Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 mars 1923 15 mars 1923
Description : 1923/03/15 (T23,N2303). 1923/03/15 (T23,N2303).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391368
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
",.
DES
Es ÉTRANGÈRES
N° 2303
Jeudi 15 mars 192'3
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
: SOMMAIRE
EsSE A
LLEMANDE* - La. résistance alle-
mande : U discours de M. Stresemann
à Fr n. Iscours: d.e M. Stresemann
(Frankfurter Zeitung) : un
de M. Hermes à Hageri (Kol-
Oese: y olkszeitung); un discours de M.
Zeitu a Hambourg (Kolnische "ollis-
zeituing). Hambourg (Kôlnische Volks-
V 9
RlCAINE" - Le caoutchouc dans
'6 américaine (World). - Les
exPortr°'ns des Etats-Unis : le com-
]es avec l'Europe (Literary Digest);
les r(iPercussions du nouveau tarif
les répercussions du nouveau tarif
V
(1'irn' LAISE. - La crise européenne
(Times). Les contre-propositions tur-
11. que ,1orntng Post, Times).
'lI£sSE: ITAÎ"IEnne- — L'occupation de la
Ruhr L'occupation de la
(GiUs et les intentions de la France
(Giijg PPe Bevione dans (Gazzetta del
P°poi(
————————————
POLIT, 1 i
LES RÉPARATIONS
"A r-
fi¡ ", le In EUROPEENNE [sous ce titre].
î -• Lerïlf'ri^ semble approcher rapide-
rç?'rv* S'ieterre sera invitée à jouer un
vêtt, (1 d'j (la a solution des problèmes soule-
S ûaîlg a ^u'^r- Il n'est pas question
k gOùVern dans la lutte franco-allemande.
j.1 .eiïl;ent a raison de s'abstenir,
K de tenter une médiation sans
1.® et avec la certitude d'un in-
^jls les événements prennent une
tournure ouveHe. Les effets d'une tension
VÎ^e l'orit sentir d'un côté comme
^trp font sentir d'un côté comme
i 'ers Une part, l'assassinat de deux
]fr dans une rue mal éclairée
petite minière de Buer, et les
tJ r^,8ai'lles françaises qui ont suivi
^eilHrp. esaHles françaises qui ont suivi
It "bilit entrevoir de dangereuses
fûsO^litég Cle désordres effrénés qui dé-
tr,VtomesPoir de solution rapide. D'au-
Part Cert -
i?irtains passages des maigres
ren dus de la conférence de lundi, à
fC~t M. Poincaré et M. Theunis
ncais .en l
terldre que ni le gouvernement
Ili e gouvernement belge n'envi-
br() 'lQaj ücCupation permanente de la
()Il lïiais Qu'ils sont disposés à évacuer
,mais S qU'ils SQlfl't disposés à évacuer
lenl la région à certaines con-
tr-è^ strictes. En même temps 'e
Qllels ent allemand et les industriels
Consacrent leur attention, non
seulement à l'organisation d'une résistance
qui ne peut se prolonger indéfiniment, mais
encore à l'élaboration des propositions qu'ils
devront inéluctablement présenter comme
leur contribution .au règlement. Il s'agit de
bien plus que d'un conflit obstiné entre la
coercition et la résistance parmi les puits de
mine et les tas de scories de la Ruhr. C'est
une lutte complexe et d'une grande portée
qui se livre entre les volontés, les intelli-
gences, les ressources des deux adversaires.
L'opinion publique, en France, tout en sou-
tenant sans faiblir le gouvernement dans
son effort, s'attache à chercher de divers
côtés la solution des problèmes plus larges
qui se posent. Les vagues suggestions pré-
sentées par certains publicistes français in-
fluent en faveur d'un (bloc continental dirigé
contre l'Angleterre, ou d'une revision du
traité de Versailles par la France seule, ne
représentent qu'une des nombreuses ten-
dances de l'opinion française dans la tour-
mente actuelle. M. Maurice Schwoh, dans
une conférence qui a vivement attiré l'at-
tention du public et dont nous publions par
ailleurs/quelques extraits, préconise l'inter-
nationalisation de la Rhénanie et de la
Wesplialie, sous l'égide d'une Société des
nations plus large installée en grand appa-
rat sur le siège de Charlemagne, sa thèse
étant que la possession exclusive de ce
grand arsenal soit par l'Allemagne, soit par
la France, constituerait un danger - perma-
nent pour la paix européenne. Dans un ou-
vrage publié récemment et contenant d'in-
téressantes propositions relatives à une
nouvelle politique nationale destinée à assu-
rer l'indépendance de la France (« Vers
l'Indépendance Politique »), M. Léonce
Juge demande avec force que la France,
ayant fermement assuré sa sécurité, vise a
une détente en traitant l'Allemagne avec gé-
nérosité. Il est partisan d'une entente plus
étroite avec l'Angleterre fondée sur de nou-
veaux principes .et envisage la coopération
de la France, de la Grande-Bretagne et de
l'Allemagne en vue du relèvement de la
Russie. La pensée française est active et
pénétrante. En Allemagne on relève et on
discute une douzaine d'aspects nouveaux du
problème européen si profondément modi-
fié. Dans tout ce nouveau mouvement quel
rôle joue le sens politique si sûr de l'An-
gleterre ? La Grande-Bretagne peut-elle se
contenter de voir .ses troupes monter la
garde à Cologne sur les derniers vestiges
du traité de Versailles alors que la, face de
l'Europe est en voie: de transformation ?
Nous reconnaissons les nombreuses diffi-
cultés auxquelles se heurte le gouverne-
ment, mais dans cette phase critique de ses
destinées le peuple britannique a besoin
d'être guidé avec clairvoyance et avec fer-
meté. - (Ed.)
, TIMES, 14.3.
L' OCCUPATION DE LA RUHR ET LES
INTENTIONS DE LA FRANCE. - OPINION
ITALIENNE. - Sous le titre : « Une thèse fran-
çaise inacceptable ». - M. Giuseppe Be-
vione commente dans la Gazzetta del Po-
podo un article de Pertinax dans l'Echo dé
Paris, qui serait inspiré par les sphères
gouvernementales françaises et dont le sens
est celui-ci : après Voccupation de la Ruhr,
si les alliés n'acceptent pas de souscrire aux
nouvelles conditions que la France fixera à
l'Allemagne, la France devra s'entendre di-
rectement avec l'Allemagne, sans tenir
compte des propositions de l'Italie et de
l' Angleterre.
En d'autres termes, selon Pertinax, la
France, en entreprenant de sa propre ini-
tiative l'opération de la Ruhr, aurait acquis
envers l'Allemagne des droits supérieurs à
ceux qui dérivent du traité de paix et au-
rait acquis sur ses alliés une supériorité qui
bouleverserait complètement, la situation
d'égalité absolue qui a existé entre les al-
liés jusqu'au 11 janvier dernier. En effet,
d'après Pertinax, si l'Allemagne capitulait
et réclamait des. négociations pour l'éva-
cuation de la Ruhr, la France aurait le droit
de s'opposer à ce que l'Angleterre - et na-
turellement l'Italie - demandent les mê-
mes choses que M. Bonar Law et M. Mus-
solini ont proposées dans leurs projets de
moratoire de Londres et de Paris. Et en
cas de désaccord, la France aurait la fa-
culté de négocier séparément avec l'Alle-
magne.
Autrement dit : la France se réserverait le
droit de conclure avec l'Allemagne pour son
usage personnel un nouveau traité de paix
perfectionné à la place du traité de Ver-
sailles, dont la liquidation serait ainsi pro-
noncée.
Le jugement que tous les esprits se-
reins d'Italie qui suivent avec attention les
événements rhénans doivent porter sur la
thèse émise par Pertinax n'est pas favora-
ble. Le journaliste français propose au fond
tout simplement que l'occupation de la
Ruhr ne cesse pas, mais soit régularisée di-,
plomatiquement, à condition que les princi-
pales clauses du traité de Versailles soient
revues et aggravées au détriment de l'Alle-
magne. Avec, au surplus, cette aggrava-
tion : que si les puissances alliées de la
France n'entendaient pas souscrire à cette
révision du traité de Versailles, la France
passerait. outre et conclurait un nouveau
traité pour son propre compte au risque de
couler à pic l'Entente.
Une solution de ce genre, qui laisse de
côté toute collaboration anglaise et. ita-
lienne. présuppose au moins l'adhésion cer-
taine de l'Allemagne. Mais comment est-il
possible d'imaginer que l'Allemagne, débor-
dante de haine et de colère rentrée contre
la France, encouragée dans sa résistance
",.
DES
Es ÉTRANGÈRES
N° 2303
Jeudi 15 mars 192'3
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
: SOMMAIRE
EsSE A
LLEMANDE* - La. résistance alle-
mande : U discours de M. Stresemann
à Fr n. Iscours: d.e M. Stresemann
(Frankfurter Zeitung) : un
de M. Hermes à Hageri (Kol-
Oese: y olkszeitung); un discours de M.
Zeitu a Hambourg (Kolnische "ollis-
zeituing). Hambourg (Kôlnische Volks-
V 9
RlCAINE" - Le caoutchouc dans
'6 américaine (World). - Les
exPortr°'ns des Etats-Unis : le com-
]es avec l'Europe (Literary Digest);
les r(iPercussions du nouveau tarif
les répercussions du nouveau tarif
V
(1'irn' LAISE. - La crise européenne
(Times). Les contre-propositions tur-
11. que ,1orntng Post, Times).
'lI£sSE: ITAÎ"IEnne- — L'occupation de la
Ruhr L'occupation de la
(GiUs et les intentions de la France
(Giijg PPe Bevione dans (Gazzetta del
P°poi(
————————————
POLIT, 1 i
LES RÉPARATIONS
"A r-
fi¡ ", le In EUROPEENNE [sous ce titre].
î -• Lerïlf'ri^ semble approcher rapide-
rç?'rv* S'ieterre sera invitée à jouer un
vêtt, (1
S ûaîlg a ^u'^r- Il n'est pas question
k gOùVern dans la lutte franco-allemande.
j.1 .eiïl;ent a raison de s'abstenir,
K de tenter une médiation sans
1.® et avec la certitude d'un in-
^jls les événements prennent une
tournure ouveHe. Les effets d'une tension
VÎ^e l'orit sentir d'un côté comme
^trp font sentir d'un côté comme
i 'ers Une part, l'assassinat de deux
]fr dans une rue mal éclairée
petite minière de Buer, et les
tJ r^,8ai'lles françaises qui ont suivi
^eilHrp. esaHles françaises qui ont suivi
It "bilit entrevoir de dangereuses
fûsO^litég Cle désordres effrénés qui dé-
tr,VtomesPoir de solution rapide. D'au-
Part Cert -
i?irtains passages des maigres
ren dus de la conférence de lundi, à
fC~t M. Poincaré et M. Theunis
ncais .en l
terldre que ni le gouvernement
Ili e gouvernement belge n'envi-
br() 'lQaj ücCupation permanente de la
()Il lïiais Qu'ils sont disposés à évacuer
,mais S qU'ils SQlfl't disposés à évacuer
lenl la région à certaines con-
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Qllels ent allemand et les industriels
Consacrent leur attention, non
seulement à l'organisation d'une résistance
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encore à l'élaboration des propositions qu'ils
devront inéluctablement présenter comme
leur contribution .au règlement. Il s'agit de
bien plus que d'un conflit obstiné entre la
coercition et la résistance parmi les puits de
mine et les tas de scories de la Ruhr. C'est
une lutte complexe et d'une grande portée
qui se livre entre les volontés, les intelli-
gences, les ressources des deux adversaires.
L'opinion publique, en France, tout en sou-
tenant sans faiblir le gouvernement dans
son effort, s'attache à chercher de divers
côtés la solution des problèmes plus larges
qui se posent. Les vagues suggestions pré-
sentées par certains publicistes français in-
fluent en faveur d'un (bloc continental dirigé
contre l'Angleterre, ou d'une revision du
traité de Versailles par la France seule, ne
représentent qu'une des nombreuses ten-
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mente actuelle. M. Maurice Schwoh, dans
une conférence qui a vivement attiré l'at-
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ailleurs/quelques extraits, préconise l'inter-
nationalisation de la Rhénanie et de la
Wesplialie, sous l'égide d'une Société des
nations plus large installée en grand appa-
rat sur le siège de Charlemagne, sa thèse
étant que la possession exclusive de ce
grand arsenal soit par l'Allemagne, soit par
la France, constituerait un danger - perma-
nent pour la paix européenne. Dans un ou-
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téressantes propositions relatives à une
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rer l'indépendance de la France (« Vers
l'Indépendance Politique »), M. Léonce
Juge demande avec force que la France,
ayant fermement assuré sa sécurité, vise a
une détente en traitant l'Allemagne avec gé-
nérosité. Il est partisan d'une entente plus
étroite avec l'Angleterre fondée sur de nou-
veaux principes .et envisage la coopération
de la France, de la Grande-Bretagne et de
l'Allemagne en vue du relèvement de la
Russie. La pensée française est active et
pénétrante. En Allemagne on relève et on
discute une douzaine d'aspects nouveaux du
problème européen si profondément modi-
fié. Dans tout ce nouveau mouvement quel
rôle joue le sens politique si sûr de l'An-
gleterre ? La Grande-Bretagne peut-elle se
contenter de voir .ses troupes monter la
garde à Cologne sur les derniers vestiges
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l'Europe est en voie: de transformation ?
Nous reconnaissons les nombreuses diffi-
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ment, mais dans cette phase critique de ses
destinées le peuple britannique a besoin
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, TIMES, 14.3.
L' OCCUPATION DE LA RUHR ET LES
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ITALIENNE. - Sous le titre : « Une thèse fran-
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vione commente dans la Gazzetta del Po-
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est celui-ci : après Voccupation de la Ruhr,
si les alliés n'acceptent pas de souscrire aux
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l'Allemagne, la France devra s'entendre di-
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l' Angleterre.
En d'autres termes, selon Pertinax, la
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ceux qui dérivent du traité de paix et au-
rait acquis sur ses alliés une supériorité qui
bouleverserait complètement, la situation
d'égalité absolue qui a existé entre les al-
liés jusqu'au 11 janvier dernier. En effet,
d'après Pertinax, si l'Allemagne capitulait
et réclamait des. négociations pour l'éva-
cuation de la Ruhr, la France aurait le droit
de s'opposer à ce que l'Angleterre - et na-
turellement l'Italie - demandent les mê-
mes choses que M. Bonar Law et M. Mus-
solini ont proposées dans leurs projets de
moratoire de Londres et de Paris. Et en
cas de désaccord, la France aurait la fa-
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Autrement dit : la France se réserverait le
droit de conclure avec l'Allemagne pour son
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noncée.
Le jugement que tous les esprits se-
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ble. Le journaliste français propose au fond
tout simplement que l'occupation de la
Ruhr ne cesse pas, mais soit régularisée di-,
plomatiquement, à condition que les princi-
pales clauses du traité de Versailles soient
revues et aggravées au détriment de l'Alle-
magne. Avec, au surplus, cette aggrava-
tion : que si les puissances alliées de la
France n'entendaient pas souscrire à cette
révision du traité de Versailles, la France
passerait. outre et conclurait un nouveau
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couler à pic l'Entente.
Une solution de ce genre, qui laisse de
côté toute collaboration anglaise et. ita-
lienne. présuppose au moins l'adhésion cer-
taine de l'Allemagne. Mais comment est-il
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