Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 janvier 1923 18 janvier 1923
Description : 1923/01/18 (T23,N2255). 1923/01/18 (T23,N2255).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239088n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
!FFAIl\ES ÉTRANGÈRES
1 - I
N° 2255
Jeudi 18 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE -, d 13
^fcEssi? ALLEMANDE. - La séance du 13 au
Reichstag (FnlnktnrtC'ï Zeilung, Kôlnis-
cite Zeitung). — Une interview de M.
lnnes (Munclien-Augsburger Abend-
Zeltung).
VSSPLAISE- — L'occupation de la Ruhr
(h aily News, Manchester Guardian,
Jmesi Daily Telegraph). — Les bruits
d Un appel, de M Branting à la Société
des nations (Daily Telegraph) — Le cabi-
"et Cuno et l'attitude du parti socialis-
M (Daily Telegraph). — L'occupation de
^emel (Times).
P>EsFE HOLLANDAISE. — L'occupation de la
J xuhr (Algemeen Handelsblad).
f'lP.FSSb' ITALIENNE. — Déclarations de M.
IJTA~I~NNE. - Déc.la.rations d.e M.
Ussolini au conseil des ministres
(Starnpa).
f'lntSSE' — L'occupation de la-Ruhr,
c SUEDOISE. - L'occupation de la Ruhr
(r-/ eP°rg lIandels-Tidning). — Les
Uïls d'un appel de M. Branting à la
D OCiete des nations (Social-Demoliraten,
agens Nyheler).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
f'f\ESSCCUPATION DE LA RUHR. —
f(¡ern ANGLAISE. — Si malgré ce déplace-
^ent 101'1116 de force militaire, la France
tie féïKSS'^ ^as a intimider soit le g'Uverne-
^etit SOlt s à intimider soit le luluverne-
Soit les travailleurs au point qu'ils se
s've ellt à une attitude de soumission pas-
lEst e terme logique de sa marche vers
1,4test berlin. Même si elle maintient un
d'aetivité dans les industries de la
da.n 's'e Pourra encore qu'elle se voie
^s] a Nécessité d'occuper Berlin et d'exer-
çer Une dictature politique et. économique
ltiens affaires de l'Allemagne,
PQs là. ne Prouve, d'ailleurs, que ce ne soit
"encre sOn intention arrêtée. Ce serait une
v^ge nce très douce, mais de courte du-
r^e.
rjîe, cette sensation éphémère et sté-
llerlina rance ne gagnerait rien à occuper
rlin t à maintenir en tutelle un pays de
jV d 60 Allions d'habitants. Elle n'ob-
^a'tî Ks de réparations et peut-être ne
'^< tter) rait~elle Pas à en obtenir. Elle n'y
^nePatcertainement pas la sécurité. Ses
erait -certainement pas la sécurité. Ses
é es e pourraient s'étendre à perpé-
1- le S0,1 allemand ; et le jour où elle
Se r'etirerait elle partirait les mains vides
oSant derrière elle la haine toujours en
éveil d'un peuple qui n'attendrait que l'oc-
casion de lui portier un nouveau coup avec
la réputation d'avoir fait pis que les Prus-
siens eux-mêmes, et la perte de ses meil-
leurs amis en Europe voilà tout ce que la
France tirerait de cette folle et impossible
équipée. Plus on examine cette aventure de
la Ruhr, plus elle s'avère funeste dans
toutes ses possibilités. — (Ed.)
DAILY NEWS, 16.1.
— Sous le titre : « Le mal s'étend »: -
* La deuxième étape de l'occupation fran-
çaise a commencé : les troupes ont occupé
Bochum, qui est le centre des charbon-
nages de la Ruhr. Cela suffit à démontrer
que, de l'avis des Français, la première
étape, consistant à n'occuper qu'une pe-
tite partie de la région industrielle de la
Ruhr est restée inefficace. Il avait été offi-
ciellement expliqué, la semaine dernière,
que les troupes ne seraient envoyées à l'est
d'Essen que dans le cas d'un échec. Il reste
à voir, maintenant, si la deuxième série
des mesures progressivement plus sévères
donnera des résultats meilleurs. L'occupa-
tion de Bochum peut, en tout cas, empê-
cher le fiasco, qui menaçait de jeter le ri-
dicule sur toute l'affaire.
Les Français s'étaient aperçus que liant
qu'ils se borneraient à occuper la zone d'Es-
sen, ils se trouveraient dans la désagréable
nécessité de payer le charbon des répara-
tions qui, jusqu'au moment de l'occupation,
leur avait été livré gratuitement. Evidem-
ment, à moins de payer le charbon, ou de
faire descendre les soldats dans les mines,
on ne pouvait s'attendre à aucune livrai-
son de charbon. Le gouvernement alle-
mand avait refusé de le payer, et plutôt
que de contraindre les mineurs à travailler
pour rien les Français eurent la sagesse
d'annoncer qu'ils paieraient eux-mêmes le
charbon. Il ne leur était guère possible, ce-
pendant, de prétendre qu'ils envisageaient
cette opération avec plaisir. Aussi se sont-
ils décidés, comme il était inévitable à la
longue d'élargir la zone d'occupation dans
des limites qui leur permettront, espèrent-
ils, de percevoir sous forme d'impôts assez
d'argent pour payer les livraisons faites au
titre des réparations. Mais c'est là une opé-
ration toute différente de l'autre, et qui en-
traîne une vaste extension de l'autorité
française et un système détaillé de contrôle
et d'administration, dont ils auraient été
heureux de pouvoir se dispenser. L'espoir
primitif était que le gouvernement alle-
mand se baisserait intimider — peut-être
par les gros industriels allemands eux-
mêmes — au point de dédommager les pro-
priétaires des mines de leurs livraisons de
charbon des réparations. Si les choses
s'étaient passées ainsi, la tâche des ingé-
nieurs français, sans être facile, aurait été
beaucoup moins compliquée que celle qui
leur incombe actuellement c'est-à-dire;
d'avoir à organiser par leurs propres
moyens toute la région minière sur une
base qui permettra de payer aux mineurs
des salaires suffisants tout. en laissant pour
les alliés un excédent libre de 19 millions
de tonnes de charbon.
C'est un peu plus que n'avaient réussi à
livrer les Allemands. Mais les Français qi-
sent que les Allemands n'essayaient, mê-
me pas de faire mieux. Eh bien, nous
verrons ! En admettant, bien qu'il soit pré-
somptueux de se poser en prophète, il nous
sera peut-être permis de nous déclarer
quelque peu sceptiques. Jusqu'ici l'opinion
générale est que, loin d'augmenter la pro-
duction du charbon diminuera. Et ce qui
semble corroborer cette manière de voir,
c'est l'étonnante demande de charbon an-
glais qui s'est produite depuis qu'a com-
mencé l'occupation française. On n'avait
rien vu de pareil depuis la grande reprise
des affaires. La Mining Association va jus-
qu'à donner à entendre qu'il existe des
~craintes sérieuses que le charbon ne
vienne à faire défaut ». Et les Français,
qui sont bien placés pour savoir ce qui en
est ne sont pas les derniers à faire des
offres. Il ne suit pas nécessairement que
la production de la Ruhr diminue au point
d'empêcher les Français d'obtenir les li-
vraisons de charbon des réparations qui ne
représentent que 25 de la production to-
tale et qui selon les instructions qu'ils ont
données ont la priorité sur les livraisons
aux régions occupées. La perte retombe-
rait en premier lieu sur l'Allemagne non
occupée, mais il est clair que dans la pro-
portion où serait limitée ainsi la vente du
charbon disponible il serait plus difficile
aux Français de payer les livraisons au
titre des réparations. Les Français pour-
raient se retrouver dans la désagréable al-
ternative d'avoir à payer eux-mêmes le
charbon des réparations, ou à s'en passer.
Mais, en définitive, le charbon n'est pas
la considération essentielle. Le déficit qu'il
s'agit de combler en ce qui concerne les
les livraisons au titre des réparations n'est
que de quelques millions de tonnes et mê-
me si on réussissait à combler ce déficit,
personne ne pourrait prétendre qu'il valût
la peine d'encourir les frais d'une armée
d'occupation pour arriver à ce résultat. Tôt
où tard. les Français seront réduits à se
tourner vers ces autres sources de revenu,
telles que l'exploitation des forêts et le
cordon douanier autour de la Ruhr. que
l'on estime devoir produire environ 50 mil-
lions de livres sterling par an. Peut-être
n'est-ce même pas là leur objectif final.
Dans la mesure où leurs buts sont écono-
miques et non pas politiques, ils se figu-
rent probablement que les gros industriels
DES
!FFAIl\ES ÉTRANGÈRES
1 - I
N° 2255
Jeudi 18 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE -, d 13
^fcEssi? ALLEMANDE. - La séance du 13 au
Reichstag (FnlnktnrtC'ï Zeilung, Kôlnis-
cite Zeitung). — Une interview de M.
lnnes (Munclien-Augsburger Abend-
Zeltung).
VSSPLAISE- — L'occupation de la Ruhr
(h aily News, Manchester Guardian,
Jmesi Daily Telegraph). — Les bruits
d Un appel, de M Branting à la Société
des nations (Daily Telegraph) — Le cabi-
"et Cuno et l'attitude du parti socialis-
M (Daily Telegraph). — L'occupation de
^emel (Times).
P>EsFE HOLLANDAISE. — L'occupation de la
J xuhr (Algemeen Handelsblad).
f'lP.FSSb' ITALIENNE. — Déclarations de M.
IJTA~I~NNE. - Déc.la.rations d.e M.
Ussolini au conseil des ministres
(Starnpa).
f'lntSSE' — L'occupation de la-Ruhr,
c SUEDOISE. - L'occupation de la Ruhr
(r-/ eP°rg lIandels-Tidning). — Les
Uïls d'un appel de M. Branting à la
D OCiete des nations (Social-Demoliraten,
agens Nyheler).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
f'f\ESSCCUPATION DE LA RUHR. —
f(¡ern ANGLAISE. — Si malgré ce déplace-
^ent 101'1116 de force militaire, la France
tie féïKSS'^ ^as a intimider soit le g'Uverne-
^etit SOlt s à intimider soit le luluverne-
Soit les travailleurs au point qu'ils se
s've ellt à une attitude de soumission pas-
lEst e terme logique de sa marche vers
1,4test berlin. Même si elle maintient un
d'aetivité dans les industries de la
da.n 's'e Pourra encore qu'elle se voie
^s] a Nécessité d'occuper Berlin et d'exer-
çer Une dictature politique et. économique
ltiens affaires de l'Allemagne,
PQs là. ne Prouve, d'ailleurs, que ce ne soit
"encre sOn intention arrêtée. Ce serait une
v^ge nce très douce, mais de courte du-
r^e.
rjîe, cette sensation éphémère et sté-
llerlina rance ne gagnerait rien à occuper
rlin t à maintenir en tutelle un pays de
jV d 60 Allions d'habitants. Elle n'ob-
^a'tî Ks de réparations et peut-être ne
'^< tter) rait~elle Pas à en obtenir. Elle n'y
^nePatcertainement pas la sécurité. Ses
erait -certainement pas la sécurité. Ses
é es e pourraient s'étendre à perpé-
1- le S0,1 allemand ; et le jour où elle
Se r'etirerait elle partirait les mains vides
oSant derrière elle la haine toujours en
éveil d'un peuple qui n'attendrait que l'oc-
casion de lui portier un nouveau coup avec
la réputation d'avoir fait pis que les Prus-
siens eux-mêmes, et la perte de ses meil-
leurs amis en Europe voilà tout ce que la
France tirerait de cette folle et impossible
équipée. Plus on examine cette aventure de
la Ruhr, plus elle s'avère funeste dans
toutes ses possibilités. — (Ed.)
DAILY NEWS, 16.1.
— Sous le titre : « Le mal s'étend »: -
* La deuxième étape de l'occupation fran-
çaise a commencé : les troupes ont occupé
Bochum, qui est le centre des charbon-
nages de la Ruhr. Cela suffit à démontrer
que, de l'avis des Français, la première
étape, consistant à n'occuper qu'une pe-
tite partie de la région industrielle de la
Ruhr est restée inefficace. Il avait été offi-
ciellement expliqué, la semaine dernière,
que les troupes ne seraient envoyées à l'est
d'Essen que dans le cas d'un échec. Il reste
à voir, maintenant, si la deuxième série
des mesures progressivement plus sévères
donnera des résultats meilleurs. L'occupa-
tion de Bochum peut, en tout cas, empê-
cher le fiasco, qui menaçait de jeter le ri-
dicule sur toute l'affaire.
Les Français s'étaient aperçus que liant
qu'ils se borneraient à occuper la zone d'Es-
sen, ils se trouveraient dans la désagréable
nécessité de payer le charbon des répara-
tions qui, jusqu'au moment de l'occupation,
leur avait été livré gratuitement. Evidem-
ment, à moins de payer le charbon, ou de
faire descendre les soldats dans les mines,
on ne pouvait s'attendre à aucune livrai-
son de charbon. Le gouvernement alle-
mand avait refusé de le payer, et plutôt
que de contraindre les mineurs à travailler
pour rien les Français eurent la sagesse
d'annoncer qu'ils paieraient eux-mêmes le
charbon. Il ne leur était guère possible, ce-
pendant, de prétendre qu'ils envisageaient
cette opération avec plaisir. Aussi se sont-
ils décidés, comme il était inévitable à la
longue d'élargir la zone d'occupation dans
des limites qui leur permettront, espèrent-
ils, de percevoir sous forme d'impôts assez
d'argent pour payer les livraisons faites au
titre des réparations. Mais c'est là une opé-
ration toute différente de l'autre, et qui en-
traîne une vaste extension de l'autorité
française et un système détaillé de contrôle
et d'administration, dont ils auraient été
heureux de pouvoir se dispenser. L'espoir
primitif était que le gouvernement alle-
mand se baisserait intimider — peut-être
par les gros industriels allemands eux-
mêmes — au point de dédommager les pro-
priétaires des mines de leurs livraisons de
charbon des réparations. Si les choses
s'étaient passées ainsi, la tâche des ingé-
nieurs français, sans être facile, aurait été
beaucoup moins compliquée que celle qui
leur incombe actuellement c'est-à-dire;
d'avoir à organiser par leurs propres
moyens toute la région minière sur une
base qui permettra de payer aux mineurs
des salaires suffisants tout. en laissant pour
les alliés un excédent libre de 19 millions
de tonnes de charbon.
C'est un peu plus que n'avaient réussi à
livrer les Allemands. Mais les Français qi-
sent que les Allemands n'essayaient, mê-
me pas de faire mieux. Eh bien, nous
verrons ! En admettant, bien qu'il soit pré-
somptueux de se poser en prophète, il nous
sera peut-être permis de nous déclarer
quelque peu sceptiques. Jusqu'ici l'opinion
générale est que, loin d'augmenter la pro-
duction du charbon diminuera. Et ce qui
semble corroborer cette manière de voir,
c'est l'étonnante demande de charbon an-
glais qui s'est produite depuis qu'a com-
mencé l'occupation française. On n'avait
rien vu de pareil depuis la grande reprise
des affaires. La Mining Association va jus-
qu'à donner à entendre qu'il existe des
~craintes sérieuses que le charbon ne
vienne à faire défaut ». Et les Français,
qui sont bien placés pour savoir ce qui en
est ne sont pas les derniers à faire des
offres. Il ne suit pas nécessairement que
la production de la Ruhr diminue au point
d'empêcher les Français d'obtenir les li-
vraisons de charbon des réparations qui ne
représentent que 25 de la production to-
tale et qui selon les instructions qu'ils ont
données ont la priorité sur les livraisons
aux régions occupées. La perte retombe-
rait en premier lieu sur l'Allemagne non
occupée, mais il est clair que dans la pro-
portion où serait limitée ainsi la vente du
charbon disponible il serait plus difficile
aux Français de payer les livraisons au
titre des réparations. Les Français pour-
raient se retrouver dans la désagréable al-
ternative d'avoir à payer eux-mêmes le
charbon des réparations, ou à s'en passer.
Mais, en définitive, le charbon n'est pas
la considération essentielle. Le déficit qu'il
s'agit de combler en ce qui concerne les
les livraisons au titre des réparations n'est
que de quelques millions de tonnes et mê-
me si on réussissait à combler ce déficit,
personne ne pourrait prétendre qu'il valût
la peine d'encourir les frais d'une armée
d'occupation pour arriver à ce résultat. Tôt
où tard. les Français seront réduits à se
tourner vers ces autres sources de revenu,
telles que l'exploitation des forêts et le
cordon douanier autour de la Ruhr. que
l'on estime devoir produire environ 50 mil-
lions de livres sterling par an. Peut-être
n'est-ce même pas là leur objectif final.
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