Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 janvier 1923 26 janvier 1923
Description : 1923/01/26 (T23,N2262). 1923/01/26 (T23,N2262).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239095s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
.,. Ministère
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2262
Vendredi 26 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P, allemande. — La. résistance alle-
mande (Erich Dombrowski dans Berli-
er Tagcblatt ; Morus dans Weltbûhn).
^Hl-.ssrAMÉRICAINE. - 'Les dettes des alliés :
Ine lettre de M. Otto Kahn (lYew York
rmes).
t:-'. ANGLAISE. - L'application des sanc-
;ons dans la zone britannique (Daily
l.etegl'aph, Times, Manchester Guar-
I Westminster Gazette). - La aTé-
stance allemande (Daily Trlegraplli.
~E ESPAGNOLE. - L'occupation de la
lluhr (Sol).
L,H ^E ITALIENNE. - L'attitude de l'Italie
• Wampa, Mondo, Epoca).
! POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
f)ltE:s?CC.UPATION DE LA RUHR. -
.,SEESP -
E ESPagnole- — Quant à nous, nous ne
s,,rrim es Pas germanophiles. Nous avons
i'ié e -tophiies. Nous continuons de l'être.
Aujo. 'r hui les Allemands supportent les
Sequen,ces de leurs propres actes. Ils
Í:\,(" u à l'efficacité du terrorisme. Ils ont
plus grands croyants de la cruelle
l'e -10 du terrorisme. Même en temps de
, Ils P t..
paix, i 8 Prétendaient amener les Français
ù ètr-g leurs arms par le moyen de la ter-
hililé"d Les Allemands croyaient à la possi-
hilitéd e conquérir l'amitié de la France par
rrLov11 la menace. Le résultat de cette
1 naturellement le plus opposé
~celui que les Allemands auraient désiré.
liens' fit, la France fut de resserrer les
rJit[¡t qui Unissaient à l'Angleterre. Pen-
! i a §uerre, les Allemands persistè-
sât n8 cette terrible erreur. Ils recouru-
X ^éthodes les plus féroces, con-
}^nCUscIu'ils étaient, qu'en agissant ainsi
]h arri^ neraient leurs ennemis à faire la
fllt qU e résultat de ces procédés terroristes
8 nomhre des nations qui leur dé-
1:1!:sp'Qcr la guerre allait en augmentant.
^sPawn 6 elle-même se serait vue dans
gaticn de faire la guerre à l'Allema-
(es paiement, §j on n'avait pas trouvé
S ens efficaces pour s'opposer à la
Il e sous-marine.
Peut, pas dire néanmoins que les
^0cédés ror'stes échouent dans tous les
aS" v a des peuples qui ne se laissent,
r que par la terreur. Peut-être le
peuple russe en fournit-il un exemple. Mais
ce qu'on peut affirmer c'est que les métho-
des terroristes échouent quand elles sont
employées contre des hommes éduqués à
surmonter la terreur.
Ces procédés échouèrent quand ils furent
employés contre les Français, soit dit à
l'honneur des Français. Il est probable
qu'ils échoueront, aussi, contre les Alle-
mands. Jusqu'ici, ils sont employés sans ré-
sultat. Réellement, il est extraordinaire
que des nations aussi cultivées que l'Alle-
magne et la France ne puissent pas se pla-
cer au-dessus de la loi d'alternance des ven-
geances qui, selon Hérodote, est la seule
qui régisse l'histoire des peuples. Indubi-
tablement, il doit exister une sagesse indé-
pendante du savoir scientifique que les
peuples scientifiques ignorent. Il est terri-
ble de penser que deux grands peuples,
comme les Français et les Allemands, se
méconnaissent jusqu'au point de croire,
chacun à leur tour, que les autres se laisse-
roi d terroriser par des procédés qui, appli-
qués contre eux, ne serviraient qu'à les
enflammer de colère et de rancœur.
SOL, 22.1.
L'APPLICATION DES SANCTIONS
DANS LA ZONE BRITANNIQUE. — On
apprend que la question des arrestations ef-
fectuées par nos alliés dans la zone britan-
nique a été abordée au cours d'une impor-
tante conversation entre le marquis de
Crewe et M. Poincaré. Après cet échange
amiral de vues, il n'est pas probable qu'une
initialive précipitée de l'extérieur vienne
placer à nouveau les autorités britanniques
de la zone de Cologne dans une situation
délicate. Par ailleurs, on ne voit pas com-
ment la présence de fonctionnaires alliés
dans les postes de douanes situés dans no-
tre zone pourrait amener des incidents fâ-
cheux. Malgré tout, il sera peut-être diffi-
cile à la longue de maintenir une stricte
attitude de neutralité.
Jusqu'à présent le gouvernement britan-
nique n'a pas manifesté la moindre inten-
tion de rappeler les troupes stationnées en
Rhénanie. Mais je crois que la notion cou-
ramment répandue en vertu de laquelle le
retrait des troupes constituerait une viola-
tion ou une répudiation du traité n'a aucun
fondement juridique Le traité confère aux
puissances alliées et associées le droit d'oc-
cuper certaines zones territoriales pendant
un laps de temps variable, mais c'est à elles
qu'il appartient exclusivement de détermi-
ner la nationalité et la répartition des trou-
pes. - (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 25.1.
- D'Essen, 24 janvier z Le correspondant du
Times à Essen signale que les déplacements
de troupes françaises s'effectuent vers l'Est ;
la « ligne de surveillance », récemment établie,
deviendrait une barrière douanière, protégée par
des forces importante. Du côté français, on dé-
clare s'attendre au déclenchement d'une grève
générale en manière de protestation contre le
jugement de Mayence, et on prétend que le mou-
vement est organisé par un comité allemand éta-
bli à Elberfeld : on a parlé aussi d'une grève
de fonctionnaires.
Je ne puis avoir du côté allemand aucune
confirmation de ces projets de grève géné-
rale. Il est certain que ce serait un acte de
pure folie au point de vue allemand. La
grève générale atteindrait surtout les terri-
toires occupés qu'elle priverait de leurs dis-
ponibilités en charbon et désorganiserait la
vie économique de la Ruhr.
On a prétendu, de source allemande, que les
troupes françaises, après avoir tenté d'occuper
la direction des chemins de fer de Cologne, ont
dû se retirer devant l'opposition des autorités
britanniques.
Je suis autorisé à démentir complètement
ce récit. Du côté français, on parait attacher
trop d'importance au fait que des troupes
britanniques étaient présentes, lors de l'ar-
restation du président du Landesfinanzamt
à Cologne par des gendarmes français. Il
importe. de déclarer nettement que nous
n'avons participé d'aucune manière à cette
arrestation. La présence de nos troupes
donnait seulement l'assurance aux Français
et aux Allemands que nous étions au cou-
rant de la procédure française et. que nous
n'élevions pas d'objection contre elle. Le gé-
néral Godley attend de nouvelles instruc-
tions de son gouvernement avant qu'il
puisse autoriser de nouvelles mesures d'ex-
pulsion et arrestation. La situation demeure
extrêmement délicate, mais nous pouvons
compter sans doute sur le tact des Français
pour ne pas précipiter la marche des évé-
nements.
TIMES, 25.1.
« POURQUOI SOMMES-NOUS A COLOGNE ? »
[Sous ce titre]. — * Selon toute apparence
on fait servir les troupes britanniques de
Cologne à tirer les marrons du feu pour
les Français. Le gouvernement britanni-
que a marqué sa désapprobation quant à
l'occupation de la Ruhr et nous pensons que
cette occupation est envisagée avec aver-
sion par la plupart des Anglais. S'il avait
existé un moyen efficace de s'opposer à
l'action des Français, le pays se serait
montré beaucoup moins tolérant à l'égard
de la politique de neutralité adoptée par
M. Bonar Law. Comme il ne disposait d'au-
cun moyen de résistance efficace, on dut
reconnaître qu'il ne pouvait faire plus que
d'observer la neutralité. Mais on ne pou-
vait pas supposer qu'il tolérerait que cette
neutralité pût servir à masquer un appui
donné aux projets des Français. Si les
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2262
Vendredi 26 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
P, allemande. — La. résistance alle-
mande (Erich Dombrowski dans Berli-
er Tagcblatt ; Morus dans Weltbûhn).
^Hl-.ssrAMÉRICAINE. - 'Les dettes des alliés :
Ine lettre de M. Otto Kahn (lYew York
rmes).
t:-'. ANGLAISE. - L'application des sanc-
;ons dans la zone britannique (Daily
l.etegl'aph, Times, Manchester Guar-
I Westminster Gazette). - La aTé-
stance allemande (Daily Trlegraplli.
~E ESPAGNOLE. - L'occupation de la
lluhr (Sol).
L,H ^E ITALIENNE. - L'attitude de l'Italie
• Wampa, Mondo, Epoca).
! POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
f)ltE:s?CC.UPATION DE LA RUHR. -
.,SEESP -
E ESPagnole- — Quant à nous, nous ne
s,,rrim es Pas germanophiles. Nous avons
i'ié e -tophiies. Nous continuons de l'être.
Aujo. 'r hui les Allemands supportent les
Sequen,ces de leurs propres actes. Ils
Í:\,(" u à l'efficacité du terrorisme. Ils ont
plus grands croyants de la cruelle
l'e -10 du terrorisme. Même en temps de
, Ils P t..
paix, i 8 Prétendaient amener les Français
ù ètr-g leurs arms par le moyen de la ter-
hililé"d Les Allemands croyaient à la possi-
hilitéd e conquérir l'amitié de la France par
rrLov11 la menace. Le résultat de cette
1 naturellement le plus opposé
~celui que les Allemands auraient désiré.
liens' fit, la France fut de resserrer les
rJit[¡t qui Unissaient à l'Angleterre. Pen-
! i a §uerre, les Allemands persistè-
sât n8 cette terrible erreur. Ils recouru-
X ^éthodes les plus féroces, con-
}^nCUscIu'ils étaient, qu'en agissant ainsi
]h arri^ neraient leurs ennemis à faire la
fllt qU e résultat de ces procédés terroristes
8 nomhre des nations qui leur dé-
1:1!:sp'Qcr la guerre allait en augmentant.
^sPawn 6 elle-même se serait vue dans
gaticn de faire la guerre à l'Allema-
(es paiement, §j on n'avait pas trouvé
S ens efficaces pour s'opposer à la
Il e sous-marine.
Peut, pas dire néanmoins que les
^0cédés ror'stes échouent dans tous les
aS" v a des peuples qui ne se laissent,
r que par la terreur. Peut-être le
peuple russe en fournit-il un exemple. Mais
ce qu'on peut affirmer c'est que les métho-
des terroristes échouent quand elles sont
employées contre des hommes éduqués à
surmonter la terreur.
Ces procédés échouèrent quand ils furent
employés contre les Français, soit dit à
l'honneur des Français. Il est probable
qu'ils échoueront, aussi, contre les Alle-
mands. Jusqu'ici, ils sont employés sans ré-
sultat. Réellement, il est extraordinaire
que des nations aussi cultivées que l'Alle-
magne et la France ne puissent pas se pla-
cer au-dessus de la loi d'alternance des ven-
geances qui, selon Hérodote, est la seule
qui régisse l'histoire des peuples. Indubi-
tablement, il doit exister une sagesse indé-
pendante du savoir scientifique que les
peuples scientifiques ignorent. Il est terri-
ble de penser que deux grands peuples,
comme les Français et les Allemands, se
méconnaissent jusqu'au point de croire,
chacun à leur tour, que les autres se laisse-
roi d terroriser par des procédés qui, appli-
qués contre eux, ne serviraient qu'à les
enflammer de colère et de rancœur.
SOL, 22.1.
L'APPLICATION DES SANCTIONS
DANS LA ZONE BRITANNIQUE. — On
apprend que la question des arrestations ef-
fectuées par nos alliés dans la zone britan-
nique a été abordée au cours d'une impor-
tante conversation entre le marquis de
Crewe et M. Poincaré. Après cet échange
amiral de vues, il n'est pas probable qu'une
initialive précipitée de l'extérieur vienne
placer à nouveau les autorités britanniques
de la zone de Cologne dans une situation
délicate. Par ailleurs, on ne voit pas com-
ment la présence de fonctionnaires alliés
dans les postes de douanes situés dans no-
tre zone pourrait amener des incidents fâ-
cheux. Malgré tout, il sera peut-être diffi-
cile à la longue de maintenir une stricte
attitude de neutralité.
Jusqu'à présent le gouvernement britan-
nique n'a pas manifesté la moindre inten-
tion de rappeler les troupes stationnées en
Rhénanie. Mais je crois que la notion cou-
ramment répandue en vertu de laquelle le
retrait des troupes constituerait une viola-
tion ou une répudiation du traité n'a aucun
fondement juridique Le traité confère aux
puissances alliées et associées le droit d'oc-
cuper certaines zones territoriales pendant
un laps de temps variable, mais c'est à elles
qu'il appartient exclusivement de détermi-
ner la nationalité et la répartition des trou-
pes. - (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 25.1.
- D'Essen, 24 janvier z Le correspondant du
Times à Essen signale que les déplacements
de troupes françaises s'effectuent vers l'Est ;
la « ligne de surveillance », récemment établie,
deviendrait une barrière douanière, protégée par
des forces importante. Du côté français, on dé-
clare s'attendre au déclenchement d'une grève
générale en manière de protestation contre le
jugement de Mayence, et on prétend que le mou-
vement est organisé par un comité allemand éta-
bli à Elberfeld : on a parlé aussi d'une grève
de fonctionnaires.
Je ne puis avoir du côté allemand aucune
confirmation de ces projets de grève géné-
rale. Il est certain que ce serait un acte de
pure folie au point de vue allemand. La
grève générale atteindrait surtout les terri-
toires occupés qu'elle priverait de leurs dis-
ponibilités en charbon et désorganiserait la
vie économique de la Ruhr.
On a prétendu, de source allemande, que les
troupes françaises, après avoir tenté d'occuper
la direction des chemins de fer de Cologne, ont
dû se retirer devant l'opposition des autorités
britanniques.
Je suis autorisé à démentir complètement
ce récit. Du côté français, on parait attacher
trop d'importance au fait que des troupes
britanniques étaient présentes, lors de l'ar-
restation du président du Landesfinanzamt
à Cologne par des gendarmes français. Il
importe. de déclarer nettement que nous
n'avons participé d'aucune manière à cette
arrestation. La présence de nos troupes
donnait seulement l'assurance aux Français
et aux Allemands que nous étions au cou-
rant de la procédure française et. que nous
n'élevions pas d'objection contre elle. Le gé-
néral Godley attend de nouvelles instruc-
tions de son gouvernement avant qu'il
puisse autoriser de nouvelles mesures d'ex-
pulsion et arrestation. La situation demeure
extrêmement délicate, mais nous pouvons
compter sans doute sur le tact des Français
pour ne pas précipiter la marche des évé-
nements.
TIMES, 25.1.
« POURQUOI SOMMES-NOUS A COLOGNE ? »
[Sous ce titre]. — * Selon toute apparence
on fait servir les troupes britanniques de
Cologne à tirer les marrons du feu pour
les Français. Le gouvernement britanni-
que a marqué sa désapprobation quant à
l'occupation de la Ruhr et nous pensons que
cette occupation est envisagée avec aver-
sion par la plupart des Anglais. S'il avait
existé un moyen efficace de s'opposer à
l'action des Français, le pays se serait
montré beaucoup moins tolérant à l'égard
de la politique de neutralité adoptée par
M. Bonar Law. Comme il ne disposait d'au-
cun moyen de résistance efficace, on dut
reconnaître qu'il ne pouvait faire plus que
d'observer la neutralité. Mais on ne pou-
vait pas supposer qu'il tolérerait que cette
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