Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 mars 1923 08 mars 1923
Description : 1923/03/08 (T23,N2297). 1923/03/08 (T23,N2297).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239130s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
Il MiNISTÈRK
It
1 DES
il"AIIIES ÉTRANGÈRES
N° 2297
Jeudi 8 mars 1923 1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ce8 aÎ*LEMANDE. — L'évolution des finan-
cgg du Reldh nu cours des deux der-
Hiep aunées (Frankfurter Zeitung). —
L'0 ll^a^0n de la Ruhr et la situation
Politj intérieure en Allemagne
j, Zeitung).
VNglaisk. — La Grande-Bretagne et
c"'Pa-ti,O,ii de la Ruhr : sur un article
Idie SeIgnobos (Observer, Westmins-
ter G az e^0) ; la (Ruhr et l'Europe (Ti-
Gazette) ; la Huhr et l'Europe (Ti-
a pénétration française : vers
du (Daily Telegraph) ; la barrière
(Geo m et le commerce britannique
rge Renvick dans Daily Chronicle):
une i du crénéi-,ail Splears (Times ) -
11 Le: I61 du général Spears (Times). -
n8ei's die! la sécurité » (J. A.
Spenri G,r' dans Westminster Gazette). —
l'ègl et'ritotre de la Sarre : la date. du
définitif (Daily Telegraph).
-Le Vatican et Angora (Daily Tele-
yranh)
GNole- - Les bruits de rappro-
eut franco-russe (Sot, Epoca).
Jolitiquegmerale
LEs RÉPARATIONS
Nfc^^BRETAGNE ET L'OCCUPA-
n ~1~ RUHR. - SUR UN ARTICLE DE
7>ub/B^S; - L'Observer du 4 mars
os, Préc l'article suivant de M. Sefgrw-
1 ll. Ch e e d'une note d'introduction :
* lirles Seignobos est un historien dont
réPutat011 s ^en(t bien au delà du cercle
Vrelg s Sor'bonne, cercle qui,
^Urs suffisamment vaste, puisque
eig Os y Professe depuis 1883. Ses
naissan C'es aPprofondies, l'esprit critique
i^ï'ant T,1 apporte; à l'étude des problè-
mes politiques appose a l'étude des probic-
Içr de l'bM08 contemporains ainsi qu'à
{> Mus tni re' fait de lui un des causeurs
fI Plliss alâts et les plus suggestifs que
ta!î ^isse renCollirer dans la société intel-
ctuelle de Paris. - Note de: l'Observer.
"le ,
Lorsque deux Peuples unis par une grande
apfi en commun, ainsi que par
à. v communauté d'intérêts, en
S]'o n§er des paroles amères sur
nliti que ql'il leur convient de suivre, cela
fi qli,2 8, surgi une profonde mésen-
]) PrQVfln ée Par l'opposition de deux
»,Itl S la cr'
v. VOit (j, dont souffre l'Europe, l'An-
Wi cltÔtr¡ abord ce-qu'il a sous les yeux
"9,e dont. souffrent les industries
^ique 8, chômage, qui arrête la marche
^■s s, Ji démoralise les travailleurs
et qui impose aux contribuables la lourde
charge de les nourrir. Il se rappelle qu'avant
la guerre, l'Allemagne achetait les produits
manufacturés anglais et pour procurer de
nouveau du travail à l'Angleterre il vou-
drait augmenter le pouvoir d'achat des Alle-
mands en augmentant leur capacité dè pro-
duction. L'occupation militaire est à ses
yeux une mesure absurde qui coûte cher à
la France et qui réduit la somme qu'elle
pourrait tirer de l'Allemagne. Tout cela est
trop clair pour que les Français ne le com-
prennent pas, et il faut donc qu'ils travail
lent en vue d'un but caché. Ils maintiennent
une armée disproportionnée à leurs ressour-
ces — la plus puissante armée du monde
entier — et , cela signifie qu'ils cherchent à
poursuivre une. politique impérialiste.
Tel est pour M. Seignobos, le point de vue
anglais en regard duquel il place le point de
vue français. La France a subi certains dom-
mages du fait de l'Allemagne. Elle a droit à des
réparations complètes et ce droit elle veut le
maintenir intact, même si elle consent à des dé-
lais de paiement. Ce n'est pas sur les faits que
portent les divergences de vues entre les deux
pays, mais sur l'interprétation qu'il convient de
leur donner. Les faits sont le déficit du budget
allemand et l'effondrement du mark. Les An-
glais croient qu'ils démontrent l'impossibilité où
se trouve l'Allemagne de payer ce qu'on exige
d'elle, les Français estiment qu'ils prouvent que
l'Allemagne est résolue à faire semblant d'être
ruinée. Les Anglais pensent que les Français
cherchent follement à faire la paix avec leurs
voisins au moyen d'opération militaires, qui
pousseront au contraire ces voisins à désirer la
guerre. La France est encore plus étonnée de
constater que le public anglais ne comprend pas
pourquoi elle supporte la charge d'une grande
armée. La démocratie française a l'horreur de
la guerre. L'armée française est sur le Rhip non
comme instrument de domination, mais comme
instrument de défense. Elle représente non pas
l'impérialisme des Français, mais la crainte
qu'ils éprouvent d'être victimes d'une nouvelle
attaque, surtout depuis qu'ils n'ont plus l'appui
de l'Angleterre.
L'Entente peut-elle être renouvelée ? Ce
qui choque l'Angleterre, c'est l'action mili-
taire' de la France. Ce qui inquiète lai Fran-
ce, c'est le refus de l'Angleterre de prendre
des gages effectifs. La France pourrait ac-
cepter un contrôle international de l'Allema-
gne sans emploi de la force militaire. Elle
pourrait accepter un moratoire, une xéduc-
tion de sa. créance en annulant sa dette en-
vers l'Angleterre, voire un ajournement qui
équivaudrait à une nouvelle réduction. Les
conditions qu'elle poserait seraient, je crois,
que le contrôle fût suffisamment strict pour
permettre de limiter d'émission de papier-
monnaie de stabiliser le change et d'équili-
brer le budget allemand : l'assurance qu'il
serait procédé à -une pression énergique et à
des sanctions effectives en cas de résistan-
ce : et la promesse, accompagnée de garan-
ties, qu'il lui serait versé une somme ap-
proximativement égale aux dépenses par les
réparations, ce qui impliquerait sa partici-
pation aux richesses futures de l'Allemagne.
En tout cas, il faudrait que le projet offrit
d'abord à la France les avantages qu'il com-
porterait en remettant à plus tard la discus-
sion des concessions, tandis que le dernier
plan britannique commençait par lui deman-
der des concessions et ne donnait qu'un
aperçu des avantages qui en résulteraient
pour elle. - Charles Seignobos.
ORSERVER, 4.3.
— Cet article inspire à la Westminster
Gazette le commentaires ci-dessous :
Sans que personne en soit surpris,
peut-être, nombreux seront ceux qui éprou-
veront un sentiment voisin de la conster-
nation, en apprenant que la France vient
d'occuper Mannheim, Darmstadt et Carls-
ruhe et qu'elle a l'intention de procéder à
de nouvelle.s sanctions contre l'Allemagne.
Les gages « productifs » qui semblaient si
désirables, alors que la France sentait
qu'elle ne pouvait pas les prendre, on
s'aperçoit aujourd'hui qu'ils ne sont pro-
ductifs que de dépenses pour un budget qui,
auparavant déjà refusait de s'équilibrer,
d'une dépréciation du franc entraînant une
augmentation proportionnelle du prix des
articles importés et d'un mouvement ascen-
sionnel marqué en ce qui concerne le coût
de la vie. La plupart des gens, en voyant
qu'une entreprise donne des résultats aussi,
différents de ce à quoi ils s'attendaient,
seraient tentés de le considérer comme une
mauvaise affaire et de la passer aux pro-
fits et pertes. La France, apparemment,
n'est pas de ceux-là. Plus l'espoir d'être
payée lui paraît lointain, plus elle est en-
traînée à exercer une pression sur l'Alle-
magne. Où la mènera cette manière d'agir ?
C'est ce que personne ne peut prévoir. Elle
doit, en fin de compte, aboutir nécessaire-
ment à. l'effondrement complet de l'Allema-
gne, mais en quoi ce résultat sera profi-
table à la. France, c'est là un mystère que
seul peut approfondir un esprit français.
L'idée ne paraît pas si absurde en lisant
l'analyse faite de la situation par un des
hommes les plus distingués de France, M.
Seignobos. Il manifeste une incompréhen-
sion si absolue du point de vue britanni-
que que nous sommes presque disposés à
admettre la possibilité que nous-mêmes
nous nous soyons trompés sur le point de
vue français. Autant que nous pouvons
suivre son argumentation, il y a. semble-
t-il, quelque chose d'ingénu, de naïf, de
borné, à aborder le problème, comme nous
le faisons, par le côté « affaires ». Si nous
étions, comme la France, un peuple de
paysans, d'ouvriers et de petits commer-
çants. nous ne serions pas déraisonnables
au point de nous préoccuper des résultats
It
1 DES
il"AIIIES ÉTRANGÈRES
N° 2297
Jeudi 8 mars 1923 1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ce8 aÎ*LEMANDE. — L'évolution des finan-
cgg du Reldh nu cours des deux der-
Hiep aunées (Frankfurter Zeitung). —
L'0 ll^a^0n de la Ruhr et la situation
Politj intérieure en Allemagne
j, Zeitung).
VNglaisk. — La Grande-Bretagne et
c"'Pa-ti,O,ii de la Ruhr : sur un article
Idie SeIgnobos (Observer, Westmins-
ter G az e^0) ; la (Ruhr et l'Europe (Ti-
Gazette) ; la Huhr et l'Europe (Ti-
a pénétration française : vers
du (Daily Telegraph) ; la barrière
(Geo m et le commerce britannique
rge Renvick dans Daily Chronicle):
une i du crénéi-,ail Splears (Times ) -
11 Le: I61 du général Spears (Times). -
n8ei's die! la sécurité » (J. A.
Spenri G,r' dans Westminster Gazette). —
l'ègl et'ritotre de la Sarre : la date. du
définitif (Daily Telegraph).
-Le Vatican et Angora (Daily Tele-
yranh)
GNole- - Les bruits de rappro-
eut franco-russe (Sot, Epoca).
Jolitiquegmerale
LEs RÉPARATIONS
Nfc^^BRETAGNE ET L'OCCUPA-
n ~1~ RUHR. - SUR UN ARTICLE DE
7>ub/B^S; - L'Observer du 4 mars
os, Préc l'article suivant de M. Sefgrw-
1 ll. Ch e e d'une note d'introduction :
* lirles Seignobos est un historien dont
réPutat011 s ^en(t bien au delà du cercle
Vrelg s Sor'bonne, cercle qui,
^Urs suffisamment vaste, puisque
eig Os y Professe depuis 1883. Ses
naissan C'es aPprofondies, l'esprit critique
i^ï'ant T,1 apporte; à l'étude des problè-
mes politiques appose a l'étude des probic-
Içr de l'bM08 contemporains ainsi qu'à
{> Mus tni re' fait de lui un des causeurs
fI Plliss alâts et les plus suggestifs que
ta!î ^isse renCollirer dans la société intel-
ctuelle de Paris. - Note de: l'Observer.
"le ,
Lorsque deux Peuples unis par une grande
apfi en commun, ainsi que par
à. v communauté d'intérêts, en
S]'o n§er des paroles amères sur
nliti que ql'il leur convient de suivre, cela
fi qli,2 8, surgi une profonde mésen-
]) PrQVfln ée Par l'opposition de deux
»,Itl S la cr'
v. VOit (j, dont souffre l'Europe, l'An-
Wi cltÔtr¡ abord ce-qu'il a sous les yeux
"9,e dont. souffrent les industries
^ique 8, chômage, qui arrête la marche
^■s s, Ji démoralise les travailleurs
et qui impose aux contribuables la lourde
charge de les nourrir. Il se rappelle qu'avant
la guerre, l'Allemagne achetait les produits
manufacturés anglais et pour procurer de
nouveau du travail à l'Angleterre il vou-
drait augmenter le pouvoir d'achat des Alle-
mands en augmentant leur capacité dè pro-
duction. L'occupation militaire est à ses
yeux une mesure absurde qui coûte cher à
la France et qui réduit la somme qu'elle
pourrait tirer de l'Allemagne. Tout cela est
trop clair pour que les Français ne le com-
prennent pas, et il faut donc qu'ils travail
lent en vue d'un but caché. Ils maintiennent
une armée disproportionnée à leurs ressour-
ces — la plus puissante armée du monde
entier — et , cela signifie qu'ils cherchent à
poursuivre une. politique impérialiste.
Tel est pour M. Seignobos, le point de vue
anglais en regard duquel il place le point de
vue français. La France a subi certains dom-
mages du fait de l'Allemagne. Elle a droit à des
réparations complètes et ce droit elle veut le
maintenir intact, même si elle consent à des dé-
lais de paiement. Ce n'est pas sur les faits que
portent les divergences de vues entre les deux
pays, mais sur l'interprétation qu'il convient de
leur donner. Les faits sont le déficit du budget
allemand et l'effondrement du mark. Les An-
glais croient qu'ils démontrent l'impossibilité où
se trouve l'Allemagne de payer ce qu'on exige
d'elle, les Français estiment qu'ils prouvent que
l'Allemagne est résolue à faire semblant d'être
ruinée. Les Anglais pensent que les Français
cherchent follement à faire la paix avec leurs
voisins au moyen d'opération militaires, qui
pousseront au contraire ces voisins à désirer la
guerre. La France est encore plus étonnée de
constater que le public anglais ne comprend pas
pourquoi elle supporte la charge d'une grande
armée. La démocratie française a l'horreur de
la guerre. L'armée française est sur le Rhip non
comme instrument de domination, mais comme
instrument de défense. Elle représente non pas
l'impérialisme des Français, mais la crainte
qu'ils éprouvent d'être victimes d'une nouvelle
attaque, surtout depuis qu'ils n'ont plus l'appui
de l'Angleterre.
L'Entente peut-elle être renouvelée ? Ce
qui choque l'Angleterre, c'est l'action mili-
taire' de la France. Ce qui inquiète lai Fran-
ce, c'est le refus de l'Angleterre de prendre
des gages effectifs. La France pourrait ac-
cepter un contrôle international de l'Allema-
gne sans emploi de la force militaire. Elle
pourrait accepter un moratoire, une xéduc-
tion de sa. créance en annulant sa dette en-
vers l'Angleterre, voire un ajournement qui
équivaudrait à une nouvelle réduction. Les
conditions qu'elle poserait seraient, je crois,
que le contrôle fût suffisamment strict pour
permettre de limiter d'émission de papier-
monnaie de stabiliser le change et d'équili-
brer le budget allemand : l'assurance qu'il
serait procédé à -une pression énergique et à
des sanctions effectives en cas de résistan-
ce : et la promesse, accompagnée de garan-
ties, qu'il lui serait versé une somme ap-
proximativement égale aux dépenses par les
réparations, ce qui impliquerait sa partici-
pation aux richesses futures de l'Allemagne.
En tout cas, il faudrait que le projet offrit
d'abord à la France les avantages qu'il com-
porterait en remettant à plus tard la discus-
sion des concessions, tandis que le dernier
plan britannique commençait par lui deman-
der des concessions et ne donnait qu'un
aperçu des avantages qui en résulteraient
pour elle. - Charles Seignobos.
ORSERVER, 4.3.
— Cet article inspire à la Westminster
Gazette le commentaires ci-dessous :
Sans que personne en soit surpris,
peut-être, nombreux seront ceux qui éprou-
veront un sentiment voisin de la conster-
nation, en apprenant que la France vient
d'occuper Mannheim, Darmstadt et Carls-
ruhe et qu'elle a l'intention de procéder à
de nouvelle.s sanctions contre l'Allemagne.
Les gages « productifs » qui semblaient si
désirables, alors que la France sentait
qu'elle ne pouvait pas les prendre, on
s'aperçoit aujourd'hui qu'ils ne sont pro-
ductifs que de dépenses pour un budget qui,
auparavant déjà refusait de s'équilibrer,
d'une dépréciation du franc entraînant une
augmentation proportionnelle du prix des
articles importés et d'un mouvement ascen-
sionnel marqué en ce qui concerne le coût
de la vie. La plupart des gens, en voyant
qu'une entreprise donne des résultats aussi,
différents de ce à quoi ils s'attendaient,
seraient tentés de le considérer comme une
mauvaise affaire et de la passer aux pro-
fits et pertes. La France, apparemment,
n'est pas de ceux-là. Plus l'espoir d'être
payée lui paraît lointain, plus elle est en-
traînée à exercer une pression sur l'Alle-
magne. Où la mènera cette manière d'agir ?
C'est ce que personne ne peut prévoir. Elle
doit, en fin de compte, aboutir nécessaire-
ment à. l'effondrement complet de l'Allema-
gne, mais en quoi ce résultat sera profi-
table à la. France, c'est là un mystère que
seul peut approfondir un esprit français.
L'idée ne paraît pas si absurde en lisant
l'analyse faite de la situation par un des
hommes les plus distingués de France, M.
Seignobos. Il manifeste une incompréhen-
sion si absolue du point de vue britanni-
que que nous sommes presque disposés à
admettre la possibilité que nous-mêmes
nous nous soyons trompés sur le point de
vue français. Autant que nous pouvons
suivre son argumentation, il y a. semble-
t-il, quelque chose d'ingénu, de naïf, de
borné, à aborder le problème, comme nous
le faisons, par le côté « affaires ». Si nous
étions, comme la France, un peuple de
paysans, d'ouvriers et de petits commer-
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