Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 mars 1923 02 mars 1923
Description : 1923/03/02 (T23,N2292). 1923/03/02 (T23,N2292).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239125g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
re- t ,itt
j. »B8 -
FAIRE "^ETRANGÈRES
1
N° 2292
Vendredi 2 mars 1923
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères, Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Vss ■
~- — L'occupation de la
C'es iblruits, de médiation anglo
V. (Berliner Volkszeitung,
~Mh~ ^e^tunffi Berliner; Börsen-
Co~ La Ruhr et les risques de
Æben (Georg Gothein dans Acht Uhr
^endhi att) ! 1& trust franco-anglais de
tUatio 1" ^r°ss''-sche Zeitung). — La si-
tii,lt- Ion en territoire occupé : les trou-
pes h. à Kœmgswinter (Fr~/c-
i hrtpv à Kœnigswinter (Frank-
turte,r Zeitung.).
V'M ^RlCAlNE- — L'industrie américai-
lie et - L'industr:ie iaméricai-
ne et la prod!uct.ion de la Ruhr (Journal
et COnIrnerce).
"- ANG" -,L'occupati-on de- la R-.' ul-ir
(VSE MANfRR "ASE- — 'L'occupation de ]a Ruhr
lnSter Gazette ; colonel Stanley
dans mornî-ng Post )
dans M OTmng Post). — La situation en
terfitoi. re°CCllPé (Times). '- Le gouver-
Ilem d ^"n§0ra et la paix (Daily Te-
legraph Tanes, Morning Post). - Le
acic°rcl fran-co-belgo-italien : Le
discours de lord Curzon à l'Aldwych
Qub, février (Times). —■ La dette
fraqml aise envers les Etats-Unis (Times).
tSsE E'
¡Ituhr- fAGNoLE. - L'occupation de la
Ruhr (Heraldo de Madrid). de la
PRESSE ITALIENNE. — L'occupation de la
^hr». L'occupation de la
'l/}¡,ér' ..les ibruits de médiation ariglo-
k
; '^érw mne (Secolo).
POLITIQUE GENERALE
P|1-ITIQUE GENERALE
c
U% LES RÉPARATIONS
~ON de LA RUHR. -
qu'en ^E- — Le Heraldo de Madrid
qu'en ftnde compte, l'action de la
ces era Couronnée de succès :
f ^f'est ,exP'liqué devant la Commis-
~H r8 AfîairS éll'angèras du.. Sénat sur l'al;-
dfins la Ruhr. Le chef du
» t.. ^rriftru Se^ lIlonotrè optimiste concernant
m à attendre de l'entreprise engagée
Kla-, et nous devons reconnaître que
P-rori. et train de lui donner, parcimo-
Hft nt 'en sûj'ement rai'&on. Aucune des
sûrement- raison. Aucune des
cées et espérées par le gou-
t ernoan-d ne slest produite. Les ap-
a solidarité ouvrière internatio-
~h~ir i-es- Les .intrigues entreprises
Mfcut^ir intervention des Etats-Unis et de
M*** ^!!?1 P-U abouti, non plus que
l'e le franc et le traité de Ver-
~es
la. re,.a l'intention d'atteindre son
p-e8'8ta,llee allemande, dans, 1,-,t voiet
est rice allemande, dans la voie
est engagée, finira par faiblir et
re", L'Allemagne perdra ainsi
l'occasion de négocier avec les avantages
que lui offrent les circonstances à l'heure
actuelle. Qu'aura obtenu l'Allemagne par
sa résistance obstinée ? Tout simplement de
donner à la France ce que le traité de Ver-
sailles ne lui a pas donné. La France ob-
tiendra ainsi ce qu'a obtenu sous une autre
forme l'ironique et placide Angleterre : la
sécurité de son territoire contre l'ennemi
séculaire, en créant une frontière naturelle
en Rhénanie. L'Allemagne a livré ses colo-
nies et sa flotte à la Grande-Bretagne. Ces
deux abandons représentaient pour celle-ci
la certitude que durant de longues années
et peut-être des siècles, f'Allemagne laisse-
rait l'Angleterre tranquille. La France n'a
pas obtenu une aussi précieuse sécurité.
Aujourd'hui elle est en train de l'obtenir.
Par quels moyens? En persistant dans sa
résolution d'empêcher l'Allemagne de ga-
gner la paix, après avoir perdu la guerre,
et en s'obstinant à ce que les réparations
deviennent une réalité et non une parole
vaine ou une intention inutile. Mais la vé-
ritable réparation, par suite du refus de l'Al-
lemagne, sera celle que ce pays lui-même
lui fournira, en donnant à la France l'occa-
sion de créer une frontière stratégique sur
le Rhin, qui la mette à l'abri des risques
futurs, comme l'a fait l'Angleterre en sai-
sissant la flotte allemande.
HERALDO DE MADRID, 26.2.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Que
signifie le mot gage ? » Si nous croyons
devoir désapprouver l'action de la France,
il ne faut pas s'imaginer pour cela que nous
soyons satisfaits de l'attitude de l'Allema-
gne. Si nous avons dit qu'à nous en rap-
porter aux déclarations françaises il
semble impossible que l'Allemagne puisse
rien faire qui la délivre de l'occupation
française, nous sommes obligés, d'autre
part, de reconnaître qu'oèfle n'a fait jusqu'ici
aucun effort si ce n'est en vue de prouver
quet la tactique française n'est pas la bonne;
c'est très naturel, mais ce n'en est pas moins
regrettable. Le monde attend du gouverne-
ment allemand une déclaration qui définisse
sa position, ce qu'il croit pouvoir payer, et
un projet raisonnable qui offre quelque chan-
ce de voir effectuer ces paiements. Il ne faut
pas que notre désapprobation de la tactique
française nous fasse oublier que, somme
toute, l'Allemagne s'est engagée à réparer
et que jusqu'ici elle ne l'a pas fait. Pour
l'instant toute chance d'amélioration dans
l la situation de l'Allemagne est ajournée du
fait de l'action prise par la France. Libre
à elle de dire, comme certains l'ont dit,
d'ailleurs, que les effets n'en auraient pas
été si pernicieux, ni si prolongés si nous
avions adopté son plan. Libre aussi à la
France d'insister, comme elle l'a fait sur
les manquements de l'Allemagne quant à
certains paiements qu'elle aurait pu faire,
semble-t-il. Les trois parties devraient pré-
senter leurs thèses respectives, après que
le monde, qui souffre de la situation. ac-
tuelle puisse se former lui-même une opi-
nion d'après les plaidoyers. — (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 28.2.
— Sous le titre : LE COLONEL STANLEY ET LA
RUHR », la Morning Post publie la lettre sui-
vante du candidat conservateur aux élec-
tions de la East Willïsden Division, en ré-
ponse à un électeur de cette circonscription
qui lui avait écrit une lettre critiquant 4
politique d'inaction du gouvernement par
rapport à la Ruhr. Il est à noter que le cOr-
eonel Stanley est le frère de lord Derby.
« Telle que je la vois, la situation en ce
qui concerne l'occupation de la Ruhr par les
Français est la suivante. La France et l'An- ,
gleterre sont décidées, l'une et l'autre, à ti-
rer de l'Allemagne tout ce qu'elle est en
état de payer. Pour ma part, je ne soutien-
drais aucun gouvernement dont l'attitude ne
serait pas nette sur ce point. La question
qui se pose alors est de savoir comment s'y
prendre pour arriver à ce résultat. Nous
avons proposé une méthode, la France en a
proposé une autre. Malheureusemenii ni
l'un ni l'autre des deux gouvernements n'a
cru pouvoir accepter la proposition de l'au-
tre. La France a refusé même d'examiner
la nôtre, et après avoir mûrement examiné
la proposition française, notre gouverne-
ment, soutenu par ses experts et par l'Amé-
rique, est arrivé à la conclusion que ce plan
ne permettrait pas d'obtenir le résultat
voulu. Je le dis avec une entière franchise,
j'aurais été heureux, pour des questions de
sentiments, ayant combattu aux côtés des
Français pendant plusieurs mois de la
guerre, de pouvoir me dire que nous som-
mes encore aux côtés de la France à l'heure
actuelle, mais si notre gouvernement, sou- -
tenu par ses experts et par l'Amérique, es-
timait que la méthode française n'était pas
la bonne et qu'elle ne permettrait pas d'ob-
tenir les paiements qui devraient s'effectuer,
que devait-il faire ?
Il me semble qu'il avait le choix entre
trois manières d'agir. La première consis-
tait à dire : « Peu importe que cette mé-
thode nous semble bonne, ou mauvaise, il
nous faut agir avec les Français. » Je ne
crois pas qu'aucun gouvernement pourrait
faite cela. Il es1; obligé, après tout, de son-
ger à son propre pays, et s'il est convaincu
qu'une méthode est erronnée, il est obligé
de refuser d'y avoir recours. Il aurait pu
dire aussi : « Cette méthode est mauvaise -
et il faut que nous empêchions nos alliés
de la mettre à exécution - :BD-Ít par la force,
soit par une action décidée telle qu'ils ne
■ ,
j. »B8 -
FAIRE "^ETRANGÈRES
1
N° 2292
Vendredi 2 mars 1923
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères, Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Vss ■
~- — L'occupation de la
C'es iblruits, de médiation anglo
V. (Berliner Volkszeitung,
~Mh~ ^e^tunffi Berliner; Börsen-
Co~ La Ruhr et les risques de
Æben (Georg Gothein dans Acht Uhr
^endhi att) ! 1& trust franco-anglais de
tUatio 1" ^r°ss''-sche Zeitung). — La si-
tii,lt- Ion en territoire occupé : les trou-
pes h. à Kœmgswinter (Fr~/c-
i hrtpv à Kœnigswinter (Frank-
turte,r Zeitung.).
V'M ^RlCAlNE- — L'industrie américai-
lie et - L'industr:ie iaméricai-
ne et la prod!uct.ion de la Ruhr (Journal
et COnIrnerce).
"- ANG" -,L'occupati-on de- la R-.' ul-ir
(VSE MANfRR "ASE- — 'L'occupation de ]a Ruhr
lnSter Gazette ; colonel Stanley
dans mornî-ng Post )
dans M OTmng Post). — La situation en
terfitoi. re°CCllPé (Times). '- Le gouver-
Ilem d ^"n§0ra et la paix (Daily Te-
legraph Tanes, Morning Post). - Le
acic°rcl fran-co-belgo-italien : Le
discours de lord Curzon à l'Aldwych
Qub, février (Times). —■ La dette
fraqml aise envers les Etats-Unis (Times).
tSsE E'
¡Ituhr- fAGNoLE. - L'occupation de la
Ruhr (Heraldo de Madrid). de la
PRESSE ITALIENNE. — L'occupation de la
^hr». L'occupation de la
'l/}¡,ér' ..les ibruits de médiation ariglo-
k
; '^érw mne (Secolo).
POLITIQUE GENERALE
P|1-ITIQUE GENERALE
c
U% LES RÉPARATIONS
~ON de LA RUHR. -
qu'en ^E- — Le Heraldo de Madrid
qu'en ftnde compte, l'action de la
ces era Couronnée de succès :
f ^f'est ,exP'liqué devant la Commis-
~H r8 AfîairS éll'angèras du.. Sénat sur l'al;-
dfins la Ruhr. Le chef du
» t.. ^rriftru Se^ lIlonotrè optimiste concernant
m à attendre de l'entreprise engagée
Kla-, et nous devons reconnaître que
P-rori. et train de lui donner, parcimo-
Hft nt 'en sûj'ement rai'&on. Aucune des
sûrement- raison. Aucune des
cées et espérées par le gou-
t ernoan-d ne slest produite. Les ap-
a solidarité ouvrière internatio-
~h~ir i-es- Les .intrigues entreprises
Mfcut^ir intervention des Etats-Unis et de
M*** ^!!?1 P-U abouti, non plus que
l'e le franc et le traité de Ver-
~es
la. re,.a l'intention d'atteindre son
p-e8'8ta,llee allemande, dans, 1,-,t voiet
est rice allemande, dans la voie
est engagée, finira par faiblir et
re", L'Allemagne perdra ainsi
l'occasion de négocier avec les avantages
que lui offrent les circonstances à l'heure
actuelle. Qu'aura obtenu l'Allemagne par
sa résistance obstinée ? Tout simplement de
donner à la France ce que le traité de Ver-
sailles ne lui a pas donné. La France ob-
tiendra ainsi ce qu'a obtenu sous une autre
forme l'ironique et placide Angleterre : la
sécurité de son territoire contre l'ennemi
séculaire, en créant une frontière naturelle
en Rhénanie. L'Allemagne a livré ses colo-
nies et sa flotte à la Grande-Bretagne. Ces
deux abandons représentaient pour celle-ci
la certitude que durant de longues années
et peut-être des siècles, f'Allemagne laisse-
rait l'Angleterre tranquille. La France n'a
pas obtenu une aussi précieuse sécurité.
Aujourd'hui elle est en train de l'obtenir.
Par quels moyens? En persistant dans sa
résolution d'empêcher l'Allemagne de ga-
gner la paix, après avoir perdu la guerre,
et en s'obstinant à ce que les réparations
deviennent une réalité et non une parole
vaine ou une intention inutile. Mais la vé-
ritable réparation, par suite du refus de l'Al-
lemagne, sera celle que ce pays lui-même
lui fournira, en donnant à la France l'occa-
sion de créer une frontière stratégique sur
le Rhin, qui la mette à l'abri des risques
futurs, comme l'a fait l'Angleterre en sai-
sissant la flotte allemande.
HERALDO DE MADRID, 26.2.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Que
signifie le mot gage ? » Si nous croyons
devoir désapprouver l'action de la France,
il ne faut pas s'imaginer pour cela que nous
soyons satisfaits de l'attitude de l'Allema-
gne. Si nous avons dit qu'à nous en rap-
porter aux déclarations françaises il
semble impossible que l'Allemagne puisse
rien faire qui la délivre de l'occupation
française, nous sommes obligés, d'autre
part, de reconnaître qu'oèfle n'a fait jusqu'ici
aucun effort si ce n'est en vue de prouver
quet la tactique française n'est pas la bonne;
c'est très naturel, mais ce n'en est pas moins
regrettable. Le monde attend du gouverne-
ment allemand une déclaration qui définisse
sa position, ce qu'il croit pouvoir payer, et
un projet raisonnable qui offre quelque chan-
ce de voir effectuer ces paiements. Il ne faut
pas que notre désapprobation de la tactique
française nous fasse oublier que, somme
toute, l'Allemagne s'est engagée à réparer
et que jusqu'ici elle ne l'a pas fait. Pour
l'instant toute chance d'amélioration dans
l la situation de l'Allemagne est ajournée du
fait de l'action prise par la France. Libre
à elle de dire, comme certains l'ont dit,
d'ailleurs, que les effets n'en auraient pas
été si pernicieux, ni si prolongés si nous
avions adopté son plan. Libre aussi à la
France d'insister, comme elle l'a fait sur
les manquements de l'Allemagne quant à
certains paiements qu'elle aurait pu faire,
semble-t-il. Les trois parties devraient pré-
senter leurs thèses respectives, après que
le monde, qui souffre de la situation. ac-
tuelle puisse se former lui-même une opi-
nion d'après les plaidoyers. — (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 28.2.
— Sous le titre : LE COLONEL STANLEY ET LA
RUHR », la Morning Post publie la lettre sui-
vante du candidat conservateur aux élec-
tions de la East Willïsden Division, en ré-
ponse à un électeur de cette circonscription
qui lui avait écrit une lettre critiquant 4
politique d'inaction du gouvernement par
rapport à la Ruhr. Il est à noter que le cOr-
eonel Stanley est le frère de lord Derby.
« Telle que je la vois, la situation en ce
qui concerne l'occupation de la Ruhr par les
Français est la suivante. La France et l'An- ,
gleterre sont décidées, l'une et l'autre, à ti-
rer de l'Allemagne tout ce qu'elle est en
état de payer. Pour ma part, je ne soutien-
drais aucun gouvernement dont l'attitude ne
serait pas nette sur ce point. La question
qui se pose alors est de savoir comment s'y
prendre pour arriver à ce résultat. Nous
avons proposé une méthode, la France en a
proposé une autre. Malheureusemenii ni
l'un ni l'autre des deux gouvernements n'a
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la proposition française, notre gouverne-
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voulu. Je le dis avec une entière franchise,
j'aurais été heureux, pour des questions de
sentiments, ayant combattu aux côtés des
Français pendant plusieurs mois de la
guerre, de pouvoir me dire que nous som-
mes encore aux côtés de la France à l'heure
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tenu par ses experts et par l'Amérique, es-
timait que la méthode française n'était pas
la bonne et qu'elle ne permettrait pas d'ob-
tenir les paiements qui devraient s'effectuer,
que devait-il faire ?
Il me semble qu'il avait le choix entre
trois manières d'agir. La première consis-
tait à dire : « Peu importe que cette mé-
thode nous semble bonne, ou mauvaise, il
nous faut agir avec les Français. » Je ne
crois pas qu'aucun gouvernement pourrait
faite cela. Il es1; obligé, après tout, de son-
ger à son propre pays, et s'il est convaincu
qu'une méthode est erronnée, il est obligé
de refuser d'y avoir recours. Il aurait pu
dire aussi : « Cette méthode est mauvaise -
et il faut que nous empêchions nos alliés
de la mettre à exécution - :BD-Ít par la force,
soit par une action décidée telle qu'ils ne
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