Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 février 1923 03 février 1923
Description : 1923/02/03 (T23,N2269). 1923/02/03 (T23,N2269).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239102g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
^^STËRE
DES
; i, ^Es ^trangèresÏ-Tn
N° 2269
Samedi 3 février 1923
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
-^(g^ - L'occupai ion de la
e/ica Ur Brisbane dans New, York
T Les impôts en France,
: a8n'e et en Allemagne
Vnw k Tribune).
RESSE \N OT'k Tribune). f
~~e - La France et la confé-
rence de Lausanne (l'ail Mall Gazette,
Daily Herald, T~~ DaÜy Mall, est
minster Gazette, DaUlf Chroniclc, Daily
Telegraph). L
'E
.-\ ENNE" - Le relèvement de
W (Neues Wiener Tagblatt).
POqTIQUE jieN ERA LE
^Oc LES RÉPARATIONS
OCCUPATION DE LA RUHR. -
k Si l'Allemagne fai-
'Ule tentahs6 honnête .pour faire face
%?i§'erices' h 1 matière de
de la France en matière de
il UI avec des garanties adéquates.
TQni pour effet l'évaoua-
- par les troupes françaises.
"Il NR\\l YORK TIMPÆ, 13.1.
Il ll V „
'|ei^ag)}6 'ch'0|ses que la psychologie
e, est "Capable de comprendre.
-. la.,311
r~8i~t OPPose à l'exécution du traité
ce Our,cle et passive. Elle ne
-
Rations et dédaigne de
Pas ]yr^ S lilatio-ns et dédaigne de
remplir. Mais quand les sanctions p-ré-
el~. „ e SUr sa propre misère,
accuse d'avo", r ',IioIé le tr,-:tjté les nations
;iic U'8e à'avnî ! Violé le traité les nations
elle est en traill de. frustrep. Ce qui l
l -Ito de lustrer. Ce qui rend
• amusante, c'est que
nw t jamais sondé ce qu'il y
- o,. erit anormal dans la psy-
'oi,J„^ ^ ?^le t)0u
pour l'expression de 'angoisse
'e i6 ^al êveiii e dans le cœur du juste.
ÑEW
La fyfttXr YORK TRIBUNE, 13.1.
, La « rie T, aventureclira si des en-
'l!lCl' peu.veht. l t,
verit e-xploiter une popu a IOn
elles -la oh et profit. S'il est
~s~ soit possible, alors de
S^C?si:oris sWf ent dans toutes les di-
l'art. de "*"til)ll bien armée et experte
rtir'ns'^ Uiie fmre la guerre, - Arthur
"V de laite la guerre. - Arthur
e y -'
AUEMCAN, 13.1.
^KANCE>
„ .F-S GR.UTOE-BBET.V
':Ilee àOpinion américaine.
à. ~Q~ qTIl font appel à l'indul-
^Safcl e l Allemagne ont trouvé
un nouvel argument. Ils voulaient que les
AUemtl mIs soient plus lourdement imposés
que les Français. « Les impôts que paient
la plupart des Français sont inférieurs aux
impôts que paient les Anglais et les Alle-
mands », dit M. Bruce Bliven, dans ile
Globe. 1
Voyons donc les faits.
Les statistiques de la Société des nations
pour l'année 1921. indiquent que la France,
dont la population ne dépasse pas 39 mil-
lions d'abitants, a payé 1.041 millions de
dollars d'impôts : Allemagne (popula-
tion : 59 millions) : 805.120.000 et l'Angle-
terre (population : 47 millions), 2.771 mil-
lions. Ces sommes ont été converties en
dollars sur la base du pouvoir d'achat du
franc, du marché de la livre avant la guer-
re. C'est d'ailleurs le procédé de compa-
raison le plus équitable et le plus favora-
ble à l'Allemagne. Lorsqu'on calcule en
dollars, au cours moyen du change en
1921, on constate que la France a payé
1.381.800 dollars ; l'Allemagne 632 millions
de dollars ; l'Angleterre, plus de 3.064 mil-
lions.
En d'autres termes, la France, dont la
population est inférieure à celle de l'Alle-
magne, a versé en impôts une somme supé-
rieure de 30 à celle qui a été versée par
l'Allemagne, et le total des impôts en An-
gleterre est trois fois plus élevé qu'en Al-
lemagne.
On peut aussi établir la comparaison par
tête d'habitant ; oh obtient alors les chif-
fres suivants, basés sur la puissance d'a-
chat d'avant-guerre de la monnaie étran-
gère : France (en dollars) : 26,56 ; Alle-
magne : .13,60 ; Angleterre : 58,58.
Ces statistiques ne pourraient être con-
testées que par ceux qui estiment que la
conversion des francs et des marks en dol-
lars est avantageuse pour l'Allemagne.
Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, on ne peut
pardonner à un auteur qui prétend expo-
ser la situation, d'avoir ouiblié de les men-
tionner ; or, M. Bliven n'y fait pas allu-
sion dans son article. ,
Il cite au contraire les chiffres de la com-
mission des réparations. Or la commission
calcule les impôts que paient Français et
Allemands sur la base du pourcentage du
revenu imposé. Les pourcentages varient :
mais on constate, en lisant ces statistiques,
mie les Anglais sont plus lourdement impo-
sés que les Français et les Allemands plus
encore que les Anglais !
En ce qui concerne la taxation totale, ces
statistiques sont inexactes. La France en
effet ne perçoit, sous forme d'impôt sur le
revenu, qu'une fraction du revenu qui est
bien inférieure à celle que perçoit l'Allema-
gne. Mais les impôts indirects français sont
bien plus nombreux et plus élevés que les
impôts indirects allemands. Par conséquent,
ces statistiques sont fausses et trompeuses;
si elles représentaient le total des impôts
réellement perçus, les chiffres cités ci-
dessus, incontestables et incontestés,
seraient complètement bouleversés. Que
l'on soit ou non expert en matière de sta-
tistiques, on ne peut que reconnaître que le
fait de reproduire ces données, sans les
commenter, est un procédé malhonnête.
Mais nous relèverons encore une autre
erreur, légère peut-être, et néanmoins si-
gnificative. Les chiffres cités n'ont pas été
acceptés par la commission des réparations,
comme semble le croire M. Bliven, qui in-
siste sur « leur caractère officiel ». Ils ont
été, en réalité, transmis par le gouverne-
ment allemand ; ils font partie de l'exposé
de sa situation, ils ont été publiés sous cette
forme dans le rapport. Est-ce donc là la
source impartiale qui devrait faire autori-
ta ?
Mais M. Bliven puise à d'autres sources
'— à une autre source allemande autorisée
qui donne des chiffres « actuellement offi-
ciels ». Il est bien difficile de répondre à des
statistiques anonymes. qui fixent le mon-
tant des impôts à 37,3 du revenu total
pour l'Allemand, à 32 pour l'Anglais, à
14 pour le Français et qui posent toute
la question du revenu. Quel est en effet le
revenu national de l'Angleterre, de la
France et de l'Allemagne ? Si M. Bliven
possède, sur ce point de solides renseigne-
ments, qu'il nous les donne. Mais l'évalua-
tion du revenu national est un problème ex-
trèmement complexe, même lorsqu'il est
fait dans les meilleures conditions. Il est
certain que le montant de la perception des
impôts sur le revenu ne constitue pas une
base solide, car certains revenus ne sont
pas soumis à l'impôt et les évasions sont,
dans tous les pays, nombreuses- C'est un
procédé que pratiquent - notamment les
riches industriels et les sociétés d'Allema-
gne. - ., P'
La France dont la population est infé-
rieure de 2/3 à celle de l'Allemagne, paie, en
impôts, 30 de plus que l'Allemagne. Voilà
le fait qu'il faut retenir. — (Ed.)
NEW YORK TRIBUNE, 6.1.
——— ———
L,-A SOCIÉTÉ DES NATIONS
LE RELEVEMENT DE L'AUTRICHE. -
Sous le titre « le discours d'un ami », le Neues
Wiener Togblaft commente l'exposé du commis-
saire général de la Société des nations en Autri-
che devant le conseil de la Société des nations
à Paris :
Le Comité autrichien de la Société des
nations a entendu un avocat qui ne se con-
tente pas d'exposer une affaire, mais qui
laisse parler son cœur. Le commissaire gé-
néral, Dr Zimmermann, est le représentant
DES
; i, ^Es ^trangèresÏ-Tn
N° 2269
Samedi 3 février 1923
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimes en petits caractères. Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
-^(g^ - L'occupai ion de la
e/ica Ur Brisbane dans New, York
T Les impôts en France,
: a8n'e et en Allemagne
Vnw k Tribune).
RESSE \N OT'k Tribune). f
~~e - La France et la confé-
rence de Lausanne (l'ail Mall Gazette,
Daily Herald, T~~ DaÜy Mall, est
minster Gazette, DaUlf Chroniclc, Daily
Telegraph). L
'E
.-\ ENNE" - Le relèvement de
W (Neues Wiener Tagblatt).
POqTIQUE jieN ERA LE
^Oc LES RÉPARATIONS
OCCUPATION DE LA RUHR. -
k Si l'Allemagne fai-
'Ule tentahs6 honnête .pour faire face
%?i§'erices' h 1 matière de
de la France en matière de
il UI avec des garanties adéquates.
TQni pour effet l'évaoua-
- par les troupes françaises.
"Il NR\\l YORK TIMPÆ, 13.1.
Il ll V „
'|ei^ag)}6 'ch'0|ses que la psychologie
e, est "Capable de comprendre.
-. la.,311
r~8i~t OPPose à l'exécution du traité
ce Our,cle et passive. Elle ne
-
Rations et dédaigne de
Pas ]yr^ S lilatio-ns et dédaigne de
remplir. Mais quand les sanctions p-ré-
el~. „
accuse d'avo", r ',IioIé le tr,-:tjté les nations
;iic U'8e à'avnî ! Violé le traité les nations
elle est en traill de. frustrep. Ce qui l
l -Ito de lustrer. Ce qui rend
• amusante, c'est que
nw t jamais sondé ce qu'il y
- o,. erit anormal dans la psy-
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pour l'expression de 'angoisse
'e i6 ^al êveiii e dans le cœur du juste.
ÑEW
La fyfttXr YORK TRIBUNE, 13.1.
, La « rie T, aventureclira si des en-
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^KANCE>
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^Safcl e l Allemagne ont trouvé
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AUemtl mIs soient plus lourdement imposés
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la plupart des Français sont inférieurs aux
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mands », dit M. Bruce Bliven, dans ile
Globe. 1
Voyons donc les faits.
Les statistiques de la Société des nations
pour l'année 1921. indiquent que la France,
dont la population ne dépasse pas 39 mil-
lions d'abitants, a payé 1.041 millions de
dollars d'impôts : Allemagne (popula-
tion : 59 millions) : 805.120.000 et l'Angle-
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dollars sur la base du pouvoir d'achat du
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re. C'est d'ailleurs le procédé de compa-
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ble à l'Allemagne. Lorsqu'on calcule en
dollars, au cours moyen du change en
1921, on constate que la France a payé
1.381.800 dollars ; l'Allemagne 632 millions
de dollars ; l'Angleterre, plus de 3.064 mil-
lions.
En d'autres termes, la France, dont la
population est inférieure à celle de l'Alle-
magne, a versé en impôts une somme supé-
rieure de 30 à celle qui a été versée par
l'Allemagne, et le total des impôts en An-
gleterre est trois fois plus élevé qu'en Al-
lemagne.
On peut aussi établir la comparaison par
tête d'habitant ; oh obtient alors les chif-
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Ces statistiques ne pourraient être con-
testées que par ceux qui estiment que la
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Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, on ne peut
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bien inférieure à celle que perçoit l'Allema-
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tant des impôts à 37,3 du revenu total
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la question du revenu. Quel est en effet le
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Sous le titre « le discours d'un ami », le Neues
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