Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 décembre 1922 23 décembre 1922
Description : 1922/12/23 (T22,N2237). 1922/12/23 (T22,N2237).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252535m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
N 0 2237
Samedi 23 décembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
SOMMAI RE
PnES'SE ALLEMANDE. - La France et les ga-
ges (Frankfurter Zeitung, Hamburger
Fremdenblalt) - Le nouveau prési-
dent de la République polonaise (Vor-
wiirts).
'pnESSE ANGLAISE. - La prochaine entrevue
, des premiers ministres (Times). - Les
■ intentions des Etats-Unis (Times, Daily
Telegraph).
Presse ESPAGNOLE. - La prochaine entrevue
des premiers ministres (A B C, Corres-
pondencia de Espana).
PRESSE ITALIENNE. - Fascistes et communis-
tes (Osservatore Romano).
-
POLITIQUE GENERALE -
LES RÉPARATIONS
LA FRANCE ET LES GAGES. -
Re«se allemande. — La politique française
a-t-elle jamais envisagé sérieusement de
^nacer la Ruhr ? Sans doute, Poincaré n'a
Pas employé de vaines paroles lorsque, au
c°Urs des derniers mois, il exigeait sans
?®Sse l'occupation du territoire de la Ruhr.
III aIS si l'on examine les directions fonda-
entales de l'effort français, ce qui au pre-
ter abord apparaît comme une simple me-
Pce s'avère une tactique et une tactique ex-
rrernement raffinée. En tout cas, à la confé-
lnce des premiers ministres qui doit se
et unll' le 2 janvier à Paris pour poursuivre
et terminer les pourparlers interrompus à
ndres sur la question des réparations, il
Semble que, d'après ses derniers discours à
a Chambre et les déclarations de la presse
rfthçaise, Poincaré ne présentera pas de
■°Uveau sa demande d'occuper la Ruhr.
* vec cette demande opiniâtre et sans cesse
epr('senté-e, il a assez effrayé le monde
Pot"" pouvoir paraître modéré en réduisant
1 exigences aux gages sur le Rhin. Ainsi,
a conférence qui doit avoir lieu dans deux
J^aines à Paris sera vraisemblablement
, °ifts une lutte pour la Ruhr - comme
e&ucoup peut-être le croient encore -
U Une lutte pour le Rhin. Mais le danger
subsi s te que les intéressés et l'opinion pu-
8Ub siste que les intéressés et l'opinion pu-
'b'liqlle ne reconnaissent pas à temps ce
fl It et que la politique française de camou-
a.ge atteigne son but.
On tentera d'obtenir le 2 janvier à Paris
ce que l'on n'a pu réussir à Londres : les aL.
liés veulent créer une base politique pour
le nouveau règlement de la question des ré-
parations. Pour cela, il ne faut pas seule-
ment l'unité au sein de l'Entente, il faut
aussi absolument que le peuple allemand
soit physiquement et psychiquement capa-
ble de supporter ce qui aura été convenu
entre les alliés.
Les conditions imposées en 1921 par l'ul-
timatum de Londres ont provoqué l'effon-
drement de l'économie publique allemande
parce qu'elles imposaient à l'Allemagne des
charges insupportables, mais aussi et sur-
tout parce qu'elles comportaient des condi-
tions psychologiques de nature à paralyser
la force du Reich. Aucun peuple ne peut
être astreint à des conditions trop dures si
les mesures politiques de l'adversaire lui
enlèvent l'espoir de s'affranchir de la me-
nace extérieure en remplissant ces condi-
tions. La sentence imposée, par la force à
Versailles est signée. Par là, le territoire
allemand a été moulé de la façon la plus
terrible ; le peuple allemand doit être assuré
de ne rien payer au delà du tribut imposé.
Si les alliés ne désiraient vraiment rien
d'autre des réparations allemandes, c eut
été de leur part une grave faute psychologi-
que de maintenir l'occupation des trois vil-
les de la rive droite du Rhin en un moment
où ils trouvaient en Allemagne un gouver-
nement de l'exécution. Le gouvernement
Wirth, et avec lui la puissance financière
de l'Allemagne, ne fut pas seulement affecté
par le chiffre absurde de 132 milliards, mais
aussi par le maintien des sanctions sur le
Rhin. Il en ira de même du gouvernement
Cuno, qui est décidé à poursuivre une poli-
tique constructive de réparations sur les
ruines du passé, si la France maintient sa
demande de gages rhénans.
Mais la France souhaite autre chose que
les réparations. Pour la politique française,
les réparations ne sont que le moyen de
poursuivre le morcellement de l'Allemagne
inauiguré à Versailles Que veut-elle avec
les gages rhénans, avec les forêts domania-
les et les mines, avec les douanes ? Ils n'ont
ras de valeur productive. Les experts de
l'Angleterre et de l'Italie l'ont démontré
clairement à la conférence de Londres en
août ; Poincaré et les autres hommes d'Etat
français eux-mêmes l'ont déclaré depuis
lors, ouvertement.
Les soi-disant gages ne peuvent donc re-
présenter aucune garantie économique pour
le paiement des prestations allemandes.
Que veut donc la France avec les gages sur
le Rhin ? Elle veut obtenir par le moyen
des réparations ce qu'elle n'a pu réaliser à
Versailles. Elle veut la séparation de la
rive gauche du Rhin, qui lui fut promise il
y a six ans par le Tsar, pour laquelle Cle-
menceau lutta de façon si opiniâtre à la
conférence de la paix ; il ne put faire que
le premier pas sous la forme de l'occupa-
tion de 15 ans, mais la politique française
n'a jamais abandonné ce dessein.
En présence de ces intentions de la
France, le peuple allemand ne put collabo-
rer d' une façon constructive au règlement
de la question des réparations, sans comp-
ter que la prise de gages, forêts, mines Pt
douanes ouvrirait dans le corps économi-
que déjà bien malade de l'Allemagne de
nouvelles blessures qui rendraient son réta-
blissement impossible. Si la demande fran-
çaise de gages est liée au règlement. de
Bruxelles qui sera examiné le 2 janvier à
Paris ce règlement est condamné à l'échec;
comme les conditions de Londres il fera
naufrage à cause de l'énormité de ses chif-
frs et à cause du maintien de sanctions qui
paralysent le physique et le moral.
FRANKFURTER ZElTliyG, 21.12, soir.
Le Hamburger Fremdenblatt écrit, à pro-
pos de la note de la Conférence des Ambas-
sadeurs relative aux incidents de Passau et
d'Ingolstadt :
Le mal c'est qu'aussi les autres puissan-
ces représentées à la conférence des am-
bassadeurs aient adhéré à cette note et
qu'elles se sentent par suite obligées à ac-
corder de leur côté les satisfactions qui y
sont demandées et, en mettant les choses au
mieux, à consentir en silence aux accusa-
tions françaises.
Cette note n'ouvre pas de perspective sa-
tisfaisante à la future conférence, que Poin-
caré veut remplir de nouveau entièrement
d'esprit politique, et les nouvelles abondent
suivant lesquelles le gouvernement anglais
est prêt à accorder à Poincaré ce que Lloyd
George lui a refusé au mois d'août. Il est
également déjà hors de doute que lord Der-
by, le principal représentant de la tendance
francophile dans le cabinet Bonar Law, 8t
engagé lors de son dernier arrêt, à Paris des
conversations importantes. Le premier jour,
dès après sa visite à l'Elysée, on apprit que
Poincaré avait renoncé à exiger en janvier
l'occupation de la Ruhr sous quelque forme
que ce fût, et qu'en échange, on lui donna
l'espérance ou même la. certitude que l'An-
gleterre consentirait à l'occupation de la
Ruhr comme sanction du premier manque-
ment qui se produirait. Cette nouvelle prend
aujourd'hui une forme plus définie et on la
complète par cela, que Poincaré, pour sa
« renonciation au territoire de la Ruhr », a
obtenu des consentements à une saisie des
forêts et des mines domaniales dans le ter-
ritoire occupé. Cela signifierait que Poin-
caré par sa politique oipiniàtre d'exigences
exagérées a pourtant encore atteint des ré-
sultats qui peuvent faire le plus grand mal
à notre vie économique.
HAMBURGER FREMDENBLATT. 21.12.
DES
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
N 0 2237
Samedi 23 décembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
SOMMAI RE
PnES'SE ALLEMANDE. - La France et les ga-
ges (Frankfurter Zeitung, Hamburger
Fremdenblalt) - Le nouveau prési-
dent de la République polonaise (Vor-
wiirts).
'pnESSE ANGLAISE. - La prochaine entrevue
, des premiers ministres (Times). - Les
■ intentions des Etats-Unis (Times, Daily
Telegraph).
Presse ESPAGNOLE. - La prochaine entrevue
des premiers ministres (A B C, Corres-
pondencia de Espana).
PRESSE ITALIENNE. - Fascistes et communis-
tes (Osservatore Romano).
-
POLITIQUE GENERALE -
LES RÉPARATIONS
LA FRANCE ET LES GAGES. -
Re«se allemande. — La politique française
a-t-elle jamais envisagé sérieusement de
^nacer la Ruhr ? Sans doute, Poincaré n'a
Pas employé de vaines paroles lorsque, au
c°Urs des derniers mois, il exigeait sans
?®Sse l'occupation du territoire de la Ruhr.
III aIS si l'on examine les directions fonda-
entales de l'effort français, ce qui au pre-
ter abord apparaît comme une simple me-
Pce s'avère une tactique et une tactique ex-
rrernement raffinée. En tout cas, à la confé-
lnce des premiers ministres qui doit se
et unll' le 2 janvier à Paris pour poursuivre
et terminer les pourparlers interrompus à
ndres sur la question des réparations, il
Semble que, d'après ses derniers discours à
a Chambre et les déclarations de la presse
rfthçaise, Poincaré ne présentera pas de
■°Uveau sa demande d'occuper la Ruhr.
* vec cette demande opiniâtre et sans cesse
epr('senté-e, il a assez effrayé le monde
Pot"" pouvoir paraître modéré en réduisant
1 exigences aux gages sur le Rhin. Ainsi,
a conférence qui doit avoir lieu dans deux
J^aines à Paris sera vraisemblablement
, °ifts une lutte pour la Ruhr - comme
e&ucoup peut-être le croient encore -
U Une lutte pour le Rhin. Mais le danger
subsi s te que les intéressés et l'opinion pu-
8Ub siste que les intéressés et l'opinion pu-
'b'liqlle ne reconnaissent pas à temps ce
fl It et que la politique française de camou-
a.ge atteigne son but.
On tentera d'obtenir le 2 janvier à Paris
ce que l'on n'a pu réussir à Londres : les aL.
liés veulent créer une base politique pour
le nouveau règlement de la question des ré-
parations. Pour cela, il ne faut pas seule-
ment l'unité au sein de l'Entente, il faut
aussi absolument que le peuple allemand
soit physiquement et psychiquement capa-
ble de supporter ce qui aura été convenu
entre les alliés.
Les conditions imposées en 1921 par l'ul-
timatum de Londres ont provoqué l'effon-
drement de l'économie publique allemande
parce qu'elles imposaient à l'Allemagne des
charges insupportables, mais aussi et sur-
tout parce qu'elles comportaient des condi-
tions psychologiques de nature à paralyser
la force du Reich. Aucun peuple ne peut
être astreint à des conditions trop dures si
les mesures politiques de l'adversaire lui
enlèvent l'espoir de s'affranchir de la me-
nace extérieure en remplissant ces condi-
tions. La sentence imposée, par la force à
Versailles est signée. Par là, le territoire
allemand a été moulé de la façon la plus
terrible ; le peuple allemand doit être assuré
de ne rien payer au delà du tribut imposé.
Si les alliés ne désiraient vraiment rien
d'autre des réparations allemandes, c eut
été de leur part une grave faute psychologi-
que de maintenir l'occupation des trois vil-
les de la rive droite du Rhin en un moment
où ils trouvaient en Allemagne un gouver-
nement de l'exécution. Le gouvernement
Wirth, et avec lui la puissance financière
de l'Allemagne, ne fut pas seulement affecté
par le chiffre absurde de 132 milliards, mais
aussi par le maintien des sanctions sur le
Rhin. Il en ira de même du gouvernement
Cuno, qui est décidé à poursuivre une poli-
tique constructive de réparations sur les
ruines du passé, si la France maintient sa
demande de gages rhénans.
Mais la France souhaite autre chose que
les réparations. Pour la politique française,
les réparations ne sont que le moyen de
poursuivre le morcellement de l'Allemagne
inauiguré à Versailles Que veut-elle avec
les gages rhénans, avec les forêts domania-
les et les mines, avec les douanes ? Ils n'ont
ras de valeur productive. Les experts de
l'Angleterre et de l'Italie l'ont démontré
clairement à la conférence de Londres en
août ; Poincaré et les autres hommes d'Etat
français eux-mêmes l'ont déclaré depuis
lors, ouvertement.
Les soi-disant gages ne peuvent donc re-
présenter aucune garantie économique pour
le paiement des prestations allemandes.
Que veut donc la France avec les gages sur
le Rhin ? Elle veut obtenir par le moyen
des réparations ce qu'elle n'a pu réaliser à
Versailles. Elle veut la séparation de la
rive gauche du Rhin, qui lui fut promise il
y a six ans par le Tsar, pour laquelle Cle-
menceau lutta de façon si opiniâtre à la
conférence de la paix ; il ne put faire que
le premier pas sous la forme de l'occupa-
tion de 15 ans, mais la politique française
n'a jamais abandonné ce dessein.
En présence de ces intentions de la
France, le peuple allemand ne put collabo-
rer d' une façon constructive au règlement
de la question des réparations, sans comp-
ter que la prise de gages, forêts, mines Pt
douanes ouvrirait dans le corps économi-
que déjà bien malade de l'Allemagne de
nouvelles blessures qui rendraient son réta-
blissement impossible. Si la demande fran-
çaise de gages est liée au règlement. de
Bruxelles qui sera examiné le 2 janvier à
Paris ce règlement est condamné à l'échec;
comme les conditions de Londres il fera
naufrage à cause de l'énormité de ses chif-
frs et à cause du maintien de sanctions qui
paralysent le physique et le moral.
FRANKFURTER ZElTliyG, 21.12, soir.
Le Hamburger Fremdenblatt écrit, à pro-
pos de la note de la Conférence des Ambas-
sadeurs relative aux incidents de Passau et
d'Ingolstadt :
Le mal c'est qu'aussi les autres puissan-
ces représentées à la conférence des am-
bassadeurs aient adhéré à cette note et
qu'elles se sentent par suite obligées à ac-
corder de leur côté les satisfactions qui y
sont demandées et, en mettant les choses au
mieux, à consentir en silence aux accusa-
tions françaises.
Cette note n'ouvre pas de perspective sa-
tisfaisante à la future conférence, que Poin-
caré veut remplir de nouveau entièrement
d'esprit politique, et les nouvelles abondent
suivant lesquelles le gouvernement anglais
est prêt à accorder à Poincaré ce que Lloyd
George lui a refusé au mois d'août. Il est
également déjà hors de doute que lord Der-
by, le principal représentant de la tendance
francophile dans le cabinet Bonar Law, 8t
engagé lors de son dernier arrêt, à Paris des
conversations importantes. Le premier jour,
dès après sa visite à l'Elysée, on apprit que
Poincaré avait renoncé à exiger en janvier
l'occupation de la Ruhr sous quelque forme
que ce fût, et qu'en échange, on lui donna
l'espérance ou même la. certitude que l'An-
gleterre consentirait à l'occupation de la
Ruhr comme sanction du premier manque-
ment qui se produirait. Cette nouvelle prend
aujourd'hui une forme plus définie et on la
complète par cela, que Poincaré, pour sa
« renonciation au territoire de la Ruhr », a
obtenu des consentements à une saisie des
forêts et des mines domaniales dans le ter-
ritoire occupé. Cela signifierait que Poin-
caré par sa politique oipiniàtre d'exigences
exagérées a pourtant encore atteint des ré-
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HAMBURGER FREMDENBLATT. 21.12.
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