Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 janvier 1923 08 janvier 1923
Description : 1923/01/08 (T23,N2246). 1923/01/08 (T23,N2246).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239079p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2246
Lundi 8 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALLEMANDE. — « Pacte de paix ger-
mano-français? » (Vorwarts; Georg Ber-
nhard dans Vossische Zeitung).
^esse AMÉRICAINE. — Une interview de M.
Clemenceau (Walter Lippmann dans
World).
PRESSE ANGLAISE. — L'échec de la confé-
rence de Paris (Times, Daily Express,
Daily Chronicle, Westminster Gazette,
Daily Herald, Daily Telegraph). — L'ac-
tion de la France (Daily Telegraph,
Morning Post). — Le projet de pacte à
quatre (Daily Telegraph).
pResse ESPAGNOLE. — L'échec de la confé-
rence de Paris (Libertad).
PRESSE italienne. — Les dépôts d'or fran-
çais et italien à la banque d'Angleterre
(Luigi Luzzatti dans Corriere della
Sera).
■i
POLITIQUE GENERALE
——— ———
LES RÉPARATIONS.
P L'ECHEC DE LA CONFERENCE DE
ARIS. — PRESSE anglaise. — SOUS le titre :'
faux Calculs » La réponse britannique à
a critique française du plan de M. Bonar
Law visant le règlement complet des répa-
rtions et des dettes interalliées mérite
d'être étudiée avec soin. Elle contient des
reponses probantes à quelques-uns des com-
mentaires habiles, mais illogiques, des ex-
p français. En partant de la supposi-
tion — d'une inexactitude grotesque — que
Allemagne serait à même de se procurer,
par voie l d'emprunt, de quoi racheter, d'ici
la fin dé l'année courante, la totalité des
2 Milliards 500 millions de livres sterling de
ons de la série A, on avait conclu que la
SOlllme que recevrait la Commission des ré-
parations se monterait à 1 milliard '250 mil-
lior's- Et comme il serait versé à la réserve
20 0/0 de ce total, les Français estimaient
qu.e la. somme à répartir entre les alliés ne
serait que de 1 milliard de livres sterling,
dont la France recevrait environ 550 mil-
lions. Cette somme, disait-on, constituerait
t311t ce qu'aurait la France pour faire face
e Sa dette de 700 millions de - livres sterling,
envers les Etats-Unis et les frais énormes
de la reconstruction des régions dévastées.
a réforme, britannique démontre claire-
ment que même, si le relèvement du crédit
allemand était exceptionnellement rapide,
de manière à lui permettre de réaliser cette
année la somme colossale de 1 milliard 250
millions de livres sterling par voie d'em-
prunt, la France ne recevrait pas moins
que la valeur actuelle de 700 millions et
probablement plus que 800 millions de livres
sterling au titre de la première série seu-
lement. Dans divers passages de la critique
française la valeur des bons allemands est
établie sur la base d'un escompte de 50 0/0
en estimant les recettes, alors qu'en calcu-
lant les sommes à payer à la Grande-Bre-
tagne, cette valeur est estimée au pair. De
plus la critique française suppose que la
série B de ces bons ne sera pas émise,
mais les comprend dans les recettes de la
Grande-Bretagne.
La réponse britannique évalue le rende-
ment net de l'ensemble de nos propositions,
si elles étaient adoptées, serait pour l'Angle-
terre de 920 millions de livres sterling, soit
80 millions de livres de moins que ce que
nous devons à l'Amérique, tandis que la
France recevrait 1 milliard, 80 millions de
livres, soit 380 millions de livres de plus que
le montant total de sa dette envers les Etats-
Unis, et qu'elle bénéficierait, de la remise de
sa dette de 540 millions de livres envers la
Grande-Bretagne. En d'autres termes, la
France., après avoir remboursé intégrale-
ment l'Amérique et avoir été entièrement
libérée de toutes ses autres obligations, se
trouverait avoir en espèces une somme
considérable qu'elle pourrait consacrer à
l'œuvre de reconstruction..
Il est à supposer, d'ailleurs, que si le plan
britannique avait été accepté comme une
base de discussion, il aurait été concédé au
cours des négociations certaines modifica-
tions à l'avantage de la France, car plu-
sieurs parties du projet étaient susceptibles
de modifications, sans entraîner le sacrifice
du principe essentiel en jeu — à savoir le
relèvement du crédit allemand et le règle-
ment complet et définitif de la question des
réparations et du problème connexe des det-
tes interalliées. Dans toutes les discussions
relatives aux dettes continentales il a été
très peu question de l'inviolabilité des con-
trats. Mais ce principe, qui est à la racine
même de toutes les relations commerciales
et qui constitue en définitive la base du cré-
dit, ne saurait être complètement sacrifié.
Le plan britannique envisage la remise de
plus d'un milliard de livres sterling que
doivent les alliés à l'Angleterre. Si le gou-
vernement, français avait voulu accepter
cette offre, il se serait peut-être aperçu
qu'en raison des grands besoins de la
France, le gouvernement britannique n'au-
rait pas considéré ce chiffre lui-même
un maximum irréductible. — (Ed.)
TIMES, 5.1.
— Le Daily Express, 5.1., fait l'éloge du plan
de M. Bonar Law « que la France, dans son
propre intérêt, aurait été sage d'accepter La
Grande-Bretagne est aujourd'hui désarmée ; elle
ne peut pas imposer la révision du traité signé à
Versailles, ni s'opposer résolument à l'occupa-
tion de la Ruhr par les fonctionnaires français,
parce qu'elle s'exposerait à détruire l'Entente ;
en revanche, elle doit rappeler aussitôt les
troupes stationnées à Cologne.
— Pour la Daily Chronicle, l'Entente n'est plus
désormais qu'une fiction.
Si la France persiste à vouloir occuper
les villes de la Ruhr, elle agira isolément ;
la Grande-Bretagne se tiendra complète-
ment à l'écart. On peut compter d'ailleurs
sur une pression de l'opinion étrangère. Les
Américains ne consentiront pas la remise
des dettes de la France, tant que l'argent
français sera, gaspillé pour la ruine de l'Eu-
rope. L'opinion neutre est presque unanime
à condamner l'attitude de la France comme
imprévoyante et dangereuse. Est-il permis
d'espérer que cette opinion aura quelque
poids auprès des hommes politiques fran-
çais et qu'ils n'auront pas recours finale-
ment aux mesures extrêmes, que leur presse
a réclamées à grand cri ?
DAILY CHRONICLE, 5.1.
— La Westminster Gazette reproche à la
France d'avoir repoussé le plan « logique et pra-
tique » de M. Bonar Law.
Ce plan nous imposait des sacrifices con-
sidérables, tels qu'aucune nation n'en a
jamais consentis jusqu'à présent à l'issue
d'une guerre victorieuse ; il tenait compte
des facteurs essentiels'de la situation euro-
péenne, telle qu'elle est apparue depuis
quatre ans.
Dire que nous proposons de déchirer
une partie du traité de Versailles n'est pas
une critique. Une expérience de quatre an-
nées a démontré que l'application du traité
dans toutes' ses clauses ferait régner la
faillite et l'anarchie dans une bonne part de
l'Europe.
La politique vers laquelle penche la France.
amènera la Grande-Bretagne à se désintéresser
de plus en plus des affaires d'Europe, et ce sera
pour celle-ci un désastre. Les sanctions envisa-
gées par la France détruisent tout espoir de
paiements par l'Allemagne.
WESTMINSTER GAZETTE, 5.1.
— Le travailliste Daily Herald croit que la
rupture était inévitable.
Le gouvernement britannique veut favo
riser le relèvement économique de l'Alle-
magne, parce que les intérêts commerciaux
britanniques demandent que l'Allemagne
soit prospère ; le gouvernement français
veut empêcher ce relèvement parce que les
intérêts militaires français demandent que
l'Allemagne soit affaiblie.
La Grande-Bretagne ne peut pas rete-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2246
Lundi 8 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALLEMANDE. — « Pacte de paix ger-
mano-français? » (Vorwarts; Georg Ber-
nhard dans Vossische Zeitung).
^esse AMÉRICAINE. — Une interview de M.
Clemenceau (Walter Lippmann dans
World).
PRESSE ANGLAISE. — L'échec de la confé-
rence de Paris (Times, Daily Express,
Daily Chronicle, Westminster Gazette,
Daily Herald, Daily Telegraph). — L'ac-
tion de la France (Daily Telegraph,
Morning Post). — Le projet de pacte à
quatre (Daily Telegraph).
pResse ESPAGNOLE. — L'échec de la confé-
rence de Paris (Libertad).
PRESSE italienne. — Les dépôts d'or fran-
çais et italien à la banque d'Angleterre
(Luigi Luzzatti dans Corriere della
Sera).
■i
POLITIQUE GENERALE
——— ———
LES RÉPARATIONS.
P L'ECHEC DE LA CONFERENCE DE
ARIS. — PRESSE anglaise. — SOUS le titre :'
faux Calculs » La réponse britannique à
a critique française du plan de M. Bonar
Law visant le règlement complet des répa-
rtions et des dettes interalliées mérite
d'être étudiée avec soin. Elle contient des
reponses probantes à quelques-uns des com-
mentaires habiles, mais illogiques, des ex-
p français. En partant de la supposi-
tion — d'une inexactitude grotesque — que
Allemagne serait à même de se procurer,
par voie l d'emprunt, de quoi racheter, d'ici
la fin dé l'année courante, la totalité des
2 Milliards 500 millions de livres sterling de
ons de la série A, on avait conclu que la
SOlllme que recevrait la Commission des ré-
parations se monterait à 1 milliard '250 mil-
lior's- Et comme il serait versé à la réserve
20 0/0 de ce total, les Français estimaient
qu.e la. somme à répartir entre les alliés ne
serait que de 1 milliard de livres sterling,
dont la France recevrait environ 550 mil-
lions. Cette somme, disait-on, constituerait
t311t ce qu'aurait la France pour faire face
e Sa dette de 700 millions de - livres sterling,
envers les Etats-Unis et les frais énormes
de la reconstruction des régions dévastées.
a réforme, britannique démontre claire-
ment que même, si le relèvement du crédit
allemand était exceptionnellement rapide,
de manière à lui permettre de réaliser cette
année la somme colossale de 1 milliard 250
millions de livres sterling par voie d'em-
prunt, la France ne recevrait pas moins
que la valeur actuelle de 700 millions et
probablement plus que 800 millions de livres
sterling au titre de la première série seu-
lement. Dans divers passages de la critique
française la valeur des bons allemands est
établie sur la base d'un escompte de 50 0/0
en estimant les recettes, alors qu'en calcu-
lant les sommes à payer à la Grande-Bre-
tagne, cette valeur est estimée au pair. De
plus la critique française suppose que la
série B de ces bons ne sera pas émise,
mais les comprend dans les recettes de la
Grande-Bretagne.
La réponse britannique évalue le rende-
ment net de l'ensemble de nos propositions,
si elles étaient adoptées, serait pour l'Angle-
terre de 920 millions de livres sterling, soit
80 millions de livres de moins que ce que
nous devons à l'Amérique, tandis que la
France recevrait 1 milliard, 80 millions de
livres, soit 380 millions de livres de plus que
le montant total de sa dette envers les Etats-
Unis, et qu'elle bénéficierait, de la remise de
sa dette de 540 millions de livres envers la
Grande-Bretagne. En d'autres termes, la
France., après avoir remboursé intégrale-
ment l'Amérique et avoir été entièrement
libérée de toutes ses autres obligations, se
trouverait avoir en espèces une somme
considérable qu'elle pourrait consacrer à
l'œuvre de reconstruction..
Il est à supposer, d'ailleurs, que si le plan
britannique avait été accepté comme une
base de discussion, il aurait été concédé au
cours des négociations certaines modifica-
tions à l'avantage de la France, car plu-
sieurs parties du projet étaient susceptibles
de modifications, sans entraîner le sacrifice
du principe essentiel en jeu — à savoir le
relèvement du crédit allemand et le règle-
ment complet et définitif de la question des
réparations et du problème connexe des det-
tes interalliées. Dans toutes les discussions
relatives aux dettes continentales il a été
très peu question de l'inviolabilité des con-
trats. Mais ce principe, qui est à la racine
même de toutes les relations commerciales
et qui constitue en définitive la base du cré-
dit, ne saurait être complètement sacrifié.
Le plan britannique envisage la remise de
plus d'un milliard de livres sterling que
doivent les alliés à l'Angleterre. Si le gou-
vernement, français avait voulu accepter
cette offre, il se serait peut-être aperçu
qu'en raison des grands besoins de la
France, le gouvernement britannique n'au-
rait pas considéré ce chiffre lui-même
un maximum irréductible. — (Ed.)
TIMES, 5.1.
— Le Daily Express, 5.1., fait l'éloge du plan
de M. Bonar Law « que la France, dans son
propre intérêt, aurait été sage d'accepter La
Grande-Bretagne est aujourd'hui désarmée ; elle
ne peut pas imposer la révision du traité signé à
Versailles, ni s'opposer résolument à l'occupa-
tion de la Ruhr par les fonctionnaires français,
parce qu'elle s'exposerait à détruire l'Entente ;
en revanche, elle doit rappeler aussitôt les
troupes stationnées à Cologne.
— Pour la Daily Chronicle, l'Entente n'est plus
désormais qu'une fiction.
Si la France persiste à vouloir occuper
les villes de la Ruhr, elle agira isolément ;
la Grande-Bretagne se tiendra complète-
ment à l'écart. On peut compter d'ailleurs
sur une pression de l'opinion étrangère. Les
Américains ne consentiront pas la remise
des dettes de la France, tant que l'argent
français sera, gaspillé pour la ruine de l'Eu-
rope. L'opinion neutre est presque unanime
à condamner l'attitude de la France comme
imprévoyante et dangereuse. Est-il permis
d'espérer que cette opinion aura quelque
poids auprès des hommes politiques fran-
çais et qu'ils n'auront pas recours finale-
ment aux mesures extrêmes, que leur presse
a réclamées à grand cri ?
DAILY CHRONICLE, 5.1.
— La Westminster Gazette reproche à la
France d'avoir repoussé le plan « logique et pra-
tique » de M. Bonar Law.
Ce plan nous imposait des sacrifices con-
sidérables, tels qu'aucune nation n'en a
jamais consentis jusqu'à présent à l'issue
d'une guerre victorieuse ; il tenait compte
des facteurs essentiels'de la situation euro-
péenne, telle qu'elle est apparue depuis
quatre ans.
Dire que nous proposons de déchirer
une partie du traité de Versailles n'est pas
une critique. Une expérience de quatre an-
nées a démontré que l'application du traité
dans toutes' ses clauses ferait régner la
faillite et l'anarchie dans une bonne part de
l'Europe.
La politique vers laquelle penche la France.
amènera la Grande-Bretagne à se désintéresser
de plus en plus des affaires d'Europe, et ce sera
pour celle-ci un désastre. Les sanctions envisa-
gées par la France détruisent tout espoir de
paiements par l'Allemagne.
WESTMINSTER GAZETTE, 5.1.
— Le travailliste Daily Herald croit que la
rupture était inévitable.
Le gouvernement britannique veut favo
riser le relèvement économique de l'Alle-
magne, parce que les intérêts commerciaux
britanniques demandent que l'Allemagne
soit prospère ; le gouvernement français
veut empêcher ce relèvement parce que les
intérêts militaires français demandent que
l'Allemagne soit affaiblie.
La Grande-Bretagne ne peut pas rete-
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