Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 décembre 1922 22 décembre 1922
Description : 1922/12/22 (T22,N2236). 1922/12/22 (T22,N2236).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525346
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES.
à»* rAlRES ÉTRANGÈRES
N° 2236
Vendredi 22 décembre 1922
, Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-dessous des traductions, integraies ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. — Les'réparations : le
gouvernement allemand et les indus-
triels (Berliner Bôrsen Courier, Tag). —
L'opinion française et les réparations :
le débat du 15 à la Chambre des Dépu-
tés (Otto Hœtzsch dans krcuz-Zeitung ;
Vorwärts).
^RESSE AMÉRICAINE. — Les idées de M. Cuno
sur la politique et l'économie mondia-
les (Herman Bernstein dans N etc 1 orlc
Tinies),
PRESSE ANGLAISE. — « Nouveau plan de ré-
paratives » (Correspondance de Paris aui
Manchester Guardian). — Les intentions
~s Etats-Unis (Correspondance de Wa-
shington au Times).
PRESSE MALIENNE. — Fascistes et communiS'
tes : les incidents de Turin (popolo
d'Halia, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE GOUVERNEMENT ALLEMAND ET
LES INDUSTRIELS. — CONTINUATION DES
p°LT!PAI!LERS. — Les entretiens noués il y a
quelques jours par le Reich avec les prin-
c'î>uux groupes industriels se poursuivent.
est inexact que ces délibérations soient
l'°ïïip.u.es et doivent reprendre jeudi. Il n'y a
aucune raison de rupture ; car il s'agit uni-
qu.ement de conversations destinées à don-
ner des indications au gouvernement sur la
Possibilité d'une participation de l'industrie
Il y a pas encore eu discussion dun sujet
- - - -- T -
Précis comme, par exemple, l'emprunt, LU
gestion se pose maintenant de savoir si
lDrlu8tri,c est prèle il collaborer à l'œuvre
gouvernementale tendant à stabiliser le
taark et résoudre le problème des repara-
'tio"s. et c'est, seulement plus ta.rdqu.e l pourra examiner quelle forme doit prendre
1(1 Projet élargi du gouvernement pour troi-
Ver l'appui de l'industrie. On sait qu'une
Partie de l'industrie ne veut pas dune solu-
lion provisoire de la crise comme le gou-
'ern(lmf'nt rayait prévti dans ses dernières
Propositions : il est également sur quunc
autre partie de l'industrie s'est déjà familia-
risée avec ')C'(',e fVun provisoire prolonge,
est faux de dire comme le fait une partie de
la Presse [Bulletin 2235, p. 1,0011. 2V
ouvriers n'ont pas été consultes. Le gou-
vernement du Reich est tout dispose à ap-
Prendre le sentiment des groupes ouvriers
et à en tenir compte. La situation est ne
lement très délicate et ces pourparlers ne
peuvent se conclure en quelques heures. On
ne peut guère penser les voir clos avant
Noël. C'est seulement après les fêtes de Noël
que l'on pourra en tirer des projets sur les-
quels on pourra discuter et que le gouver-
nement pourra prendre pour base de nou.
veaux plans.
BERLINER BOERSEN COURIER,
20.12, matin.
— Le gouvernement d'Empire a continué
au cours de la journée de mardi les conver-
sations avec les représentants de l'indus-
trie, des banques, du commerce, de l'agri-
culture et de l'industrie, en vue de l'élabora-
tion de nouveaux projets allemands pour
les délibérations qui s'ouvriront à Paris le
2 janvier.
Il ne s'agit pas encore, dans ces conver-
sations, des modalités des nouveaux pro-
jets allemands; mais au milieu des ques-
tions posées se trouve celle de savoir si le
Gouvernement allemand doit ou non utiliser
les délibérations du 2 janvier pour présen-
ter de nouveaux projets et si on doit a cette
occasion partir du principe fondamental
d'une solution provisoire ou la remplacer
par le projet d'une solution définitive. On
sait que lors des dernières propositions al-
lemandes à Londres la question a. joué un
grand rôle, en raison du fait que les milieux
influents dans la vie économique allemande
se rallient au projet d'une solution provi-
soire Avant que le gouvernement puisse
maintenant élargir ce projet et donner la
gnl'anti,e offerte à Londres, il faut naturelle-
ment connaitre dans toute leur étendue les
vues des milieux économiques allemands
sur la question controversée de savoir si
c'est la solution provisoire qui est la vraie
ou si c'est la solution cienmuve.
Toutes les modalités des nouvelles propo-,
sitions allemandes sont liées naturellement
à la solution de cette question controversée,
en particulier l'affaire est. liée aussi a Ici
question de savoir si on doit chercher en
première ligne un emprunt-or contracté à
l'intérieur ou un emprunt étranger. Il est
possible aussi que la. question de savoir si
on cherchera une solution provisoire ou dé-
finitive soit encore influencée de façon es-
sentielle par le cours ultérieur des débats de
Washington.
TAG, 20.12.
„ NOUVEAU PLAN DE REPARA-
TIONS ». - Sous ce Litre, le correspondant
parisien dl/. Manchester Guardian expose
sur quelles bases semble devoir se faire l'ac-
cord franco-britannique dans la question
des ré¡JQ.rQ (iD'ns :
De Paris, 19 décembre : Bien que dans les
milieux français comme dans les milieux
britanniques on observe une très grande ré-
serve au sujet des résultats des conversa
toins de lord Derby avec MM. Poincaré et
Millerand, et bien qu'il soit certain que le
ministre de la guerre britannique a évité
soigneusement tout ce qui pouvait lui don-
ner l'air d'empiéter sur les attributions de
M. Bonar Law ou de lord Curzon, on admet
ici comme un fait que les pourparlers anglo-
français sont entrés dès à présent dans une
phase qui permet d'espérer que l'on aboutira
il un accord à la réunion du 2 janvier.
La base de cette transaction serait, croit-
on, la suivante : il serait accordé à l'Allema-
gne un moratoire de deux ans à condition
que le Reich accepte le contrôle financier
des alliés ; qu'il opère les réformes que les
experts alliés considéreront comme indis-
pensables ; qu'il émette un emprunt inté-
rieur forcé en mark-or dont le montant se
rait affecté à la stabilisation du mark ; en-
fin qu'il consente à la mainmise des alliés
sur les mines fiscales et les forêts domania-
les des territoires occupés et sur les recettes
douanières.
On croit savoir que la France renoncerait
à l'occupation immédiate de la Ruhr à con-
dition que la Grande-Bretagne consente à
cette saisie au cas où l'Allemagne ne rem-
plirait pas les conditions ci-dessus du mora-
torium. Ce serait, en somme, l'acceptation
par la Grande-Bretagne du plan proposé au
mois d'août par M. Poincaré et rejeté par
M. Lloyd George, et il resterait entendu que
si l'Allemagne refusait de se conformer aux
demandes des alliés relativement aux ré-
formes financières la France serait autori-
sée à procéder à l'exploitation économique
de la Ruhr.
On pense, dans les milieux parlementaires
français que le gouvernement britannique
actuel accepterait cette transaction à la-
quelle la France consentirait comme preuve
suprême de sa modération et de son désir
de maintenir l'unité des alliés. On croit sa-
voir que Paris a reçu des gouvernements
italien et belge l'assurance que s'il inter-
vient. une transaction entre la France et
l'Angleterre les deux autres alliés se rallie-
raient à ce projet.
UNE DIFFICULTÉ DÉCOULANT DU TRAITE, DE
VERSAILLES. — La grande difficulté à la-
quelle se heurtent les alliés en ce qui con-
cerne l'obtention d'un contrôlé vraiment effi-
cace des finances allemandés, réside dans
les assurances données au comte de Brock-
dorff-Rantzau en 1919 et, suivant lesquelles
aucune des stipulations du projet, de traité ,
présenté à la signature des délégués alle-
mands ne serait, interprétée comme autori-
sant les alliés a intervenir dans les affaires
intérieures du Reich : mais comme le faisait
observer, l'autre jour. M. Gauvain dans le
Journal des Débats, on pourrait demander
à l'Allemagne de renoncer à cette assu-
DES.
à»* rAlRES ÉTRANGÈRES
N° 2236
Vendredi 22 décembre 1922
, Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-dessous des traductions, integraies ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits integralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ALLEMANDE. — Les'réparations : le
gouvernement allemand et les indus-
triels (Berliner Bôrsen Courier, Tag). —
L'opinion française et les réparations :
le débat du 15 à la Chambre des Dépu-
tés (Otto Hœtzsch dans krcuz-Zeitung ;
Vorwärts).
^RESSE AMÉRICAINE. — Les idées de M. Cuno
sur la politique et l'économie mondia-
les (Herman Bernstein dans N etc 1 orlc
Tinies),
PRESSE ANGLAISE. — « Nouveau plan de ré-
paratives » (Correspondance de Paris aui
Manchester Guardian). — Les intentions
~s Etats-Unis (Correspondance de Wa-
shington au Times).
PRESSE MALIENNE. — Fascistes et communiS'
tes : les incidents de Turin (popolo
d'Halia, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE GOUVERNEMENT ALLEMAND ET
LES INDUSTRIELS. — CONTINUATION DES
p°LT!PAI!LERS. — Les entretiens noués il y a
quelques jours par le Reich avec les prin-
c'î>uux groupes industriels se poursuivent.
est inexact que ces délibérations soient
l'°ïïip.u.es et doivent reprendre jeudi. Il n'y a
aucune raison de rupture ; car il s'agit uni-
qu.ement de conversations destinées à don-
ner des indications au gouvernement sur la
Possibilité d'une participation de l'industrie
Il y a pas encore eu discussion dun sujet
- - - -- T -
Précis comme, par exemple, l'emprunt, LU
gestion se pose maintenant de savoir si
lDrlu8tri,c est prèle il collaborer à l'œuvre
gouvernementale tendant à stabiliser le
taark et résoudre le problème des repara-
'tio"s. et c'est, seulement plus ta.rdqu.e l
1(1 Projet élargi du gouvernement pour troi-
Ver l'appui de l'industrie. On sait qu'une
Partie de l'industrie ne veut pas dune solu-
lion provisoire de la crise comme le gou-
'ern(lmf'nt rayait prévti dans ses dernières
Propositions : il est également sur quunc
autre partie de l'industrie s'est déjà familia-
risée avec ')C'(',e fVun provisoire prolonge,
est faux de dire comme le fait une partie de
la Presse [Bulletin 2235, p. 1,0011. 2V
ouvriers n'ont pas été consultes. Le gou-
vernement du Reich est tout dispose à ap-
Prendre le sentiment des groupes ouvriers
et à en tenir compte. La situation est ne
lement très délicate et ces pourparlers ne
peuvent se conclure en quelques heures. On
ne peut guère penser les voir clos avant
Noël. C'est seulement après les fêtes de Noël
que l'on pourra en tirer des projets sur les-
quels on pourra discuter et que le gouver-
nement pourra prendre pour base de nou.
veaux plans.
BERLINER BOERSEN COURIER,
20.12, matin.
— Le gouvernement d'Empire a continué
au cours de la journée de mardi les conver-
sations avec les représentants de l'indus-
trie, des banques, du commerce, de l'agri-
culture et de l'industrie, en vue de l'élabora-
tion de nouveaux projets allemands pour
les délibérations qui s'ouvriront à Paris le
2 janvier.
Il ne s'agit pas encore, dans ces conver-
sations, des modalités des nouveaux pro-
jets allemands; mais au milieu des ques-
tions posées se trouve celle de savoir si le
Gouvernement allemand doit ou non utiliser
les délibérations du 2 janvier pour présen-
ter de nouveaux projets et si on doit a cette
occasion partir du principe fondamental
d'une solution provisoire ou la remplacer
par le projet d'une solution définitive. On
sait que lors des dernières propositions al-
lemandes à Londres la question a. joué un
grand rôle, en raison du fait que les milieux
influents dans la vie économique allemande
se rallient au projet d'une solution provi-
soire Avant que le gouvernement puisse
maintenant élargir ce projet et donner la
gnl'anti,e offerte à Londres, il faut naturelle-
ment connaitre dans toute leur étendue les
vues des milieux économiques allemands
sur la question controversée de savoir si
c'est la solution provisoire qui est la vraie
ou si c'est la solution cienmuve.
Toutes les modalités des nouvelles propo-,
sitions allemandes sont liées naturellement
à la solution de cette question controversée,
en particulier l'affaire est. liée aussi a Ici
question de savoir si on doit chercher en
première ligne un emprunt-or contracté à
l'intérieur ou un emprunt étranger. Il est
possible aussi que la. question de savoir si
on cherchera une solution provisoire ou dé-
finitive soit encore influencée de façon es-
sentielle par le cours ultérieur des débats de
Washington.
TAG, 20.12.
„ NOUVEAU PLAN DE REPARA-
TIONS ». - Sous ce Litre, le correspondant
parisien dl/. Manchester Guardian expose
sur quelles bases semble devoir se faire l'ac-
cord franco-britannique dans la question
des ré¡JQ.rQ (iD'ns :
De Paris, 19 décembre : Bien que dans les
milieux français comme dans les milieux
britanniques on observe une très grande ré-
serve au sujet des résultats des conversa
toins de lord Derby avec MM. Poincaré et
Millerand, et bien qu'il soit certain que le
ministre de la guerre britannique a évité
soigneusement tout ce qui pouvait lui don-
ner l'air d'empiéter sur les attributions de
M. Bonar Law ou de lord Curzon, on admet
ici comme un fait que les pourparlers anglo-
français sont entrés dès à présent dans une
phase qui permet d'espérer que l'on aboutira
il un accord à la réunion du 2 janvier.
La base de cette transaction serait, croit-
on, la suivante : il serait accordé à l'Allema-
gne un moratoire de deux ans à condition
que le Reich accepte le contrôle financier
des alliés ; qu'il opère les réformes que les
experts alliés considéreront comme indis-
pensables ; qu'il émette un emprunt inté-
rieur forcé en mark-or dont le montant se
rait affecté à la stabilisation du mark ; en-
fin qu'il consente à la mainmise des alliés
sur les mines fiscales et les forêts domania-
les des territoires occupés et sur les recettes
douanières.
On croit savoir que la France renoncerait
à l'occupation immédiate de la Ruhr à con-
dition que la Grande-Bretagne consente à
cette saisie au cas où l'Allemagne ne rem-
plirait pas les conditions ci-dessus du mora-
torium. Ce serait, en somme, l'acceptation
par la Grande-Bretagne du plan proposé au
mois d'août par M. Poincaré et rejeté par
M. Lloyd George, et il resterait entendu que
si l'Allemagne refusait de se conformer aux
demandes des alliés relativement aux ré-
formes financières la France serait autori-
sée à procéder à l'exploitation économique
de la Ruhr.
On pense, dans les milieux parlementaires
français que le gouvernement britannique
actuel accepterait cette transaction à la-
quelle la France consentirait comme preuve
suprême de sa modération et de son désir
de maintenir l'unité des alliés. On croit sa-
voir que Paris a reçu des gouvernements
italien et belge l'assurance que s'il inter-
vient. une transaction entre la France et
l'Angleterre les deux autres alliés se rallie-
raient à ce projet.
UNE DIFFICULTÉ DÉCOULANT DU TRAITE, DE
VERSAILLES. — La grande difficulté à la-
quelle se heurtent les alliés en ce qui con-
cerne l'obtention d'un contrôlé vraiment effi-
cace des finances allemandés, réside dans
les assurances données au comte de Brock-
dorff-Rantzau en 1919 et, suivant lesquelles
aucune des stipulations du projet, de traité ,
présenté à la signature des délégués alle-
mands ne serait, interprétée comme autori-
sant les alliés a intervenir dans les affaires
intérieures du Reich : mais comme le faisait
observer, l'autre jour. M. Gauvain dans le
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