du nombre d'hommes
qu'une nation peut mettre sur pied et de
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
- Auteurs similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6239151z/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6239151z/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6239151z/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6239151z/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6239151z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6239151z
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6239151z/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest