Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 mars 1923 29 mars 1923
Description : 1923/03/29 (T23,N2315). 1923/03/29 (T23,N2315).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239148g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
IlttlNlSTÈRl:
, DES
S ÉTRANGÈRES
N° 2315
Jeudi 29 mats 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
iL-
SOM MAIRE
,
rit" ALLEMANi')E- - Réparations et sécu-
rib V le. projet die: démilitarisation de la
n'anie (Bernhard Dernburg dans
P rllner Tageblatt).
et 1 AMERICAINE. — La politique française
EL e danger russe (World).
t. SE At\G[ 'd' to
«vLAISE- — Les bruits de médiation
ti lrrtes. DailU Tclegraph). — Répara-
tioDS et sécurité : le projet de démlilj-
-"P"ttiOn de lt Rhénanie (Dailu Chro-
- - La i-fiise ei-i vigu,eui~ de l,
Ico.rd — mise en vigueur de l'ac
corri r odle.V"Payot : une note du g ou ver
fiem 0n^ britannique (Times).' - Le corn
lïiig rce britannique en Rhénanie (Daily
jye — L'attitude des libéraux na-
jj(jaux britanniques (Morning Post). -
Ses perspectives de l'Entente (J. A.
p W p nd©r dans Westminster Gazette).
^Ssp
LGE* — vo'ya»e de M. Jaspar en
QIhb b
k Lamhardiie (Indépendance Belge).
il ,ITALIENNE. — La mise en vigueur des
AC ^rds de Sainte-Marguerite : les ajour-
n0r da la Contérence d'Ahbazia
(n d'à la Conférence d'Abbazia
b'-{{tssE
UO P.DSSE. — Résolutions du Congrès na-
tion 'et- économique de Smyrne (lsves-
tta)
^IITIQUE Il EN ElU LE
LES RÉPARATIONS
tts B
J°VAGe D RUITS DE MEDIATION. — LE
^iïiap M. STINNES EN ITALIE. - De Paris,
rêtsMache, en France, un très vif
YOYage de M. Stinnes en Italie et
en, voyage de M. Stinnes en Italie et
g(11' ns qui paraissent devoir s'enga-
n" ui à Milan. Quial peut bien être
Wt Ce déplacement ? Pourquoi M. Jas-
"ni'str'e des Affaires étrangères belge,
avec M. Mussolini à Milan ?
f cfoît qu un échange de vues sur les af-
^^êt6 1Il Ruhr a lieu en ce moment, el
Q\1lét\Jld.e qu Il soulève se mêle à un peu d'in-
w Les déplacements du magnat in-
i striel il ernand donneraient à penser que
est InvItee à prendre une part impor-
h dni18 leg événements actueils. Si I on
, Ill. da.ne Pas que M. Jaspar s'engage bien
il, ^an S Ces conversations, il semble que
Mu<5,S°!*n* quelque peu aspiré, dès
i< rtftriginp' r jouer le rôle die médiateur. A
gine, Jouer le rôle dc méd iateù,r. A
r SeiS' l'AMemagne a tenté d'entrai-
M MUSSQlmi dans des négociations.
qn„ l'Italie se soit associée, camme la
France et la Belgique, à la politique de la
Ruhr, elle n'accorde dans la pratique aucun
intérêt actif à la marche des événements ;
elle a envoyé sur les lieux deux ou trois in-
génieurs sans prêter le concours de ses sol-
dats. Mais cette approbation nominale pla-
ce l'Italie, à certains égards, dans une si-
tuation avantageuse. De l'avis des Fran-
çais, la Grande-Bretagne, qui n'a pas parti-
cipé à l'occupation de la Ruhr, n'a aucune
qualité pour donner des conseils. Il n'en est
pas de même de l'Italie. Aussi est-il possi-
ble que l'Allemagne, après l'échec de son
appei à la Grande-Bretagne et aux Etats-
Unis, espère trouver plus de succès auprès
de l'Italie. - (Du correspondant particulier).
TIMES, 28.3.
LE VOYAGE DE M. JASPAR EN LOMBARDIE. -
Sous les titres : « Les conseils de l'Italie
au gouvernement allemand ». — « Faites une
offre concrète » — Il se produit dans les
affaires internationales des coïncidences
trop marquées pour ne pas être voulues. A
peine M. Stinnes a-t-il quitté Rome, où ii.
a conféré non seulement avec des banquiers
iau gouvernement allemand ». - Faites une
sous-secrétaire d'Etat et aller ego de M.
Mussolini, et avec le cardinal secré-
taire d'Etat du Vatican, que l'on voit
la ministre des Affaires étrangères belge
aller à Milan pour rendre visite au premier
ministre italien. On affirme dans les milieux
officiels que le voyage de M. Jaspar en
Lombardie est exclusivement consacré à
ses affaires particulières, que la visite qu'il
se propose de rendre à M. Mussolini est une
visite de pure courtoisie et que le gouver-
nement belge, tout comme le gouvernement
français, se refuse absolument à discuter
avec un tiers aucune transaction au sujet
de la Ruhr, exception faite de conversations
directes avec une Allemagne qui aurait déjà
présenté une offre concrète. Précisément !
Le fait essentiel, quoique non encore ré-
vélé, je crois, est que la semaine dernière
encore M. Mussolini a fait des représenta-
tions au gouvernement allemand par les
voies diplomatiques, insistant auprès de ce
gouvernement pour qu'il fit à tous les alliés
une offre de ce genre. Il se peut même que
cette initiative ait été connue du Quai d'Or-
say, ainsi que des ambassades italienne et
allemande de Paris et que le marquis della
Torretta en ait informé lord Curzon à l'oc-
casion de sa visite au Foreign Office, lundi
dernier.
La nouvelle causera sans doute une cer-
taine surprise à Londres, où malgré les pro-
testations répétées adressées à M. Poincaré
par le baron Avezzana au sujet du caractère
de plus en plus militaire de l'occupation
franco-belge de la Ruhr, on ne s'est jamais
rendu compte que la neutralité de l'Italie à
l'égard de cette expérience a été quelque
peu moins bienveillante et assurément plus
inquiète que la nôtre. Dans ces conditions,
ii serait difficile à M. Mussolini de ne pas
aborder avec M. Jaspar une question qu'il
a déjà fait soulever à Berlin, sinon même
à Paris. Et comme la Belgique, ainsi qu'il
a été souligné à la dernière conférence de
Bruxelles, est aussi hostile pour des raisons
politiques comme pour des raisons économi-
ques à tout projet annexionniste ou sépara-
tiste à l'égard de la Rhénanie que ne le
sont la Grande-Bretagne et l'Italie, elle ne
pourrait manquer d'accueillir avec faveur,
de la part de l'Allemagne, une offre qui ap-
porterait une base de discussion convena-
ble entre tous les alliés, offre qui couvrirait
à la fois les deux aspects de l'après-guerre,
les réparations et la sécurité. Ou bien peut-
être la question de sécurité devrait-elle être
considérée comme la première par ordre
d'importance, en ce qui concerne la France;
de même qu'elle s'annonce comme devant
être mise au premier rang du débat de ce
soir à la Chambre des Communes ? Le vif
intérêt avec lequel l'opinion française attend
ce débat indique suffisamment que la Fran-
ce elle-même ne dédaignerait pas la pers-
pective d'un prompt règlement. — (Du cor-
respondant diplomatique).
D.ULY TELEGRAPll, 28.3.
PRESSE BELGE. '- Nous sommes, pour no-
tre part, en mesure d'affirmer que la con-
versation de Milan répond au désir du gou-
vernement belge de maintenir un contact
étroit avec le gouvernement italien, qui par-
ticipe également, dans une certaine mesure,
on le sait, à l'occupation de la Ruhr. D'autre
part, notre ministre des Affaires étrangères
comptait mettre M. Mussolini au courant
des dernières mesures prises dans la Ruhr
et de celles qu'on pourrait être appelé à
prendre prochainement.
C'est tout.
Il est absolument faux de prétendre, com-
me certains journaux étrangers l'ont insi-
nué, que M. Jaspar serait parti pour Milan
en vue d'entretenir M. Mussolini d'un projet
quelconque de médiation.
Le gouvernement belge a déclaré à main-
tes reprises, et de façon catégorique — de
même que le gouvernement français — que
si l'Allemagne a des propositions à faire,
elle doit les faire directement à la France
et à la. Belgique.
Rien n'est changé à cet égard et il ne
saurait Mre question d'une médiation quel-
conque.
M. Poincaré vient de faire précisément
des déclarations qui ferment la porte à toute
tentative de ce genre.
Dans ces conditions, il y a lieu de consi-
dérer comme parfaitement exacte l'informa-
, DES
S ÉTRANGÈRES
N° 2315
Jeudi 29 mats 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
iL-
SOM MAIRE
,
rit" ALLEMANi')E- - Réparations et sécu-
rib V le. projet die: démilitarisation de la
n'anie (Bernhard Dernburg dans
P rllner Tageblatt).
et 1 AMERICAINE. — La politique française
EL e danger russe (World).
t. SE At\G[ 'd' to
«vLAISE- — Les bruits de médiation
ti lrrtes. DailU Tclegraph). — Répara-
tioDS et sécurité : le projet de démlilj-
-"P"ttiOn de lt Rhénanie (Dailu Chro-
- - La i-fiise ei-i vigu,eui~ de l,
Ico.rd — mise en vigueur de l'ac
corri r odle.V"Payot : une note du g ou ver
fiem 0n^ britannique (Times).' - Le corn
lïiig rce britannique en Rhénanie (Daily
jye — L'attitude des libéraux na-
jj(jaux britanniques (Morning Post). -
Ses perspectives de l'Entente (J. A.
p W p nd©r dans Westminster Gazette).
^Ssp
LGE* — vo'ya»e de M. Jaspar en
QIhb b
k Lamhardiie (Indépendance Belge).
il ,ITALIENNE. — La mise en vigueur des
AC ^rds de Sainte-Marguerite : les ajour-
n0r da la Contérence d'Ahbazia
(n d'à la Conférence d'Abbazia
b'-
UO P.DSSE. — Résolutions du Congrès na-
tion 'et- économique de Smyrne (lsves-
tta)
^IITIQUE Il EN ElU LE
LES RÉPARATIONS
tts B
J°VAGe D RUITS DE MEDIATION. — LE
^iïiap M. STINNES EN ITALIE. - De Paris,
rêtsMache, en France, un très vif
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en, voyage de M. Stinnes en Italie et
g(11' ns qui paraissent devoir s'enga-
n" ui à Milan. Quial peut bien être
Wt Ce déplacement ? Pourquoi M. Jas-
"ni'str'e des Affaires étrangères belge,
avec M. Mussolini à Milan ?
f cfoît qu un échange de vues sur les af-
^^êt6 1Il Ruhr a lieu en ce moment, el
Q\1lét\Jld.e qu Il soulève se mêle à un peu d'in-
w Les déplacements du magnat in-
i striel il ernand donneraient à penser que
est InvItee à prendre une part impor-
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, Ill. da.ne Pas que M. Jaspar s'engage bien
il, ^an S Ces conversations, il semble que
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M MUSSQlmi dans des négociations.
qn„ l'Italie se soit associée, camme la
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çais, la Grande-Bretagne, qui n'a pas parti-
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qualité pour donner des conseils. Il n'en est
pas de même de l'Italie. Aussi est-il possi-
ble que l'Allemagne, après l'échec de son
appei à la Grande-Bretagne et aux Etats-
Unis, espère trouver plus de succès auprès
de l'Italie. - (Du correspondant particulier).
TIMES, 28.3.
LE VOYAGE DE M. JASPAR EN LOMBARDIE. -
Sous les titres : « Les conseils de l'Italie
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peine M. Stinnes a-t-il quitté Rome, où ii.
a conféré non seulement avec des banquiers
iau gouvernement allemand ». - Faites une
sous-secrétaire d'Etat et aller ego de M.
Mussolini, et avec le cardinal secré-
taire d'Etat du Vatican, que l'on voit
la ministre des Affaires étrangères belge
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Lombardie est exclusivement consacré à
ses affaires particulières, que la visite qu'il
se propose de rendre à M. Mussolini est une
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nement belge, tout comme le gouvernement
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avec un tiers aucune transaction au sujet
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Le fait essentiel, quoique non encore ré-
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tiste à l'égard de la Rhénanie que ne le
sont la Grande-Bretagne et l'Italie, elle ne
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