Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 janvier 1923 23 janvier 1923
Description : 1923/01/23 (T23,N2259). 1923/01/23 (T23,N2259).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239092j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFPALRES ÉTRANGÈRES
N°2259
Mardi 23 janvier 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE t '1
L ALLEMANDE. - La résistance alle-
i e)m dans Vorivïierls, Georg. Bernhard
(lns A ossische Zeitung). — Allemagne,
POlogne et Russie (Berliner Börsen-
COUrier).
, ,E ANGLAISE. — L'occupation de la
, ulir (Outlook, Manchester Guardian,
$server, George Renwick dans Daily
* y-onicle). — La mission die M. Bald-
'Ln aux Etats-Unis (Westminster Ga-
:,C'tte).
-, ,..E BELGE. — L'occupation de la Ruhr
(SSe Siècle, Standard, Flandre Libé-
ra - j p, Emile Vandervekle dans Peuple ;
Neptune).
pp^SE ESPAGNOLE. — L'occupation de la
uhr (Ileraldo de Madrid, Sol).
•SSE ITALIENNE. -,- L'attitude de l'Italie
(Gillrnale d'Italia, Corriere della Sera,
Mampa).
"SE ROUMAINE.. — L'occupation de la
RUhr (lndppenrlancc Roumaine, Pairia
j1 niversul).
PütJTIQUE GENERALE
POLITIQUE GENERALE
; LES RÉPARATIONS
? t'Oc'CUPATIO DE LA RUHR. -
dun ,- .\NCLAISE. - Sons le titre : « Le Ver-
dun économique ». — Nous sommes réduits
à Pen Ique ». - ~O'LlS sommes re Ul'S
ô pen Ser que .les mobiles auxquels obéit la
[•'r;tnce S0T1t en partie d'ordre politique. S'at-
1,11, , UTle natkm désarmée, si criminelle
il , it sa conduite récente, dans le des-
l'sI. une Plonger tout un peuple dans la ruine
1 ri 5este: qui répugne au sentiment bri-
e en même temps qu'il menace d'un
désastre les intérêts de la Grande-Bretagne,
lui,} m^dent avant tout, la reconstruction
o| i
P) ; ~'x. Que dire, d'ailleurs des visées
hire') r?lales. de la France dans cette af-
faire Nous avons tout lieu de croire qu'un
%nem
Projet inavoué est d'extirper aux
industriels allemands, en guise de répara-
a majorité des actions des grandes
entreprises minières 'et métallurgiques de
la Ruhr ; ces actions seraient vendues par
la suite, à des prix très bas aux maîtres de
forges de la Lorraine qui s'assureraient
ainsi la possession a la fois de la plus
grande partie du fer de l'Europe et le char-
bon séparés actuellement par des frontiè-
res, mais qui; une fois réunis, constitueront
une arme militaire invincible en temps de
guerre, et en temps de paix un monopole
européen capable de ruiner L'industrie du
fer et de l'acier en Angleterre. C'est là le
seul mobile économique sérieux et peut-être
efficace que nous puissions discerner au
milieu du fatras de mensonges et de sophis-
mes publiés à Paris afin d'égarer l'opinion.
v Pendant ce temps le gouvernement bri-
tannique continue de se tenir à l'écart. Il
n'y a pas autre chose à faire. Nous devons
rester dans l'expectative, attendre notre
heure, persuadés qu'en fin de compte ce
sera à la Grande-Bretagne, avec l'appui de
l'Amérique et de la plus grande partie de
d'Europe qu'incombera la tâche d'intervenir.
Nous ne pouvons tolérer indéfiniment la si-
tuation actuelle. Si elle devait durer six
mois seulement, nos industries se trouve-
raient ramenées en mettant les choses au
mieux, aux jours les plus sombres de 1921 ;
et s'il devait arriver le pire, nous nous trou-
verions engagés dans une guerre en
Orient, sinon plus près de chez nous, car
déjà les répercussions des événements de
la Ruhr commencent à ébranler les fonde-
ments de la paix dans des pays lointains.
L'Italie, dont la défection a été pour nous un
coup dur à Paris, a déjà changé de camp ;
les neutres européens nous supplient tous
de mettre fin à cette monstrueuse insanité.
Le moment n'est pas venu. Nos armes sont
terribles, mais nous voulons espérer que
nous ne nous verrons pas dans la nécessité
de nous en servir ; la stabilité financière de
la France n'intéresse pas moins le reste du
monde que la reconstitution de l'Allemagne.
Et les effets immédiats sur nos propres
marchés et sur notre propre système indus-
triels seront désagréables, si jamais nous
sommes obligés de retirer l'appui que Lon-
dres et New-York ont prêté au crédit de la
France, appui à défaut duquel ce crédit ne
saurait subsister, ni la République française
demeurer une grande puissance. — (Ed.)
OUTLOOK [de Londres, hebdom.], 20.1.
— Après avoir indiqué que selon toute appa-
rence le but de M. Poincaré est de détacher la
Ruhr du reste de l'Allemagne, le Manchester
Guardian écrit :
Si les Français ont quelque chance de pré-
server la Ruhr de la décomposition écono-
mique et sociale, ce ne peut être que sous
une administration politique et économique
française et non pas allemande. Est-il tout à
fait inadmissible de supposer que M. Poin-
caré, en voyant s'évanouir l'espoir d'obtenir
les réparations qui constituaient son but es-
sentiel, pourrait s'efforcer de perpétuer un
système qui offrirait pour lui tant d'avanta-
ges ! Il n'aurait pas besoin de crier sur leç;:
toits ses projets d'annexion ; il pourrait par-
ler délicatement, comme le fait M. Dariac,
d'un Etat autonome St UÔ la protection de la
France.
Si cette situation se produisait, ou m,>\m"
quelque chose d'approchant, que ferait le
gouvernement anglais ? Pourrait-il se con-
tenter d'observer les événements et d'atten-
dre que la révolte contre une dictature de
la France en Europe ait produit son résul-
tat inévitable qui est la guerre ? Le gouver-
nement anglais a déclaré sa neutralité. Et,
au point où en sont encore les choses, la
neutralité suffit. Mais pourra-t-il se permet-
tre de rester neutre à jamais, et dans tou-
tes les circonstances ? S'il nous était possi-
ble de trancher les liens qui nous unissent
à l'Europe, il serait assez agréable de fer-
mer les yeux sur les ennuis de nos voisins
et de poursuivre paisiblement notre chemin.
Agréable, mais non héroïque. Et d'ail-
leurs si agréable que cela puisse paraître,
ce n'est pas possible. Alors que l'Améri-
que elle-même se voit attirée, qu'elle le
veuille ou non, dans le tourbillon. l'Angle-
terre ne saurait l'éviter complètement. Et
surtout l'Angleterre ne peut pas envisager
avec indifférence un groupement continen-
tal de forces politiques, militaires et écono-
miques qui ne manquerait pas d'amener les
nations plus faibles à se combiner contre
lui et finalement à l'attaquer. Que cette
tentative aboutisse à un échec ou qu'elle
réussisse momentanément, une occupation
permanente de la Ruhr et de la Rhénanie
par la France serait désastreuse pour nous,
comme pour le continent. Il est temps que
le gouvernement anglais examine soigneu-
sement les mesures à prendre pour empê-
cher qu'il se produise une situation où la
neutralité ne serait, plus de mise. Tout au
moins devrait-il s'assurer si une entente
complète avec l'Amérique est possible dès
à présent, ou si eUe ne le sera pas aussitôt
que la question de la dette sera liquidée.
L'opinion américaine S'est modifiée si na-
pidement qu'il redevient intéressant de se
demander s'il serait possible de faire,enirer
les Etats-Unis dans la Société des nations
et dans ce cas sous quelles conditions. S'ils
ne peuvent encore donner leur adhésion
entière, consentiraient-ils du moins à prê-
ter leur appui au mécanisme spécial que
pourrait créer la Société en vue-de régler
le conflit franco-allemand ? Et de quel
genre de mécanisme la Société peut-elle
faire l'usage le plus efficace ? Enfin, si la
DES
AFPALRES ÉTRANGÈRES
N°2259
Mardi 23 janvier 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE t '1
L ALLEMANDE. - La résistance alle-
i
(lns A ossische Zeitung). — Allemagne,
POlogne et Russie (Berliner Börsen-
COUrier).
, ,E ANGLAISE. — L'occupation de la
, ulir (Outlook, Manchester Guardian,
$server, George Renwick dans Daily
* y-onicle). — La mission die M. Bald-
'Ln aux Etats-Unis (Westminster Ga-
:,C'tte).
-, ,..E BELGE. — L'occupation de la Ruhr
(SSe Siècle, Standard, Flandre Libé-
ra - j p, Emile Vandervekle dans Peuple ;
Neptune).
pp^SE ESPAGNOLE. — L'occupation de la
uhr (Ileraldo de Madrid, Sol).
•SSE ITALIENNE. -,- L'attitude de l'Italie
(Gillrnale d'Italia, Corriere della Sera,
Mampa).
"SE ROUMAINE.. — L'occupation de la
RUhr (lndppenrlancc Roumaine, Pairia
j1 niversul).
PütJTIQUE GENERALE
POLITIQUE GENERALE
; LES RÉPARATIONS
? t'Oc'CUPATIO DE LA RUHR. -
dun ,- .\NCLAISE. - Sons le titre : « Le Ver-
dun économique ». — Nous sommes réduits
à Pen Ique ». - ~O'LlS sommes re Ul'S
ô pen Ser que .les mobiles auxquels obéit la
[•'r;tnce S0T1t en partie d'ordre politique. S'at-
1,11, , UTle natkm désarmée, si criminelle
il , it sa conduite récente, dans le des-
l'sI. une Plonger tout un peuple dans la ruine
1 ri 5este: qui répugne au sentiment bri-
e en même temps qu'il menace d'un
désastre les intérêts de la Grande-Bretagne,
lui,} m^dent avant tout, la reconstruction
o| i
P) ; ~'x. Que dire, d'ailleurs des visées
hire') r?lales. de la France dans cette af-
faire Nous avons tout lieu de croire qu'un
%nem
Projet inavoué est d'extirper aux
industriels allemands, en guise de répara-
a majorité des actions des grandes
entreprises minières 'et métallurgiques de
la Ruhr ; ces actions seraient vendues par
la suite, à des prix très bas aux maîtres de
forges de la Lorraine qui s'assureraient
ainsi la possession a la fois de la plus
grande partie du fer de l'Europe et le char-
bon séparés actuellement par des frontiè-
res, mais qui; une fois réunis, constitueront
une arme militaire invincible en temps de
guerre, et en temps de paix un monopole
européen capable de ruiner L'industrie du
fer et de l'acier en Angleterre. C'est là le
seul mobile économique sérieux et peut-être
efficace que nous puissions discerner au
milieu du fatras de mensonges et de sophis-
mes publiés à Paris afin d'égarer l'opinion.
v Pendant ce temps le gouvernement bri-
tannique continue de se tenir à l'écart. Il
n'y a pas autre chose à faire. Nous devons
rester dans l'expectative, attendre notre
heure, persuadés qu'en fin de compte ce
sera à la Grande-Bretagne, avec l'appui de
l'Amérique et de la plus grande partie de
d'Europe qu'incombera la tâche d'intervenir.
Nous ne pouvons tolérer indéfiniment la si-
tuation actuelle. Si elle devait durer six
mois seulement, nos industries se trouve-
raient ramenées en mettant les choses au
mieux, aux jours les plus sombres de 1921 ;
et s'il devait arriver le pire, nous nous trou-
verions engagés dans une guerre en
Orient, sinon plus près de chez nous, car
déjà les répercussions des événements de
la Ruhr commencent à ébranler les fonde-
ments de la paix dans des pays lointains.
L'Italie, dont la défection a été pour nous un
coup dur à Paris, a déjà changé de camp ;
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de mettre fin à cette monstrueuse insanité.
Le moment n'est pas venu. Nos armes sont
terribles, mais nous voulons espérer que
nous ne nous verrons pas dans la nécessité
de nous en servir ; la stabilité financière de
la France n'intéresse pas moins le reste du
monde que la reconstitution de l'Allemagne.
Et les effets immédiats sur nos propres
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sommes obligés de retirer l'appui que Lon-
dres et New-York ont prêté au crédit de la
France, appui à défaut duquel ce crédit ne
saurait subsister, ni la République française
demeurer une grande puissance. — (Ed.)
OUTLOOK [de Londres, hebdom.], 20.1.
— Après avoir indiqué que selon toute appa-
rence le but de M. Poincaré est de détacher la
Ruhr du reste de l'Allemagne, le Manchester
Guardian écrit :
Si les Français ont quelque chance de pré-
server la Ruhr de la décomposition écono-
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une administration politique et économique
française et non pas allemande. Est-il tout à
fait inadmissible de supposer que M. Poin-
caré, en voyant s'évanouir l'espoir d'obtenir
les réparations qui constituaient son but es-
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ges ! Il n'aurait pas besoin de crier sur leç;:
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ler délicatement, comme le fait M. Dariac,
d'un Etat autonome St UÔ la protection de la
France.
Si cette situation se produisait, ou m,>\m"
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gouvernement anglais ? Pourrait-il se con-
tenter d'observer les événements et d'atten-
dre que la révolte contre une dictature de
la France en Europe ait produit son résul-
tat inévitable qui est la guerre ? Le gouver-
nement anglais a déclaré sa neutralité. Et,
au point où en sont encore les choses, la
neutralité suffit. Mais pourra-t-il se permet-
tre de rester neutre à jamais, et dans tou-
tes les circonstances ? S'il nous était possi-
ble de trancher les liens qui nous unissent
à l'Europe, il serait assez agréable de fer-
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et de poursuivre paisiblement notre chemin.
Agréable, mais non héroïque. Et d'ail-
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ce n'est pas possible. Alors que l'Améri-
que elle-même se voit attirée, qu'elle le
veuille ou non, dans le tourbillon. l'Angle-
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surtout l'Angleterre ne peut pas envisager
avec indifférence un groupement continen-
tal de forces politiques, militaires et écono-
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réussisse momentanément, une occupation
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comme pour le continent. Il est temps que
le gouvernement anglais examine soigneu-
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neutralité ne serait, plus de mise. Tout au
moins devrait-il s'assurer si une entente
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à présent, ou si eUe ne le sera pas aussitôt
que la question de la dette sera liquidée.
L'opinion américaine S'est modifiée si na-
pidement qu'il redevient intéressant de se
demander s'il serait possible de faire,enirer
les Etats-Unis dans la Société des nations
et dans ce cas sous quelles conditions. S'ils
ne peuvent encore donner leur adhésion
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ter leur appui au mécanisme spécial que
pourrait créer la Société en vue-de régler
le conflit franco-allemand ? Et de quel
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