Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 janvier 1923 11 janvier 1923
Description : 1923/01/11 (T23,N2249). 1923/01/11 (T23,N2249).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62390825
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2249
Jeudi 11 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Une interview de M.
Hermès (Kölnische Zeitung). - L'action
:I,e la France (Schiffer dans Berliner
l ageblalt ; Jakob Frank dans Berliner
l'ursen Courier).
1)1\ -. ,
!}Hk TÎ5■ S>E AMÉRICAINE. - La presse provin-
ce française (Washington Post). -
! Ln flotte commerciale des Etats-Unis :
rapport du Shipping Board (New
; York Times).
J l'liESSE ANGLAISE. - L'action de la France
~«~ Telegraph). - L'attitude de la
t'fande-Bretagne (Daily Chronicle, Ti-
mes Daily Express). - Changement de
Propriétaire de la Nation Daily Etx-
Pfess),
,,ESSE ITALIENNE. - L'action de la France
ï (Concetto Pelt'ihatto dans Skimpa ; Gu-
, glielmo Ferrero dans Secolo).
----- —————————————
POLITIQUE UENERALE
1
LES RÉPARATIONS
^NE INTERVIEW DE M. HERMES,
- - I^TRE DES FINANCES DE I.'EMPIUE ALLEMAND.
Llf- e correspondant berlinois du service in-
I National d'information Hearst, S. D.
d eYel', a eu une interview avec le ministre
i [ les finances du Reich, Hermes, dans la-
quelle ce , dernier • s'est exprimé avec une
èt hise hardie sur la situation iltii s'est,
'Hahre après la rupture de la conférence de
Paris L'Allemagne saluerait. ; r tS' Allemagne saluerait avec joie le
iilOlJet américain d'une conférence interna-
jj0îa,le à Washington pour la question de la
instruction, pense Hermès, parce qu'on
tl'Ouv,eTait là-bas enfin en dehors de l'at-
mosphère haineuse de l'Europe. Pour les
projets allemands que le Dr Bergmann
;iv apportés avec lui à Paris, ils étaient le
, l, de soigneuses négociations qui ont
,]u J^les semaines, auxquelles avaient par-
,',c Pe tous nos industriels et nos organes
, forniques. Ils représentaient l'extrême
.1rnite de notre capacité de paiement. Le
, nistère Cuno est indiscutablement le
'i gouvernement conciliant. L'Améri-
e a une série d'hommes distingués qui
''lllt complètement aptes à prendre en main
;(, solution de la crise économique euro-
,¡eehne, comme par (MKempk Herbert Hoo-
ver avec son génie d'organisation, ses vues
larges et sa profonde intelligence des pro-
blèmes économiques. Si Hoover n'était pas
prêt, on pourrait offrir le poste à John D.
Rockfeller ou à Henri Ford. Un de ces
grands hommes devrait assister comme
conseiller le gouvernement américain.
L'Allemagne est prête à se montrer con-
ciliante jusqu'à la dernière limite pour tout
examen de l'état actuel des finances alle-
mandes. Elle ne demanderait pas mieux
que de produire tous ses livres, de répondre
à toutes les questions et de donner toutes
facilités pour permettre aux contrôleurs de
se mettre en état d'arriver à une vue claire
de la situation financière. L'Allemagne n'a
rien à cacher ; au contraire, elle est favo-
rable à l'examen impartial le plus précis de
ses livres.
Les difficultés pour le gouvernement al-
lemand ne sont pas seulement considéra-
bles en politique extérieure, elles le sont
aussi en politique intérieure. La pression
continue du dehors et les éternelles mena-
ces accompagnées d'ultimatum ont mis
le gouvernement en un conflit continu
avec l'étranger comme avec le pays, si bien
qu'il a de grandes difficultés à acquérir
l'autorité et le prestige nécessaires devant
le reste du monde. A ce moment le ministre
des Finances a dit textuellement :
« Par suite des échecs continus de nos
efforts pour trouver de l'aide et par suite de
la territble situation économique qui a main-
tenant presque atteint, le bord du précipice,
une dangereuse menace lève la tète en notre
pays, menace qui de toutes les parties de
la population exige de nous la dénonciation
du traité de Versailles. Racontez au monde
que nous ajvons fait de notre mieux dans la
limite des forces humaines et que nous
sommes maintenant au bout de nos forces.
Nous sommes saignés à blanc et une partie
de la population exige de nous que nous
nous interdisions tout nouveau paiement,
fut-ce d'un seul pfennig. J'appelle cela une
menace dangereuse parce que, quoique fon-
dée sur le sentiment, elle est complètement
compréhensible vue du point de vue légal,
elle est un tort qui peut avoir des consé-
quences mortelles. Mon collègue et moi
nous avons combattu ce mouvement depuis
que nous sommes au pouvoir. »
Le Dr Hermes a déclaré ensuite que l'Al-
lemagne n'avait absolument pas l'intention
de se dérober à ses obligations et il a
ajouté :
« Nous ne voulons pas tromper, nous ne
voulons pas nous lamenter et nous plaindre
des charges qui nous incombent. Nous
avons perdu la guerre et nous devons
payer. Nous voulons aussi payer, mais seu-
lement dans des limites raisonnables. On
ne peut pas exiger de nous que nous nous
suicidions par des paiement démesurés.
V
Nous Jie le voulons et nous ne le pou-
vons pas. Pendant quatre longues années
terribles, nous n'avons fait que payer,
payer, payer, exécuter et exécuter, sans
savoir jamais pendant combien de temps
cela doit encore continuer, ni combien on
exige exactement de nous, Les résutats de
notre noble bonne volonté et de notre sé-
rieux effort d'exécution ont augmenté notre
misère. Par-dessus tout règne la dureté
indescriptible de l'occupation militaire.
Maintenant nous demandons deux choses :
un délai de répit et la connaissance défini-
tive de la somme que nous avons à payer,
une somme qui doit se tenir dans les limi-
tes de notre capacité de paiement. Le gou-
vernement allemand ne peut souscrire à
aucun acte qui demande plus que l'Allema-
gne ne peut exécuter, Si le gouvernement
actuel tombe et s'il est remplacé par un
autre gouvernement, socialiste ou autre, le
nouveau ministère ne pourra honorable-
ment pas prendre plus d'engagements que
nous n'en vouions prendre. Toute accepta-
tion d'exigences supérieures serait une farce
ou une tromperie. Je répète que nous avons
perdu la guerre et que nous devons payer.
Je répète que nous voulons payer. Je répète
que nous sommes les débiteurs, que nous
sommes en banqueroute et qu'on peut exa-
miner nos livres. Et je dis, encore une fois,
que nous représentons l'ensemble de la
bonne volonté des meilleurs éléments du
peuple allemand. Mais j'avertis le monde de
ne pas frapper une fois de plus au visage
cette nation quuoi qu'elle soit actuellement
faible et lasse, car elle ne l'admettra plus.
Si le peuple allemand reçoit encore un
soufflet ce peuple torturé sera emporté par
la colère, il brisera toutes les entraves et
s'arrachera au contrôle de tout gouverne-
ment. »
Le fait que c'est précisément le Dr Her-
mes qui a fait cette claire décLaration de-
vrait donner spécialement à réfléchir à
l'étranger. Il a joui dans le cabinet Wirth
de la confiance de l'étranger dans une im-
portante mesure, parce qu'avec une pro-
fonde connaissance des choses et une forte
volonté il se prononçait pour la conciliation
par l'exécution. Si maintenant il se voit
forcé, lui aussi, d'élever la voix et d'avertir,
l'étranger devrait voir que les affaires me-
nacent de prendre en Allemagne une tour-
nure grave.
KOELNISCHE ZEITUNG, 7.1.
L'ACTION DE LA FRANCE. - PRESSE
ALLEMANDE. - La presse française, à l'oc-
casion des nouvelles de la crise franco-an-
glaise, parle da façon significative de l'in-
compatibilité des caractères et des tempéra-
ments des nations, de leur façon de penser
et de leurs habitudes d'esprit. Ainsi se trou-
ve esquissée la véritable nature de l'anta-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2249
Jeudi 11 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - Une interview de M.
Hermès (Kölnische Zeitung). - L'action
:I,e la France (Schiffer dans Berliner
l ageblalt ; Jakob Frank dans Berliner
l'ursen Courier).
1)1\ -. ,
!}Hk TÎ5■ S>E AMÉRICAINE. - La presse provin-
ce française (Washington Post). -
! Ln flotte commerciale des Etats-Unis :
rapport du Shipping Board (New
; York Times).
J l'liESSE ANGLAISE. - L'action de la France
~«~ Telegraph). - L'attitude de la
t'fande-Bretagne (Daily Chronicle, Ti-
mes Daily Express). - Changement de
Propriétaire de la Nation Daily Etx-
Pfess),
,,ESSE ITALIENNE. - L'action de la France
ï (Concetto Pelt'ihatto dans Skimpa ; Gu-
, glielmo Ferrero dans Secolo).
----- —————————————
POLITIQUE UENERALE
1
LES RÉPARATIONS
^NE INTERVIEW DE M. HERMES,
- - I^TRE DES FINANCES DE I.'EMPIUE ALLEMAND.
Llf- e correspondant berlinois du service in-
I National d'information Hearst, S. D.
d eYel', a eu une interview avec le ministre
i [ les finances du Reich, Hermes, dans la-
quelle ce , dernier • s'est exprimé avec une
èt hise hardie sur la situation iltii s'est,
'Hahre après la rupture de la conférence de
Paris L'Allemagne saluerait. ;
iilOlJet américain d'une conférence interna-
jj0îa,le à Washington pour la question de la
instruction, pense Hermès, parce qu'on
tl'Ouv,eTait là-bas enfin en dehors de l'at-
mosphère haineuse de l'Europe. Pour les
projets allemands que le Dr Bergmann
;iv apportés avec lui à Paris, ils étaient le
, l, de soigneuses négociations qui ont
,]u J^les semaines, auxquelles avaient par-
,',c Pe tous nos industriels et nos organes
, forniques. Ils représentaient l'extrême
.1rnite de notre capacité de paiement. Le
, nistère Cuno est indiscutablement le
'i gouvernement conciliant. L'Améri-
e a une série d'hommes distingués qui
''lllt complètement aptes à prendre en main
;(, solution de la crise économique euro-
,¡eehne, comme par (MKempk Herbert Hoo-
ver avec son génie d'organisation, ses vues
larges et sa profonde intelligence des pro-
blèmes économiques. Si Hoover n'était pas
prêt, on pourrait offrir le poste à John D.
Rockfeller ou à Henri Ford. Un de ces
grands hommes devrait assister comme
conseiller le gouvernement américain.
L'Allemagne est prête à se montrer con-
ciliante jusqu'à la dernière limite pour tout
examen de l'état actuel des finances alle-
mandes. Elle ne demanderait pas mieux
que de produire tous ses livres, de répondre
à toutes les questions et de donner toutes
facilités pour permettre aux contrôleurs de
se mettre en état d'arriver à une vue claire
de la situation financière. L'Allemagne n'a
rien à cacher ; au contraire, elle est favo-
rable à l'examen impartial le plus précis de
ses livres.
Les difficultés pour le gouvernement al-
lemand ne sont pas seulement considéra-
bles en politique extérieure, elles le sont
aussi en politique intérieure. La pression
continue du dehors et les éternelles mena-
ces accompagnées d'ultimatum ont mis
le gouvernement en un conflit continu
avec l'étranger comme avec le pays, si bien
qu'il a de grandes difficultés à acquérir
l'autorité et le prestige nécessaires devant
le reste du monde. A ce moment le ministre
des Finances a dit textuellement :
« Par suite des échecs continus de nos
efforts pour trouver de l'aide et par suite de
la territble situation économique qui a main-
tenant presque atteint, le bord du précipice,
une dangereuse menace lève la tète en notre
pays, menace qui de toutes les parties de
la population exige de nous la dénonciation
du traité de Versailles. Racontez au monde
que nous ajvons fait de notre mieux dans la
limite des forces humaines et que nous
sommes maintenant au bout de nos forces.
Nous sommes saignés à blanc et une partie
de la population exige de nous que nous
nous interdisions tout nouveau paiement,
fut-ce d'un seul pfennig. J'appelle cela une
menace dangereuse parce que, quoique fon-
dée sur le sentiment, elle est complètement
compréhensible vue du point de vue légal,
elle est un tort qui peut avoir des consé-
quences mortelles. Mon collègue et moi
nous avons combattu ce mouvement depuis
que nous sommes au pouvoir. »
Le Dr Hermes a déclaré ensuite que l'Al-
lemagne n'avait absolument pas l'intention
de se dérober à ses obligations et il a
ajouté :
« Nous ne voulons pas tromper, nous ne
voulons pas nous lamenter et nous plaindre
des charges qui nous incombent. Nous
avons perdu la guerre et nous devons
payer. Nous voulons aussi payer, mais seu-
lement dans des limites raisonnables. On
ne peut pas exiger de nous que nous nous
suicidions par des paiement démesurés.
V
Nous Jie le voulons et nous ne le pou-
vons pas. Pendant quatre longues années
terribles, nous n'avons fait que payer,
payer, payer, exécuter et exécuter, sans
savoir jamais pendant combien de temps
cela doit encore continuer, ni combien on
exige exactement de nous, Les résutats de
notre noble bonne volonté et de notre sé-
rieux effort d'exécution ont augmenté notre
misère. Par-dessus tout règne la dureté
indescriptible de l'occupation militaire.
Maintenant nous demandons deux choses :
un délai de répit et la connaissance défini-
tive de la somme que nous avons à payer,
une somme qui doit se tenir dans les limi-
tes de notre capacité de paiement. Le gou-
vernement allemand ne peut souscrire à
aucun acte qui demande plus que l'Allema-
gne ne peut exécuter, Si le gouvernement
actuel tombe et s'il est remplacé par un
autre gouvernement, socialiste ou autre, le
nouveau ministère ne pourra honorable-
ment pas prendre plus d'engagements que
nous n'en vouions prendre. Toute accepta-
tion d'exigences supérieures serait une farce
ou une tromperie. Je répète que nous avons
perdu la guerre et que nous devons payer.
Je répète que nous voulons payer. Je répète
que nous sommes les débiteurs, que nous
sommes en banqueroute et qu'on peut exa-
miner nos livres. Et je dis, encore une fois,
que nous représentons l'ensemble de la
bonne volonté des meilleurs éléments du
peuple allemand. Mais j'avertis le monde de
ne pas frapper une fois de plus au visage
cette nation quuoi qu'elle soit actuellement
faible et lasse, car elle ne l'admettra plus.
Si le peuple allemand reçoit encore un
soufflet ce peuple torturé sera emporté par
la colère, il brisera toutes les entraves et
s'arrachera au contrôle de tout gouverne-
ment. »
Le fait que c'est précisément le Dr Her-
mes qui a fait cette claire décLaration de-
vrait donner spécialement à réfléchir à
l'étranger. Il a joui dans le cabinet Wirth
de la confiance de l'étranger dans une im-
portante mesure, parce qu'avec une pro-
fonde connaissance des choses et une forte
volonté il se prononçait pour la conciliation
par l'exécution. Si maintenant il se voit
forcé, lui aussi, d'élever la voix et d'avertir,
l'étranger devrait voir que les affaires me-
nacent de prendre en Allemagne une tour-
nure grave.
KOELNISCHE ZEITUNG, 7.1.
L'ACTION DE LA FRANCE. - PRESSE
ALLEMANDE. - La presse française, à l'oc-
casion des nouvelles de la crise franco-an-
glaise, parle da façon significative de l'in-
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ments des nations, de leur façon de penser
et de leurs habitudes d'esprit. Ainsi se trou-
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