Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 février 1923 02 février 1923
Description : 1923/02/02 (T23,N2268). 1923/02/02 (T23,N2268).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391012
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MltjlSTËRË
DES
eFA 1hE S, ÉTRANGÈRES
N° 2268
Vendredi 2 éfvrier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,lf:MAN1 - Les déclarations de AI.
poiiilcttré il la Presse américaine (Frank-
îiiïter Zeitung). — Les demandes d'en-
rôlement dans la Reichswehr (Kôlnis-
c/tc. v kszeîtimg).
PHEW *\t F D TAlNE- - Le rappel des troupes
T mnes de Rhénanie (New York
l'lllnUle). - Les possessions françaises
et brit
et bpjx niîiqUes aux Antilles: une pro-
P°sition -de. cession (New York Amerî-
can) -Les sociétés commerciales amé-
r'cai.np s en Chine (Neiv York Tribune).
IVoCr, ANGIA!TSE- — Les intérêts britanni-
queg /rj ai['! Chronivle). — La situation
à la r- 0n ence de Lausanne (Times,
j estmmsler Gazette). — Les intentions
du gouvernement d'Angora (Morning
post). Le règlement de la dette bri-
Mo- '; eenvers les Etats-Unis (Times,
A/oml POSl, Daillj Express).
(/1 BELGE. — L'occupation de la Ruhr
fin cUPlc): l'attitude de l'Italie (Soir).
ft EDOIsE. — L'occupation de la
ÎUihp 'ln article du baron von Lersner
(Storbh Dagblad).
blad).
POLITIQUE GENERALE
-
LES RÉPARATIONS
ù\ P CUPATION DE LA RUHR. -
.\nTICU: U BAR0N VON LERSNER. — Le
s(-'.rl\-ateu,. suédois (Stockholms
/»ljlljkd nuhl16 l'article suivant écrit par
La conférence de Paris a échoué à cause
e t te ellt et de l'obstination de Poin-
e
fL^ auX o,v^- 0®8 fran5aises jusqu'à ac-
de 1~ françaises jusqu'à l'ex-
être e lrn'te, Illats Poincaré tint à donner
de Il têtContre le mur. La conférence dut
v v oii^ 0lripue.
de Sa qUe Poincaré- veut maintenant agir
l'eSa ProB,06 initiative. Il essaie de nous
l'ex, un manquement volontaire à
S' l' On du traité de paix pour motiver
1, ce" ation de la Ruhr. Qu'une telle
em eri territoire allemand soit une vio-
sailles, -^'Gtto ., évidente de la paix de Ver-
as Ser
San6s' v°ilà ^e SUr quoi l'on semble vouloir
passer à Paris
oepen à 1 rnoll temps, après de lon-
8»PIe* Pénihi es Négociations), j'étais arrivé
teiiir fi 0S Puissances de l'Entente
s rpn "0?Cent officiellement à toute
ïim? Ve^o "lit officiellement à toute
décembre 1919, j' Ül confirmé cette renoncia-
tion il note suivante :
« Le gouvernement allemand prend con-
naissance du fait qu'il ne peut être question
de droit de contrainte militaire ou autre que
seulement jusqu'à l'époque où la paix sera
rétablie par l'entrée en vigueur du traité de
paix. »
En réponse à cela, je reçus la note sui-
vante de Clemenceau, qui était alors pré-
sident du Conseil Suprême :
« En ce qui concerne les mesures de sûre-
té, dont les puissances alliées espèrent évi-
ter l'application, vous pouvez retenir que si,
après le rétablissement de !a paix (10 jan-
vier 1920), il ne s'agit plus de l'application
de mesures de sûreté telles que la guerre
les entraîne, cependant, d'autre part, les
rues u ms spécialement définies dans ce trai-
té de paix recevront une rigoureuse exécu-
tion ainsi que les différentes manières de
procéder reconnues par 'le droit des gens. »
Nulle part dans le traité de Versailles il
n'est prévu pour les puissances de l'Entente
le droit de pénétrer en territoire allemand.
D'à même le droit des gens ignore tout droit
de pénétrer sur le territoire d'un Etat étran-
ger.
Ce n'est qu'à cette condition (que les puis-
sances de l'Entente renoncent à toute en-
trée ultérieure en territoire allemand) que
je me suis déclaré prêt à confirmer de ma
signature l'entrée en vigueur de la paix de
Versailles. C'est ce que savaient Clemen-
ceau, Dutasta, le maréchal Foch, les am-
bassadeurs de l'Entente et les membres du
Conseil Suprême. En effet, je n'ai pas laissé
de doute, sur ce point que je préférais quit-
ter Paris avec éclat (1) et rompre les négo-
ciations que de laisser la guerre se pour-
suivre encore durant la paix, en acceptant
l'éventualité d'une entrée en Allemagne.
En occupant le territoire de la Ruhr, la
France viole le traité de Versailles et le
droit des gens. On ne change rien à ce fait
par de bettes phrases.
Mais que M. Poincaré fasse attention.
Maintenant il a affaire à un gouvernement
allemand qui sait ce qu'il veut. Le chauve-
lier Cuno a montré, par le plan des répara-
tions qu'il a exposé à grands traits à Ham-
bourg le 31 décembre, des dispositions ex-
traordinairement accommodantes, mais
c'est son dernier mot. Le gouvernement
actuel est fermement décidé à employer
contre la politique française de violence, de
violation du droit, des traités et de la paix,
tous les moyens pacifiques qui pourront
être appliqués. Le Reichstag et le peuple
allemand tout entier sont derrière cette po-
litique. Cette unanimité là, nous n'avons
pas peu à en remercier M. Poincaré et ses
amis.
Que les gouvernants de la Seine, fassent
attention : un peuple unanime de 60 mil-
(1) En français dans le texte.
lions d'hommes ne peut être violenté à la
longue, car il y a des moyens pacifiques, je
répète en insistant sur « pacifiques », qui
sont à sa disposition et que la France de-
vrait, dans son propre intérêt, éviter de
voir employer par nous.
Les autres peuples devraient nous soute-
nir de toutes les façons. En effet, Poincaré
veut tout d'abord réunir sous sa mainmise
tous les bassins houillers du continent. Il a
déjà les mines polonaises à sa disposition
par son traité secret avec la Pologne. En-
suite Poincaré désagrégera et détruira
l'Empire allemand et le peuple; allemand.
Ces deux résultats ne peuvent qu'être nui-
sibles au reste du monde. — Von Lersner.
STOCKHOLMS DAGBLAD, 23.1.
PRESSE BELGE. — Après trois semaines
d'occupation, la mission franco-belge-ita-
lienne n'a toujours pas détourné un kilo-
gramme de charbon de la Ruhr vers les
pays occidentaux.
Les quantités extraites — 60 de la pro-
duction normale — sont envoyées exclusi-
vement en Allemagne.
S'il en était autrement, ce serait, dans les
mines, le chômage ou la grève.
La grève des transports en Rhénanie est
provoquée par les essais de détournements
de charbon provenant des mines des terri-
toires anciennement occupés.
Pendant ce temps, les mesures de force
continuent, accompagnées d'un bourrage de
crânes dont on trouvera ci-dessous la
preuve.
On ne parle plus de la mission Coste. Il
faut donc considérer que la situation est
toujours telle que me l'a dépeinte Waldherc-
ker, le second président de l'Union des mi-
neurs allemands. Pas un kilo de charbon
n'a quitté la Ruhr à destination des pays de
l'Entente. Tout le charbon extrait (60 de
l'extraction normale) est acheminé vers
l'Allemagne. Les seules quantités détour-
nées proviennent des régions anciennement
occupées, notamment des charbonnages en-
vironnant. Aix-la-Chapelle. Et chaque geste
de contrainte esquissé par les militaires se
heurte instantanément à la grève, soit la
grève localisée, soit la grève perlée, ou au
sabotage. Ce qui prouve tout ceci encore,
c'est ce qui se passe actuellement, sur les
voies ferrées de la Rhénanie
Un ingénieur me disait hier soir que lui
et ses collègues, ayant frappé vainement à
toutes les portes, en sont réduits à rôder
autour des mines, dans l'espoir — puéril —
d'interroger un ouvrier, qui ne sait pas, ou
se moque d'eux.
PEUPLE [de Bruxelles], 31.1.
LES DECLARATIONS DE M. POINCARE
A LA PRESSE AMERICAINE. — M. Poin-
caré a fait un beau discours aux repré-
DES
eFA 1hE S, ÉTRANGÈRES
N° 2268
Vendredi 2 éfvrier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,lf:MAN1 - Les déclarations de AI.
poiiilcttré il la Presse américaine (Frank-
îiiïter Zeitung). — Les demandes d'en-
rôlement dans la Reichswehr (Kôlnis-
c/tc. v kszeîtimg).
PHEW *\t F D TAlNE- - Le rappel des troupes
T mnes de Rhénanie (New York
l'lllnUle). - Les possessions françaises
et brit
et bpjx niîiqUes aux Antilles: une pro-
P°sition -de. cession (New York Amerî-
can) -Les sociétés commerciales amé-
r'cai.np s en Chine (Neiv York Tribune).
IVoCr, ANGIA!TSE- — Les intérêts britanni-
queg /rj ai['! Chronivle). — La situation
à la r- 0n ence de Lausanne (Times,
j estmmsler Gazette). — Les intentions
du gouvernement d'Angora (Morning
post). Le règlement de la dette bri-
Mo- '; eenvers les Etats-Unis (Times,
A/oml POSl, Daillj Express).
(/1 BELGE. — L'occupation de la Ruhr
fin cUPlc): l'attitude de l'Italie (Soir).
ft EDOIsE. — L'occupation de la
ÎUihp 'ln article du baron von Lersner
(Storbh Dagblad).
blad).
POLITIQUE GENERALE
-
LES RÉPARATIONS
ù\ P CUPATION DE LA RUHR. -
.\nTICU: U BAR0N VON LERSNER. — Le
s(-'.rl\-ateu,. suédois (Stockholms
/»ljlljkd nuhl16 l'article suivant écrit par
La conférence de Paris a échoué à cause
e t te ellt et de l'obstination de Poin-
e
fL^ auX o,v^- 0®8 fran5aises jusqu'à ac-
de 1~ françaises jusqu'à l'ex-
être e lrn'te, Illats Poincaré tint à donner
de Il têtContre le mur. La conférence dut
v v oii^ 0lripue.
de Sa qUe Poincaré- veut maintenant agir
l'eSa ProB,06 initiative. Il essaie de nous
l'ex, un manquement volontaire à
S' l' On du traité de paix pour motiver
1, ce" ation de la Ruhr. Qu'une telle
em eri territoire allemand soit une vio-
sailles, -^'Gtto ., évidente de la paix de Ver-
as Ser
San6s' v°ilà ^e SUr quoi l'on semble vouloir
passer à Paris
oepen
8»PIe* Pénihi es Négociations), j'étais arrivé
teiiir fi 0S Puissances de l'Entente
s rpn "0?Cent officiellement à toute
ïim? Ve^o "lit officiellement à toute
décembre 1919, j' Ül confirmé cette renoncia-
tion il note suivante :
« Le gouvernement allemand prend con-
naissance du fait qu'il ne peut être question
de droit de contrainte militaire ou autre que
seulement jusqu'à l'époque où la paix sera
rétablie par l'entrée en vigueur du traité de
paix. »
En réponse à cela, je reçus la note sui-
vante de Clemenceau, qui était alors pré-
sident du Conseil Suprême :
« En ce qui concerne les mesures de sûre-
té, dont les puissances alliées espèrent évi-
ter l'application, vous pouvez retenir que si,
après le rétablissement de !a paix (10 jan-
vier 1920), il ne s'agit plus de l'application
de mesures de sûreté telles que la guerre
les entraîne, cependant, d'autre part, les
rues u ms spécialement définies dans ce trai-
té de paix recevront une rigoureuse exécu-
tion ainsi que les différentes manières de
procéder reconnues par 'le droit des gens. »
Nulle part dans le traité de Versailles il
n'est prévu pour les puissances de l'Entente
le droit de pénétrer en territoire allemand.
D'à même le droit des gens ignore tout droit
de pénétrer sur le territoire d'un Etat étran-
ger.
Ce n'est qu'à cette condition (que les puis-
sances de l'Entente renoncent à toute en-
trée ultérieure en territoire allemand) que
je me suis déclaré prêt à confirmer de ma
signature l'entrée en vigueur de la paix de
Versailles. C'est ce que savaient Clemen-
ceau, Dutasta, le maréchal Foch, les am-
bassadeurs de l'Entente et les membres du
Conseil Suprême. En effet, je n'ai pas laissé
de doute, sur ce point que je préférais quit-
ter Paris avec éclat (1) et rompre les négo-
ciations que de laisser la guerre se pour-
suivre encore durant la paix, en acceptant
l'éventualité d'une entrée en Allemagne.
En occupant le territoire de la Ruhr, la
France viole le traité de Versailles et le
droit des gens. On ne change rien à ce fait
par de bettes phrases.
Mais que M. Poincaré fasse attention.
Maintenant il a affaire à un gouvernement
allemand qui sait ce qu'il veut. Le chauve-
lier Cuno a montré, par le plan des répara-
tions qu'il a exposé à grands traits à Ham-
bourg le 31 décembre, des dispositions ex-
traordinairement accommodantes, mais
c'est son dernier mot. Le gouvernement
actuel est fermement décidé à employer
contre la politique française de violence, de
violation du droit, des traités et de la paix,
tous les moyens pacifiques qui pourront
être appliqués. Le Reichstag et le peuple
allemand tout entier sont derrière cette po-
litique. Cette unanimité là, nous n'avons
pas peu à en remercier M. Poincaré et ses
amis.
Que les gouvernants de la Seine, fassent
attention : un peuple unanime de 60 mil-
(1) En français dans le texte.
lions d'hommes ne peut être violenté à la
longue, car il y a des moyens pacifiques, je
répète en insistant sur « pacifiques », qui
sont à sa disposition et que la France de-
vrait, dans son propre intérêt, éviter de
voir employer par nous.
Les autres peuples devraient nous soute-
nir de toutes les façons. En effet, Poincaré
veut tout d'abord réunir sous sa mainmise
tous les bassins houillers du continent. Il a
déjà les mines polonaises à sa disposition
par son traité secret avec la Pologne. En-
suite Poincaré désagrégera et détruira
l'Empire allemand et le peuple; allemand.
Ces deux résultats ne peuvent qu'être nui-
sibles au reste du monde. — Von Lersner.
STOCKHOLMS DAGBLAD, 23.1.
PRESSE BELGE. — Après trois semaines
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lienne n'a toujours pas détourné un kilo-
gramme de charbon de la Ruhr vers les
pays occidentaux.
Les quantités extraites — 60 de la pro-
duction normale — sont envoyées exclusi-
vement en Allemagne.
S'il en était autrement, ce serait, dans les
mines, le chômage ou la grève.
La grève des transports en Rhénanie est
provoquée par les essais de détournements
de charbon provenant des mines des terri-
toires anciennement occupés.
Pendant ce temps, les mesures de force
continuent, accompagnées d'un bourrage de
crânes dont on trouvera ci-dessous la
preuve.
On ne parle plus de la mission Coste. Il
faut donc considérer que la situation est
toujours telle que me l'a dépeinte Waldherc-
ker, le second président de l'Union des mi-
neurs allemands. Pas un kilo de charbon
n'a quitté la Ruhr à destination des pays de
l'Entente. Tout le charbon extrait (60 de
l'extraction normale) est acheminé vers
l'Allemagne. Les seules quantités détour-
nées proviennent des régions anciennement
occupées, notamment des charbonnages en-
vironnant. Aix-la-Chapelle. Et chaque geste
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grève localisée, soit la grève perlée, ou au
sabotage. Ce qui prouve tout ceci encore,
c'est ce qui se passe actuellement, sur les
voies ferrées de la Rhénanie
Un ingénieur me disait hier soir que lui
et ses collègues, ayant frappé vainement à
toutes les portes, en sont réduits à rôder
autour des mines, dans l'espoir — puéril —
d'interroger un ouvrier, qui ne sait pas, ou
se moque d'eux.
PEUPLE [de Bruxelles], 31.1.
LES DECLARATIONS DE M. POINCARE
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