Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 mars 1923 13 mars 1923
Description : 1923/03/13 (T23,N2301). 1923/03/13 (T23,N2301).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239134f
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
r Finistère
DES
ifu 4,t*ES ÉTRANGÈRES
N° 2301
Mardi 13 mars 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'RESsp''- Ali-km vnijk. — L'attitude de l'indus-
tr- le allemande (Arthur Oswald dans
jePziger Volkszeitung). — Une inter
View de Kerenski (Vossische Zeitung).
C AMÉRICAINE. — La production du
e'loutchoue : la concurrence anglo-amé-
caine (Literary Digest).
D, ANGLAISE. — Une interview du baron
t, ^nbaben (Daily Telegraph). — La si-
TUa.tion dans la Ruhr (sir W. Beach
°mas Sunday Express ; George
l'enW10k dans Daily Chronicle ; Daily
t elegraph). — Les contre-propositions
tifr lues (Daly Telegraph).
~SSE IIOLLANDAISE. — Une déclaration de
M • Branting (Maasbode).
et ITALIENNE. — L'occupation de la Ruhr
et les dettes de l'Italie (Giorgio Mortara
dans Mondo). - Ruhr et. Orient (Epoca).
'rts àlondo). — Ruhr et. Orient {Epoca).
Politique GENERALE
- i
LES RÉPARATIONS
^Ù?TUDE DE L'INDUSTRIE ALLE-
DP,. - Le journal socialiste Leipziger
°^SzeU Un0 p-ublie un article nettement dirigé
contre , rria'"nat s de la
j.Urs es magnats de la grosse industrie, pru-
lli¡pôts de il-,, gulerre mondiale, échappant aux
>ôts tlrant bénéfice de l'occupation de la
'.e bavardage au sujet de l'unité de
fron national ne peut nous faire illusion sur
fait116 Trlême des milieux bourgeois en-
logent la continuation de la guerre dans
t bo r aVec des sentiments très mitigés.
"geoisie se partage très nettement en
44 Pa 1 de la paix victorieuse et un parti
ria Paix de conciliation.
!les, aes propriétaires de mines alleman-
^et Surtout pour les gros industriels, la
e e la Ruhr est venue fort à propos.
b^ é it des salaires très bas dans le pays,
] lent depuis longtemps dépassé pour
r°^u^,s les prix du marché mondial,
Ç teijeSor^e qu'il était moins onéreux pour
^duSl ^'e manufacturière allemande d'a-
f^ter 11 fer étranger. Alors vint, pour le
tf0llQmage du prolétariat allemand,
4p bonheur pour les gros industriels
r
la guerre de la Ruhr, dont la
1 Avouée à la grosse industrie a pu
dire qu'on y était fort bien préparé. La
guerre de la Ruhr accentua la dépréciation
du mark-papier, rendit par suite plus diffi-
cile l'importation de produits étrangers et
mit ainsi Les gros industriels allemands à
même de continuer leur politique d'usuriers.
Ces profiteurs de guerre veulent poursuivre
aussi cette guerre de la Ruhr jusqu'à ce que
le peuple allemand soit saigné à blanc.
Pourtant il y a des milieux capitalistes à
qui la guerre de la Ruhr n'apporte aucun
profit, et qui, par conséquent, sont pour la
paix de conciliation. Dans le commerce no-
tamment la guerre de la Huhr a fait du tort
à beaucoup de maisons.
C'est la même situation que pendant la
guerre mondiale. Il s'agit maintenant de sa-
voir si dans cette guerre-ci la masse du
peuple va se mettre derrière tes gros indus-
triels, politiciens de la résistance jusqu'au
bout, ou bien derrière cette autre partie de
la bourgeoisie, dont l'influence politique, il
faut le reconnaître, est beaucoup moindre.
Dans la « Vossische Zeitung » de diman-
che, Georg Bernhard a publié tiii, iéirticle
sous le titre : « Emphase ou solution ? ». Cè
titre signifie : Voulez-vous continuer à ne
rien faire, que lancer' à travers le monde à
grand fracas des expressions ampoulées,
ou bien voulez-vous enfin apporter des ac-
tes raisonnables pour terminer la guerre
de la Ruhr, dans' l'intérêt du peuple alle-
mand ? Bernhard propose d'abandonner
l'idée fixe selon laquelle les Français en
avançant dans la Ruhr n'auraient d'autre
but que d'annexer des territoires allemands.
Il faut, recommande-t-il, partir du point de
vue que l'action de la France dans la Ruhr
a pour but d'assurer les réparations dues en
exécution du traité de Versailles. Pour faire
évacuer la Ruhr, il faut donc essayer d'en-
gager des négociations directes avec les
Français.
L' « Union des groupements patrioti-
ques », entretenue par la grosse industrie, a
décidé officiellement de « tenir sous, stricte
surveillance la socialdémocratie, le centre
gauche et les milieux qui avoisment le Ber-
liner TageLJlatt, afin de pouvoir combattre
avec succès, par tous les moyens possibles,
les tentatives de désunion partant desdites
sources ».
La grosse industrie se considère donc en
état de guerre avec la socialdémocratie,
avec le centre gauche, et avec une fraction
plus ou moins grande de la démocratie
bourgeoise .Mais tous ces éléments réunis
forment la grande majorité, en face de la-
quelle l'industrie lourde et ses satellites
sont en minorité. Il est bon que les politi-
ciens de la paix par la victoire se soient ain-
si démasqués. Et il faut souhaiter qu'il ne
se trouve pas, dans les rangs de ceux que
combat la grosse industrie, trop d'âmes nai-
ves pour obscurcir ces faits bien clairs par
des mots pathétiques.
Et, citant une lettre de Londres publiée par
la Vossische Zeitung, où il est dit que les impôts
en Angleterre sont très lourds, et que les grainc
des familles sont obligées de vendre leurs domai-
nes séculaires, faute d'en pouvoir payer les
impôts, le journal socialiste ajoute:
Dieu punisse l'Angleterre, car elle va
peut-être gâter encore avec ses mauvais
exemples les bonnes mœurs nouvelles de
l'Allemagne d'aujourd'hui, qui veulent que
Le prolétaire seul paie des impôts. L'impôt
sur les salaires des ouvriers, l'impôt sur le
chiffre d'affaires, et. tout cela, par suite
de la dépréciation de la monnaie, est resté
pour la plus grande partie aux mains des
capitalistes allemands pour l'impôt sur le
charbon. Ils ont obtenu du gouvernement un
délai, c'est-à-dire qu'on leur en a fait par-
tiellement cadeau. La guerre de la Ruhr ap-
porte à la grosse industrie un bénéfice énor-
me. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir
pour la prolonger.
La. guerre de la Ruhr est un problème in-
térieur pour l'Allemagne, comme d'ailleurs
les réparations inscrites au traité de Ver-
sailles sont en bonne partie des questions
intérieures allemandes. On ne peut les ré-
soudre qu'en assujettissant aux charges
fiscales de ]a République les capitalistes al-
lemands qui sont, à l'heure actuelle, les
usufruitiers du traité de Versailles. —
Arthur Oswald.
LEIPZIGER VOLKSZEITUNG, 6M.
L XK INTERVIEW DU BARON" YOX RHEINBABEN. — Un
correspondant, du Daily Telegraph a recueilli
les déclarations faites par le baron von Rhein-
baben. membre du Reichstag, actuellement de
passage à Londres. Selon l'auteur de l'article,
cet homme politique, qui appartient au parti\po-
puliste, est le bras droit de M. Stresemann ; if
fait autorité dans le parti en matière de poli-
tique étrangère.
Sur une question de son interlocuteur, le dé-
puté allemand a déclaré :
« Il n'existe aucune disposition législative
permettant au gouvernement de prendre
hypothèque sur les industries, en vue du
jugement des réparations. Toutefois, lorsque
nous avons envoyé le 2 janvier à Paris des
propositions précises, le Reichstag était prêt
à voter des mesures législatives nécessaires
à cet effet. Les sommes offertes à ce mo-
ment. s'élevaient au total de 30 milliards de
marks-or, comme la presse l'a mentionné.
Contrairement à ce qui a été dit, les ma-
gnats de la Ruhr étaient disposés à s enga-
ger à assurer l'exécution des propositions
du gouvernement. Je tiens à insister sur ce
point, puisque le groupement politique au-
quel j'appartiens représente au Parlement
la majeure partie des intérêts industriels al-
lemands. Je suis entièrement convaincu que
DES
ifu 4,t*ES ÉTRANGÈRES
N° 2301
Mardi 13 mars 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'RESsp''- Ali-km vnijk. — L'attitude de l'indus-
tr- le allemande (Arthur Oswald dans
jePziger Volkszeitung). — Une inter
View de Kerenski (Vossische Zeitung).
C AMÉRICAINE. — La production du
e'loutchoue : la concurrence anglo-amé-
caine (Literary Digest).
D, ANGLAISE. — Une interview du baron
t, ^nbaben (Daily Telegraph). — La si-
TUa.tion dans la Ruhr (sir W. Beach
°mas Sunday Express ; George
l'enW10k dans Daily Chronicle ; Daily
t elegraph). — Les contre-propositions
tifr lues (Daly Telegraph).
~SSE IIOLLANDAISE. — Une déclaration de
M • Branting (Maasbode).
et ITALIENNE. — L'occupation de la Ruhr
et les dettes de l'Italie (Giorgio Mortara
dans Mondo). - Ruhr et. Orient (Epoca).
'rts àlondo). — Ruhr et. Orient {Epoca).
Politique GENERALE
- i
LES RÉPARATIONS
^Ù?TUDE DE L'INDUSTRIE ALLE-
DP,. - Le journal socialiste Leipziger
°^SzeU Un0 p-ublie un article nettement dirigé
contre , rria'"nat s de la
j.Urs es magnats de la grosse industrie, pru-
lli¡pôts de il-,, gulerre mondiale, échappant aux
>ôts tlrant bénéfice de l'occupation de la
'.e bavardage au sujet de l'unité de
fron national ne peut nous faire illusion sur
fait116 Trlême des milieux bourgeois en-
logent la continuation de la guerre dans
t bo r aVec des sentiments très mitigés.
"geoisie se partage très nettement en
44 Pa 1 de la paix victorieuse et un parti
ria Paix de conciliation.
!les, aes propriétaires de mines alleman-
^et Surtout pour les gros industriels, la
e e la Ruhr est venue fort à propos.
b^ é it des salaires très bas dans le pays,
] lent depuis longtemps dépassé pour
r°^u^,s les prix du marché mondial,
Ç teijeSor^e qu'il était moins onéreux pour
^duSl ^'e manufacturière allemande d'a-
f^ter 11 fer étranger. Alors vint, pour le
tf0llQmage du prolétariat allemand,
4p bonheur pour les gros industriels
r
la guerre de la Ruhr, dont la
1 Avouée à la grosse industrie a pu
dire qu'on y était fort bien préparé. La
guerre de la Ruhr accentua la dépréciation
du mark-papier, rendit par suite plus diffi-
cile l'importation de produits étrangers et
mit ainsi Les gros industriels allemands à
même de continuer leur politique d'usuriers.
Ces profiteurs de guerre veulent poursuivre
aussi cette guerre de la Ruhr jusqu'à ce que
le peuple allemand soit saigné à blanc.
Pourtant il y a des milieux capitalistes à
qui la guerre de la Ruhr n'apporte aucun
profit, et qui, par conséquent, sont pour la
paix de conciliation. Dans le commerce no-
tamment la guerre de la Huhr a fait du tort
à beaucoup de maisons.
C'est la même situation que pendant la
guerre mondiale. Il s'agit maintenant de sa-
voir si dans cette guerre-ci la masse du
peuple va se mettre derrière tes gros indus-
triels, politiciens de la résistance jusqu'au
bout, ou bien derrière cette autre partie de
la bourgeoisie, dont l'influence politique, il
faut le reconnaître, est beaucoup moindre.
Dans la « Vossische Zeitung » de diman-
che, Georg Bernhard a publié tiii, iéirticle
sous le titre : « Emphase ou solution ? ». Cè
titre signifie : Voulez-vous continuer à ne
rien faire, que lancer' à travers le monde à
grand fracas des expressions ampoulées,
ou bien voulez-vous enfin apporter des ac-
tes raisonnables pour terminer la guerre
de la Ruhr, dans' l'intérêt du peuple alle-
mand ? Bernhard propose d'abandonner
l'idée fixe selon laquelle les Français en
avançant dans la Ruhr n'auraient d'autre
but que d'annexer des territoires allemands.
Il faut, recommande-t-il, partir du point de
vue que l'action de la France dans la Ruhr
a pour but d'assurer les réparations dues en
exécution du traité de Versailles. Pour faire
évacuer la Ruhr, il faut donc essayer d'en-
gager des négociations directes avec les
Français.
L' « Union des groupements patrioti-
ques », entretenue par la grosse industrie, a
décidé officiellement de « tenir sous, stricte
surveillance la socialdémocratie, le centre
gauche et les milieux qui avoisment le Ber-
liner TageLJlatt, afin de pouvoir combattre
avec succès, par tous les moyens possibles,
les tentatives de désunion partant desdites
sources ».
La grosse industrie se considère donc en
état de guerre avec la socialdémocratie,
avec le centre gauche, et avec une fraction
plus ou moins grande de la démocratie
bourgeoise .Mais tous ces éléments réunis
forment la grande majorité, en face de la-
quelle l'industrie lourde et ses satellites
sont en minorité. Il est bon que les politi-
ciens de la paix par la victoire se soient ain-
si démasqués. Et il faut souhaiter qu'il ne
se trouve pas, dans les rangs de ceux que
combat la grosse industrie, trop d'âmes nai-
ves pour obscurcir ces faits bien clairs par
des mots pathétiques.
Et, citant une lettre de Londres publiée par
la Vossische Zeitung, où il est dit que les impôts
en Angleterre sont très lourds, et que les grainc
des familles sont obligées de vendre leurs domai-
nes séculaires, faute d'en pouvoir payer les
impôts, le journal socialiste ajoute:
Dieu punisse l'Angleterre, car elle va
peut-être gâter encore avec ses mauvais
exemples les bonnes mœurs nouvelles de
l'Allemagne d'aujourd'hui, qui veulent que
Le prolétaire seul paie des impôts. L'impôt
sur les salaires des ouvriers, l'impôt sur le
chiffre d'affaires, et. tout cela, par suite
de la dépréciation de la monnaie, est resté
pour la plus grande partie aux mains des
capitalistes allemands pour l'impôt sur le
charbon. Ils ont obtenu du gouvernement un
délai, c'est-à-dire qu'on leur en a fait par-
tiellement cadeau. La guerre de la Ruhr ap-
porte à la grosse industrie un bénéfice énor-
me. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir
pour la prolonger.
La. guerre de la Ruhr est un problème in-
térieur pour l'Allemagne, comme d'ailleurs
les réparations inscrites au traité de Ver-
sailles sont en bonne partie des questions
intérieures allemandes. On ne peut les ré-
soudre qu'en assujettissant aux charges
fiscales de ]a République les capitalistes al-
lemands qui sont, à l'heure actuelle, les
usufruitiers du traité de Versailles. —
Arthur Oswald.
LEIPZIGER VOLKSZEITUNG, 6M.
L XK INTERVIEW DU BARON" YOX RHEINBABEN. — Un
correspondant, du Daily Telegraph a recueilli
les déclarations faites par le baron von Rhein-
baben. membre du Reichstag, actuellement de
passage à Londres. Selon l'auteur de l'article,
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puliste, est le bras droit de M. Stresemann ; if
fait autorité dans le parti en matière de poli-
tique étrangère.
Sur une question de son interlocuteur, le dé-
puté allemand a déclaré :
« Il n'existe aucune disposition législative
permettant au gouvernement de prendre
hypothèque sur les industries, en vue du
jugement des réparations. Toutefois, lorsque
nous avons envoyé le 2 janvier à Paris des
propositions précises, le Reichstag était prêt
à voter des mesures législatives nécessaires
à cet effet. Les sommes offertes à ce mo-
ment. s'élevaient au total de 30 milliards de
marks-or, comme la presse l'a mentionné.
Contrairement à ce qui a été dit, les ma-
gnats de la Ruhr étaient disposés à s enga-
ger à assurer l'exécution des propositions
du gouvernement. Je tiens à insister sur ce
point, puisque le groupement politique au-
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