Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 décembre 1922 20 décembre 1922
Description : 1922/12/20 (T22,N2234). 1922/12/20 (T22,N2234).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252532c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
t'PAIRES ÉTRANGÈRES
NO 2234
Mercredi 20 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PJlb; ,
FTE Slr ALLEMANDE. - Les déclarations de M.
P°mcaré à la Chambre des Députés, le
0 décembre (Rheinisch-Westfalische
"eiJtung); une réponse allemande (Berlin
nef Borsen Courier). - Les intentions
es Etats-Unis (Frankfurter Zeitung). -
Ruhr et l'industrie allemande (E.
popper dans Weltbiihne).
'SE AMÉRICAINE. — Baisse du commerce
exportation des Etats-Unis (New York
erakl). — Une tournée de conférences
de l'ancien commandant de ïEmden
P UVe^' York Herald).
E*Se ANGLAISE. - Les réparations : les
Intentions des Etats-Unis (Westminster
Gazette).
PrîEscp' E HOLLANDAISE. - Les réparations : les
mentions des Etats-Unis (Nieuwe Rot-
eTdamsche Courant, Algemeen Han-
e sblad, Telegraaf).
ITALIENNE. - L'accentuation de la
stature fasciste (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A 1-U 8 DÉCLARATIONS DE M. POINCARE
A l'A CAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 15 DÉCEMBRE.
11, ou's le titre : « Harding et Poincaré ».
-ene foils encore, on voit le sort de l'Al-
Ple d'abord, mais aussi la politique
»Hé(j:erranéenne de Mussolini et la situa-
de Bonar Law en Europe, dépendre du
l'atîij 6i e de la France. Ce que Poincaré re-
chep j en particulier ce que disent ses dis-
cours el la Chambre voilà le point, capital
de ]'^«
Suaire.
£ X*!-'n°ai accepte les trois conditions de
l'Amérique, sa politique accomplit l'évolu-
'•on °'c'sive : le désarmement véritable
W?Ut éq\jjv a renoncer à la suprématie ; l'a-
une forte proportion des répara-
> il augmenter les impôts dans
Pav ; le renoncement à l'hypothèque gé-
°est l'abandon des projets sur la
lt la Wen est fait alors de cette déclaration
1frn^)re : Sur aucun point je n'ai
^p|Snin Codifier l'attitude que j'ai adop-
ino 11 »
d'ellej , ^onfjp .s que Poincaré ne peut continuer à
11 alnSI sans entorse à la vérité.
L Prll ti
'It le système classique en France de
"létration pacifique, en espérant obtenir
Senthn de l'Angleterre en même temps
'1 sn«ii«r./fenr^ ait les militaires.
am*)re a accordé sa confiance à
are parce qu'il n'a pas opéré de re-
traite. Se soumettre aux conditions de Har-
ding, ce serait une retraite, l'aveu de sa
faiblesse, l'ajournement des projets d'occu-
pation. Poincaré n'obtiendra jamais de sa
Chambre un vote de confiance sur ce pro-
gramme.
RIlElSTSCH WEST F A ELISC HE ZElTLNli.
17.12.
I
RÉPONSE ALLEMANDE A M. POINCARÉ. —
(\Voln). - C'est une erreur que de croire,
comme le fait Poincaré, que le patri-
moine national allemand répond des
obligations des réparations. La seule chose
exacte est que l'article 218 du traité de
Versailles, le seul règlement à prendre
en considération et aussi bien en son texte
anglais qu'en son texte français, oblige
l'Allemagne à utiliser le patrimoine du. Reich
et des Etats, ainsi donc seulement le pa-
trimoine de l'Etat et non le patrimoine des
particuliers, à la couverture des paiements
des réparations. D'ailleurs l'article 248, dans
la mesure où on considère le patrimoine de
l'Etat, ne donne pas aux alliés le droit de
pratiquer une saisie, c'est-à-dire une main-
mise immédiate soit dans la forme de l'éta
blissement d'une frontière douanière, soit
dans la forme d'un contrôle de quelque na-
ture que ce soit sur la production de cer-
tains territoires.
Quand le président du Conseil français
déclare en outre comme un principe de droit
civil et de droit des gens que le patrimoine
du débiteur est un gage pour le. créancier
il y a un principe supérieur, celui de la
sauvegarde des nécessités vitales du débi-
teur. Cela le traité de Versailles l'a reconnu
expressément en donnant aux besoins vi-
taux nécessaires du peuple allemand ta prio-
rité sur les obligations financières vis-à-vis
de l'Entente.
Dans quelle mesure la poursuite immé-
diate des prétentions françaises peut être
mise d'accord avec les pouvoirs de la com-
mission des réparations, la question a déjà
été débattue tout au long lors des précé-
dentes occasions. Il serait regrettable que
toute l'évolution qui s'établit, d'une colla-
boration pleine de compréhension des deux
parties dût souffrir de l'intervention par la
force d'un des créanciers des réparations
En ce qui concerne l'affirmation que la
France a déjà avancé jusqu'à la fin de cette
année environ 100 milliards au compte de
l'Allemagne signalons seulement les décla-
rations faites par M. Loucheur devant la
Chambre française le 7 décembre de cette
année, dans lesquelles il indique comme une
erreur que 90 milliards aient été dépensés
pour les pays dévastés ; le montant des dé-
penses jusqu'au 30 juin de cette année se
chiffre au contraire à 45 milliards de francs
Il faut du reste, remarquer que ces mil-
liards ont été affectés en majeure partie aux
6
pensions et ont été ainsi retirés à la recons-
truction proprement dite des territoires dé-
vastés,
Le président du Conseil français semble
avoir aussi parlé des profits scandaleux réa-
lisés par la grande industrie allemande. Il
n'y a qu'à ramener ces profits à une base
or et les mettre en rapport avec le capi-
tal investi pour reconnaître combien ces
revenus sont en réalité minimes.
BERLINER 110ERSEX COURIER.
17.12, matin.
LES INTENTIONS DES ETATS-UNIS. —
PRESSE HOLLANDAISE. - Il est fort pos-
sible que par la « via dolorosa » des con-
férences nous soyons déjà swv la route de
Londres à Washington. La menace d'une
occupation de la Ruhr a cessé de servir.
Elle a eu son utilité puisqu'elle a été sé-
rieusement envisagée par Poincaré. bien
que celui-ci n'en veuille plus entendre par-
ler. Si elle n'avait pas été sérieuse, il n'eût
pas été besoin que la France fût avertie
que Washington ne verrait pas favorable-
ment sa mise à exécution. A la France de-
mandant ce qu'il lui restait donc à faire, il
a probablement été répondu que l'Amérique
était disposée à modifier son attitude de
laisser aller à l'égard de la orise européen-
ne. Ainsi approchons-nous du point où il
sera enfin possible d'aborder le problème
des réparations par 'le bon bout.
Le progrès ré;iLis '• dans une couple de
mois est. des plus importants. Les points
principaux qui ne sont plus désormais dis-
cul a,blés sont les suivants : 1° nécessité de
consentir un moratorium à l'Allemagne ;
2° nécessité de ramener à un montant rai-
sonnable la somme totale des obligations de
l'Allemagne ; 3° nécessité de procéder à une
annulation proportionnelle des dettes inter-
alliées : 4° d'émettre un emprunt allemand
intérieur et extérieur.
YIEl'WE R0TTEliDA.MSC1IE ( ()t'RA.\T.
18.12, soir.
- Nous n'insisterons pas sur les in-
formations venues d'Amérique au sujet d'un
emprunt international en faveur de'l'Alle-
magne ni sur les autres projets en suspens.
Nous préférons attendre que ces projets
aient pris une forme plus accusée.
Mais le fait que l'on se rend compte en
Amérique de l'impossibilité de se soustrai-
re à la longue au règlement, des affaires
européennes vaut la peine d'être signalé.
ALGEMEEN IIANDELSELAD, 18.12, soir.
- L'heure approche où sera possible l'éla-
boration d'un règlement général entre les
peupdes. Les circonstances s'y prêtent à
condition que la France, sous la pression
des éléments d'extrême droite, ne soulève
un obstacle au dernier moment..
DES
t'PAIRES ÉTRANGÈRES
NO 2234
Mercredi 20 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PJlb; ,
FTE Slr ALLEMANDE. - Les déclarations de M.
P°mcaré à la Chambre des Députés, le
0 décembre (Rheinisch-Westfalische
"eiJtung); une réponse allemande (Berlin
nef Borsen Courier). - Les intentions
es Etats-Unis (Frankfurter Zeitung). -
Ruhr et l'industrie allemande (E.
popper dans Weltbiihne).
'SE AMÉRICAINE. — Baisse du commerce
exportation des Etats-Unis (New York
erakl). — Une tournée de conférences
de l'ancien commandant de ïEmden
P UVe^' York Herald).
E*Se ANGLAISE. - Les réparations : les
Intentions des Etats-Unis (Westminster
Gazette).
PrîEscp' E HOLLANDAISE. - Les réparations : les
mentions des Etats-Unis (Nieuwe Rot-
eTdamsche Courant, Algemeen Han-
e sblad, Telegraaf).
ITALIENNE. - L'accentuation de la
stature fasciste (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A 1-U 8 DÉCLARATIONS DE M. POINCARE
A l'A CAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 15 DÉCEMBRE.
11, ou's le titre : « Harding et Poincaré ».
-ene foils encore, on voit le sort de l'Al-
Ple d'abord, mais aussi la politique
»Hé(j:erranéenne de Mussolini et la situa-
de Bonar Law en Europe, dépendre du
l'atîij 6i e de la France. Ce que Poincaré re-
chep j en particulier ce que disent ses dis-
cours el la Chambre voilà le point, capital
de ]'^«
Suaire.
£ X*!-'n°ai accepte les trois conditions de
l'Amérique, sa politique accomplit l'évolu-
'•on °'c'sive : le désarmement véritable
W?Ut éq\jjv a renoncer à la suprématie ; l'a-
une forte proportion des répara-
> il augmenter les impôts dans
Pav ; le renoncement à l'hypothèque gé-
°est l'abandon des projets sur la
lt la Wen est fait alors de cette déclaration
1frn^)re : Sur aucun point je n'ai
^p|Snin Codifier l'attitude que j'ai adop-
ino 11 »
d'ellej ,
11 alnSI sans entorse à la vérité.
L Prll ti
'It le système classique en France de
"létration pacifique, en espérant obtenir
Senthn de l'Angleterre en même temps
'1 sn«ii«r./fenr^ ait les militaires.
am*)re a accordé sa confiance à
are parce qu'il n'a pas opéré de re-
traite. Se soumettre aux conditions de Har-
ding, ce serait une retraite, l'aveu de sa
faiblesse, l'ajournement des projets d'occu-
pation. Poincaré n'obtiendra jamais de sa
Chambre un vote de confiance sur ce pro-
gramme.
RIlElSTSCH WEST F A ELISC HE ZElTLNli.
17.12.
I
RÉPONSE ALLEMANDE A M. POINCARÉ. —
(\Voln). - C'est une erreur que de croire,
comme le fait Poincaré, que le patri-
moine national allemand répond des
obligations des réparations. La seule chose
exacte est que l'article 218 du traité de
Versailles, le seul règlement à prendre
en considération et aussi bien en son texte
anglais qu'en son texte français, oblige
l'Allemagne à utiliser le patrimoine du. Reich
et des Etats, ainsi donc seulement le pa-
trimoine de l'Etat et non le patrimoine des
particuliers, à la couverture des paiements
des réparations. D'ailleurs l'article 248, dans
la mesure où on considère le patrimoine de
l'Etat, ne donne pas aux alliés le droit de
pratiquer une saisie, c'est-à-dire une main-
mise immédiate soit dans la forme de l'éta
blissement d'une frontière douanière, soit
dans la forme d'un contrôle de quelque na-
ture que ce soit sur la production de cer-
tains territoires.
Quand le président du Conseil français
déclare en outre comme un principe de droit
civil et de droit des gens que le patrimoine
du débiteur est un gage pour le. créancier
il y a un principe supérieur, celui de la
sauvegarde des nécessités vitales du débi-
teur. Cela le traité de Versailles l'a reconnu
expressément en donnant aux besoins vi-
taux nécessaires du peuple allemand ta prio-
rité sur les obligations financières vis-à-vis
de l'Entente.
Dans quelle mesure la poursuite immé-
diate des prétentions françaises peut être
mise d'accord avec les pouvoirs de la com-
mission des réparations, la question a déjà
été débattue tout au long lors des précé-
dentes occasions. Il serait regrettable que
toute l'évolution qui s'établit, d'une colla-
boration pleine de compréhension des deux
parties dût souffrir de l'intervention par la
force d'un des créanciers des réparations
En ce qui concerne l'affirmation que la
France a déjà avancé jusqu'à la fin de cette
année environ 100 milliards au compte de
l'Allemagne signalons seulement les décla-
rations faites par M. Loucheur devant la
Chambre française le 7 décembre de cette
année, dans lesquelles il indique comme une
erreur que 90 milliards aient été dépensés
pour les pays dévastés ; le montant des dé-
penses jusqu'au 30 juin de cette année se
chiffre au contraire à 45 milliards de francs
Il faut du reste, remarquer que ces mil-
liards ont été affectés en majeure partie aux
6
pensions et ont été ainsi retirés à la recons-
truction proprement dite des territoires dé-
vastés,
Le président du Conseil français semble
avoir aussi parlé des profits scandaleux réa-
lisés par la grande industrie allemande. Il
n'y a qu'à ramener ces profits à une base
or et les mettre en rapport avec le capi-
tal investi pour reconnaître combien ces
revenus sont en réalité minimes.
BERLINER 110ERSEX COURIER.
17.12, matin.
LES INTENTIONS DES ETATS-UNIS. —
PRESSE HOLLANDAISE. - Il est fort pos-
sible que par la « via dolorosa » des con-
férences nous soyons déjà swv la route de
Londres à Washington. La menace d'une
occupation de la Ruhr a cessé de servir.
Elle a eu son utilité puisqu'elle a été sé-
rieusement envisagée par Poincaré. bien
que celui-ci n'en veuille plus entendre par-
ler. Si elle n'avait pas été sérieuse, il n'eût
pas été besoin que la France fût avertie
que Washington ne verrait pas favorable-
ment sa mise à exécution. A la France de-
mandant ce qu'il lui restait donc à faire, il
a probablement été répondu que l'Amérique
était disposée à modifier son attitude de
laisser aller à l'égard de la orise européen-
ne. Ainsi approchons-nous du point où il
sera enfin possible d'aborder le problème
des réparations par 'le bon bout.
Le progrès ré;iLis '• dans une couple de
mois est. des plus importants. Les points
principaux qui ne sont plus désormais dis-
cul a,blés sont les suivants : 1° nécessité de
consentir un moratorium à l'Allemagne ;
2° nécessité de ramener à un montant rai-
sonnable la somme totale des obligations de
l'Allemagne ; 3° nécessité de procéder à une
annulation proportionnelle des dettes inter-
alliées : 4° d'émettre un emprunt allemand
intérieur et extérieur.
YIEl'WE R0TTEliDA.MSC1IE ( ()t'RA.\T.
18.12, soir.
- Nous n'insisterons pas sur les in-
formations venues d'Amérique au sujet d'un
emprunt international en faveur de'l'Alle-
magne ni sur les autres projets en suspens.
Nous préférons attendre que ces projets
aient pris une forme plus accusée.
Mais le fait que l'on se rend compte en
Amérique de l'impossibilité de se soustrai-
re à la longue au règlement, des affaires
européennes vaut la peine d'être signalé.
ALGEMEEN IIANDELSELAD, 18.12, soir.
- L'heure approche où sera possible l'éla-
boration d'un règlement général entre les
peupdes. Les circonstances s'y prêtent à
condition que la France, sous la pression
des éléments d'extrême droite, ne soulève
un obstacle au dernier moment..
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
- Auteurs similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252532c/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252532c/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252532c/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252532c/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252532c
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252532c
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252532c/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest