Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 janvier 1923 20 janvier 1923
Description : 1923/01/20 (T23,N2257). 1923/01/20 (T23,N2257).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239090q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
, N° 2257
Samedi 20 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
SOMMAIRE
E '^LEMANDE. - La résistance de l'Al-
J eiïiagne (Rheini\sch-Westfalische Zei-
lbarbons : les dossiers de l'impôt, de
y (Rote Fahne, Rheinisch-Westfâ-
lische Zeitung). — Nouvelles déclara-
ions de M. Pinkerneil (Zeit). — Les
rnanœuvires nationalistes en Bavière
mania).
ESSE ANGLAISE. - L'occupation de la Ruhr
■ -/"nchester Guardian, Times, Daily
: hronicle, Dailu Herald). — Les socia-
list-es allemands et le cabinet Cuno
i (DailU Téelegraph). — Les rapports ger-
mano-polonais (Daily Telegraph).
PRESSE ESPAGNOLE. — L'occupation de la
Ftuhr (Cesar Falcon dans Liberal).
RESSE HOLLANDAISE. - L'occupation de la
Ftuhr (J. de Louter dans Algemeen Han-
delsblad).
---- ————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
1^°CGUPATION DE LA RUHR. —
eSSE glaise. — D'une manière géné-
rele, les journaux anglais, avec plus ou
dls de bienveillance selon leurs tendan-
tes respectil'eli insistent sur les difficultés
kc} nIques et politiques auxquelles doit se
: et/rter la France dans la Ruhr :
-le titre Il De mal en pis » — Les
.> espéraient, contraindre le gouver-
r,ern ent allemand, les capitalistes et les ou-
v
i a Poursuivre leur effort industriel
par les moyens habituels et sous réserve de
leur ln?Poser certaines directives générales.
PC)rte e Us d'obéissance de la part de n'im-
Gbliu lequel de ces trois éléments suffit à
CQniser les Français à établir tout un mé-
canisme compliqué de contrôle industriel
aire- Jusqu'ici, seuls le gouverne-
et les capitalistes ont opposé de la ré-
raCe- mais les dispositions des ouvriers
som 1ranchornent mauvaises et les Fran-
Peuveint compter qu'une fois, mis en
marche, e,. leur mécanisme, fonctionnera avec
Pa.rtie^Ximilm de frottement dans toutes ses
POint d' la perspective immédiate et, du
Das de vue économique, elle ne pouvait
Pas se présenter plus mal. Il est encore
possible, bien entendu, que, par la corrup-
tion ou les menaces, les Français puissent
amener le gouvernement allemand, les ca-
pitalistes et les ouvriers à poursuivre leur
industrie comme à l'ordinaire. C'est ce que
l'on peut espérer de mieux. Les mineurs se
préoccupent surtout de leurs salaires, que
les Français se proposent de payer. M.
Stinnes voudrait conclure un arrangement
avec les métallurgistes de la Lorraine, et
le gouvernement allemand craindrait beau-
coup de voir arrêter les fournitures de char-
bon faites par la Ruhr aux autres parties
de l'Allemagne. Il n'est pas encore certain,
d'ailleurs, qu'il ne puisse intervenir un ar-
rangement de ce genre, mais cela devient
de moins en moins probable. Il ne produi-
rait pas des réparations importantes, mais
il ne manque pas de gens qui estiment que
cet arrangement ne serait pas complète-
ment improductif.
Quand les Français auront surmonté les
difficultés techniques de la surveillance, il
est possible qu'aui bout d'une année, par
exemple, ils aient quelque chose à montrer
en échange, mais cet espoir lui-même com-
mence à s'amoindrir. Est-il vraiment pos-
sible d'admettre que l'occupation militaire
de la Ruhr puisse durer toute une année
sans entraîner des conséquences politi-
ques sérieuses ? L'occupation de la, Rhéna-
nie ne fournit pas un précédent valable.
Elle s'est effectuée aux termes du traité,
par l'action concertée de tous les alliés, et
sans provoquer aucun sentiment d'injus-
tice intolérable. La Rhénanie, d'ailleurs,
n'est pas aussi essentiellement liée que la
Ruhr aux autres parties de l'Allemagne. H
est manifeste, déjà, que l'occupation de la
Ruhr a éveillé des sentiments très violents
et que de jour en jour, à mesure qu'elle
continue, elle excite des passions que ne
pourra refréner, d'une manière perma-
nente, aucune considération de prudence.
Nul ne peut dire quelle forme politique
prendra cette agitation, ni jusqu'où elle
s'étendra. On parle déjà d'une recrudes-
cence très active de la propagande bolche-
viste et l'on constate de toutes parts l'accu-
mulation d'éléments de violence et de dé-
sordre. Les Français ont déjà été entraînés
fort loin dans la voie des représailles, les-
quelles à leur tour donneront lieu à une
forme de résistance plus violente et à la
nécessité d'une répression encore plus
sévère. L'occupation a déjà eu pour effet
de les enfermer dans le cercle vicieux que
nous connaissons si bien, et où la vio-
lence engendre la violence. Le commande-
ment français dispose de forces puissan-
tes, qui suffiraient à vaincre une armée
beaucoup plus grande que l'Allemagne
n'aurait la moindre Chance de leur oppo-
ser, mais qui ne suffirait pas nécessai-
rement à étouffer une agitation politique
répandue parmi des milliers de gens ani-
més par lacrainte, la haine et le désir de
se venger. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 17.1.
- Sous le titre : « Résistance passive ». —
Aucune des cartes jouées jusqu'ici dans la
Ruhr n'a été une carte maltresse. Dans
cette lutte entre 40.000 soldats et une nation
qui pratique une résistance passive — sans
être passive à l'excès — ce ne sont pas les
soldats qui l'emportent jusqu'à présent.
Mais la résistance passive est un jeu très
difficile à jouer. Pour atteindre son but, ce
jeu exige de la forme d'âme, l'appui général.
sinon unanime, du pays et de fortes convic-
tions morales. L'Allemagne n'est pas, à
l'heure actuelle, un pays fermement uni.
Elle est en proie à des divisions politiques
qui embarrassent et affaiblissent le gouver-
nement et elle a le défaut commun de tous
les Etats fédérés de prêter le flanc au sépa-
ratisme.
Si le gouvernement allemand est disposé,
comme il semble l'être, à demander à toutes
les classes de ses nationaux un loyalisme
et une obéissance de tous les instants et si
la confiance qu'il repose en leur loyalisme
est méritée, la résistance passive est un jeu
qui est non seulement sûr de gagner, mais
qui est assez facile à jouer. Il est même si
facile que l'on peut craindre qu'il n'ait été
entrepris sans préparation suffisante. A
quoi s'attend, au juste, le gouvernement al-
lemand ? Il peut arriver, si ses ordres sont
exécutés, que les industries de la Ruhr
soient désorganisées plus complètement et
plus vite qu'il n'eût été nécessaire autre-
ment : que les difficultés de la France soient
multipliées et que l'occupation devienne
une lourde charge au point de vue finan-
cier. Mais si le gouvernement allemand
s'imagine qu'une démonstration aussi con-
cluante de la futilité de la politique fran-
çaise provoquera une intervention active de
l'Angleterre ou de l'Amérique, il est à peu
près certain qu'il se trompe. L'Angle-
terre et l'Amérique ne, peuvent rien
faire jusqu'à ce que la France ait elle-
même reconnue son erreur et qu'elle se
montre disposée à envisager des méthodes
nouvelles. Tant qu'elle pourra dire que
l'échec de sa politique est dû au mauvais
vouloir des Allemands. il y a toute chance
pour qu'elle cherche à venir à bout de ce
mauvais vouloir par la force et en appli-
quant des mesures de répression de plus
en plus violentes. Nul ne peut prévoir la
fin de cette manière d'agir. S'il avait été
donné à la France l'occasion de se rendre
compte que même dans les circonstances
les plus favorables elle ne pourrait pas
tirer de la Ruhr la dixième partie de ce
qu'elle revendique au titre des réparations,
la lumière se serait peut-être faite plus ra-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
1
, N° 2257
Samedi 20 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
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SOMMAIRE
E '^LEMANDE. - La résistance de l'Al-
J eiïiagne (Rheini\sch-Westfalische Zei-
l
y (Rote Fahne, Rheinisch-Westfâ-
lische Zeitung). — Nouvelles déclara-
ions de M. Pinkerneil (Zeit). — Les
rnanœuvires nationalistes en Bavière
mania).
ESSE ANGLAISE. - L'occupation de la Ruhr
■ -/"nchester Guardian, Times, Daily
: hronicle, Dailu Herald). — Les socia-
list-es allemands et le cabinet Cuno
i (DailU Téelegraph). — Les rapports ger-
mano-polonais (Daily Telegraph).
PRESSE ESPAGNOLE. — L'occupation de la
Ftuhr (Cesar Falcon dans Liberal).
RESSE HOLLANDAISE. - L'occupation de la
Ftuhr (J. de Louter dans Algemeen Han-
delsblad).
---- ————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
1^°CGUPATION DE LA RUHR. —
eSSE glaise. — D'une manière géné-
rele, les journaux anglais, avec plus ou
dls de bienveillance selon leurs tendan-
tes respectil'eli insistent sur les difficultés
kc} nIques et politiques auxquelles doit se
: et/rter la France dans la Ruhr :
-le titre Il De mal en pis » — Les
.> espéraient, contraindre le gouver-
r,ern ent allemand, les capitalistes et les ou-
v
i a Poursuivre leur effort industriel
par les moyens habituels et sous réserve de
leur ln?Poser certaines directives générales.
PC)rte e Us d'obéissance de la part de n'im-
Gbliu lequel de ces trois éléments suffit à
CQniser les Français à établir tout un mé-
canisme compliqué de contrôle industriel
aire- Jusqu'ici, seuls le gouverne-
et les capitalistes ont opposé de la ré-
raCe- mais les dispositions des ouvriers
som 1ranchornent mauvaises et les Fran-
Peuveint compter qu'une fois, mis en
marche, e,. leur mécanisme, fonctionnera avec
Pa.rtie^Ximilm de frottement dans toutes ses
POint d' la perspective immédiate et, du
Das de vue économique, elle ne pouvait
Pas se présenter plus mal. Il est encore
possible, bien entendu, que, par la corrup-
tion ou les menaces, les Français puissent
amener le gouvernement allemand, les ca-
pitalistes et les ouvriers à poursuivre leur
industrie comme à l'ordinaire. C'est ce que
l'on peut espérer de mieux. Les mineurs se
préoccupent surtout de leurs salaires, que
les Français se proposent de payer. M.
Stinnes voudrait conclure un arrangement
avec les métallurgistes de la Lorraine, et
le gouvernement allemand craindrait beau-
coup de voir arrêter les fournitures de char-
bon faites par la Ruhr aux autres parties
de l'Allemagne. Il n'est pas encore certain,
d'ailleurs, qu'il ne puisse intervenir un ar-
rangement de ce genre, mais cela devient
de moins en moins probable. Il ne produi-
rait pas des réparations importantes, mais
il ne manque pas de gens qui estiment que
cet arrangement ne serait pas complète-
ment improductif.
Quand les Français auront surmonté les
difficultés techniques de la surveillance, il
est possible qu'aui bout d'une année, par
exemple, ils aient quelque chose à montrer
en échange, mais cet espoir lui-même com-
mence à s'amoindrir. Est-il vraiment pos-
sible d'admettre que l'occupation militaire
de la Ruhr puisse durer toute une année
sans entraîner des conséquences politi-
ques sérieuses ? L'occupation de la, Rhéna-
nie ne fournit pas un précédent valable.
Elle s'est effectuée aux termes du traité,
par l'action concertée de tous les alliés, et
sans provoquer aucun sentiment d'injus-
tice intolérable. La Rhénanie, d'ailleurs,
n'est pas aussi essentiellement liée que la
Ruhr aux autres parties de l'Allemagne. H
est manifeste, déjà, que l'occupation de la
Ruhr a éveillé des sentiments très violents
et que de jour en jour, à mesure qu'elle
continue, elle excite des passions que ne
pourra refréner, d'une manière perma-
nente, aucune considération de prudence.
Nul ne peut dire quelle forme politique
prendra cette agitation, ni jusqu'où elle
s'étendra. On parle déjà d'une recrudes-
cence très active de la propagande bolche-
viste et l'on constate de toutes parts l'accu-
mulation d'éléments de violence et de dé-
sordre. Les Français ont déjà été entraînés
fort loin dans la voie des représailles, les-
quelles à leur tour donneront lieu à une
forme de résistance plus violente et à la
nécessité d'une répression encore plus
sévère. L'occupation a déjà eu pour effet
de les enfermer dans le cercle vicieux que
nous connaissons si bien, et où la vio-
lence engendre la violence. Le commande-
ment français dispose de forces puissan-
tes, qui suffiraient à vaincre une armée
beaucoup plus grande que l'Allemagne
n'aurait la moindre Chance de leur oppo-
ser, mais qui ne suffirait pas nécessai-
rement à étouffer une agitation politique
répandue parmi des milliers de gens ani-
més par lacrainte, la haine et le désir de
se venger. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 17.1.
- Sous le titre : « Résistance passive ». —
Aucune des cartes jouées jusqu'ici dans la
Ruhr n'a été une carte maltresse. Dans
cette lutte entre 40.000 soldats et une nation
qui pratique une résistance passive — sans
être passive à l'excès — ce ne sont pas les
soldats qui l'emportent jusqu'à présent.
Mais la résistance passive est un jeu très
difficile à jouer. Pour atteindre son but, ce
jeu exige de la forme d'âme, l'appui général.
sinon unanime, du pays et de fortes convic-
tions morales. L'Allemagne n'est pas, à
l'heure actuelle, un pays fermement uni.
Elle est en proie à des divisions politiques
qui embarrassent et affaiblissent le gouver-
nement et elle a le défaut commun de tous
les Etats fédérés de prêter le flanc au sépa-
ratisme.
Si le gouvernement allemand est disposé,
comme il semble l'être, à demander à toutes
les classes de ses nationaux un loyalisme
et une obéissance de tous les instants et si
la confiance qu'il repose en leur loyalisme
est méritée, la résistance passive est un jeu
qui est non seulement sûr de gagner, mais
qui est assez facile à jouer. Il est même si
facile que l'on peut craindre qu'il n'ait été
entrepris sans préparation suffisante. A
quoi s'attend, au juste, le gouvernement al-
lemand ? Il peut arriver, si ses ordres sont
exécutés, que les industries de la Ruhr
soient désorganisées plus complètement et
plus vite qu'il n'eût été nécessaire autre-
ment : que les difficultés de la France soient
multipliées et que l'occupation devienne
une lourde charge au point de vue finan-
cier. Mais si le gouvernement allemand
s'imagine qu'une démonstration aussi con-
cluante de la futilité de la politique fran-
çaise provoquera une intervention active de
l'Angleterre ou de l'Amérique, il est à peu
près certain qu'il se trompe. L'Angle-
terre et l'Amérique ne, peuvent rien
faire jusqu'à ce que la France ait elle-
même reconnue son erreur et qu'elle se
montre disposée à envisager des méthodes
nouvelles. Tant qu'elle pourra dire que
l'échec de sa politique est dû au mauvais
vouloir des Allemands. il y a toute chance
pour qu'elle cherche à venir à bout de ce
mauvais vouloir par la force et en appli-
quant des mesures de répression de plus
en plus violentes. Nul ne peut prévoir la
fin de cette manière d'agir. S'il avait été
donné à la France l'occasion de se rendre
compte que même dans les circonstances
les plus favorables elle ne pourrait pas
tirer de la Ruhr la dixième partie de ce
qu'elle revendique au titre des réparations,
la lumière se serait peut-être faite plus ra-
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