Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 février 1923 06 février 1923
Description : 1923/02/06 (T23,N2271). 1923/02/06 (T23,N2271).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391049
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
LISIÈRE
PAI 1 hEs DES
^^GÈRE>
N° 2271
Mardi 6 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.— Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~s.,
< ALT.E\IANrm. - Nouveaux accords
Q{'Oll
'b:', OIYllque::; germnno - russes (Well-
bafinç)
^Essg \?\
ICAlNE- — rappel des trou-
dumlln'line décl-ar-ertiori de M. Pier-
'ut L. Xoyps (New Yor/. TImes),
V3'A1^E' - L'o'-cupation de la Ruhr
1-1f")Ilst.0 Il e,,) 11-ilc, lettre de sir Robert
n (Morning Post). — L'attitude
àps TuC11 Lausanne (Morning Post,
y^y}aPh, f Daily Chronicle, Daily
),o:3t8' ~.1' sfmins!f?r Gazette). - Mani-
^tatiô |]s anti torques à Mossoul (Mor-
nLuf. p-
p~ - Le l'èg'k'ment de k). riette
lqtl-e envers les Etnts-Unis : les
alliés Grande-Bretagne sur' ses
i 0-zette) T^fefïraph. Wexhri m s ter
~E~ T
r (Ir¿"-' UEN:'\E. -L'occupation de la Ruhr
a tonale).
["nt,
~ssn.- S;{"
i '^SP'' - Les "-minerais de Suède:
^;,:t'C!Trr i Serrnnnn-suédois (Dagens Nyhe-
k fer).
POLITIQUE GENERALE
LEs' ÉD A RATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. -
iTALIENNE '{' "d'" enls
SUtr.] : e série d'événements
,,'1:( ent d jo.,Li,r;s : le l,
,|(--^P'Ujs quelques jours : le dis-
'llls àe,p0| °aré Q inc,icIllé le sens véritable
"-*, l'a 'que la France a adoptées sur
» i resi's^'an^e allemandei dans la
il. "es, ff" ,
> cU,s'est fr^blle '• le langage du gouver-
!.tI.IPenlle-:nt terli-n a citange de ton. On voit
: ai ^011'rdVlvi'i C £ ? que très peu de
ÊsgeT1 e Jour où Les Français entrè-
à Essen
r pv. 1
,
'c: ti aité d e Ve;r-sailles disparaît et In
ÉiryiCe-cho^c|. te remplacer par une paix
située ViA ^eilîil £ 'n-e. j$ràce A laquelle.
Pays victorieux sent solide.
1, ,p.re'c!l.se.' ,
l' Ô pf ®-
H 1LYH+ J
'k$ù ® ^-^temagne est concentrée
~~lI' ce Point. ; elle ne veut pas
antT'parce qu'elle sait que
fr r'^1 «, P^^er sur le terrain que la
j[j,a a choisi pour rempor-
I V 3*^ ^^yeUÇ'aiSe e ^toire, réaliser une nou-
sv
■ ^Jîp.Tix. frw ftUrer on Europe un nouveau
politj ^lais comme l'Allemagne
- tlrape. et don rie à la France l'oc-
casion et la possibilité de mener à bien et
de développer encore son programme. La
situation, malgré des épisodes de violence
(H et là. s'améliore dans l'ensemble et, s';
stabilise.
Il est clair que M. Mussolini — les paro-
les mesures qu'il à prononcées en font foi
- se rend parfaitement compte de cette
stabilisation. Il a confirmé d'ailleurs notre
position diplomatique, en déclarant que
l'Italie était restée complètement étrangère
aux mesures d'ordre politique et militaire
que la France et la Belgique ont adoptées.
IDEA NAZIONALE, 3.2.
PRESSE ANGLAISE. - Il est évident que la
politique française. entre dans une nouvelle
phase. Le contrôle économique fut la pre-
mière phase, au moment où la conférence
des réparations prit fin sans donner de ré-
sultat. Elle ne dura que quelques heures.
La contrainte militaire fut l'objet de la deu-
xième phase. Comme moyen de tirer des
richesses de la Ruhr, elle se heurte à l'op-
position victorieuse des ouvriers allemands
La troisième phase n'est autre chose qu'une
tentative faite pour isoler la Ruhr du reste
de l'Allemagne. Cela signifie que la Ruhr
sera étouffée, paralysée. La France a en-
trepris à elle sentel de nourrir et. de discipli-
ner la population. Pour subvenir à ses be-
soins de chaque jour, il n'était pas trop, na-
guère. de toute la capacité de rendement de
la région. Avec la perte de sa capacité de
rendement, la faim, le chômage s'intensifie-
ront progressivement. C'est jouer sur les
chances d'une capitulation du gouverne-
ment Allemand et des gros industriels. Mais
si le gouvernement allemand ne capi-
tule pas ? La France en sera ré-
duite à nourrir elle-même ses nom-
breux otages , ou à les laisser mou-
rir de faim. D'une façon comme de l'autre,
l'entreprise de la Ruhr n'est plus une ex-
pédition ayant pour objet de se procurer du
charbon, mais une occupation qui prépare
le chaos. Le gage productif, dont le carac-
tère improductif est prouvé désormais, s'est
mué en sanction. Pendant que les hauts
j'otirfldûâ^jx de Lorrains laissent éteindre
leurs feux faute de coke, le problème ur-
gent du budget déficitaire de la France met
à l'épreuve l'ingéniosité du ministre des Fi-
nances français. ,- ,
La politique française a fait beaucoup de
chemin, et cela rapidement. L'opinion mon-
diale a fait du chemin de son côté, et elle
évoluera d'autant plus rapidement à me-
sure que la triste situation de la Ruhr s'ag-
gravera encore. Officiellement., il a été té-
moigné à l'a France une courtoisie et une
patience extraordinaires par ceux dont elle
i
détruit isolément et volontairement l'actif
au chapitre des réparations et les occasions
normales de faire du commerce. Mais les
gouvernements dépendent de l'opinion pu-
blique, et l'opinion publique tant en Angle-
terre qu'aux Etats-Unis ne reste pas immo-
bile. La politique- qui exaspère les ennemis
de la France lui aliène en même temps ses
amis.
OBSERVEE, 1.2.
T!XE LETTRE DE SIR ROBERT HorsTO":\, - Sir Ro-
bert Houston, membre unioniste des Communes,
demande, dans une lettre à la Morning Post, que
l'Angleterre « ne contrecarre pas l'effort de la
France dans la Ruhr par une attitude bienveil-
lante envers l'Allemagne n,
Est-ce bien agir envers la France que
de vendre notre charbon à l'Allemagne au
même prix qu'à elle, au détriment d'ailleurs
du consommateur britannique ? Il convien-
drait d'exercer une pression sur l'Allema-
gne non occupée en refusant de lui vendre -
notre charbon. L'Allemagne serait, de cette
façon, ramenée plus rapidement à la rai-
son et mise en demeure de remplir ses obli-
gations. Si nos ministres estiment pour-
tant qu'il n'est, pas possible de suspendre
nos ventes de charbon, pourquoi n'établi-
rait-on pas une taxe supplémentaire fixée,
par exemple, à 40 s. par tonne sur les
exportations destinées à l'Allemagne. L'Al-
lemagne n'a connu depuis l'armistice au-
cune crise de chômage ; elle n'a pas eu à
faire face à des dépenses navales ou mi-
litaires : elle ta donné un grand essor à
toutes ses industries : elle a. construit à
bas prix une flotte de steamers de com-
merce : elle regagne rapidement La' situa-
tion qu'elle occupait avant 1914. Les ma-
gnats allemands ont acquis une fortune
considérable, mise aujourd'hui en sûreté en
Angleterre et dans d'autres pays étran-
gers. Si l'Allemagne cessait d'être notre
concurrente dans le domaine industriel, le
résultat serait excellent pour nous. Au lieu
dé favoriser la prospérité de l'Allemagne
qui nous apporterait la certitude d'une
guerre de revanche dans un délai de dix
ans peut-être et causerait un grave préju-
dice à notre commerce extérieur, nous de-
vrions comprendre qu'une Allemagne ap-
paw-Fie -Sfrait plus pacifique -qu'-tme Alle-
magne riche : la première mesure à pren-
dre c'est de l'obliger à payer ses dettes. -
Sir Robert Houston.
MORNING POST, 5.2.
LES MINERAIS DE SUEDE. — L'AC-
CORD GERMANO-SUÉDOIS [Cf. Bulletin n° 2265,
page 4]. — De Berlin, 29 janvier :
« Le nouvel accord suédo-allemand sur
les minerais porte, selon ce que l'on nous
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N° 2271
Mardi 6 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.— Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
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< ALT.E\IANrm. - Nouveaux accords
Q{'Oll
'b:', OIYllque::; germnno - russes (Well-
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dumlln'line décl-ar-ertiori de M. Pier-
'ut L. Xoyps (New Yor/. TImes),
V3'A1^E' - L'o'-cupation de la Ruhr
1-1f")Ilst.0 Il e,,) 11-ilc, lettre de sir Robert
n (Morning Post). — L'attitude
àps TuC11 Lausanne (Morning Post,
y^y}aPh, f Daily Chronicle, Daily
),o:3t8' ~.1' sfmins!f?r Gazette). - Mani-
^tatiô |]s anti torques à Mossoul (Mor-
nLuf. p-
p~ - Le l'èg'k'ment de k). riette
lqtl-e envers les Etnts-Unis : les
alliés Grande-Bretagne sur' ses
i 0-zette) T^fefïraph. Wexhri m s ter
~E~ T
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a tonale).
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~ssn.- S;{"
i '^SP'' - Les "-minerais de Suède:
^;,:t'C!Trr i Serrnnnn-suédois (Dagens Nyhe-
k fer).
POLITIQUE GENERALE
LEs' ÉD A RATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. -
iTALIENNE '{' "d'" enls
SUtr.] : e série d'événements
,,'1:( ent d jo.,Li,r;s : le l,
,|(--^P'Ujs quelques jours : le dis-
'llls àe,p0| °aré Q inc,icIllé le sens véritable
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'c: ti aité d e Ve;r-sailles disparaît et In
ÉiryiCe-cho^c|. te remplacer par une paix
située ViA ^eilîil £ 'n-e. j$ràce A laquelle.
Pays victorieux sent solide.
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'k$ù ® ^-^temagne est concentrée
~~lI' ce Point. ; elle ne veut pas
antT'parce qu'elle sait que
fr r'^1 «, P^^er sur le terrain que la
j[j,a a choisi pour rempor-
I V 3*^ ^^yeUÇ'aiSe e ^toire, réaliser une nou-
sv
■ ^Jîp.Tix. frw ftUrer on Europe un nouveau
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Il est clair que M. Mussolini — les paro-
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position diplomatique, en déclarant que
l'Italie était restée complètement étrangère
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que la France et la Belgique ont adoptées.
IDEA NAZIONALE, 3.2.
PRESSE ANGLAISE. - Il est évident que la
politique française. entre dans une nouvelle
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mière phase, au moment où la conférence
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La contrainte militaire fut l'objet de la deu-
xième phase. Comme moyen de tirer des
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La troisième phase n'est autre chose qu'une
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ner la population. Pour subvenir à ses be-
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guère. de toute la capacité de rendement de
la région. Avec la perte de sa capacité de
rendement, la faim, le chômage s'intensifie-
ront progressivement. C'est jouer sur les
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OBSERVEE, 1.2.
T!XE LETTRE DE SIR ROBERT HorsTO":\, - Sir Ro-
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l'Angleterre « ne contrecarre pas l'effort de la
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même prix qu'à elle, au détriment d'ailleurs
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drait d'exercer une pression sur l'Allema-
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gations. Si nos ministres estiment pour-
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Sir Robert Houston.
MORNING POST, 5.2.
LES MINERAIS DE SUEDE. — L'AC-
CORD GERMANO-SUÉDOIS [Cf. Bulletin n° 2265,
page 4]. — De Berlin, 29 janvier :
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