Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 décembre 1922 18 décembre 1922
Description : 1922/12/18 (T22,N2232). 1922/12/18 (T22,N2232).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252530j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
D il 8
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2232
Lundi 18 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. -. Les réparations : l'at-
itude de l'industrie allemande (Berliner
en-Courier, Rheinisch-Westfälis-
che Zeitung) ; une déclaration de M. Sil-
P Verberg (Frankfurter Zeitung).
FTF-SSE AMÉHlCAINE. — L'accord des quatre
Puissances du Pacifique : la non-ratifi-
cation par la France (World). — L'ami-
16 franco-américaine (Boston Trans-
ept). - Réparations et dettes interal-
PR lees (New York Times).
PnESSE: ANGLAISE. — La France et la Ruhr
estlninster Gazette); l'opinion du pré-
SIdent Harding ? (Times). — Les dé-
taxations de M. Poincaré à la Chambre
Des deputés, le 15 décembre (Times,
K Daity Mail).
V ESPAGNOLE. — L'Entente et la Russie
il Lausanne (Cesar Falcon dans Libe-
rai.)
^EsspITALIENNE. — Les réparations : le
Projet italien (Tribuna). — La France et
Q| Ruhr (Giuseppe Bevione dans Gaz-
Zctla del Popolo).
POLITltlUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^AlîrîîlTXJlDE DE L'INDUSTRIE ALLE-
titre E [Cf. Bulletin, n° 2231]. — Sous le
Utre ELARGISSEMENT DES PROPOSITIONS AL-
Es "• - Dans les milieux parlementai-
tes, l'pression générale, un peu inquiète
urs des derniers jours, s'est considé-
pQb le ent améliorée à la suite des déclara-
lions nettes des représentants de l'indus-
Vie ef' en particulier, du Dr Sorge. Puis-
qu'on a maintenant la certitude que l'indus-
trie al lemande veut collaborer à la solution
du pro'éine des réparations, le projet du
§0~
ilu m:r:ement allemand se retrouve poussé
leu de l'intérêt politique. Dans les
'ftiligy ^e l'Entente à Berlin on a, ainsi,
tolrle l'annonce la « D. T. A. », accueilli
Svec une grande satisfaction la nouvelle de
tet bo rlme disposition de l'industrie, et on
espère, qu'une nouvelle exploitation des
fjn (jr ,10ns allemandes est encore possible.
déc]~~ dans les milieux politiques que
PI'esse e sérieusement changée de la
presse française sur la question de l'occu-
tee au e la Ruhr ne doit pas être rappor-
l'inàusf tractations encore en cours entre
)'~ ', rie allemande et l'industrie française,
qui doivent jouer ainsi une certain rôle
dans la solution de la question des répa-
rations. Tous ces projets, ces conversations
et ces tractations sont encore à l'heure ac-
tuelle en suspens et on n'en peut encore
rien dire. Une seule chose est sûre, c'est
que le gouvernement aussi garde de son
côté la perspective d'un développement ul-
térieur de ses projets et cherchera à tenir
compte des nouvelles circonstances sur la
base des indications de l'ancien secrétaire
d'Etat, Bergmann, pour pouvoir le présen-
ter à un moment donné, par exemple le 2
janvier 1923 à Paris, après les modifications
au projet primitif, peut-être même avec une
garantie industrielle. On croit dans les
milieux parlementaires qu'on arrivera d'ici
le 2 janvier à avancer les choses de façon
si essentielle que l'Entente elle-même ne
pourra plus se refuser à admettre les pro-
jets allemands. De la lettre de Bonar Law
au chancelier, il ressort clairement que l'An-
gleterre ne considère pas encore les projets
allemands comme définitivement rejetés,
mais elle est d'avis que la rupture avec l'Al-
lemagne n'est que le résultat de la situation
momentanée. Comme à Paris la situation
de Poincaré s'est de nouveau un peu amé-
liorée par le changement de tactique du
Président du conseil, de même le cabinet
Cuno a trouvé une solidité nouvelle par la
déclaration de l'industrie.
BERLINER BOERSEN COURIER,
15.12, matin.
« CHANCELlEH-INDUSTRIE-POINCARÉ » [sous
ce titre]. — « L'industrie est prête à colla-
borer à toute solution qui fasse envisager
une amélioration durable des conditions
politiques et économiques de l'Allemagne x.
Cette déclaration nette de Sorge, porte-
parole de l'Union d'Empire, est tout à fait
propre à réfuter les bruits de discussion
dans l'industrie. Nous avons dû nous éle-
ver, à différentes reprises, contre un accord
provisoire sur les réparations parce que
nous ne voulions pas — comme ce fut le
cas lors des négociations de Hermes à Pa-
ris - que l'on nous imposât le respect de
promesses faites par nous sans nous accor-
der les conditions auxquelles nous les
avions formulées. L'emprunt n'a de sens
— à l'intérieur comme à l'extérieur — que
si Cuno obtient l'égalité économique, une
fixation raisonnable des réparations avec
moratorium et abandon des charges impro
ductives ; sinon on s'engage sans utilité.
C'est pourquoi nous nous sommes élevés
contre l'accord de Stinnes sur les presta-
tions en nature, qui ne prévoyait pas de
contre-parties correspondantes ; sans avan
tages réciproques, les accords provisoires
sont de très mauvais travail. Il n'y a pas
de divergences entre le gouvernement et
l'industrie, si leur but commun est d'obte-
nir une solution rapide et satisfaisante. Il
est certain que l'étranger ne sera pas dis-
posé à un emprunt sur la base d'une demi-
décision ; les résultats de la conférence m
ternationale des banquiers confirment cette
vérité. On peut douter si Cuno obtiendra un
succès, même si les espérances qu'il fonde
sur les Anglo-Saxons sont justifiées, tant
que la principale intéressée, la France,
n'abat pas ses cartes.
Le Rhin reste le programme historique de
la France, depuis au moins 300 ans. Dans
le fond du cœur, la France est unanime sur
ce point. Poincaré s'est présenté comme le
héraut de ce projet — peut-il le jeter par-
dessus bord ? Lloyd George, dans son do-
cument accusateur, a montré le vrai visage
du Lorrain au monde abusé par la presse
Northcliffe — devrions-nous être plus crédu
les que l'allié d'au delà de la Manche ?
Poincaré est avocat, il connaît tous les dé-
tours d'une Chambre dont il est prisonnier.
Les radicaux-socialistes, le grand espoir de
nos partisans de l'Entente avec la France,
réclament l'occupation de la Ruhr. Renver-
sement des rôles ? Mais non ! Leur chef,
Herriot, a mis à jour son amitié pour les
Russes lors de son pèlerinage, et Franklin-
Bouillon est l'enfant chéri des Turcs. Mais
l'occupation de la Ruhr peut élargir la cre-
vasse entre l'Angleterre et la France ;
l'amitié des Turcs et des Russes paraît alors
d'autant. plus souhaitable pour la France.
Poincaré doit encore attendre pour voir
comment le jeu va se développer. Les au-
tres Français qui, groupés autour de Lou-
cheur, dénomment leur politique rhénane
« entente économique » ne se contentent
guère de la remise des dettes ; ils veulent
davantage.
Doit-on se rallier à eux ? C'est la seconde
question que se pose Raymond Poincaré.
Le Rhin est menacé ; il restera menacé.
RHEINISCH-WESTFAELISCHE ZEITUNG,
15.12, matin.
UNE DÉCLARATION DU Dr SILVERBERG. — De
Cologne, 14 décembre : Le directeur général,
Dr Silverberg, a fait une déclaration dans
la Kölnische Zeitung sur la dernière offre
du gouvernement. d'Empire au sujet des ré-
parations. Il établit d'abord que l' industrie
n'a pas été invitée à l'élaboration de cette
offre et qu'il ne saurait par suite être nul-
lement question d'un rejet de l'industrie ou
de sa collaboration. Sur le contenu essentiel
de l'offre, il déclare :
« Si on avait discuté avec les industriels
ce projet de solution intermédiaire, on au-
rait peut-être évité la faute de présenter ce
projet comme une pure construction finan-
cière. On aurait peut-être pu coordonner
cette construction financière qui est en
D il 8
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2232
Lundi 18 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. -. Les réparations : l'at-
itude de l'industrie allemande (Berliner
en-Courier, Rheinisch-Westfälis-
che Zeitung) ; une déclaration de M. Sil-
P Verberg (Frankfurter Zeitung).
FTF-SSE AMÉHlCAINE. — L'accord des quatre
Puissances du Pacifique : la non-ratifi-
cation par la France (World). — L'ami-
16 franco-américaine (Boston Trans-
ept). - Réparations et dettes interal-
PR lees (New York Times).
PnESSE: ANGLAISE. — La France et la Ruhr
estlninster Gazette); l'opinion du pré-
SIdent Harding ? (Times). — Les dé-
taxations de M. Poincaré à la Chambre
Des deputés, le 15 décembre (Times,
K Daity Mail).
V ESPAGNOLE. — L'Entente et la Russie
il Lausanne (Cesar Falcon dans Libe-
rai.)
^EsspITALIENNE. — Les réparations : le
Projet italien (Tribuna). — La France et
Q| Ruhr (Giuseppe Bevione dans Gaz-
Zctla del Popolo).
POLITltlUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^AlîrîîlTXJlDE DE L'INDUSTRIE ALLE-
titre E [Cf. Bulletin, n° 2231]. — Sous le
Utre ELARGISSEMENT DES PROPOSITIONS AL-
Es "• - Dans les milieux parlementai-
tes, l'pression générale, un peu inquiète
urs des derniers jours, s'est considé-
pQb le ent améliorée à la suite des déclara-
lions nettes des représentants de l'indus-
Vie ef' en particulier, du Dr Sorge. Puis-
qu'on a maintenant la certitude que l'indus-
trie al lemande veut collaborer à la solution
du pro'éine des réparations, le projet du
§0~
ilu m:r:ement allemand se retrouve poussé
leu de l'intérêt politique. Dans les
'ftiligy ^e l'Entente à Berlin on a, ainsi,
tolrle l'annonce la « D. T. A. », accueilli
Svec une grande satisfaction la nouvelle de
tet bo rlme disposition de l'industrie, et on
espère, qu'une nouvelle exploitation des
fjn (jr ,10ns allemandes est encore possible.
déc]~~ dans les milieux politiques que
PI'esse e sérieusement changée de la
presse française sur la question de l'occu-
tee au e la Ruhr ne doit pas être rappor-
l'inàusf tractations encore en cours entre
)'~ ', rie allemande et l'industrie française,
qui doivent jouer ainsi une certain rôle
dans la solution de la question des répa-
rations. Tous ces projets, ces conversations
et ces tractations sont encore à l'heure ac-
tuelle en suspens et on n'en peut encore
rien dire. Une seule chose est sûre, c'est
que le gouvernement aussi garde de son
côté la perspective d'un développement ul-
térieur de ses projets et cherchera à tenir
compte des nouvelles circonstances sur la
base des indications de l'ancien secrétaire
d'Etat, Bergmann, pour pouvoir le présen-
ter à un moment donné, par exemple le 2
janvier 1923 à Paris, après les modifications
au projet primitif, peut-être même avec une
garantie industrielle. On croit dans les
milieux parlementaires qu'on arrivera d'ici
le 2 janvier à avancer les choses de façon
si essentielle que l'Entente elle-même ne
pourra plus se refuser à admettre les pro-
jets allemands. De la lettre de Bonar Law
au chancelier, il ressort clairement que l'An-
gleterre ne considère pas encore les projets
allemands comme définitivement rejetés,
mais elle est d'avis que la rupture avec l'Al-
lemagne n'est que le résultat de la situation
momentanée. Comme à Paris la situation
de Poincaré s'est de nouveau un peu amé-
liorée par le changement de tactique du
Président du conseil, de même le cabinet
Cuno a trouvé une solidité nouvelle par la
déclaration de l'industrie.
BERLINER BOERSEN COURIER,
15.12, matin.
« CHANCELlEH-INDUSTRIE-POINCARÉ » [sous
ce titre]. — « L'industrie est prête à colla-
borer à toute solution qui fasse envisager
une amélioration durable des conditions
politiques et économiques de l'Allemagne x.
Cette déclaration nette de Sorge, porte-
parole de l'Union d'Empire, est tout à fait
propre à réfuter les bruits de discussion
dans l'industrie. Nous avons dû nous éle-
ver, à différentes reprises, contre un accord
provisoire sur les réparations parce que
nous ne voulions pas — comme ce fut le
cas lors des négociations de Hermes à Pa-
ris - que l'on nous imposât le respect de
promesses faites par nous sans nous accor-
der les conditions auxquelles nous les
avions formulées. L'emprunt n'a de sens
— à l'intérieur comme à l'extérieur — que
si Cuno obtient l'égalité économique, une
fixation raisonnable des réparations avec
moratorium et abandon des charges impro
ductives ; sinon on s'engage sans utilité.
C'est pourquoi nous nous sommes élevés
contre l'accord de Stinnes sur les presta-
tions en nature, qui ne prévoyait pas de
contre-parties correspondantes ; sans avan
tages réciproques, les accords provisoires
sont de très mauvais travail. Il n'y a pas
de divergences entre le gouvernement et
l'industrie, si leur but commun est d'obte-
nir une solution rapide et satisfaisante. Il
est certain que l'étranger ne sera pas dis-
posé à un emprunt sur la base d'une demi-
décision ; les résultats de la conférence m
ternationale des banquiers confirment cette
vérité. On peut douter si Cuno obtiendra un
succès, même si les espérances qu'il fonde
sur les Anglo-Saxons sont justifiées, tant
que la principale intéressée, la France,
n'abat pas ses cartes.
Le Rhin reste le programme historique de
la France, depuis au moins 300 ans. Dans
le fond du cœur, la France est unanime sur
ce point. Poincaré s'est présenté comme le
héraut de ce projet — peut-il le jeter par-
dessus bord ? Lloyd George, dans son do-
cument accusateur, a montré le vrai visage
du Lorrain au monde abusé par la presse
Northcliffe — devrions-nous être plus crédu
les que l'allié d'au delà de la Manche ?
Poincaré est avocat, il connaît tous les dé-
tours d'une Chambre dont il est prisonnier.
Les radicaux-socialistes, le grand espoir de
nos partisans de l'Entente avec la France,
réclament l'occupation de la Ruhr. Renver-
sement des rôles ? Mais non ! Leur chef,
Herriot, a mis à jour son amitié pour les
Russes lors de son pèlerinage, et Franklin-
Bouillon est l'enfant chéri des Turcs. Mais
l'occupation de la Ruhr peut élargir la cre-
vasse entre l'Angleterre et la France ;
l'amitié des Turcs et des Russes paraît alors
d'autant. plus souhaitable pour la France.
Poincaré doit encore attendre pour voir
comment le jeu va se développer. Les au-
tres Français qui, groupés autour de Lou-
cheur, dénomment leur politique rhénane
« entente économique » ne se contentent
guère de la remise des dettes ; ils veulent
davantage.
Doit-on se rallier à eux ? C'est la seconde
question que se pose Raymond Poincaré.
Le Rhin est menacé ; il restera menacé.
RHEINISCH-WESTFAELISCHE ZEITUNG,
15.12, matin.
UNE DÉCLARATION DU Dr SILVERBERG. — De
Cologne, 14 décembre : Le directeur général,
Dr Silverberg, a fait une déclaration dans
la Kölnische Zeitung sur la dernière offre
du gouvernement. d'Empire au sujet des ré-
parations. Il établit d'abord que l' industrie
n'a pas été invitée à l'élaboration de cette
offre et qu'il ne saurait par suite être nul-
lement question d'un rejet de l'industrie ou
de sa collaboration. Sur le contenu essentiel
de l'offre, il déclare :
« Si on avait discuté avec les industriels
ce projet de solution intermédiaire, on au-
rait peut-être évité la faute de présenter ce
projet comme une pure construction finan-
cière. On aurait peut-être pu coordonner
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