Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 décembre 1922 19 décembre 1922
Description : 1922/12/19 (T22,N2233). 1922/12/19 (T22,N2233).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252531z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
MRES ÉTRANGÈRES
-
tf
N° 2233
Mardi 19 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. - L'ajournement de la
conférence de Londres (Deutsche Zei-
turtg). - Les déclarations de M. Poin-
0aré à la Chambre des députés, le 15 dé-
cembre (Kôlnische Zeitung, Vonwarts,
erliner Tageblatt, Kreuz-Zeitung,
F ranl£fu.rter Zeitung, Georg Bernhard
ans Vossische Zeitung). - L'industrie
Amande et les réparations (Frankfur-
p ter Zeitung).
I ,E AMÉIUCAINE. - Les Etats-Unis et l'Au-
~iche (New York Call). - Les Etats-
tini's e t la liberté des Détroits (North
p APlerican Review, Boston Transcript).
p lSl: ANGLAISE. - Les déclarations de M.,
P_Qincaré à la Chambre des Députés, le
ecembre (Times). - Les réparations:
les intentions des Etats-Unis (Daily Te-
IJgra.ph). - La Turquie et la question de
°ssoul (Perceval Landon dans Daily
])nEselegraph).
"SE ESPAGNOLE. - L'ajournement de la
_°nférence de Londres (Epoca). -
p Espagne et Tanger (Epoca).
SE ITALIENNE. - Les réparations : les
I entions des Etats-Unis (Corriere
aella Sera)
------- —————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
bt ¡}OURNEMENT DE LA CONFERENCE
l'éon ONDRE,S. - PRESSE ESPAGNOLE. - De
'ÉCHE, C <'e la conférence de Londres, il ré-
àQTI: qu on n'entrevoit pas d'issue à la voie
a(*Ue^e' se trouvent engagées les plus
grand I]8 nations d'Europe, et avec elles, au
Point 'dl Vue économique, le monde entier.
M. p Dm-café a pu douloureusement se ren-
qUe e de la force d'unité de la politi-
er'eiire de l'Angleterre et il a trouvé
laftitn ,e mflexiùJl-e de Lloyd George main-
J;'r&n Par nonar Law. Il est naturel que la
^ranc ayant d'un coté un débiteur qui
~t engagé à lui payer tout ce dont elle a
qu'eu dans les moments très difficiles
ul elle avers'e, veuille, à tout prix être
les' ee; mais il est non moins naturel que
les autre's Pays, même, agissant avec la
plus scrupuleuse loyauté à l'égard de la
^rance n ava't pas la même foi ni la même
ctIlce qu'elle dans les moyens que, ob-
sédée par la nécessité, celle-ci envisage
pour réaliser le paiement de sa créance.
Le système des occupations militaires a pour
effet d'aviver les blessures de la défaite, enlève
à l'Allemagne des moyens précieux pour assurer
son existence. et enfin coûte cher à la France,
bien que celle-ci porte au compte de l'Allemagne
toutes ses dépenses d'occupation.
Comment croire qu'en, étendant le sys-
tème de ces occupations et tous les maux
qui en dérivent, on pourra trouver le re-
mède ?
Pour ceux qui croient que l'Allemagne
non seulement n'a pas les moyens de payer,
mais encore n'a pas l'intention de payer, il
est encore moins possible d'envisager que
l'on puisse remédier à la situation en éten-
dant. le système, des occupations; en effet, s'il
est certain que l'Allemagne est résolue à
faire que tous les peuples périssent avec
elle, doit-on aiboutir à un autre résultat, en
étendant l'occupation de ses territoires, que
de l'affermir dans ses desseins ? De telle
sorte qu'en écartant les bruits d'après les-
quels la sidérurgie anglaise redoute la con-
currence que la sidérurgie française est en
train de lui faire, il est évident qu'il y a
des raisons de poids pour que la proposi-
tion du président du Conseil français ait été
repoussée à Londres.
Un préjugé continue à prévaloir parmi les
gouvernements d'Europe, qui a été une des
grandes causes de la guerre, c'est de croire
que, les armes à la main, on peut résoudre
une question de fatale décadence économi-
que, une lutte pour l'hégémonie économique
du monde. Comme la solidarité économi-
que de tous les peuples de la terre est une
loi inexorable, il n'est pas possible de cau-
ser un préjudice sérieux à personne sans
que ce préjudice retombe sur la tête de ce-
lui qui le produit.
C'est là que réside la gravité du problème.
EPOCA [de Madrid], 14.12.
PRESSE ALLEMANDE. - Dans l'ensemble, les
négociations ont fait naître cette impres-
sion qu'en France on se rend compte que
la politique de réparations est au bout d'une
impasse, mais on croit pourtant pratique
une politique de gages avec l'appui de l'An-
gleterre et de l'Italie. Le mémoire de Mus-
solini s'exprime déjà indubitablement en
ce siens, en soutenant que l'effort de l'En-
tente doit être plutôt de tirer davantage de
l'Allemagne que de payer l'Amérique et
l'Angleterre. Mussolini estime que les det-
tes interalliées sont d'une espèce toute parti-
culière et ne peuvent se comparer aux
ordinaires.
Ajoutons que dans la question des répara-
tions, on ne peut non plus parler de dettes
ordinaires, mais bien de dettes écrasantes.
DEUTSCHE ZEITUNG, 16.12, soir.
LES DECLARATIONS DE M. POINCARE
A LA CHAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 15 DÉCEMBRE.
- PRESSE ANGLAISE. - Sous le titre : « La
majorité de M. Poincaré. - Fermeté et
prudence ». De Paris, 17 décembre : Après
l'écrasante majorité de 6 contre 1 obtenue
à la Chambre par M. Poincaré, de bonne
heure samedi matin, il est clair que le mou-
vement dirigé contre lui et qui à un moment
donné avait pris des proportions redouta-
bles est. enrayé pour l'instant.
Ce qui ajoute à la signification de ce
vote, c'est, que malgré le courant d'opinion
qui s'est manifesté en faveur de l'occupation
de la Ruhr, ou de quelque autre mesure
radicale également inacceptable pour la
Grande-Bretagne; M. Poincaré a parlé avec
une modération remarquable et a semblé
avoir complètement abandonné certaines
conceptions envisageant la force comme un
remède aux maux de l'Europe. Le fait que,
à la suite de cette déclaration, la presque
unanimité de la Chambre — hormis les
socialistes et les communistes - a, voté
l'ordre du jour de confiance est d'un heu-
reux augure. Ce débat. marque donc un.
changement dans l'attitude des hommes po-
litiques français.
L'Entente sort de cette épreuve grande-
ment fortifiée. On se rend compte en Fran-
ce, comme on ne l'a jamais fait jusqu'ici,
des sentiments d'amitié de la Grande-Bre-
tagne et de la nécessité de s'abstenir de toute
aventure qui pourrait mettre en péril l'ami-
tié franco-britannique. Aucun de ceux qui
se trouvaient vendredi soir dans les cou-
loirs de la Chambre n'a pu douter que le
gouvernement. Poincaré ne fût menacé, et
jusqu'à une heure avancée de la nuit on
pouvait se demander s'il ne serait pas ren-
versé. Il ne faudrait pas s'imaginer parce
que M. Poincaré a obtenu, en fin de compte
cette grosse majorité, qu'il ne fut pas me-
nacé. Mais cette remarque ne diminue en
rien l'importance du débat de vendredi, ni
de sa conclusion.
M- Tardieu lui-même, à qui sont allés des
applaudissements auxquels il n'est plus ha-
bitué depuis quelque temps, a semblé être
opposé à ce que l'on appelle aujourd'hui la
politique de la Ruhr. M. André Lefèvre
après avoir entendu M. Poincaré, lui donna
son appui entier. M. Léon Daudet, se dé-
clara partisan de M. Poincaré. Il en fut de
même de M. Herriot. Le résultat net de ces
débats fut que la Chambre, sans aban-
donner aucun droit français, en se réser-
vant la possibilité d'une action ultérieure
des plus rigoureuses, dût cette action être
isolée, préfère pour l'instant procéder avec
circonspection et donner à M. Poincaré toute
facilité d'aboutir à un accord amical avec
M. Bonar Law. Cela dit, il n'en reste
pas moins que la France est résolue à met-
tre un terme à la politique de faiblesse et
DES
MRES ÉTRANGÈRES
-
tf
N° 2233
Mardi 19 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. - L'ajournement de la
conférence de Londres (Deutsche Zei-
turtg). - Les déclarations de M. Poin-
0aré à la Chambre des députés, le 15 dé-
cembre (Kôlnische Zeitung, Vonwarts,
erliner Tageblatt, Kreuz-Zeitung,
F ranl£fu.rter Zeitung, Georg Bernhard
ans Vossische Zeitung). - L'industrie
Amande et les réparations (Frankfur-
p ter Zeitung).
I ,E AMÉIUCAINE. - Les Etats-Unis et l'Au-
~iche (New York Call). - Les Etats-
tini's e t la liberté des Détroits (North
p APlerican Review, Boston Transcript).
p lSl: ANGLAISE. - Les déclarations de M.,
P_Qincaré à la Chambre des Députés, le
ecembre (Times). - Les réparations:
les intentions des Etats-Unis (Daily Te-
IJgra.ph). - La Turquie et la question de
°ssoul (Perceval Landon dans Daily
])nEselegraph).
"SE ESPAGNOLE. - L'ajournement de la
_°nférence de Londres (Epoca). -
p Espagne et Tanger (Epoca).
SE ITALIENNE. - Les réparations : les
I entions des Etats-Unis (Corriere
aella Sera)
------- —————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
bt ¡}OURNEMENT DE LA CONFERENCE
l'éon ONDRE,S. - PRESSE ESPAGNOLE. - De
'ÉCHE, C <'e la conférence de Londres, il ré-
àQTI: qu on n'entrevoit pas d'issue à la voie
a(*Ue^e' se trouvent engagées les plus
grand I]8 nations d'Europe, et avec elles, au
Point 'dl Vue économique, le monde entier.
M. p Dm-café a pu douloureusement se ren-
qUe e de la force d'unité de la politi-
er'eiire de l'Angleterre et il a trouvé
laftitn ,e mflexiùJl-e de Lloyd George main-
J;'r&n Par nonar Law. Il est naturel que la
^ranc ayant d'un coté un débiteur qui
~t engagé à lui payer tout ce dont elle a
qu'eu dans les moments très difficiles
ul elle avers'e, veuille, à tout prix être
les' ee; mais il est non moins naturel que
les autre's Pays, même, agissant avec la
plus scrupuleuse loyauté à l'égard de la
^rance n ava't pas la même foi ni la même
ctIlce qu'elle dans les moyens que, ob-
sédée par la nécessité, celle-ci envisage
pour réaliser le paiement de sa créance.
Le système des occupations militaires a pour
effet d'aviver les blessures de la défaite, enlève
à l'Allemagne des moyens précieux pour assurer
son existence. et enfin coûte cher à la France,
bien que celle-ci porte au compte de l'Allemagne
toutes ses dépenses d'occupation.
Comment croire qu'en, étendant le sys-
tème de ces occupations et tous les maux
qui en dérivent, on pourra trouver le re-
mède ?
Pour ceux qui croient que l'Allemagne
non seulement n'a pas les moyens de payer,
mais encore n'a pas l'intention de payer, il
est encore moins possible d'envisager que
l'on puisse remédier à la situation en éten-
dant. le système, des occupations; en effet, s'il
est certain que l'Allemagne est résolue à
faire que tous les peuples périssent avec
elle, doit-on aiboutir à un autre résultat, en
étendant l'occupation de ses territoires, que
de l'affermir dans ses desseins ? De telle
sorte qu'en écartant les bruits d'après les-
quels la sidérurgie anglaise redoute la con-
currence que la sidérurgie française est en
train de lui faire, il est évident qu'il y a
des raisons de poids pour que la proposi-
tion du président du Conseil français ait été
repoussée à Londres.
Un préjugé continue à prévaloir parmi les
gouvernements d'Europe, qui a été une des
grandes causes de la guerre, c'est de croire
que, les armes à la main, on peut résoudre
une question de fatale décadence économi-
que, une lutte pour l'hégémonie économique
du monde. Comme la solidarité économi-
que de tous les peuples de la terre est une
loi inexorable, il n'est pas possible de cau-
ser un préjudice sérieux à personne sans
que ce préjudice retombe sur la tête de ce-
lui qui le produit.
C'est là que réside la gravité du problème.
EPOCA [de Madrid], 14.12.
PRESSE ALLEMANDE. - Dans l'ensemble, les
négociations ont fait naître cette impres-
sion qu'en France on se rend compte que
la politique de réparations est au bout d'une
impasse, mais on croit pourtant pratique
une politique de gages avec l'appui de l'An-
gleterre et de l'Italie. Le mémoire de Mus-
solini s'exprime déjà indubitablement en
ce siens, en soutenant que l'effort de l'En-
tente doit être plutôt de tirer davantage de
l'Allemagne que de payer l'Amérique et
l'Angleterre. Mussolini estime que les det-
tes interalliées sont d'une espèce toute parti-
culière et ne peuvent se comparer aux
ordinaires.
Ajoutons que dans la question des répara-
tions, on ne peut non plus parler de dettes
ordinaires, mais bien de dettes écrasantes.
DEUTSCHE ZEITUNG, 16.12, soir.
LES DECLARATIONS DE M. POINCARE
A LA CHAMBRE DES DÉPUTÉS, LE 15 DÉCEMBRE.
- PRESSE ANGLAISE. - Sous le titre : « La
majorité de M. Poincaré. - Fermeté et
prudence ». De Paris, 17 décembre : Après
l'écrasante majorité de 6 contre 1 obtenue
à la Chambre par M. Poincaré, de bonne
heure samedi matin, il est clair que le mou-
vement dirigé contre lui et qui à un moment
donné avait pris des proportions redouta-
bles est. enrayé pour l'instant.
Ce qui ajoute à la signification de ce
vote, c'est, que malgré le courant d'opinion
qui s'est manifesté en faveur de l'occupation
de la Ruhr, ou de quelque autre mesure
radicale également inacceptable pour la
Grande-Bretagne; M. Poincaré a parlé avec
une modération remarquable et a semblé
avoir complètement abandonné certaines
conceptions envisageant la force comme un
remède aux maux de l'Europe. Le fait que,
à la suite de cette déclaration, la presque
unanimité de la Chambre — hormis les
socialistes et les communistes - a, voté
l'ordre du jour de confiance est d'un heu-
reux augure. Ce débat. marque donc un.
changement dans l'attitude des hommes po-
litiques français.
L'Entente sort de cette épreuve grande-
ment fortifiée. On se rend compte en Fran-
ce, comme on ne l'a jamais fait jusqu'ici,
des sentiments d'amitié de la Grande-Bre-
tagne et de la nécessité de s'abstenir de toute
aventure qui pourrait mettre en péril l'ami-
tié franco-britannique. Aucun de ceux qui
se trouvaient vendredi soir dans les cou-
loirs de la Chambre n'a pu douter que le
gouvernement. Poincaré ne fût menacé, et
jusqu'à une heure avancée de la nuit on
pouvait se demander s'il ne serait pas ren-
versé. Il ne faudrait pas s'imaginer parce
que M. Poincaré a obtenu, en fin de compte
cette grosse majorité, qu'il ne fut pas me-
nacé. Mais cette remarque ne diminue en
rien l'importance du débat de vendredi, ni
de sa conclusion.
M- Tardieu lui-même, à qui sont allés des
applaudissements auxquels il n'est plus ha-
bitué depuis quelque temps, a semblé être
opposé à ce que l'on appelle aujourd'hui la
politique de la Ruhr. M. André Lefèvre
après avoir entendu M. Poincaré, lui donna
son appui entier. M. Léon Daudet, se dé-
clara partisan de M. Poincaré. Il en fut de
même de M. Herriot. Le résultat net de ces
débats fut que la Chambre, sans aban-
donner aucun droit français, en se réser-
vant la possibilité d'une action ultérieure
des plus rigoureuses, dût cette action être
isolée, préfère pour l'instant procéder avec
circonspection et donner à M. Poincaré toute
facilité d'aboutir à un accord amical avec
M. Bonar Law. Cela dit, il n'en reste
pas moins que la France est résolue à met-
tre un terme à la politique de faiblesse et
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Groupe Bayard Groupe Bayard /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Groupe Bayard" or dc.contributor adj "Groupe Bayard")
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/10
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252531z/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252531z/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252531z/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252531z/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252531z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252531z
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252531z/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest