Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 février 1923 08 février 1923
Description : 1923/02/08 (T23,N2273). 1923/02/08 (T23,N2273).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391064
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MLNLSTËRE
, DI& 8
'PFAIRE8 ÉTRANGÈRES
N° 2273
Jeudi 8 février 1923
V
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
SOMMAIRE
rn La alle-
mande (H. Von treirlach dans W'ell a m
\{(n,f Dell/selle ZeilU//(f'¡. Lnrr"-
Pafion\ 01 mmburg (Ze'Í/, Yoriearts,
Ki-pu-'eu*-Zcuunfr..
Cie l'a
::;. \]EI\ICAI\E. Transcript. Xeu:
Yoi'i- r TI'UII sNi/Jt.S etc
Journal of C I^s 51^'ni's et les affaires d'Orient
°r^ - Les Etats-Unis
et Cnk (A'C"' YOrh TimeS)-
PREs SE 1^1' - 1.' OCCli pa lion de la Ruhr
N-e. - Les exportations de
charb T bl'itarinift|i"1 (Ilarold Cox dans
^oni Post). - La rupture de Lau-
— La rupture de Lau-
saiinp L Worninq Pnsi).
IJAL1^nne- - La rupture de Lausan-
ne ,,-ccolo, Monda).
(/;0)/j| SsE- — Le rappel de M. Skobelev
(fIOltl).
POLITIQUE GENERALE
POLITIQUE CIENERALE
LES RÉPARATIONS
|^UlCAINE- Un même temps qu'il
''evQp/jf0(Y-e raPPel des troupes ameri-
('a!'le* du».
trW l(' Boston Evening Trans-
'1'Ixli'o. .'-". °'
cal l' e" commentaire très ami-
, aC/'OI) 1 - 1
* 0,)
* „ <" rrance dans la liiiiir.
^?nie tle liaille ••"nli'c
Ù unee el l ,',
îf ^'unéo5 'es T'*i*an<-fiis par un défenseur
l 1 1)1 (lit
e dans son Etal. connue
«,l«in,r fn (':i|a\vay. de l'Arkansas. ne
Ù. ¡ 1 ('1'"1 , l
dire IIU1(S nous aventurons à le
'111 (' h -, ¡
e' (ÏUc r'",'u -sympathies parmi les Amé-
ricai np HUIIL ¡Ù pacifistes ni dévoués
1\,' l~ttioi-, '1 '1 -'
a Une ua. °U t'^t îli»gère, qui ne sont ni se-
Cr^ernt.M 'pliiles. ni notoirement fra:i-
tophob-'" dngl('philes. ni notoirement frn:l-
ô?nL iI"~: a l:,r°pagande .anti-française
^0P11'- il y d (n ce moment de SI nombreux
çl8los
ell]pf" cp Cl^ l'Atlantique ne l'l-
, <1 0' ,
ftU0re (lt' Sympathies parmi les
Il 11\lIn8]'
ni'-pic{iino^0lles d'un ■ honnêteté sut'li-
)11111'
r|)i111p Sf> poser 1° question : « Que le-
'i^'noua ! n°Us P des Etats-Unis. si
rj
t preuve envers nous
) ¡-, I111f1,11 \,!'I ,
L ^r:|no ô et/se 1'111 qu'elle n témoignée il
0 - a témoignée a
:\Y')"'t 'î
"'r¡ à f
°nt V aire face aux gémissements pu-
blics, et aux défis privés, qui sont venus
d'Allemagne depuis deux ans, embarrassée
par la politique égoïste suivie par les An-
glais qui, ayant détruit l'Allemagne comme
rivtale commerciale sur les mers, la cajo-
lent aujourd'hui en tant que future cliente,
est-ce que l'Amérique, sous la conduite d'un
Washington, d'un Jackson, d'un Cleveland
ou d'un Roosevelt, ne serait pas entrée
dans la Ruhr il y a déjà longtemps ?
Admettons, pour les besoins de la dis-
cussion. que les considérations économiques
recommandaient une plus longue période
« d'expectative vigilante » de la part de
ku France, et que, pour des considérations
d'opportunité financière, l'occupation de la
Ruhr aurait pu être ajournée encore. Quel
Américain pur-sang peut refuser aux Fran-
çais un sentiment d'admiration parce que
la France n'est pas toujours inspirée pair des
considérations économiques et parce que,
lorsqu'un ennemi impénitent et hostile la
menace ou la défie, elle ne se guide pas
dans son action sur des considérations d'op-
portunité financière. Ce n'était pas l'esprit
de l'héroïsme français qui a triomphé à
Verdun.
Ce n'était pas l'esprit de l'endurance
française qui a permis aux Anglais et aux
Américains d'arriver en France avant qu'il
ne fût trop tard. Des considérations éco-
nomiques auraient sans doute décidé la Bel-
gique a accorder a rAUemagne un libre
passage en août 1914. Si le roi Albert
n'avait été guidé que par des considérations
d'opportunité financière, il se serait rendu
quand « les Huns étaient à 3a. porte ». El
la Belgique n'aurait pas perdu, même pour
un temps, « tout sauf l'honneur ».
Il en est des nations comme des indivi-
dus. Les Français savent que leurs amis
les Anglais se sourient beaucoup moins de
les voir obtenir de l'Allemagne des répara-
tions adéquates que de l'effet de ces répa-
rations sur le commerce croissant que fait
l'Angleterre avec l'Allemagne. 1 .es Fran-
çais savent que les premiers Américains
pensent beaucoup plus à un marché pour
Leurs récoltes qu'à la stabilité financière
fnture on il 1il sécurité nationale de la
Fiance. Bief les Français savent que c'est
à eux qu'incombe la responsabilité d'agir
pour la France, et ils s'y prennent de telle
sorte que le monde puisse savoir qu'ils agis-
sent pour eux mêmes, et non pas comme
partisans de la Grande-Bretagne ou de
l'Amérique, et moins encore pour tenir le
rôle de parrains fictifs d'une humanité ima-
ginaire.
Pour les Français, la France est l'huma-
nité : pour les Français, un traité n'est pas
un « chiffon de papier »: pour les Français,
il y a des choses pires que la mort, et
l'une de ces choses est la menace tyranni-
que d'un voisin agressif et sans scrupules.
Bientôt, lorsque l'Allemagne aura compris
le caractère sérieux de la résolution fran-
çaise, les Français pourront en venir à la
conclusion que l'aide que l'Amérique peut
rendre, sans aller à rencontre de ses tra-
ditions, en faisant partie d'une commission
d'experts financiers qui étudierait les faits,
en se montrant créancier indulgent, et en
fournissant une direction à la fois honnête,
impartiale, et intrépide, n'est pas négligea-
ble. En attendant, notre gouvernement
devrait sans perte de temps donner à la
France l'assurance que cette aide lui sera
apportée dès qu'elle sera disposée à l'accep-
ter. Mais la France ne peut recevoir d'assu-
rance si l'on suit à Washington une poli-
tique de coups d'épingle. Et les Français ne
se méprendront pas si nous saluons avec
enthousiasme le retour des troupes que
nous avons encore en Rhénanie.
Ces troupes auraient dû être rappelées il
y a longtemps. Notre évacuation de l'Euro-
pe aurait dû commercer le jour où le Prési-
dent signa la résolution de paix qui mit
fin à la guerre avec l'Allemagne, et aurait
dû se poursuivre sans interruption jusqu'à
ce que nous n'eussions plus un seul soldat
en Europe. Si le gouvernement croit que
le rappel des troupes du général Allen est
populaire chez nous, parce qu'on l'inter-
prète en Allemagne comme une réprimande
adressée à la France pour avoir pris des
mesures directes contre un débiteur défail-
lant et plein de défi. c'est qu'il est bien mal
informé de l'état actuel de l'opinion publi-
que américaine.
L'opinion de l'Amérique peut ne pas s'ac-
corder avec l'opinion française sur ce qui
vaut le mieux pour la France au point de
vue économique. Mais la sympathie qu'é-
prouvent les Américains pour l'exaspéra-
tion provoquée chez les Français par l'at-
titude récalcitrante de l'Allemagne n'est
pas diminuée par ce désaccord. L'oncle
Sam peut ne pas hocher la tête pour mar-
quer son approbation de l'avance française
dans la Ruhr, mais nos amis les Français
peuvent être certains que le coeur de l'oncle
Sam est toujours plein de sympathie pour
la France et d'admiration pour cet héroïs-
me qu'est la France. Une politique de cc neu-
tralité morale », chuchotée à Washington,
n'aura pas plus d'effet sur le peuple améri-
cain qui pense juste et aime la liberté qu'à
l'époque où il a été insulté par de pareils
chuchotements, entendus à Washington en
septembre 1914. Les présidents passent,
mais l'amitié de l'Amérique pour la France
demeure. - (Ed.)
J30NT0.Y EVEMyr, TR-ANSCRIPT. 13.1.
- Le Vc/r York Times considère que l'attitu-
de de résistance passive adoptée par le gouver-
nement allemand est dangereuse pour son pays.
, DI& 8
'PFAIRE8 ÉTRANGÈRES
N° 2273
Jeudi 8 février 1923
V
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
SOMMAIRE
rn La alle-
mande (H. Von treirlach dans W'ell a m
\{(n,f Dell/selle ZeilU//(f'¡. Lnrr"-
Pafion\ 01 mmburg (Ze'Í/, Yoriearts,
Ki-pu-'eu*-Zcuunfr..
Cie l'a
::;. \]EI\ICAI\E. Transcript. Xeu:
Yoi'i- r TI'UII sNi/Jt.S etc
Journal of C
°r^ - Les Etats-Unis
et Cnk (A'C"' YOrh TimeS)-
PREs SE 1^1' - 1.' OCCli pa lion de la Ruhr
N-e. - Les exportations de
charb T bl'itarinift|i"1 (Ilarold Cox dans
^oni Post). - La rupture de Lau-
— La rupture de Lau-
saiinp L Worninq Pnsi).
IJAL1^nne- - La rupture de Lausan-
ne ,,-ccolo, Monda).
(/;0)/j| SsE- — Le rappel de M. Skobelev
(fIOltl).
POLITIQUE GENERALE
POLITIQUE CIENERALE
LES RÉPARATIONS
|^UlCAINE- Un même temps qu'il
''evQp/jf0(Y-e raPPel des troupes ameri-
('a!'le* du».
trW l(' Boston Evening Trans-
'1'Ixli'o. .'-". °'
cal l' e" commentaire très ami-
, aC/'OI) 1 - 1
* 0,)
* „ <" rrance dans la liiiiir.
^?nie tle liaille ••"nli'c
Ù unee el l ,',
îf ^'unéo5 'es T'*i*an<-fiis par un défenseur
l 1 1)1 (lit
e dans son Etal. connue
«,l«in,r fn (':i|a\vay. de l'Arkansas. ne
Ù. ¡ 1 ('1'"1 , l
dire IIU1(S nous aventurons à le
'111 (' h -, ¡
e' (ÏUc r'",'u -sympathies parmi les Amé-
ricai np HUIIL ¡Ù pacifistes ni dévoués
1\,' l~ttioi-, '1 '1 -'
a Une ua. °U t'^t îli»gère, qui ne sont ni se-
Cr^ernt.M 'pliiles. ni notoirement fra:i-
tophob-'" dngl('philes. ni notoirement frn:l-
ô?nL iI"~: a l:,r°pagande .anti-française
^0P11'- il y d (n ce moment de SI nombreux
çl8los
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, <1 0' ,
ftU0re (lt' Sympathies parmi les
Il 11\lIn8]'
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) ¡-, I111f1,11 \,!'I ,
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:\Y')"'t 'î
"'r¡ à f
°nt V aire face aux gémissements pu-
blics, et aux défis privés, qui sont venus
d'Allemagne depuis deux ans, embarrassée
par la politique égoïste suivie par les An-
glais qui, ayant détruit l'Allemagne comme
rivtale commerciale sur les mers, la cajo-
lent aujourd'hui en tant que future cliente,
est-ce que l'Amérique, sous la conduite d'un
Washington, d'un Jackson, d'un Cleveland
ou d'un Roosevelt, ne serait pas entrée
dans la Ruhr il y a déjà longtemps ?
Admettons, pour les besoins de la dis-
cussion. que les considérations économiques
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« d'expectative vigilante » de la part de
ku France, et que, pour des considérations
d'opportunité financière, l'occupation de la
Ruhr aurait pu être ajournée encore. Quel
Américain pur-sang peut refuser aux Fran-
çais un sentiment d'admiration parce que
la France n'est pas toujours inspirée pair des
considérations économiques et parce que,
lorsqu'un ennemi impénitent et hostile la
menace ou la défie, elle ne se guide pas
dans son action sur des considérations d'op-
portunité financière. Ce n'était pas l'esprit
de l'héroïsme français qui a triomphé à
Verdun.
Ce n'était pas l'esprit de l'endurance
française qui a permis aux Anglais et aux
Américains d'arriver en France avant qu'il
ne fût trop tard. Des considérations éco-
nomiques auraient sans doute décidé la Bel-
gique a accorder a rAUemagne un libre
passage en août 1914. Si le roi Albert
n'avait été guidé que par des considérations
d'opportunité financière, il se serait rendu
quand « les Huns étaient à 3a. porte ». El
la Belgique n'aurait pas perdu, même pour
un temps, « tout sauf l'honneur ».
Il en est des nations comme des indivi-
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les Anglais se sourient beaucoup moins de
les voir obtenir de l'Allemagne des répara-
tions adéquates que de l'effet de ces répa-
rations sur le commerce croissant que fait
l'Angleterre avec l'Allemagne. 1 .es Fran-
çais savent que les premiers Américains
pensent beaucoup plus à un marché pour
Leurs récoltes qu'à la stabilité financière
fnture on il 1il sécurité nationale de la
Fiance. Bief les Français savent que c'est
à eux qu'incombe la responsabilité d'agir
pour la France, et ils s'y prennent de telle
sorte que le monde puisse savoir qu'ils agis-
sent pour eux mêmes, et non pas comme
partisans de la Grande-Bretagne ou de
l'Amérique, et moins encore pour tenir le
rôle de parrains fictifs d'une humanité ima-
ginaire.
Pour les Français, la France est l'huma-
nité : pour les Français, un traité n'est pas
un « chiffon de papier »: pour les Français,
il y a des choses pires que la mort, et
l'une de ces choses est la menace tyranni-
que d'un voisin agressif et sans scrupules.
Bientôt, lorsque l'Allemagne aura compris
le caractère sérieux de la résolution fran-
çaise, les Français pourront en venir à la
conclusion que l'aide que l'Amérique peut
rendre, sans aller à rencontre de ses tra-
ditions, en faisant partie d'une commission
d'experts financiers qui étudierait les faits,
en se montrant créancier indulgent, et en
fournissant une direction à la fois honnête,
impartiale, et intrépide, n'est pas négligea-
ble. En attendant, notre gouvernement
devrait sans perte de temps donner à la
France l'assurance que cette aide lui sera
apportée dès qu'elle sera disposée à l'accep-
ter. Mais la France ne peut recevoir d'assu-
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tique de coups d'épingle. Et les Français ne
se méprendront pas si nous saluons avec
enthousiasme le retour des troupes que
nous avons encore en Rhénanie.
Ces troupes auraient dû être rappelées il
y a longtemps. Notre évacuation de l'Euro-
pe aurait dû commercer le jour où le Prési-
dent signa la résolution de paix qui mit
fin à la guerre avec l'Allemagne, et aurait
dû se poursuivre sans interruption jusqu'à
ce que nous n'eussions plus un seul soldat
en Europe. Si le gouvernement croit que
le rappel des troupes du général Allen est
populaire chez nous, parce qu'on l'inter-
prète en Allemagne comme une réprimande
adressée à la France pour avoir pris des
mesures directes contre un débiteur défail-
lant et plein de défi. c'est qu'il est bien mal
informé de l'état actuel de l'opinion publi-
que américaine.
L'opinion de l'Amérique peut ne pas s'ac-
corder avec l'opinion française sur ce qui
vaut le mieux pour la France au point de
vue économique. Mais la sympathie qu'é-
prouvent les Américains pour l'exaspéra-
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titude récalcitrante de l'Allemagne n'est
pas diminuée par ce désaccord. L'oncle
Sam peut ne pas hocher la tête pour mar-
quer son approbation de l'avance française
dans la Ruhr, mais nos amis les Français
peuvent être certains que le coeur de l'oncle
Sam est toujours plein de sympathie pour
la France et d'admiration pour cet héroïs-
me qu'est la France. Une politique de cc neu-
tralité morale », chuchotée à Washington,
n'aura pas plus d'effet sur le peuple améri-
cain qui pense juste et aime la liberté qu'à
l'époque où il a été insulté par de pareils
chuchotements, entendus à Washington en
septembre 1914. Les présidents passent,
mais l'amitié de l'Amérique pour la France
demeure. - (Ed.)
J30NT0.Y EVEMyr, TR-ANSCRIPT. 13.1.
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