Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 janvier 1923 13 janvier 1923
Description : 1923/01/13 (T23,N2251). 1923/01/13 (T23,N2251).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62390840
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
..v
MINISTÈRE
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2251
Samedi 13 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pn88F ALLEMANDE. - L'occupation de la
Ruhr (Etrkh Dombrowski dans Berliner
Tageblatt; Georg Bernhard dans Vos-
sisclie Zeitung). — Le départ du syndi-
cat. du charbon (Neue Badische Landes-
zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'unité de comman-
dement en mars 1918 : un article du gé-
j néral Bliss (New York Times). — L'ex-
le portaLion du blé américain (New York
Herald).
PREsSE ANGLAISE. — L'occupation de la Ruhr
v (Times, Daily Chronicle, Morning Post).
- Le rappel des troupes américaines de
Rhénanie (Times, Glasgow Herald,
Manchester Guardian).
^ESSE ITALIENNE. — L'attitude de l'Italie :
; Un plan d'entente économique interna-
tional ; bruits d'un rappel des troupes
françaises (Tribuna, Corriere, d'Italia,
Resto del Carlino).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
L'UNITE, DE COMMANDEMENT EN
ARS. 1918. — UN ARTICLE DU GÉNÉRAL BLISS.
1),I."s un article de la revue Foreign
k ttalTS, de décembre, le major général Tas-
trr. H. Bliss, qui représentait les Etats-
1?'8 au Conseil de guerre, en France en
lu et 1918, donne sur l'issue victorieuse de
t lutte des renseignements nouveaux rela-
ient à deux points particuliers qui
a^€iU jusqu'à présent inconnus du grand
lie ; il révèle d'une part que le com-
^ndenient général des opérations militai-
Des fut confié au général Foch non pas. à
qOUUens, mais à Beauvais, et d'autre part
que le général Foch ne fut jamais nommé
ttimandant en chef des forces alliées en
prfinoe - et qu'en réalité, l'unité de com-
ar|dement ne fut jamais réalisé. A la con-
r'ence de Doullens le 26 mars 1918, la résio-
li l lon suivante fut rédigée et signée :
« Le général Foch est, chargé par les gou-
d ,rnEments britannique et français de coor-
çj nner l'action des armées alliés sur le
orH Ouest. Il s'entendra à cet effet avec les
génér,lux en chef qui sont invités à lui four-
Ir tous les renseignements nécessaires. »
[Voir le mémorandum adressé par lord Mil-
lier au cabinet britannique, le 27 mars
1918. — Recueil de Documents Etrangers,
n° 87.]"
Le général Bliss insiste sur ce fait qu'au-
cun commandement ne fut. donné à Foch
qui pouvait seulement « consulter et donner
des avis. » Les Américains, les Italiens et
les Belges n'étaient pas représentés à Doul-
lens ; les Américains ne pouvaient d'ail-
leurs à cette époque occuper une partie
quelconque du front. Comme le général
Foch, en possession d'un mandat assez va-
gue, perdait beaucoup de temps à visiter les
quartiers généraux français et anglais, il
fallait absolument lui rendre la tâche plus
facile. C'est pourquoi une nouvelle confé-
rence eut lieu le 3 avril à l'Hôtel de Ville de
Beauvais. Cette fois les Américains y fu-
rent convoqués, et Pershing et. Bliss s'y ren-
dirent. Le général Foch exposa son cas et,
sans aucune discussion, l'accord suivant fut
rédigé et signé par tous les membres :
« Le général Foch est chargé par les gou-
vernements britannique, américain et fran-
çais de coordonner l'action des troupes al-
liées sur le front Ouest. Tous les pouvoirs
nécessaires à l'accomplissement de cette tâ-
che lui sont accordés. Les gouvernements
britannique, français et américain confient
au général Foch la direction stratégique des
opérations militaires. Les commandants en
chef des armées anglaise, française et amé-
ricaine conserveront la direction pleine et
entière de leurs armées, au point de vue
tactique. Les commandants en chef auront
le droit d'en appeler à leurs gouvernements
respectifs, dans le cas où ils jugeraient que
les instructions données par le général Foch
auraient pour effet de mettre leurs armées
dans une situation périlleuse. » La dernière
phrase indique donc que le général Foch
pouvait diriger, mais qu'il n'avait pas le
droit de faire exécuter ses ordres. Le général
Bliss déclare ensuite que l'accord de Beau-
vais peut être considéré comme « la mesure
la plus radicale qui ait jamais été prise, en
vue de ln. création de l'unité de commande-
ment ». Quelques semaines plus tard, les
1er et 2 mai à Abbeville, le Conseil suprême
apportait une modification à l'expression :
front occidental, et y ajoutait l'Italie. Mais
les Italiens n'acceptèrent que la modifica-
tion suivante : « Les pouvoirs accordés au
général Foch, en vue de la coordination,
par l'accord de Doullens sont étendus au
front italien. » D'après le général Bliss, il
ne pouvait être question de faire l'unité de
commandement avant 1918. — L'adoption du
plan Foch sur une réserve générale interal-
liée, dressé sur l'ordre du Conseil suprême,
aurait, dit le général Bliss, empêché le dé-
sastre de mars. Haig qui n'avait pas reçu
les renforts qu'il avait demandés à plusieurs
reprises, ne pouvait prendre part, avec une
partie de ses troupes, à la création d'une
réserve générale, pas plus que Pétain d'ail-
leurs. Clemenceau lui-même reconnut, au
cours d'une des sessions du Conseil su-
prême, que (( pour le moment on ne pou-
vait faire appel au maréchal Haig ni au
général Pétain, puisque l'on craignait une
offensive prochaine ! » Il ne faut pas ou-
blier que, pendant le mois qui suivit le dé-
clenchement de la poussée allemande, le
21 mars, 355.000 Anglais furent transportés
en France, pour sauver la situation. « Si
seulement la moitié des troupes qui furent
envoyées, après le début de l'attaque avaient
été disponibles, avant le 21 mars, dit Bu-
chan dans son « Histoire de la grande
guerre », l'attaque allemande aurait été
étouffée dans l'œuf et l'on aurait pu créer
la réserve générale, conformément au plan
du général Foch. — (Ed.)
NEW YORK TIMES, 15.12.
——— ———
LES RÉPARATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. - PRESSE
ALLEMANDE. — [Selon M. E. Dombrowski,
l'occupation de la Ruhr par la France aura
de désastreuses conséquences économiques.
Dans les dernières années de la paix
les mines de la Sarre produisaient plus de
15 millions de tonnes de charbon ; en 1921,
elles n'en produisaient que 9 millions !. (Les
chiffres pour l'année écoulée ne sont pas
encore publiés). En dépit de l'accroisse-
ment du nombre des employés, la produc-
tion a donc été inférieure de 40 Les
craintes d'une régression analogue et vrai-
semblablement beaucoup plus grave de la
production du charbon dans la Ruhr n'en
sont que plus justifiées. S'il était jusqu'ici
déjà excessivement difficile de fournir
même la quantité mensuelle fixée de 1,36
millions pour les réparations, ce sera
dans l'avenir encore plus le cas. C'est seu-
lement par le fait que l'Allemagne impor-
tait de plus en plus de charbon anglais, en
moyenne un million de tonnes par mois (en
octobre même l'importation atteignit deuoe
millions), qu'il fut possible de remplir les
obligations de la reconstruction et de main-
tenir, au moins à peu près, la vie de l'or-
ganisme économique allemand. Si la pro-
duction du charbon tombe encore rapide-
ment sous le régime de violence français, la
France, l'Italie et la Belgique s'assureront
peut-être les quantités de charbon qui leur
reviennent, chaque mois. Mais, en même
temps, la vie économique allemande suc-
combera. et surtout l'agriculture allemande
avec son besoin d'azote. Déjà aujourd'hui la
situation est telle que nombre d'usines et la
consommation domestique ne peuvent être
MINISTÈRE
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2251
Samedi 13 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Pn88F ALLEMANDE. - L'occupation de la
Ruhr (Etrkh Dombrowski dans Berliner
Tageblatt; Georg Bernhard dans Vos-
sisclie Zeitung). — Le départ du syndi-
cat. du charbon (Neue Badische Landes-
zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'unité de comman-
dement en mars 1918 : un article du gé-
j néral Bliss (New York Times). — L'ex-
le portaLion du blé américain (New York
Herald).
PREsSE ANGLAISE. — L'occupation de la Ruhr
v (Times, Daily Chronicle, Morning Post).
- Le rappel des troupes américaines de
Rhénanie (Times, Glasgow Herald,
Manchester Guardian).
^ESSE ITALIENNE. — L'attitude de l'Italie :
; Un plan d'entente économique interna-
tional ; bruits d'un rappel des troupes
françaises (Tribuna, Corriere, d'Italia,
Resto del Carlino).
POLITIQUE GENERALE
HISTOIRE DE LA GUERRE
L'UNITE, DE COMMANDEMENT EN
ARS. 1918. — UN ARTICLE DU GÉNÉRAL BLISS.
1),I."s un article de la revue Foreign
k ttalTS, de décembre, le major général Tas-
trr. H. Bliss, qui représentait les Etats-
1?'8 au Conseil de guerre, en France en
lu et 1918, donne sur l'issue victorieuse de
t lutte des renseignements nouveaux rela-
ient à deux points particuliers qui
a^€iU jusqu'à présent inconnus du grand
lie ; il révèle d'une part que le com-
^ndenient général des opérations militai-
Des fut confié au général Foch non pas. à
qOUUens, mais à Beauvais, et d'autre part
que le général Foch ne fut jamais nommé
ttimandant en chef des forces alliées en
prfinoe - et qu'en réalité, l'unité de com-
ar|dement ne fut jamais réalisé. A la con-
r'ence de Doullens le 26 mars 1918, la résio-
li l lon suivante fut rédigée et signée :
« Le général Foch est, chargé par les gou-
d ,rnEments britannique et français de coor-
çj nner l'action des armées alliés sur le
orH Ouest. Il s'entendra à cet effet avec les
génér,lux en chef qui sont invités à lui four-
Ir tous les renseignements nécessaires. »
[Voir le mémorandum adressé par lord Mil-
lier au cabinet britannique, le 27 mars
1918. — Recueil de Documents Etrangers,
n° 87.]"
Le général Bliss insiste sur ce fait qu'au-
cun commandement ne fut. donné à Foch
qui pouvait seulement « consulter et donner
des avis. » Les Américains, les Italiens et
les Belges n'étaient pas représentés à Doul-
lens ; les Américains ne pouvaient d'ail-
leurs à cette époque occuper une partie
quelconque du front. Comme le général
Foch, en possession d'un mandat assez va-
gue, perdait beaucoup de temps à visiter les
quartiers généraux français et anglais, il
fallait absolument lui rendre la tâche plus
facile. C'est pourquoi une nouvelle confé-
rence eut lieu le 3 avril à l'Hôtel de Ville de
Beauvais. Cette fois les Américains y fu-
rent convoqués, et Pershing et. Bliss s'y ren-
dirent. Le général Foch exposa son cas et,
sans aucune discussion, l'accord suivant fut
rédigé et signé par tous les membres :
« Le général Foch est chargé par les gou-
vernements britannique, américain et fran-
çais de coordonner l'action des troupes al-
liées sur le front Ouest. Tous les pouvoirs
nécessaires à l'accomplissement de cette tâ-
che lui sont accordés. Les gouvernements
britannique, français et américain confient
au général Foch la direction stratégique des
opérations militaires. Les commandants en
chef des armées anglaise, française et amé-
ricaine conserveront la direction pleine et
entière de leurs armées, au point de vue
tactique. Les commandants en chef auront
le droit d'en appeler à leurs gouvernements
respectifs, dans le cas où ils jugeraient que
les instructions données par le général Foch
auraient pour effet de mettre leurs armées
dans une situation périlleuse. » La dernière
phrase indique donc que le général Foch
pouvait diriger, mais qu'il n'avait pas le
droit de faire exécuter ses ordres. Le général
Bliss déclare ensuite que l'accord de Beau-
vais peut être considéré comme « la mesure
la plus radicale qui ait jamais été prise, en
vue de ln. création de l'unité de commande-
ment ». Quelques semaines plus tard, les
1er et 2 mai à Abbeville, le Conseil suprême
apportait une modification à l'expression :
front occidental, et y ajoutait l'Italie. Mais
les Italiens n'acceptèrent que la modifica-
tion suivante : « Les pouvoirs accordés au
général Foch, en vue de la coordination,
par l'accord de Doullens sont étendus au
front italien. » D'après le général Bliss, il
ne pouvait être question de faire l'unité de
commandement avant 1918. — L'adoption du
plan Foch sur une réserve générale interal-
liée, dressé sur l'ordre du Conseil suprême,
aurait, dit le général Bliss, empêché le dé-
sastre de mars. Haig qui n'avait pas reçu
les renforts qu'il avait demandés à plusieurs
reprises, ne pouvait prendre part, avec une
partie de ses troupes, à la création d'une
réserve générale, pas plus que Pétain d'ail-
leurs. Clemenceau lui-même reconnut, au
cours d'une des sessions du Conseil su-
prême, que (( pour le moment on ne pou-
vait faire appel au maréchal Haig ni au
général Pétain, puisque l'on craignait une
offensive prochaine ! » Il ne faut pas ou-
blier que, pendant le mois qui suivit le dé-
clenchement de la poussée allemande, le
21 mars, 355.000 Anglais furent transportés
en France, pour sauver la situation. « Si
seulement la moitié des troupes qui furent
envoyées, après le début de l'attaque avaient
été disponibles, avant le 21 mars, dit Bu-
chan dans son « Histoire de la grande
guerre », l'attaque allemande aurait été
étouffée dans l'œuf et l'on aurait pu créer
la réserve générale, conformément au plan
du général Foch. — (Ed.)
NEW YORK TIMES, 15.12.
——— ———
LES RÉPARATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. - PRESSE
ALLEMANDE. — [Selon M. E. Dombrowski,
l'occupation de la Ruhr par la France aura
de désastreuses conséquences économiques.
Dans les dernières années de la paix
les mines de la Sarre produisaient plus de
15 millions de tonnes de charbon ; en 1921,
elles n'en produisaient que 9 millions !. (Les
chiffres pour l'année écoulée ne sont pas
encore publiés). En dépit de l'accroisse-
ment du nombre des employés, la produc-
tion a donc été inférieure de 40 Les
craintes d'une régression analogue et vrai-
semblablement beaucoup plus grave de la
production du charbon dans la Ruhr n'en
sont que plus justifiées. S'il était jusqu'ici
déjà excessivement difficile de fournir
même la quantité mensuelle fixée de 1,36
millions pour les réparations, ce sera
dans l'avenir encore plus le cas. C'est seu-
lement par le fait que l'Allemagne impor-
tait de plus en plus de charbon anglais, en
moyenne un million de tonnes par mois (en
octobre même l'importation atteignit deuoe
millions), qu'il fut possible de remplir les
obligations de la reconstruction et de main-
tenir, au moins à peu près, la vie de l'or-
ganisme économique allemand. Si la pro-
duction du charbon tombe encore rapide-
ment sous le régime de violence français, la
France, l'Italie et la Belgique s'assureront
peut-être les quantités de charbon qui leur
reviennent, chaque mois. Mais, en même
temps, la vie économique allemande suc-
combera. et surtout l'agriculture allemande
avec son besoin d'azote. Déjà aujourd'hui la
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