Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 janvier 1923 10 janvier 1923
Description : 1923/01/10 (T23,N2248). 1923/01/10 (T23,N2248).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239081r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AP Fâires ÉTRANGÈRES
I i -
N° 2248
Mercredi 10 janvier 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE — L'action de la France
(comte Westarp dans Kreuzzeitung ;
"r Helfferich dans Deutsche Tageszei-
lung ; Georg Bernhard dans Vossische
ZEITUNG • R. Breitscheid dans VoT'-
Wirts).
S SE AMÉRICAINE. — L'immigration italienne
(?hicago Daily Tribune). — L'état des
finances américaines (New York Tv-
ijies). — Les relations avec de Japon
(New York Evening Post).
P ^SE ANGLAISE. - Après l'échec de la con-
férence de Paris (Times). — L'action de
'a France (Manchester Guardian, tVeste.
'tinsler Gazette, William Hard dans
DailU News). — Bruits de négociations
franco-allemandes (Times). - La confé-
rence de Lausanne (Westminster Ga-
~ti (Tlmes). — Déplacement de troupes
grecques en Thrace (Daily Telegraph).
La mission de M. Baldwin à Was-
P ^ngton (Morning Post).
NESSE AUTRICHIENNE. — Après l'échec de la
cOnférence de Paris (Neue Freie Presse).
PRESSE InLIE:\NE. — Après l'échec de la
cOnf6l'ence de Paris (Corriere d'Italia,
Nesto del Carlino).
è POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
tel L'ECHEC DE LA CONFERENCE
1 n, ARlS. - PRESSE AUTRIHIENNE. -
ce Concernant la con féren-
de Paris et les plans français et britani-
PTe ont occupé une grande place dans la
pTe de Vienne. L'article suivant de la
ces e Freie Presse envisage les conséquen-
ces le la rup~.rc r
La crise a éclaté, brusque et violente.
Dans qUelquelS jours des soldats vont ravir
îiu PeilPlo allemand ses dernières ressour-
ee§ Sofl dernier domaine de matières pre-
rni^eS' Nous devons nous demander quelles
et. ,°nt les conséquences pour l'Allemagne
la France. Quel a été jusqu'à mainte-
aliéIl le résultat pour la France ? Elle s'est
aiié 6 tout le monde anglo-saxon, c'est-à-
Aire ^environ 600 milions d'hommes sont
oSés à sa politique. Elle a ruiné ses dé-
biteurs et elle abandonne maintenant ses
créanciers. Au lieu de conserver la protec-
tion des pays les plus riches et les plus
puissants, au lieu de consolider tout ce que
ses meilleurs hommes d'Etat avaient créé
depuis un quart de siècle, au lieu d'assurer
la sécurité de sa frontière Nord et de ses
colonies, la France a consommé la fin de
l'Entente. Les Français regretteront Lloyd
George et ils peuvent dire comme dans
Faust : « Nous sommes délivrés du mé-
chant, mais les méchants sont restés. »
Si l'Entente disparait, et elle a disparu,
il n'est qu'une chose possible : une dicta-
ture militaire de la France en Europe cen-
trale et une orientation plus nette du peu-
ple allemand vers la réaction d'une part et
vers le bolchevisme d'autre part.
La France sera obligée par sa politique
de gages à devenir une place forte et elle
fera de l'Allemagne aussi sa place forte.
Mais l'hostilité des Allemands contenue par
des années de colère silencieuse éclatera un
jour dans un cri furieux de vengeance.
C'est seulement alors que l'on reconnaîtra
la faute sanglante qui est commise aujour-
d'hui à Paris, et c'est seulement alors, mais
trop tard, que l'on comprendra que pour le
succès d'un moment, pour un vote de la
Chambre, on aura, méconnu l'esprit sacré
de la politique.
Oh ! c'est si facile ce que veulent les
Français ! Le maréchal Foch n'a même, pas
besoin de monter sur son coursier, les poi-
lus n'ont même pas besoin de creuser des
tranchées, on n'enverra que des ingénieurs
et des douaniers. Peut-être vont-ils essayer
de forcer les magnats de la Ruhr à livrer
des devises étrangères, peut-être vont-ils
confisquer une partie des droits d'exporta-
tion en monnaies étrangères. A quoi bon
tout cela ?. Ils recevront des marks-papier
et toujours des marks-papier. Ils provo-
queront un krach des changes tel qu'on
n'aura jamais vu le pareil, une aug-
mentation des frais de production, des
désordres sociaux. Autre chose. Que fe-
ront les Français des charbons de la
Ruhr ? Le monde est sursaturé de charbon
et il est très difficile de trouver de nou-
veaux débouchés. Ils seront moins capables
que jamais d'utiliser les livraisons en char-
bon, car les troubles politiques dans le
monde entier, le fardeau toujours plus looird
de leur budget de la guerre nuiront à leur
propre commerce et à leur industrie. Ils de-
vront donner le charbon de la Ruhr à l'Al-
lemagne, s'ils veulent empêcher que le
meurtre et l'incendie ne sévissent dans les
villes et les fabriques et qu'un nouveau
Spartacus ne détruise les derniers restes
de la prospérité allemande.
La France peut piétiner l'Allemagne, elle
peut en faire une grande colonie, mais ja-
mais elle ne pourra lui donner la prospérité
et le crédit, conditions nécessaires pour les
réparations. La France le sait très bien,
mais elle n'est pas moralement en état de
s'avouer à elle-même ses désillusions, et
alors elle se jette à l'eau pour échapper à
l'incendie.
Les conséquences profondes de la rupture
apparaîtront, plus tard, mais dès mainte-
nant il faut dire : c'est une nouvelle époque
qui commence et si au dernier moment
l'Amérique ne vient pas en aide, non seule-
ment par des offres platoniques, mais avec
un but précis, alors commencera une ère
de violence, pilus triste et plus sombre que
jamais peut-être dans l'histoire moderne.
On voudrait répéter aux Français la vieille
parole de l'oracle qui dit à un roi : « Si tu
franchis l'Halys, tu détruiras un grand
royaume. » L'Europe assiste à fia plus
grande défaite.
NEUE FREIE PRESSE, 5.1.
PRESSE ITALIENNE Cf. Bulletin n° 2247,
p. 1]. — Que va-t-il arriver maintenant ? Une
conséquence immédiate et naturelle sera
certainement de resserrer la solidarité qui
existe déjà entre la France, l'Italie, la Bel-
gique. C'est très bien ; mais il faut, selon
nous, souhaiter en premier lieu qu'une ac-
toin brusque de la France soit évitée, oatr
cette action pourrait avoir des conséquences
fâcheuses. Aussi prenons-nous note avec
plaisir de l'officieuse déclaration française,
d'après laquelle le gouvernement se propo-
se d'agir avec modération et avec prudence.
La solidarité entre les aliliés continentaux
devrait en outre, selon nous, consister sur-
tout. en une action commune envers les
Etals-Unis, afin de ne pas laisser l'Angle-
terre négocier seule avec le gouvernement.
de Washington et de provoquer la possibi-
lité d'un accord général avec ce gouverne-
ment accord qui pourrait véritable-
ment résoudre comme nous le souhaitons
le grave problème.
En tout cas, il nous semble nécessaire de
ne pas précipiter les événements, de ne pas
compromettre une solution pacifique, d'évi-
ter en somme que la rupture des négocia-
tions de Paris risque d'être le signal de
nouvelles difficultés inextricables et de met-
tre en danger la paix européenne.
CORRIERE D'ITALIA, 6.1.
— On peut estimer que la faillite de la
conférence de Paris n'aura pas de consé-
quences trop catastrophiques et que chacun
des deux principaux acteurs, tout en se ré-
servant de jouer son rôle en toute liberté,
cherchera à ne pas provoquer un écroule-
ment général des décors qui ne serait agréa-
ble pour personne. Les Anglais ne veulent
pas prendre part aux sanctions ? Très bien ;
il suffit qu'ils ne s'opposent pas dans la
pratique aux mesures que la France est sur
DES
AP Fâires ÉTRANGÈRES
I i -
N° 2248
Mercredi 10 janvier 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
1 traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
I SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE — L'action de la France
(comte Westarp dans Kreuzzeitung ;
"r Helfferich dans Deutsche Tageszei-
lung ; Georg Bernhard dans Vossische
ZEITUNG • R. Breitscheid dans VoT'-
Wirts).
S SE AMÉRICAINE. — L'immigration italienne
(?hicago Daily Tribune). — L'état des
finances américaines (New York Tv-
ijies). — Les relations avec de Japon
(New York Evening Post).
P ^SE ANGLAISE. - Après l'échec de la con-
férence de Paris (Times). — L'action de
'a France (Manchester Guardian, tVeste.
'tinsler Gazette, William Hard dans
DailU News). — Bruits de négociations
franco-allemandes (Times). - La confé-
rence de Lausanne (Westminster Ga-
~t
grecques en Thrace (Daily Telegraph).
La mission de M. Baldwin à Was-
P ^ngton (Morning Post).
NESSE AUTRICHIENNE. — Après l'échec de la
cOnférence de Paris (Neue Freie Presse).
PRESSE InLIE:\NE. — Après l'échec de la
cOnf6l'ence de Paris (Corriere d'Italia,
Nesto del Carlino).
è POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
tel L'ECHEC DE LA CONFERENCE
1 n, ARlS. - PRESSE AUTRIHIENNE. -
ce Concernant la con féren-
de Paris et les plans français et britani-
PTe ont occupé une grande place dans la
pTe de Vienne. L'article suivant de la
ces e Freie Presse envisage les conséquen-
ces le la rup~.rc r
La crise a éclaté, brusque et violente.
Dans qUelquelS jours des soldats vont ravir
îiu PeilPlo allemand ses dernières ressour-
ee§ Sofl dernier domaine de matières pre-
rni^eS' Nous devons nous demander quelles
et. ,°nt les conséquences pour l'Allemagne
la France. Quel a été jusqu'à mainte-
aliéIl le résultat pour la France ? Elle s'est
aiié 6 tout le monde anglo-saxon, c'est-à-
Aire ^environ 600 milions d'hommes sont
oSés à sa politique. Elle a ruiné ses dé-
biteurs et elle abandonne maintenant ses
créanciers. Au lieu de conserver la protec-
tion des pays les plus riches et les plus
puissants, au lieu de consolider tout ce que
ses meilleurs hommes d'Etat avaient créé
depuis un quart de siècle, au lieu d'assurer
la sécurité de sa frontière Nord et de ses
colonies, la France a consommé la fin de
l'Entente. Les Français regretteront Lloyd
George et ils peuvent dire comme dans
Faust : « Nous sommes délivrés du mé-
chant, mais les méchants sont restés. »
Si l'Entente disparait, et elle a disparu,
il n'est qu'une chose possible : une dicta-
ture militaire de la France en Europe cen-
trale et une orientation plus nette du peu-
ple allemand vers la réaction d'une part et
vers le bolchevisme d'autre part.
La France sera obligée par sa politique
de gages à devenir une place forte et elle
fera de l'Allemagne aussi sa place forte.
Mais l'hostilité des Allemands contenue par
des années de colère silencieuse éclatera un
jour dans un cri furieux de vengeance.
C'est seulement alors que l'on reconnaîtra
la faute sanglante qui est commise aujour-
d'hui à Paris, et c'est seulement alors, mais
trop tard, que l'on comprendra que pour le
succès d'un moment, pour un vote de la
Chambre, on aura, méconnu l'esprit sacré
de la politique.
Oh ! c'est si facile ce que veulent les
Français ! Le maréchal Foch n'a même, pas
besoin de monter sur son coursier, les poi-
lus n'ont même pas besoin de creuser des
tranchées, on n'enverra que des ingénieurs
et des douaniers. Peut-être vont-ils essayer
de forcer les magnats de la Ruhr à livrer
des devises étrangères, peut-être vont-ils
confisquer une partie des droits d'exporta-
tion en monnaies étrangères. A quoi bon
tout cela ?. Ils recevront des marks-papier
et toujours des marks-papier. Ils provo-
queront un krach des changes tel qu'on
n'aura jamais vu le pareil, une aug-
mentation des frais de production, des
désordres sociaux. Autre chose. Que fe-
ront les Français des charbons de la
Ruhr ? Le monde est sursaturé de charbon
et il est très difficile de trouver de nou-
veaux débouchés. Ils seront moins capables
que jamais d'utiliser les livraisons en char-
bon, car les troubles politiques dans le
monde entier, le fardeau toujours plus looird
de leur budget de la guerre nuiront à leur
propre commerce et à leur industrie. Ils de-
vront donner le charbon de la Ruhr à l'Al-
lemagne, s'ils veulent empêcher que le
meurtre et l'incendie ne sévissent dans les
villes et les fabriques et qu'un nouveau
Spartacus ne détruise les derniers restes
de la prospérité allemande.
La France peut piétiner l'Allemagne, elle
peut en faire une grande colonie, mais ja-
mais elle ne pourra lui donner la prospérité
et le crédit, conditions nécessaires pour les
réparations. La France le sait très bien,
mais elle n'est pas moralement en état de
s'avouer à elle-même ses désillusions, et
alors elle se jette à l'eau pour échapper à
l'incendie.
Les conséquences profondes de la rupture
apparaîtront, plus tard, mais dès mainte-
nant il faut dire : c'est une nouvelle époque
qui commence et si au dernier moment
l'Amérique ne vient pas en aide, non seule-
ment par des offres platoniques, mais avec
un but précis, alors commencera une ère
de violence, pilus triste et plus sombre que
jamais peut-être dans l'histoire moderne.
On voudrait répéter aux Français la vieille
parole de l'oracle qui dit à un roi : « Si tu
franchis l'Halys, tu détruiras un grand
royaume. » L'Europe assiste à fia plus
grande défaite.
NEUE FREIE PRESSE, 5.1.
PRESSE ITALIENNE Cf. Bulletin n° 2247,
p. 1]. — Que va-t-il arriver maintenant ? Une
conséquence immédiate et naturelle sera
certainement de resserrer la solidarité qui
existe déjà entre la France, l'Italie, la Bel-
gique. C'est très bien ; mais il faut, selon
nous, souhaiter en premier lieu qu'une ac-
toin brusque de la France soit évitée, oatr
cette action pourrait avoir des conséquences
fâcheuses. Aussi prenons-nous note avec
plaisir de l'officieuse déclaration française,
d'après laquelle le gouvernement se propo-
se d'agir avec modération et avec prudence.
La solidarité entre les aliliés continentaux
devrait en outre, selon nous, consister sur-
tout. en une action commune envers les
Etals-Unis, afin de ne pas laisser l'Angle-
terre négocier seule avec le gouvernement.
de Washington et de provoquer la possibi-
lité d'un accord général avec ce gouverne-
ment accord qui pourrait véritable-
ment résoudre comme nous le souhaitons
le grave problème.
En tout cas, il nous semble nécessaire de
ne pas précipiter les événements, de ne pas
compromettre une solution pacifique, d'évi-
ter en somme que la rupture des négocia-
tions de Paris risque d'être le signal de
nouvelles difficultés inextricables et de met-
tre en danger la paix européenne.
CORRIERE D'ITALIA, 6.1.
— On peut estimer que la faillite de la
conférence de Paris n'aura pas de consé-
quences trop catastrophiques et que chacun
des deux principaux acteurs, tout en se ré-
servant de jouer son rôle en toute liberté,
cherchera à ne pas provoquer un écroule-
ment général des décors qui ne serait agréa-
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pas prendre part aux sanctions ? Très bien ;
il suffit qu'ils ne s'opposent pas dans la
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