Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 février 1923 24 février 1923
Description : 1923/02/24 (T23,N2287). 1923/02/24 (T23,N2287).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239120d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
t~. DES
*">ES ÉTRANGÈRES
",o' N° 2287
Samedi 24 lévrier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ------
il E ALLE:\L\NDE. — Exploitation franco-
arWaiS du bassin de la Ruhr (Vos-
'tische Zeitung). — La résistance aile-
^ndpt ,>er'îner Tageblatt). - L'émis-
sion el Un 'empl'unt-or pair l'Allemagne
Siot, pn GmP!'ur|t-or pair l'Allemagne
(Zeit, D. Berliner Bôrsen-Cou-
M'er eutscfle Tageszeitung).
~~CAiNE. - L'opinion américaine
etJaPolitique française (Boston Eve-
K y IransCript).
SE A?Ç' 'l AISE - La Grande-Bretagne
«t l'oc^,Patk>n de ta. Ruhr : le rapport
des delegués du Labour Party (lVlor-.
es du Labour Party (Mor-
ning Post) ; Un aperçu des visées'
JIn tSsE ric,lll"3 Il (Times).
et l' ESPAG:'\OLE. — La Grande-Bretagne
la 1 ocrn- de la Ruhr: le, débat il
'a ChTmK ^a ^u'lr : te débat à
e ¡Yladrid). des Communes (Herald
^br et - L'occupation de la
n"b" et la Hollande (Nieuwe Botter-
JIn sche Courant).
^Sco ^E. — France et Italie (Fran-
h- Co PP019- dans ldea Nazionale).
et La Grande-Bretagne
la e ation de la Ruhr : le débat à
^hairh des Communes (Dagens
Nyheter) (Dagenç
POLITIQUE liENERALE
- 1
LES RÉPARATIONS
LI
1^^°? to AMERICAINE ET LA PO-
adpel 'lS ^lx Etats-Unis par les syndi-
lfI Ri|K,, lr Protester contre rOüCupn-
fiotfdemander à l'Amérique de
le °n !e ~sma.n er à l'Amérique de
? 61* 'fi nKsl i d'un désastre inévitable »,
K Tran écrit.
1 Amérique n'a besoin ni
L'honneur de l Amérique n'a besoin nI
recevnir ni des suggestions qu'il
ilp ers all l^ts iTIlT) a d..s, sous la forme d'un
tant i. lïll>ortun J^ressé par ces représen-
tl) tllllts W et à la Chambre des Repré-
.! 1.lt flis1"\,o des p ktats-Unis. Nous sommes
tât le admettre, comme le préten-
^Ppei qD.'eIllanlsahons qui ont lancé cet
^LERV/sentent avec leurs fa-
''Hpà ^LLS (ÎP la rnoitié de la population de
Ce t r> ans létat actuel des choses.
DPel, est iin6 condamnation absolue de
PoPUlation de l'Allemagne se
livra de tout cœur, en 1914 et plus tard, à
l'œuvre noble de la dévastation de la Bel-
gique et de la France et de la destruction,
dans la mesure où les Allemands en
étaient capables, de ces pays qui, à cette
époque, s'occupaient uniquement de leurs
propres affaires. Les ouvriers allemands, à
cette époque, n'avaient qu'une piètre opi-
nion, non seulement des capacités de l'Amé-
rique, mais aussi de son honneur, ainsi
que leur conduite l'a prouvé. Le feu et
l'épée, le pillage et la destruction, le mas-
sacre et la rapine, tout cela était bon, à
cette époque, pour beaucoup plus que la
moitié de la population allemande.
Le peuple allemand était tout disposé à
étendre son système d'assassinat militariste
aux Américains qui exerçaient leur droit de
naviguer sur les mers. Il doit avoir eu une
très piètre opinion de ce qu'il appelle au-
jourd'hui « l'honneur traditionnel de l'Amé-
rique, et son sens de l'équité », pour avoir
pensé que les Américains toléreraient qu'on
envoyât leurs femmes et leurs enfants au
fond des mers sans avertissement, et sans
qu'il fut possible de les secourir. Les ou-
vriers allemands ont pris part, sans un
murmure au lancement de ces appels qui
nous ont été adressés en 1915 et 1916 par
la voie du Lusitania et du Sussex. Ils ne
protestèrent pas lorsque Bethmann Holl-
weg se leva au Reichstag pour déclarer
qu'on pourrait faire payer aux Etats-Unis,
la guerre une fois finie, une indemnité su-
périeure à toutes les dépenses de guerre
de l'Allemagne. Ils ne s'élevèrent pas
contre les intrigues officielles par lesquelles
l'Allemagne chercha à détacher de nous
nos Etats du Sud-Ouest et à les annexer
au Mexique. Dans la guerre, ils prirent
part à une longue suite d'actes de barbarie
qui dépassaient en horreur sanguinaire
tous les crimes jamais commis dans l'his-
toire de la guerre.
Dans l'état actuel des choses, un appel
adressé par des Allemands à l'honneur et
à l'équité de l'Amérique, en lui deman-
dant d'intervenir contre la pression que la
République française exerce sur l'Allema-
gne, afin d'en obtenir qu'elle paye même
un minimum, même une part considéra-
blement réduite des obligations de réparer
qu'elle a contractées, un tel appel n'est
rien moins qu'une insolence et une insulte.
Cet appel ne tient aucun compte, non seu-
lement du droit qu'a la France d'insister
pour que l'Allemagne exécute au moins une
part équitable du contrat qu'elle a signé,
mais encore des sacrifices et des douleurs
que les Américains ont inscrits sur les pa-
ges de l'histoire pour défendre les droits
de leur nation et venger son honneur ou-
tragé. Si le Congrès ou le peuple écou-
taient cet appel insolent, s'ils y prêtaient,
d'une façon quelconque, une attention pu-
blique, ils déshonoreraient le renom et la
mémoire de tous les Draves soldats amé-
ricains qui ont donné leur vie sur la terre
de France. — (Ed.)
BOSTON EVENING TRANSCRIPT, 2.2.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE. - LE DÉBAT A LA CHAMBRES DES COM-
MUNES. - PRESSE ESPAGNOLE. — Placé dans
sa splendide tranchée de l'opposition, Lloyd
George ne renonce pas à influer de façon
décisive sur la politique extérieure de l'An-
gleterre et par répercussion sur celle de la
France. Le discours que l'ex-Premier minis-
tre a prononcé, hier, à la Chambre des
Communes, est un projectile lancé par une
fronde, en apparence contre l'opinion bri-
tannique, mais visant en réalité habile-
ment le cœur de son amie la Francé et la
tête de son adversaire Poincaré.
Indubitablement les paroles de Lloyd
George ne peuvent qu'avoir un « retentisse-
ment » considérable chez ses compatriotes.
L'éloquence de M. Lloyd George a toujours
été l'aimant de ses succès les plus retentis-
sants. Mais ce qui est intéressant à noter,
c'est que Bonar Law dont la presse an-
glaise a annoncé qu'il se retirait du pou-
voir, l'approuve par son attitude à l'égard
de la France. Avec raison, Bonar Law est
un admirateur enthousiaste de Lloyd
George.
Les périls que la situation actuelle de
l'Europe laisse apparaître aux yeux de
Lloyd George sont très graves et ce n'est
pas la première fois qu'il les dénonce publi-
quement. Tout d'abord : l'agitation des es-
prits en Allemagne, à laquelle nous assis-
tons déjà ; l'impossibilité pour l'Allemagne
de payer ; une révolution en Allemagne, qui
menace de s'étendre à toute l'Europe, enfin
des semences de haine; qui produiront de
nouvelles guerres. Le chaos européen, en-
fin, comme dit le compatriote de Lloyd
George, Norman Angell. Pour éviter ces
maux et sauver la France sur les autels
de l'amitié que l'Angleterre éprouve pour
elle, le remède consiste, selon Lloyd George,
dans une intervention des Etats-Unis de
l'Angleterre.
HERALDO DE MADRID, 20.2.
PRESSE SUÉDOISF. — Sous le titre : « L'oc-
cupation de la Ruhr et l'équilibre euro-
péen ». —Les premiers comptes rendus té-
légraphiques de la discussion du discours du
trône en Angleterre produisent une impres-
sion accablante. Partout où dans le monde
on considère l'action franco-belge dans la
Ruhr comme une funeste interruption ap-
portée au pénible travail de reconstitution
de la paix européenne, on a tourné ses re-
gards vers le gouvernement anglais. Si une
t~. DES
*">ES ÉTRANGÈRES
",o' N° 2287
Samedi 24 lévrier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~SE ------
il E ALLE:\L\NDE. — Exploitation franco-
arWaiS du bassin de la Ruhr (Vos-
'tische Zeitung). — La résistance aile-
^ndpt ,>er'îner Tageblatt). - L'émis-
sion el Un 'empl'unt-or pair l'Allemagne
Siot, pn GmP!'ur|t-or pair l'Allemagne
(Zeit, D. Berliner Bôrsen-Cou-
M'er eutscfle Tageszeitung).
~~CAiNE. - L'opinion américaine
etJaPolitique française (Boston Eve-
K y IransCript).
SE A?Ç' 'l AISE - La Grande-Bretagne
«t l'oc^,Patk>n de ta. Ruhr : le rapport
des delegués du Labour Party (lVlor-.
es du Labour Party (Mor-
ning Post) ; Un aperçu des visées'
JIn tSsE ric,lll"3 Il (Times).
et l' ESPAG:'\OLE. — La Grande-Bretagne
la 1 ocrn- de la Ruhr: le, débat il
'a ChTmK ^a ^u'lr : te débat à
e ¡Yladrid). des Communes (Herald
^br et - L'occupation de la
n"b" et la Hollande (Nieuwe Botter-
JIn sche Courant).
^Sco ^E. — France et Italie (Fran-
h- Co PP019- dans ldea Nazionale).
et La Grande-Bretagne
la e ation de la Ruhr : le débat à
^hairh des Communes (Dagens
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POLITIQUE liENERALE
- 1
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LI
1^^°? to AMERICAINE ET LA PO-
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le °n !e ~sma.n er à l'Amérique de
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recevnir ni des suggestions qu'il
ilp ers all
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tl) tllllts W et à la Chambre des Repré-
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tât le admettre, comme le préten-
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dans la mesure où les Allemands en
étaient capables, de ces pays qui, à cette
époque, s'occupaient uniquement de leurs
propres affaires. Les ouvriers allemands, à
cette époque, n'avaient qu'une piètre opi-
nion, non seulement des capacités de l'Amé-
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l'épée, le pillage et la destruction, le mas-
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cette époque, pour beaucoup plus que la
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jourd'hui « l'honneur traditionnel de l'Amé-
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pensé que les Américains toléreraient qu'on
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fond des mers sans avertissement, et sans
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vriers allemands ont pris part, sans un
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l'Allemagne chercha à détacher de nous
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part à une longue suite d'actes de barbarie
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Dans l'état actuel des choses, un appel
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à l'équité de l'Amérique, en lui deman-
dant d'intervenir contre la pression que la
République française exerce sur l'Allema-
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Cet appel ne tient aucun compte, non seu-
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que les Américains ont inscrits sur les pa-
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de leur nation et venger son honneur ou-
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d'une façon quelconque, une attention pu-
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de France. — (Ed.)
BOSTON EVENING TRANSCRIPT, 2.2.
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L'éloquence de M. Lloyd George a toujours
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HERALDO DE MADRID, 20.2.
PRESSE SUÉDOISF. — Sous le titre : « L'oc-
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Ruhr comme une funeste interruption ap-
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