Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 mars 1923 28 mars 1923
Description : 1923/03/28 (T23,N2314). 1923/03/28 (T23,N2314).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391472
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MlMisTÈftE
4jfjf DES
tFF!IRES ÉTRANGÈRES
N° 2314
Mercredi 28 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOM M AIRE
ji \rxK\iA\i)K. — L'occupation de la
j ,\Uhr (Jakob Frank dans Berliner lUir-
en-CO?I,rier). — Le discours de M. Cuno
n'°'1 (Kotnisclie Zeitung). - Répa-
io rl 1 et sécurité : l'attitude de la So-
cial-démocratie allemande (Vorieàrts ).
l, 'CL.\ISE. - L'occupation de la Ruhr :
1' 'Pinio.p aux Etats-Unis (Manchester
^l*Ur^ian)■ — Réparations et sécurité :
\"Projets de démilitarisation de la Rhé-
<~ie (G. Renwick dans Daily Chroni-
,\t' : Telegravh, Times ; Roland
klns'Ün dans Westminster Gazelle).
jGs perspectives de l'Entente (Daily
\l , Westminster Gazette). — Les con-
tp.fr, Pr°Positions turques : la conférence
S experts de Londres (Times, Daily
p^Qraph). — La ratification par la
inCe dps traités de Washington (Man-
r'/t>ler ('"ar,lia"■)• — Ijlfls journalistes
H^^ftgers a Moscou (Morning Posl).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
l.j^PATlON DE LA RUHR. —
^G[.V( A|!X Ivi'ATS-lÎMS. — CoRliESl'ONDANCF.
~U~ '.- New-York, 23 mars : La sym-
s 1 ^C>Vlr France est ce. qui domine
lltelll fi Rentes manifestations du senti-
llm.ér i
q\lt< oam. C'est dans la classe moyen-
Ie qi - cette sympathie est la plus forte.
3 t dlneuI'S, les financiers et les fonc-
fS Cor|'lain.n:cail nettement, ou tout
1 la. Sy s deplÜirent la politique de la Ruhr.
athie dont la France jouit actuel-
le extrêmement instable, parce que
V,;:< 's,'tn dans les milieux le in oins
e t Gn contact avec l'Europe que
ie est la plus marquée. Si M.
Poincaré ne réussit pas à obtenir, dans un
délai raisonnable, des résultats tangibles,
•% s_ 'II>Ulhie i>"aura, à la longue aucune
; Dülhle n~m'a à la longue aucune
la politique ni sur l'opinion
IQ, car l'Américain dont les sym-
,ont a la France est fermement con-
t~ r. M. Poincaré est simplement en
i?!* cU Se paycr d'une juste dette sur un
d Hp défaut. Il ne faut donc pas tirer
,Si0ns fausses d'une sympathie qui
8\11' u
e s, 11 une base aussi instable.
ICJJESTE RGUARDIAN, 24.3.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre : « L\ BE-
PAS de Poincaré », Jakob Frank
toi r démontrer que c'est M. Poincaré
^i!Hi0n sa Résistance passive à de nouvelles
M. Poincaré demande des réparations et
la sécurité. Si on lui parle réparations, il
parle alors sécurité. Qu'on lui parle sécu-
rité, il nous parlera réparations. Cette tac-
tique est facile à comprendre si l'on admet
que pour lui réparations et sécurité ne si-
gnifient qu'annexions. Une chose est cer-
taine : Si M. Poincaré ne réalise pas d'an-
nexions, ouvertes ou déguisées, il ne pourra
pas convaincre la France et le monde que
les quatorze mois de son règne comme pré-
sident du Gonsieiil n'auront pas été. un formi-
dable échec qui aura retardé inutilement la
paix définitive. Il était déjà reconnu au
commencement, de 1922, que le traité de
Versailles n'avait pas amené de paix véri-
table. On était alors d'avis qu'il n'y aurait
de paix véritable que lorsque la question
des réparations serait réglée et que la
France n'aurait plus d'inquiétudes quant à
sa sécurité. Et l'on se trouvait sur le droit
chemin de la vraie paix, et même on tou-
chait au but : à Cannes, Rathenau pouvait
conduire la politique allemande ; Lloyd
G('Iorgc avait apporté un projet de pacte de
garantie, qui remplaçait complètement pour
la France le pacte de garantie américano-
anglo-français sur lequel on s'était mis d'ac-
cord à Versailles, mais qui avait échoué de-
vant la résistance "u Congrès de Washing-
ton. C'est ail ors que Briand fut renversé
par Poincaré Si Poincaré ne veut vraiment
pas plus que des réparations ou la sécurité,
alors le plus grand succès ne pourra justi-
fier la politique qu'il a suivie jusqu'à pré-
sent; car on ne peut obtenir aujourd'hui, au
moins en ce qui concerne les réparations,
plus que Briand n'était déjà certain d'obte-
nir au début de janvier 1922. T1 est déjà sur-
prenant que l'on puisse obtenir autant. L'Al-
lemagne prouve par là non seulement sa
bonne volonté, mais aussi une grande con-
fiance en soi. D'après des nouvelles répan-
dues dans la presse, américaine le gouver-
nement allemand aurait voulu soumettre à
Paris, le 2 janvier, une offre qui était plus
élevée que quiconque aurait pu supposer :
30 milliards de marks-or, tel est le montant,
offert déjà par le Dr Simon au printemps de
1921, à Londres, alors que la situation éco-
nomique de l'Allemagne était sensiblement
plus favorable et que l'on supposait que la
Haute-Silésie resterait tout entière à l'Alle-
magne Il faut avoir un optimisme robuste
pour maintenir l'offre d'autrefois et surtout
pour considérer un emprunt de 20 milliards
de marks-or comme actuellement possible.
Le gouvernement du Reich a commis une
lourde faute en ne publiant pas cette offre
immédiatement après l'échec de la Confé-
rence de Paris. R eût commis une plus
lourde faute s'il l'avait publiée maintenant,
pour dire simplement qu'ellle est désormais
périmée. Sa publication ne pouvait être in-
terprétée que dans ce sens : l'Allemagne
veut encore maintenant accepter les mêmes
obligations, si toutefois la France ne pour-
suit pas la lutte dans la Ruhr, au point de
rendre irréparables les dommages et, par
suite. la diminution des capacités de paie-
ment de l'Allemagne. Mais il ne suffit pas
de faire remarquer indirectement de telles
intentions de la part du gouvernement alle-
mand.
Après Pâques, le discours du ministre des
Affaires étrangères, que l'on attend partout
avec une vive impatience, apportera — nous
l'espérons — plus de lumière que les dis-
cours du Chancelier. La continuation de la
résistance passive dans le bassin de la Ruhr:
nous devons aussi donner au monde la con-
viction que ce n'est pas notre faute, si nous
ne pouvons faire mieux que de pratiquer la
résistance pasive dans le bassin de la Ruhr:
nous devons démontrer nettement que la
question des réparations pourra être résolue
dès que M. Poincaré cessera d'opposer la
résistance passive à de nouvelles négocia-
tions relatives aux réparations. - Jakob
Frank.
TiERUXER BOEHSEX-COl RIE1',.
25.3, matin.
LE DISCOURS DE M. CUNO A MUNICH.
— Sous le titre : « La fin des bavardages sur
la médiation ». la Koelnische Zeitung commente
le discours du Chancelier Cuno. à Munich.
Par son discours de Munich, le Chancelier
du Reich a balayé d'un coup de vent tous
les coins moisis dans lesquels, depuis des
semaines, on chuchotait au sujet de deman-
des de médiation faites par l'Allemagne. Le
but de ces, exercices de style était clair. On
voulait donner à l'opinion française de plus
en plus inquiète une potion calmante, en lui
faisant entrevoir le succès tout prochain de
l'aventure dans la Ruhr, et. en lui apportant
pour preuve la lassitude de l'Allemagne et
ses dispositions à négocier. Dans ce but il
fallait au moins un" fois par jour montrer
quelque part une tentative allemande, tantôt
à Londres, tantôt à Washington, et même
en dernier lieu, à Baie, avec nom à l'appui,
puisqu'il paraît que l'ancien secrétaire
d'Etat Bergmann se serait adressé au ban-
quier Dubois comme chef d'un cartel.
En France on croit aisément ce qu'on souhaite:
aussi l'espoir était-il grand. Mais maintenant
c'est, la déception.
Le Chancelier a lancé ces paroles qui ont.
dû produire l'effet d'une douche d'eau froi-
de : « Il n'y a pas un mot de vrai en tout
cela ! Il Cuno va même encore plus loin et
déclare tout net qu'au contraire chaque se-
maine on est venu lancer à Berlin un bal-
lon d'essai !
Le gouvernement français, qui a laissé
courir tous ces bruits insensés, si même il
nie les a pas provoqués lui-même, a évidem-
ment pressenti la teneur du discours du
4jfjf DES
tFF!IRES ÉTRANGÈRES
N° 2314
Mercredi 28 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOM M AIRE
ji \rxK\iA\i)K. — L'occupation de la
j ,\Uhr (Jakob Frank dans Berliner lUir-
en-CO?I,rier). — Le discours de M. Cuno
n'°'1 (Kotnisclie Zeitung). - Répa-
io rl 1 et sécurité : l'attitude de la So-
cial-démocratie allemande (Vorieàrts ).
l, 'CL.\ISE. - L'occupation de la Ruhr :
1' 'Pinio.p aux Etats-Unis (Manchester
^l*Ur^ian)■ — Réparations et sécurité :
\"Projets de démilitarisation de la Rhé-
<~ie (G. Renwick dans Daily Chroni-
,\t' : Telegravh, Times ; Roland
klns'Ün dans Westminster Gazelle).
jGs perspectives de l'Entente (Daily
\l , Westminster Gazette). — Les con-
tp.fr, Pr°Positions turques : la conférence
S experts de Londres (Times, Daily
p^Qraph). — La ratification par la
inCe dps traités de Washington (Man-
r'/t>ler ('"ar,lia"■)• — Ijlfls journalistes
H^^ftgers a Moscou (Morning Posl).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
l.j^PATlON DE LA RUHR. —
^G[.V( A|!X Ivi'ATS-lÎMS. — CoRliESl'ONDANCF.
~U~ '.- New-York, 23 mars : La sym-
s 1 ^C>Vlr France est ce. qui domine
lltelll fi Rentes manifestations du senti-
llm.ér i
q\lt< oam. C'est dans la classe moyen-
Ie qi - cette sympathie est la plus forte.
3 t dlneuI'S, les financiers et les fonc-
fS Cor|'lain.n:cail nettement, ou tout
1 la. Sy s deplÜirent la politique de la Ruhr.
athie dont la France jouit actuel-
le extrêmement instable, parce que
V,;:< 's,'tn dans les milieux le in oins
e t Gn contact avec l'Europe que
ie est la plus marquée. Si M.
Poincaré ne réussit pas à obtenir, dans un
délai raisonnable, des résultats tangibles,
•% s_ 'II>Ulhie i>"aura, à la longue aucune
; Dülhle n~m'a à la longue aucune
la politique ni sur l'opinion
IQ, car l'Américain dont les sym-
,ont a la France est fermement con-
t~ r. M. Poincaré est simplement en
i?!* cU Se paycr d'une juste dette sur un
d Hp défaut. Il ne faut donc pas tirer
,Si0ns fausses d'une sympathie qui
8\11' u
e s, 11 une base aussi instable.
ICJJESTE RGUARDIAN, 24.3.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre : « L\ BE-
PAS de Poincaré », Jakob Frank
toi r démontrer que c'est M. Poincaré
^i!Hi0n sa Résistance passive à de nouvelles
M. Poincaré demande des réparations et
la sécurité. Si on lui parle réparations, il
parle alors sécurité. Qu'on lui parle sécu-
rité, il nous parlera réparations. Cette tac-
tique est facile à comprendre si l'on admet
que pour lui réparations et sécurité ne si-
gnifient qu'annexions. Une chose est cer-
taine : Si M. Poincaré ne réalise pas d'an-
nexions, ouvertes ou déguisées, il ne pourra
pas convaincre la France et le monde que
les quatorze mois de son règne comme pré-
sident du Gonsieiil n'auront pas été. un formi-
dable échec qui aura retardé inutilement la
paix définitive. Il était déjà reconnu au
commencement, de 1922, que le traité de
Versailles n'avait pas amené de paix véri-
table. On était alors d'avis qu'il n'y aurait
de paix véritable que lorsque la question
des réparations serait réglée et que la
France n'aurait plus d'inquiétudes quant à
sa sécurité. Et l'on se trouvait sur le droit
chemin de la vraie paix, et même on tou-
chait au but : à Cannes, Rathenau pouvait
conduire la politique allemande ; Lloyd
G('Iorgc avait apporté un projet de pacte de
garantie, qui remplaçait complètement pour
la France le pacte de garantie américano-
anglo-français sur lequel on s'était mis d'ac-
cord à Versailles, mais qui avait échoué de-
vant la résistance "u Congrès de Washing-
ton. C'est ail ors que Briand fut renversé
par Poincaré Si Poincaré ne veut vraiment
pas plus que des réparations ou la sécurité,
alors le plus grand succès ne pourra justi-
fier la politique qu'il a suivie jusqu'à pré-
sent; car on ne peut obtenir aujourd'hui, au
moins en ce qui concerne les réparations,
plus que Briand n'était déjà certain d'obte-
nir au début de janvier 1922. T1 est déjà sur-
prenant que l'on puisse obtenir autant. L'Al-
lemagne prouve par là non seulement sa
bonne volonté, mais aussi une grande con-
fiance en soi. D'après des nouvelles répan-
dues dans la presse, américaine le gouver-
nement allemand aurait voulu soumettre à
Paris, le 2 janvier, une offre qui était plus
élevée que quiconque aurait pu supposer :
30 milliards de marks-or, tel est le montant,
offert déjà par le Dr Simon au printemps de
1921, à Londres, alors que la situation éco-
nomique de l'Allemagne était sensiblement
plus favorable et que l'on supposait que la
Haute-Silésie resterait tout entière à l'Alle-
magne Il faut avoir un optimisme robuste
pour maintenir l'offre d'autrefois et surtout
pour considérer un emprunt de 20 milliards
de marks-or comme actuellement possible.
Le gouvernement du Reich a commis une
lourde faute en ne publiant pas cette offre
immédiatement après l'échec de la Confé-
rence de Paris. R eût commis une plus
lourde faute s'il l'avait publiée maintenant,
pour dire simplement qu'ellle est désormais
périmée. Sa publication ne pouvait être in-
terprétée que dans ce sens : l'Allemagne
veut encore maintenant accepter les mêmes
obligations, si toutefois la France ne pour-
suit pas la lutte dans la Ruhr, au point de
rendre irréparables les dommages et, par
suite. la diminution des capacités de paie-
ment de l'Allemagne. Mais il ne suffit pas
de faire remarquer indirectement de telles
intentions de la part du gouvernement alle-
mand.
Après Pâques, le discours du ministre des
Affaires étrangères, que l'on attend partout
avec une vive impatience, apportera — nous
l'espérons — plus de lumière que les dis-
cours du Chancelier. La continuation de la
résistance passive dans le bassin de la Ruhr:
nous devons aussi donner au monde la con-
viction que ce n'est pas notre faute, si nous
ne pouvons faire mieux que de pratiquer la
résistance pasive dans le bassin de la Ruhr:
nous devons démontrer nettement que la
question des réparations pourra être résolue
dès que M. Poincaré cessera d'opposer la
résistance passive à de nouvelles négocia-
tions relatives aux réparations. - Jakob
Frank.
TiERUXER BOEHSEX-COl RIE1',.
25.3, matin.
LE DISCOURS DE M. CUNO A MUNICH.
— Sous le titre : « La fin des bavardages sur
la médiation ». la Koelnische Zeitung commente
le discours du Chancelier Cuno. à Munich.
Par son discours de Munich, le Chancelier
du Reich a balayé d'un coup de vent tous
les coins moisis dans lesquels, depuis des
semaines, on chuchotait au sujet de deman-
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voulait donner à l'opinion française de plus
en plus inquiète une potion calmante, en lui
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l'aventure dans la Ruhr, et. en lui apportant
pour preuve la lassitude de l'Allemagne et
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fallait au moins un" fois par jour montrer
quelque part une tentative allemande, tantôt
à Londres, tantôt à Washington, et même
en dernier lieu, à Baie, avec nom à l'appui,
puisqu'il paraît que l'ancien secrétaire
d'Etat Bergmann se serait adressé au ban-
quier Dubois comme chef d'un cartel.
En France on croit aisément ce qu'on souhaite:
aussi l'espoir était-il grand. Mais maintenant
c'est, la déception.
Le Chancelier a lancé ces paroles qui ont.
dû produire l'effet d'une douche d'eau froi-
de : « Il n'y a pas un mot de vrai en tout
cela ! Il Cuno va même encore plus loin et
déclare tout net qu'au contraire chaque se-
maine on est venu lancer à Berlin un bal-
lon d'essai !
Le gouvernement français, qui a laissé
courir tous ces bruits insensés, si même il
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