Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 mars 1923 31 mars 1923
Description : 1923/03/31 (T23,N2317). 1923/03/31 (T23,N2317).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239150j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r tolMsïklti
, A 1 .nES DES
'PPA!RES ÉTRANGERES
N° 2317
Samedi 31 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article*
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
M E ALLEMANDE. - Les déclarations de
1 !.' Von Rosenberg à la Commission des
Palpes étrangères du Reichstag, le 27
ft&rs (Kolnische Vollkszeilung, Kölnis-
ce Zeitung).
p GLAISE. - Les déclarations de M.
poincaré à la Commission des finances
e la Chambre, le 27 mars (New States-
llan, Saturday Review). - L'altitude de
a Grande-Bretagne :, le débat à la
^hambre des Communes, le 28 mars
( orhshlre Post, Daily Chronicle, Nation
nal Review).
S?E ITALIENNE. - L'anti-libéralisme fas-
CIste: un article de M. Mussolini (Se-
caIo),
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A JF® DECLARATIONS DE M. POINCARE
A NIISSI0N DES FINANCES DE LA CHAMBRE (27
MARS) — Selon le New Statesman, 31.3, les ré-
cen^s dœlarations de M. Poincaré à la Coni-
tnis des linances de la Chambre prouvent
que/i a F [anCe demeurera, à. Essen, même si
ernagne capitulait complètement.
doLa France est déterminée à ne pas aban
d "Ir Essen, mais le monde ne tolérera
pas il reste donc à sa-
qu'elle y demeure ; il reste donc à sa-
quand et par qui elle sera chassée-
PO~ 'le prétendons pas donner une ré-
Pon Se à cette question qui présente, seule,
qu , mtérêt pratique. Afin d'éviter les
fis ^'lee d'une nouvelle guerre, il convient
si IIloblllser l'opinion européenne de façon
si que la. France puisse céder
Pré faire appel au moyen d'arbitrage su-
Pfêm 'e\ 1-e Gouvernement britannique ne
Pem rien faire en ce moment pour annuler
^Paticn de la Ruhr ou même en atte-
nu er les effets, mais il devrait. préparer la
tOPé ratIon future de toutes les forces eu-
tOgO ennes qui, à l'égal de la Grande-Bre
lisQre, aspirent par-dessus tout à la stabi-
tis~ et à da paix. Il importe donc de
crt !" et de développer une opinion publi-
qxj SorlMlfdes - à Lisbonne et à Rome. La marche
des e. evénements serait hâtée si nous obli-
gj0 s , le gouvernement français à donner un
ejfn Se co,mplet de sa politique et si nous fai-
si0n8 notre tour connaître nos intentions.
NEW STATESMAN, 31.3. ,
- Dans son dernier discours, le Dr Cuno
a déclaré que les négociations ne pourraient
s'ouvrir que lorsque le bassin de la Ruhr
aurait été évacué sans condition. Ces pa-
roles ne servent guère les intérêts de l'Al-
lemagne et de l'Europe. Du point de vue
militaire, la France pourra demeurer dans
les territoires occupés aussi longtemps qu'il
lui plaira. M. Poincaré annonce d'ailleurs
qu'elle ne se retirera pas avant d'être payée
intégralement. L'impasse continue. Il faut
que l'Allemagne soumette des propositions
concrètes que la France et le monde entier
puissent étudier, car il s'agit là d'un problè-
me mondial aussi bien que d'un problème
franco-allemand.
SATURDAy REVIEW, 31.3.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE. - LE DÉBAT A LA CHAMBRE DES COMMU-
NES, LE 28 MARS. - .Parlant au nom du
gouvernement dans l'absence du Premier
ministre, M. Stanley Baldwin a reconnu qu'il
ne convient pas d offrir des conseils avant
qu'on les désire. Au mois de janvier, le Gou-
vernement britannique n'a pas caché sa
manière de voir, c'est-à-dire que le plan
envisagé par les Français avait peu de
chances de produire le résultat souhaité et
risquait de produire des effets fort peu dé-
sirables et même désastreux. C'est pour-
quoi il s'est tenu à l'écart tout en souhai-
tant à la France une réussite meilleure qu'il
ne prévoyait et en annonçant que tant qu'il
conviendrait à la France de s'en tenir au
plan formulé par elle, la Grande-Bretagne
s'abstiendrait de toute action susceptible qe
la gêner dans son effort. En tant qu'alliés,
nous ne pouvions moins faire, mais cela
du moins le gouvernement l'a fait en toute
amitié pour la France. Il est manifeste que
certains membres de la Chambre des Com-
munes estiment qu'il serait compatible avec
cette amitié d'exercer sur la France une
certaine pression en vue de l'obliger à dis-
cuter la déclaration - qui par le fait équi-
valait à un plan concret — adressée par
l'Allemagne il y a une dizaine de jours, aux
Etats-Unis, à, la Grande-Bretagne et à l'Ita-
lie.. M. Asquith semble être de cet avis..
Il n'est pas douteux que malgré toutes
ses belles paroles l'Allemagne est grave-
ment atteinte, et elle se ressentira d'autant
plus de l'avertissement que lui adresse la
Commission des réparations, sous forme
d'une note rédigée par sir John Bradbury
et M. Delacroix, lui intimant que la Com-
mission réclame un droit de priorité sur
les fonds qui pourraient être alloués au ser-
vice de l'emprunt de 10 millions de livres
sterling récemment émis - sans grand suc-
cès d'ailleurs, par l'Allemagne aux Etats-
Unis. M. Becker, ministre de l'Economie,
qui appartient au parti des magnats de la
Ruhr, a déclaré il y a deux jours que bien
que l'Allemagne se ressente de l'occupa-
tion de la Ruhr, il est possible de tenir en-
core longtemps, « tout aussi longtemps que
la France ». De son côté, M. Poincaré ad-
met que les résultats matériels obtenus jus-
qu'ici dans la Ruhr n'ont pas été considé-
rables. Le moment semble proche où la
Grande-Bretagne pourra, non seulement
sans que la France s'en offense, mais mê-
me à sa propre requête, s'occuper de pré-
parer un règlement. Ne serait-ce pas une
folie de sacrifier par une action prématu-
rée la possibilité de se rendre utile de cette
façon. Telle est la question que M. Stanley
Baldwin a posée et à laquelle il a répondu.
YORK SHIRE POST [de Leeds], 29.3.
- Sous le titre : « Négocier et faire le si-
lence n'est pas une politique ». - Pour
notre part nous ne sommes pas disposés à
accepter comme excusant l'inaction de notre
gouvernement les refus de M Poincaré. La
France n'a pas le droit de nous imposer le
silence, et M. Poincaré le sait très bien ;
c'est pourquoi il essaie de nous empêcher
par. l'intimidation d'élever la voix. Il y a des
occasions, en diplomatie, où la manière ef-
ficace est de noter ce que l'autre partie dé-
sire que l'on ne fasse pas et de le faire.
L'occasion présente ne serait-elle pas de
celles-là ?
Sir Edward Grigg, dont 1 admirable dis-
cours de début a présenté clairement la si-
tuation à la Chambre des Communes, a dé-
claré que les anciennes revendications de la
France au sujet des réparations et de la
sécurité ont, dans une grande mesure, été
remplacées par une nouvelle politique qui
« de fait équivaut à enlever à l'Allemagne
des sujets allemands et des territoires alle-
mands ». C'est parfaitement exact, malgré
l'ancienne phraséologie sous laquelle les
hommes d'Etat français cherchent à mas-
quer ce changement.
Lorsque M. Poincaré conféra, à Bruxelles,
avec le gouvernement, belge, il fut publié
une déclaration suivant laquelle le territoire
allemand setait évacué au fur et à mesure
du paiement des réparations. Nous nous
sommes permis de révoquer en doute la sin-
cérité de cette formule en ce qui concerne
la France (mais non la Belgique) et le dis-
cours du premier ministre français, Vendredi
dernier, justifie entièrement notre scepti-
cisme, M. Poincaré a déclaré, en effet, que
« l'abandon d'Essen ne saurait être envisagé
que comme la dernière étape, lorsque le
paiement intégral des réparations aura été
effectué ». Mais le « paiement intégral » si-
gnifie 6 milliards 600 jnillions de livres ster-
ling, de sorte qu'il ne pourra jamais s'effec-
tuer.
Une telle politique implique la destruction
du traité de Versailles, auquel se suibstitue-
N
, A 1 .nES DES
'PPA!RES ÉTRANGERES
N° 2317
Samedi 31 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article*
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
M E ALLEMANDE. - Les déclarations de
1 !.' Von Rosenberg à la Commission des
Palpes étrangères du Reichstag, le 27
ft&rs (Kolnische Vollkszeilung, Kölnis-
ce Zeitung).
p GLAISE. - Les déclarations de M.
poincaré à la Commission des finances
e la Chambre, le 27 mars (New States-
llan, Saturday Review). - L'altitude de
a Grande-Bretagne :, le débat à la
^hambre des Communes, le 28 mars
( orhshlre Post, Daily Chronicle, Nation
nal Review).
S?E ITALIENNE. - L'anti-libéralisme fas-
CIste: un article de M. Mussolini (Se-
caIo),
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A JF® DECLARATIONS DE M. POINCARE
A NIISSI0N DES FINANCES DE LA CHAMBRE (27
MARS) — Selon le New Statesman, 31.3, les ré-
cen^s dœlarations de M. Poincaré à la Coni-
tnis des linances de la Chambre prouvent
que/i a F [anCe demeurera, à. Essen, même si
ernagne capitulait complètement.
doLa France est déterminée à ne pas aban
d "Ir Essen, mais le monde ne tolérera
pas il reste donc à sa-
qu'elle y demeure ; il reste donc à sa-
quand et par qui elle sera chassée-
PO~ 'le prétendons pas donner une ré-
Pon Se à cette question qui présente, seule,
qu , mtérêt pratique. Afin d'éviter les
fis ^'lee d'une nouvelle guerre, il convient
si IIloblllser l'opinion européenne de façon
si que la. France puisse céder
Pré faire appel au moyen d'arbitrage su-
Pfêm 'e\ 1-e Gouvernement britannique ne
Pem rien faire en ce moment pour annuler
^Paticn de la Ruhr ou même en atte-
nu er les effets, mais il devrait. préparer la
tOPé ratIon future de toutes les forces eu-
tOgO ennes qui, à l'égal de la Grande-Bre
lisQre, aspirent par-dessus tout à la stabi-
tis~ et à da paix. Il importe donc de
crt !" et de développer une opinion publi-
qxj SorlMlf
des e. evénements serait hâtée si nous obli-
gj0 s , le gouvernement français à donner un
ejfn Se co,mplet de sa politique et si nous fai-
si0n8 notre tour connaître nos intentions.
NEW STATESMAN, 31.3. ,
- Dans son dernier discours, le Dr Cuno
a déclaré que les négociations ne pourraient
s'ouvrir que lorsque le bassin de la Ruhr
aurait été évacué sans condition. Ces pa-
roles ne servent guère les intérêts de l'Al-
lemagne et de l'Europe. Du point de vue
militaire, la France pourra demeurer dans
les territoires occupés aussi longtemps qu'il
lui plaira. M. Poincaré annonce d'ailleurs
qu'elle ne se retirera pas avant d'être payée
intégralement. L'impasse continue. Il faut
que l'Allemagne soumette des propositions
concrètes que la France et le monde entier
puissent étudier, car il s'agit là d'un problè-
me mondial aussi bien que d'un problème
franco-allemand.
SATURDAy REVIEW, 31.3.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE. - LE DÉBAT A LA CHAMBRE DES COMMU-
NES, LE 28 MARS. - .Parlant au nom du
gouvernement dans l'absence du Premier
ministre, M. Stanley Baldwin a reconnu qu'il
ne convient pas d offrir des conseils avant
qu'on les désire. Au mois de janvier, le Gou-
vernement britannique n'a pas caché sa
manière de voir, c'est-à-dire que le plan
envisagé par les Français avait peu de
chances de produire le résultat souhaité et
risquait de produire des effets fort peu dé-
sirables et même désastreux. C'est pour-
quoi il s'est tenu à l'écart tout en souhai-
tant à la France une réussite meilleure qu'il
ne prévoyait et en annonçant que tant qu'il
conviendrait à la France de s'en tenir au
plan formulé par elle, la Grande-Bretagne
s'abstiendrait de toute action susceptible qe
la gêner dans son effort. En tant qu'alliés,
nous ne pouvions moins faire, mais cela
du moins le gouvernement l'a fait en toute
amitié pour la France. Il est manifeste que
certains membres de la Chambre des Com-
munes estiment qu'il serait compatible avec
cette amitié d'exercer sur la France une
certaine pression en vue de l'obliger à dis-
cuter la déclaration - qui par le fait équi-
valait à un plan concret — adressée par
l'Allemagne il y a une dizaine de jours, aux
Etats-Unis, à, la Grande-Bretagne et à l'Ita-
lie.. M. Asquith semble être de cet avis..
Il n'est pas douteux que malgré toutes
ses belles paroles l'Allemagne est grave-
ment atteinte, et elle se ressentira d'autant
plus de l'avertissement que lui adresse la
Commission des réparations, sous forme
d'une note rédigée par sir John Bradbury
et M. Delacroix, lui intimant que la Com-
mission réclame un droit de priorité sur
les fonds qui pourraient être alloués au ser-
vice de l'emprunt de 10 millions de livres
sterling récemment émis - sans grand suc-
cès d'ailleurs, par l'Allemagne aux Etats-
Unis. M. Becker, ministre de l'Economie,
qui appartient au parti des magnats de la
Ruhr, a déclaré il y a deux jours que bien
que l'Allemagne se ressente de l'occupa-
tion de la Ruhr, il est possible de tenir en-
core longtemps, « tout aussi longtemps que
la France ». De son côté, M. Poincaré ad-
met que les résultats matériels obtenus jus-
qu'ici dans la Ruhr n'ont pas été considé-
rables. Le moment semble proche où la
Grande-Bretagne pourra, non seulement
sans que la France s'en offense, mais mê-
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façon. Telle est la question que M. Stanley
Baldwin a posée et à laquelle il a répondu.
YORK SHIRE POST [de Leeds], 29.3.
- Sous le titre : « Négocier et faire le si-
lence n'est pas une politique ». - Pour
notre part nous ne sommes pas disposés à
accepter comme excusant l'inaction de notre
gouvernement les refus de M Poincaré. La
France n'a pas le droit de nous imposer le
silence, et M. Poincaré le sait très bien ;
c'est pourquoi il essaie de nous empêcher
par. l'intimidation d'élever la voix. Il y a des
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ficace est de noter ce que l'autre partie dé-
sire que l'on ne fasse pas et de le faire.
L'occasion présente ne serait-elle pas de
celles-là ?
Sir Edward Grigg, dont 1 admirable dis-
cours de début a présenté clairement la si-
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claré que les anciennes revendications de la
France au sujet des réparations et de la
sécurité ont, dans une grande mesure, été
remplacées par une nouvelle politique qui
« de fait équivaut à enlever à l'Allemagne
des sujets allemands et des territoires alle-
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l'ancienne phraséologie sous laquelle les
hommes d'Etat français cherchent à mas-
quer ce changement.
Lorsque M. Poincaré conféra, à Bruxelles,
avec le gouvernement, belge, il fut publié
une déclaration suivant laquelle le territoire
allemand setait évacué au fur et à mesure
du paiement des réparations. Nous nous
sommes permis de révoquer en doute la sin-
cérité de cette formule en ce qui concerne
la France (mais non la Belgique) et le dis-
cours du premier ministre français, Vendredi
dernier, justifie entièrement notre scepti-
cisme, M. Poincaré a déclaré, en effet, que
« l'abandon d'Essen ne saurait être envisagé
que comme la dernière étape, lorsque le
paiement intégral des réparations aura été
effectué ». Mais le « paiement intégral » si-
gnifie 6 milliards 600 jnillions de livres ster-
ling, de sorte qu'il ne pourra jamais s'effec-
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