Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 décembre 1922 27 décembre 1922
Description : 1922/12/27 (T22,N2239). 1922/12/27 (T22,N2239).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525361
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
4"AlftES ÉTRANGÈRES
N° 2239
Mercredi 27 décembre 1922
1
a
- Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SQMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Les réparations : les
intentions des Etats-Unis (Berliner Ta-
geblatl). - La situation dans le bassin
flie la Ruhr (Berliner Tageblatt). - Les
commissions de contrôle (Deutsche All-
gemeine Zeitung). — La situation des
anciens ministres (Morgenpost). - La
renaissance de la flotte commerciale
allemande (Deutsche Zeitvng).
ESSE ANGLAISE. - Un discours de Zino-
viev sur » l'esprit nouveau » en Russie
iObserver)
PnESSE ITALIENNE. - Après les incidents de
urin (Curriere délia Sera).
RESSI': SUISSE. - La crise allemande et la
; Journée de huit heures (Gazette de Lau-
sanne). — L'année agricole en Suisse
(National frritung).
'- POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES INTENTIONS DES ETATS-UNIS. --
PRESSE ALLEMANDE. - Les informations que
la Presse parisienne publie au sujet des
projets américains sont si embrouillées et
d'un ,Cal"actèr,e si tendancieux qu'il est im-
possible de s'y reconnaître si on ne se
e:rt,e.. aux journaux anglais et améri-
jjo, S- p.réisse parisienne s'efforce de dé-
bwreï' certainets. doi-iné?osi pourtant indénia-
Elle. Elle conteste que le gouvernement
américain ait la volonté sincère de c on tri-
buer à résoudre les difncfuttés dm problème ;
enfin e.ll tions que personne n'avait prises au sé-
rieux. Uoc- Il s'agit pour elle en effet de donner
au public l'impression que l'Allemagne a
ri en scène, que les banquiers amé-
ricains ont abandonné l'idée d'un emprunt
Jugeant que l'Allemagne n'était pas di-
et que le gouvernement amé-
ricain après les protestations, de l'opinion
Français, ne veut plus ,em.Írendr\e parler
d'une intervention. Or, il n'y a rien de
lité dans toutes ces déclarations. En réa-
qu' - le gouvernement américain voudrait
qu'une commission internationale fût cons-
titué avec charge de fixer définitivement le
montant de la dette allemande. Cette com-
des - campnendrait parmi ses membres
des ,h.OŒrl"mes de confiance du gouvernement
si am et sur la base de ses conclu-
sio Ils un crédtit 't organisé ou un em
prunt un crédit serait organisé ou un em-
nem t serait émis pour peu que le gouver-
nement français Je veuille sérieusement.
C'est d'ailleurs ce qui résulte d'un télé-
gramme conçu en ternies fort prudents qui
vient de n et que reproduit
l'Agence Havas : Dans les milieux officiels
de Washington, y est-il dit, on est étonné
des informations exagérées qu'a publiées la
presse américaine au Sujet cles intentions
du gouvernement. Jusqu'à ce jour, la situa-
tion économique de l'Europe n'a pas fait
l'objet de déclarations officielles. Rien n'au-
torise l'opinion selon laquelle le voyage de
l'ambassadeur Harvey aurait été en rela-
tion directe avec la question des répara-
tions, Dans. les milieux officiels on se refuse
à toute indication en ce qui a trait au but
de ce voyage. A la banque Morgan on dé-
clare qu'aucun emprunt n'est possible tant
que la question des réparations n'aura pas
reçu de solution. - Ce point de vue semble
être également celui du gouvernement. Tou-
tefois, le gouvernement n'a pas encore fixé
de programme à ce sujet. Il y a tout-lieu de
croire que le gouvernement américain ne se
refuserait, pas à contribuer au règlement du
problème des réparations sous réserve que
ce problème soit posé sérieusement »
Dans les milieux financiers américains on
interprète les divell's bruits qui circulent en
ce sens que, probablement, l'examen du
problème des réparations et celui de la sol-
vabilité allemande seraient confiés à une
commission de banquiers analogue à celle
qui s'est déjà réunie à Paris. Cette manière
de voir est confirmée par les informations
qui sont parvenues aux milieux officiels de
Washington touchant le point de vue du
gouvernement allemand. Voici ce que di-
saient ces informations. Une commission
d'experts, économistes et financiers, dont
examiner quelles sont Les ressources de
l'Allemagne et décider ce qu'elle peut payer.
L'Allemagne, préférerait que cette commis-
sion se composât exclusivement d'Améri-
cains., mats comme les alliés n'y consenti-
raient pas, l'Allemagne se contenterait de
ce qu'un délégué américain prit part aux
négociations. Le gouvernement allemand
faciliterait la tâche de la commission en
tenant, à sa disposition tous les comptes et
tous les livres du Reich, afin de permettre
une enquête exacte. La commission aurait
à fixer une somme déterminée qu'on aurait
à considérer comme le maximum des répa-
rations auxquelles l'Allemagne est tenue.
L'Allemagne aurait ensuite à faire connaître
sa décision par oui ou par non. Le gouver-
nement allemand hésite à indiquer lui-mê-
me un chiffre dans la crainte que la France
ne juge ce chiffre trop bas et n'exige qu'il
soit augmenté. C'est pourquoi il est vraisem-
blable que le gouvernement allemand, après
examen de ln' situation, se résoudrait à
adopter le chiffre fixé par la commission.
Le montant des réparations pourrait vrai-
semblablement, Atrtf doublé si les alliés con-
seil la ienv. à retirer leurs troupes d'occupa-
tion. Dans les milieux officiels américains
on se refuse à tout commentaire relatif à la
situation, mais on y manifeste sa surprise
de l'importance que l'opinion européenne a
attachée aux suppositions de journalistes
américains. On peut remarquer à ce sujet
que la plupart de ces suppositions de pu-
blicistes ont été comme: informa-
tions officielles. Du reste la dépêche de
l'Agence Havas ne fait que confirmer les
intentions du gouvernement américain qui
lie refuserait pas de coopérer au règlement
du-problème des réparations pourvu que la
question suit sérieusement posée. Que si-
gnifie cette réserve ? La réponse est facile,
il suffit de se reporter aux conditions énon-
cées par la conférence des banquiers qui se
réunit à Paris : réduction des obligations
allemandes à une mesure raisonnable et
abandon de la politique des sanctions et des
menaces. C'est donc à la France de dire si
elle veut ou non que ces conditions soient
réalisées. ■
BERLINER TAGEBLATT, 21.12.
LA SITUATION DANS LE BASSIN DE
LA RUHR. — Le EK Kurt. von Stutterheim s'est
rendu dans le bassin de la Ruhr pour se rendre
compte do. t'Opinio-n régnant dans cette région au
.sujet des menaces d'occupation militaire. A la
suite d'informations de presse prématurées, Es-
sen et Boetium ont pu se croire à la veille d'une
occupation militaire. Entre temps, M. Poincaré
semble avoir renoncé a ses projets militaires et
sembie plutôt, incliner vers uan contrôle des mines
et la création d'une barrière douanière.
Parmi tous les dangers qui menacent le
district industriel se prouve tout d'abord le
système douanier Dariac qui prévoit l'éta-
blissement d'un cordon douanier à l'est du
Rhin. Cette mesure constituerait la ruine
pour l'industrie rhénane-weslphalicnne, 'car
'e]]p la séparerait de son vaste arrière-pays
<1l}.C.J11anrl. Car, alors que 10 des produits
du bassin industriel prennent le chemin de
l'est, les débouchés vers l'ouest- sont pres-
que sans importance. Dès aujourd'hui le
ma relié français est saturé par les produits
des aciéries de Lorraine et de la Sarre. Il
n'y a plus de place pour les produits d'un
territoire de production aussi gigantesque
que celui de la Rhénanie-AVestphalie.
La France désirerait contrôler les trésors
de charbon du bassin westphalien pour pou-
voir. grâce à des chicanes de livraison, se
procurer la majorité des actions, tant dé-
sirée, des usines et des firmes allemandes.
L'industrie rhénane-westphalienne n'est
pas seule à s'élever contre ces plans. Elle a
à ses côtés les ouvriers du territoire. Même
les communistes se sont déclarés les [lover-/
saires du projet français. La façon dont les
ouvriers de la Sarre ont été traités par la
France n'a fait que renforcer l'attitude des
ouvriers de la Ruhr. Cniiimp- on suit avec la
DES
4"AlftES ÉTRANGÈRES
N° 2239
Mercredi 27 décembre 1922
1
a
- Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SQMMAIRE
^ESSE ALLEMANDE. — Les réparations : les
intentions des Etats-Unis (Berliner Ta-
geblatl). - La situation dans le bassin
flie la Ruhr (Berliner Tageblatt). - Les
commissions de contrôle (Deutsche All-
gemeine Zeitung). — La situation des
anciens ministres (Morgenpost). - La
renaissance de la flotte commerciale
allemande (Deutsche Zeitvng).
ESSE ANGLAISE. - Un discours de Zino-
viev sur » l'esprit nouveau » en Russie
iObserver)
PnESSE ITALIENNE. - Après les incidents de
urin (Curriere délia Sera).
RESSI': SUISSE. - La crise allemande et la
; Journée de huit heures (Gazette de Lau-
sanne). — L'année agricole en Suisse
(National frritung).
'- POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LES INTENTIONS DES ETATS-UNIS. --
PRESSE ALLEMANDE. - Les informations que
la Presse parisienne publie au sujet des
projets américains sont si embrouillées et
d'un ,Cal"actèr,e si tendancieux qu'il est im-
possible de s'y reconnaître si on ne se
e:rt,e.. aux journaux anglais et améri-
jjo, S- p.réisse parisienne s'efforce de dé-
bwreï' certainets. doi-iné?osi pourtant indénia-
Elle. Elle conteste que le gouvernement
américain ait la volonté sincère de c on tri-
buer à résoudre les difncfuttés dm problème ;
enfin e.ll
rieux. Uoc- Il s'agit pour elle en effet de donner
au public l'impression que l'Allemagne a
ri en scène, que les banquiers amé-
ricains ont abandonné l'idée d'un emprunt
Jugeant que l'Allemagne n'était pas di-
et que le gouvernement amé-
ricain après les protestations, de l'opinion
Français, ne veut plus ,em.Írendr\e parler
d'une intervention. Or, il n'y a rien de
lité dans toutes ces déclarations. En réa-
qu' - le gouvernement américain voudrait
qu'une commission internationale fût cons-
titué avec charge de fixer définitivement le
montant de la dette allemande. Cette com-
des - campnendrait parmi ses membres
des ,h.OŒrl"mes de confiance du gouvernement
si am et sur la base de ses conclu-
sio Ils un crédtit 't organisé ou un em
prunt un crédit serait organisé ou un em-
nem t serait émis pour peu que le gouver-
nement français Je veuille sérieusement.
C'est d'ailleurs ce qui résulte d'un télé-
gramme conçu en ternies fort prudents qui
vient de n et que reproduit
l'Agence Havas : Dans les milieux officiels
de Washington, y est-il dit, on est étonné
des informations exagérées qu'a publiées la
presse américaine au Sujet cles intentions
du gouvernement. Jusqu'à ce jour, la situa-
tion économique de l'Europe n'a pas fait
l'objet de déclarations officielles. Rien n'au-
torise l'opinion selon laquelle le voyage de
l'ambassadeur Harvey aurait été en rela-
tion directe avec la question des répara-
tions, Dans. les milieux officiels on se refuse
à toute indication en ce qui a trait au but
de ce voyage. A la banque Morgan on dé-
clare qu'aucun emprunt n'est possible tant
que la question des réparations n'aura pas
reçu de solution. - Ce point de vue semble
être également celui du gouvernement. Tou-
tefois, le gouvernement n'a pas encore fixé
de programme à ce sujet. Il y a tout-lieu de
croire que le gouvernement américain ne se
refuserait, pas à contribuer au règlement du
problème des réparations sous réserve que
ce problème soit posé sérieusement »
Dans les milieux financiers américains on
interprète les divell's bruits qui circulent en
ce sens que, probablement, l'examen du
problème des réparations et celui de la sol-
vabilité allemande seraient confiés à une
commission de banquiers analogue à celle
qui s'est déjà réunie à Paris. Cette manière
de voir est confirmée par les informations
qui sont parvenues aux milieux officiels de
Washington touchant le point de vue du
gouvernement allemand. Voici ce que di-
saient ces informations. Une commission
d'experts, économistes et financiers, dont
examiner quelles sont Les ressources de
l'Allemagne et décider ce qu'elle peut payer.
L'Allemagne, préférerait que cette commis-
sion se composât exclusivement d'Améri-
cains., mats comme les alliés n'y consenti-
raient pas, l'Allemagne se contenterait de
ce qu'un délégué américain prit part aux
négociations. Le gouvernement allemand
faciliterait la tâche de la commission en
tenant, à sa disposition tous les comptes et
tous les livres du Reich, afin de permettre
une enquête exacte. La commission aurait
à fixer une somme déterminée qu'on aurait
à considérer comme le maximum des répa-
rations auxquelles l'Allemagne est tenue.
L'Allemagne aurait ensuite à faire connaître
sa décision par oui ou par non. Le gouver-
nement allemand hésite à indiquer lui-mê-
me un chiffre dans la crainte que la France
ne juge ce chiffre trop bas et n'exige qu'il
soit augmenté. C'est pourquoi il est vraisem-
blable que le gouvernement allemand, après
examen de ln' situation, se résoudrait à
adopter le chiffre fixé par la commission.
Le montant des réparations pourrait vrai-
semblablement, Atrtf doublé si les alliés con-
seil la ienv. à retirer leurs troupes d'occupa-
tion. Dans les milieux officiels américains
on se refuse à tout commentaire relatif à la
situation, mais on y manifeste sa surprise
de l'importance que l'opinion européenne a
attachée aux suppositions de journalistes
américains. On peut remarquer à ce sujet
que la plupart de ces suppositions de pu-
blicistes ont été comme: informa-
tions officielles. Du reste la dépêche de
l'Agence Havas ne fait que confirmer les
intentions du gouvernement américain qui
lie refuserait pas de coopérer au règlement
du-problème des réparations pourvu que la
question suit sérieusement posée. Que si-
gnifie cette réserve ? La réponse est facile,
il suffit de se reporter aux conditions énon-
cées par la conférence des banquiers qui se
réunit à Paris : réduction des obligations
allemandes à une mesure raisonnable et
abandon de la politique des sanctions et des
menaces. C'est donc à la France de dire si
elle veut ou non que ces conditions soient
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BERLINER TAGEBLATT, 21.12.
LA SITUATION DANS LE BASSIN DE
LA RUHR. — Le EK Kurt. von Stutterheim s'est
rendu dans le bassin de la Ruhr pour se rendre
compte do. t'Opinio-n régnant dans cette région au
.sujet des menaces d'occupation militaire. A la
suite d'informations de presse prématurées, Es-
sen et Boetium ont pu se croire à la veille d'une
occupation militaire. Entre temps, M. Poincaré
semble avoir renoncé a ses projets militaires et
sembie plutôt, incliner vers uan contrôle des mines
et la création d'une barrière douanière.
Parmi tous les dangers qui menacent le
district industriel se prouve tout d'abord le
système douanier Dariac qui prévoit l'éta-
blissement d'un cordon douanier à l'est du
Rhin. Cette mesure constituerait la ruine
pour l'industrie rhénane-weslphalicnne, 'car
'e]]p la séparerait de son vaste arrière-pays
<1l}.C.J11anrl. Car, alors que 10 des produits
du bassin industriel prennent le chemin de
l'est, les débouchés vers l'ouest- sont pres-
que sans importance. Dès aujourd'hui le
ma relié français est saturé par les produits
des aciéries de Lorraine et de la Sarre. Il
n'y a plus de place pour les produits d'un
territoire de production aussi gigantesque
que celui de la Rhénanie-AVestphalie.
La France désirerait contrôler les trésors
de charbon du bassin westphalien pour pou-
voir. grâce à des chicanes de livraison, se
procurer la majorité des actions, tant dé-
sirée, des usines et des firmes allemandes.
L'industrie rhénane-westphalienne n'est
pas seule à s'élever contre ces plans. Elle a
à ses côtés les ouvriers du territoire. Même
les communistes se sont déclarés les [lover-/
saires du projet français. La façon dont les
ouvriers de la Sarre ont été traités par la
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