Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 décembre 1922 15 décembre 1922
Description : 1922/12/15 (T22,N2230). 1922/12/15 (T22,N2230).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252528g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
t
1 t MINISTÈRE
DES
~~ES ÉTRANGÈRES
N° 2230
Vendredi 15 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,%MOW
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article,
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
hlESSE ALLEMANDE. — L'ajournement de la
conférence de Londres (Berliner Bör-
Sen-Courier, Deutsche Zeitung), -
^attitude de l'industrie allemande
(Deutsche Allgemeine Zeitung). — La
'"Qnce et les gages (Frankfurter Zei-
tun9).
PHESSE ANGLAISE. — L'ajournement de la
Conférence de Londres (Manchester
l'iiardian). — La France et les gages
limes, Daily News, Times); les décla-
l'ations de M. Bonar Law aux Commu-
as, le 12 décembre (Manchester Guar-
dian.) — L'évacuation de la 3e zone de
^'Iniatie : le statut de Sussak et Zara
(Baily Telegraph). — Le problème des
nllnorités dans le Proche Orient ; Iti'
thèse britannique (Daily Telegraph).
FTF:SSE ESPAGNOLE. -=- L'ajournement de la
conférence de Londres (Epoca).
htESSE ITALIENNE. — Les réparations ; le
projet. italien (Corriere della Sera. Stam-
Pa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ÙE V0URNEMENT DE LA CONFERENCE
NDRES- — PRESSE ALLEMANDE. —
L'ai Urnernent n'est pas en soi un malheur,
même S Il est naturellement un symptôme
réjouissant. Mais au point de vue des
efjg. s DJecUfs il est avant tout une chose
,~ ~Dius forte justification de l'Allemagne-
Car il apparait que le projet allemand qui,
d'après le procès-verbal officiel de la Con-
félCe' a « aussi » examiné et jugé « in-
suffi s^t »; qui est toujours le plus utili-
1111' e etant le plus proche de la ligne d'une
union Possible.
Possible.
Des nouvelles vite fabriquées parleront
lrpment d, « re j et unanime » en d'au-
lre termes de la corbeille à papier. Il est
rn,ai ,ei*ant superflu de jouer sur les mots.
los .-i;i avant d'^Mrder les conceptions
Plus Prudentes on devait se dire que
«rejet » ne pouvait être que le mot le plus
pour le fait que les puissances aDices
1O."I1.t len t leurs propres projets respective-
tn courir
}.'faI)s seraient les suivants : pour la
France l :OCCupatkm considérée à la fois comme
source de Profits et comme moyen de contrainte,
^-gique l'occuipation élastique, pour
l'Angleterre les solutions intermédiaires, pour
,es sé_ curités économiques au lieu des sé-
-8 militaires.
Cela aurait été dans des circonstances si
incertaines un travail vain pour l'Allema-
gne que de faire le projet d'un plan techni-
que exécutable. Si les puissances alliées
étaient hors d'état de s'entendre entre elles
même sur les lignes fondamentales, com-
ment la première offre allemande avait-elle
chance d'être acceptée par eux et préférée
à leurs propres projets ! En réalité aussi
l'Allemagne ne pouvait pour le moment que
caractériser la situation. Elle le fit sous la
forme qui l'engageait moins d'un mémoire
à Bonar Law. L'Allemagne, comme chacun
le concède, n'est pas en cet instant capable
de payer ; pour en devenir capable elle a
besoin d'emprunts ; pour pouvoir les finan-
cer elle ii besoin d'une prompte libération
de toutes les autres charges. Les emprunts
elle veut les entreprendre, et aussi à l'inté-
rieur, elle veut les affecter pour la plus
grande partie à des paiements immédiats,
en moindre part à la stabilisation de son
change. Du côté allemand, fournir des Il ga-
ges » n'aurait eu aucun sens, car comme
on l'a dit : les gages et les saisies qui vont
aux créanciers politiques sont autant de
perdu pour les créanciers de l'emprunt. Des
« sécurités » économiques et financières Il
serait temps de parler dès que la pensée
fondamentale de l'étranger aurait fait l'ob-
jet d'un accord.
BERLINER BOERSEN COURIER,
12.12, matin.
- Sous le titre : « Après la bataille ». —
Il nous semble que l'attitude de l'Amérique
a joué un rôle décisif dans la rupture de la
conférence. Une information « Deta », de
Londres, dit à ce sujet :
Derrière les coulisses de Londres règne
une grande agitation touchant le rôle que
les Américains ont joué. Dans les milieux
français on oppose la plus vive méfiance
aux déclarations émanant de Washington.
On croit à des accords secrets entre l'Amé-
rique et l'Angleterre sur le règlement des
dettes interalliées, et notamment à une re-
mise partielle des dettes anglaises envers
l'Amérique, On croit à ce sujet que le chan-
celier de l'échiquier Baldwin se rendra à
Washington à la fin de ce mois pour dis-
cuter la question. On tend aussi à penser
qu'il existe certains accords secrets sur tout
un ensemble de questions entre l'Amérique
et l'Angleterre d'une part et l'Allemagne
d'autre part. Dans les commentaires sur la
conférence, ces bruits reviennent sans
cesse.
Dans les milieux gouvernementaux alle-
mands on considère que la situation est cri-
tique, mais on a confiance. On est d'avis
qu'on a tout fait, en dépit du peu de temps
dont disposait le cabinet, pour présenter des
projets pratiques et démontrer la bonne vo j
lonté du cabinet. On peut se réjouir de
constater que les milieux gouvernementaux
partagent cette idée que les mesures de con-
trainte ou les menaces ne peuvent avoir
pour résultat que de rendre caduques les
propositions faites.
DEUTSCHE ZEITUNG„ 13.12, matin.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Les
répercussions à Lausanne ». - De Londres
11 décembre : Les chances d'aboutir à un
règlement dans le Proche Orient dépendent
presque entièrement du maintien d'une cer-
taine mesure d'unité franco-britannique en
Occident. Nul n'ignore que depuis trois jours
Lord Curzon et M. Poincaré suivent les évé-
nements de Londres avec une grande in-
quiétude, tandis que M. Tchitcherine en at-
tend une rupture qui rejetterait Ismet Pacha
dans ses bras.
De son côté, le gouvernement britannique
s'est rendu compte qu'une rupture formelle
avec la France serait loin de contribuer à
la solution des problèmes légués par la
guerre. Il serait toujours nécessaire, par
exemple, d'aboutir là un accord sur les ré-
parations.
C'est pourquoi la politique adoptée ce ma-
tin par le cabinet et que M. Bonar Law
suivit à la conférence cet après-midi a con-
sisté, d'une part, à rejeter nettement la poli-
tique française relative à la Ruhr, et d'au
tre part à refuser de rompre avec la France
LES « GAGES PRODUCTIFS ». — Au mois
d'août dernier, le cabinet de M. Lloyd Geor-
ge fit exactement de même en ce qui con-
cerne cette question coutumière des répa-
rations. M. Lloyd George résuma la situa-
tion en disant que l'on avait convenu de
garder chacun son avis Le gouvernement
actuel a préféré la formule de « l'ajourne-
ment » de la conférence.
Il est vrai que le cabinet- Bonar Law a
fait savoir à M. Poincaré qu'il était dispo-
sé à faire au point de vue français plus de
concessions que son prédécesseur. Il a dé-
claré, par exemple, au cours des négocia-
tions, qu'il ne demandait pas mieux que
d'examiner dans un esprit bienveillant la
question des « gages productifs » que cons-
tituerait par exemple la saisie des douanes
allemandes et des mines et forêts de l'Etat
allemand, mesure que rejeta M. Uoyd
George au mois d'août. Mû par un curieux
esprit de contradiction, M. Poincaré a
écarté lui-même la possibilité d'un accord
dans ce sens, en abandonnant la méthode
des « gages productifs Il en faveur de la
mesure plus radicale de l'occupation de la
Ruhr. - (Du correspondant particulier.)
MANCHESTER GUARDIAN, 12.12,
PRESSE ESPAGNOLE. — L'échec de la Con-
férence de Londres est pour nous un événe-
ment lamentable et il l'est pour deux rai-
1 t MINISTÈRE
DES
~~ES ÉTRANGÈRES
N° 2230
Vendredi 15 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
,%MOW
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article,
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
hlESSE ALLEMANDE. — L'ajournement de la
conférence de Londres (Berliner Bör-
Sen-Courier, Deutsche Zeitung), -
^attitude de l'industrie allemande
(Deutsche Allgemeine Zeitung). — La
'"Qnce et les gages (Frankfurter Zei-
tun9).
PHESSE ANGLAISE. — L'ajournement de la
Conférence de Londres (Manchester
l'iiardian). — La France et les gages
limes, Daily News, Times); les décla-
l'ations de M. Bonar Law aux Commu-
as, le 12 décembre (Manchester Guar-
dian.) — L'évacuation de la 3e zone de
^'Iniatie : le statut de Sussak et Zara
(Baily Telegraph). — Le problème des
nllnorités dans le Proche Orient ; Iti'
thèse britannique (Daily Telegraph).
FTF:SSE ESPAGNOLE. -=- L'ajournement de la
conférence de Londres (Epoca).
htESSE ITALIENNE. — Les réparations ; le
projet. italien (Corriere della Sera. Stam-
Pa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ÙE V0URNEMENT DE LA CONFERENCE
NDRES- — PRESSE ALLEMANDE. —
L'ai Urnernent n'est pas en soi un malheur,
même S Il est naturellement un symptôme
réjouissant. Mais au point de vue des
efjg. s DJecUfs il est avant tout une chose
,~ ~Dius forte justification de l'Allemagne-
Car il apparait que le projet allemand qui,
d'après le procès-verbal officiel de la Con-
félCe' a « aussi » examiné et jugé « in-
suffi s^t »; qui est toujours le plus utili-
1111' e etant le plus proche de la ligne d'une
union Possible.
Possible.
Des nouvelles vite fabriquées parleront
lrpment d, « re j et unanime » en d'au-
lre termes de la corbeille à papier. Il est
rn,ai ,ei*ant superflu de jouer sur les mots.
los .-i;i avant d'^Mrder les conceptions
Plus Prudentes on devait se dire que
«rejet » ne pouvait être que le mot le plus
pour le fait que les puissances aDices
1O."I1.t len t leurs propres projets respective-
tn courir
}.'faI)s seraient les suivants : pour la
France l :OCCupatkm considérée à la fois comme
source de Profits et comme moyen de contrainte,
^-gique l'occuipation élastique, pour
l'Angleterre les solutions intermédiaires, pour
,es sé_ curités économiques au lieu des sé-
-8 militaires.
Cela aurait été dans des circonstances si
incertaines un travail vain pour l'Allema-
gne que de faire le projet d'un plan techni-
que exécutable. Si les puissances alliées
étaient hors d'état de s'entendre entre elles
même sur les lignes fondamentales, com-
ment la première offre allemande avait-elle
chance d'être acceptée par eux et préférée
à leurs propres projets ! En réalité aussi
l'Allemagne ne pouvait pour le moment que
caractériser la situation. Elle le fit sous la
forme qui l'engageait moins d'un mémoire
à Bonar Law. L'Allemagne, comme chacun
le concède, n'est pas en cet instant capable
de payer ; pour en devenir capable elle a
besoin d'emprunts ; pour pouvoir les finan-
cer elle ii besoin d'une prompte libération
de toutes les autres charges. Les emprunts
elle veut les entreprendre, et aussi à l'inté-
rieur, elle veut les affecter pour la plus
grande partie à des paiements immédiats,
en moindre part à la stabilisation de son
change. Du côté allemand, fournir des Il ga-
ges » n'aurait eu aucun sens, car comme
on l'a dit : les gages et les saisies qui vont
aux créanciers politiques sont autant de
perdu pour les créanciers de l'emprunt. Des
« sécurités » économiques et financières Il
serait temps de parler dès que la pensée
fondamentale de l'étranger aurait fait l'ob-
jet d'un accord.
BERLINER BOERSEN COURIER,
12.12, matin.
- Sous le titre : « Après la bataille ». —
Il nous semble que l'attitude de l'Amérique
a joué un rôle décisif dans la rupture de la
conférence. Une information « Deta », de
Londres, dit à ce sujet :
Derrière les coulisses de Londres règne
une grande agitation touchant le rôle que
les Américains ont joué. Dans les milieux
français on oppose la plus vive méfiance
aux déclarations émanant de Washington.
On croit à des accords secrets entre l'Amé-
rique et l'Angleterre sur le règlement des
dettes interalliées, et notamment à une re-
mise partielle des dettes anglaises envers
l'Amérique, On croit à ce sujet que le chan-
celier de l'échiquier Baldwin se rendra à
Washington à la fin de ce mois pour dis-
cuter la question. On tend aussi à penser
qu'il existe certains accords secrets sur tout
un ensemble de questions entre l'Amérique
et l'Angleterre d'une part et l'Allemagne
d'autre part. Dans les commentaires sur la
conférence, ces bruits reviennent sans
cesse.
Dans les milieux gouvernementaux alle-
mands on considère que la situation est cri-
tique, mais on a confiance. On est d'avis
qu'on a tout fait, en dépit du peu de temps
dont disposait le cabinet, pour présenter des
projets pratiques et démontrer la bonne vo j
lonté du cabinet. On peut se réjouir de
constater que les milieux gouvernementaux
partagent cette idée que les mesures de con-
trainte ou les menaces ne peuvent avoir
pour résultat que de rendre caduques les
propositions faites.
DEUTSCHE ZEITUNG„ 13.12, matin.
PRESSE ANGLAISE. — Sous le titre : « Les
répercussions à Lausanne ». - De Londres
11 décembre : Les chances d'aboutir à un
règlement dans le Proche Orient dépendent
presque entièrement du maintien d'une cer-
taine mesure d'unité franco-britannique en
Occident. Nul n'ignore que depuis trois jours
Lord Curzon et M. Poincaré suivent les évé-
nements de Londres avec une grande in-
quiétude, tandis que M. Tchitcherine en at-
tend une rupture qui rejetterait Ismet Pacha
dans ses bras.
De son côté, le gouvernement britannique
s'est rendu compte qu'une rupture formelle
avec la France serait loin de contribuer à
la solution des problèmes légués par la
guerre. Il serait toujours nécessaire, par
exemple, d'aboutir là un accord sur les ré-
parations.
C'est pourquoi la politique adoptée ce ma-
tin par le cabinet et que M. Bonar Law
suivit à la conférence cet après-midi a con-
sisté, d'une part, à rejeter nettement la poli-
tique française relative à la Ruhr, et d'au
tre part à refuser de rompre avec la France
LES « GAGES PRODUCTIFS ». — Au mois
d'août dernier, le cabinet de M. Lloyd Geor-
ge fit exactement de même en ce qui con-
cerne cette question coutumière des répa-
rations. M. Lloyd George résuma la situa-
tion en disant que l'on avait convenu de
garder chacun son avis Le gouvernement
actuel a préféré la formule de « l'ajourne-
ment » de la conférence.
Il est vrai que le cabinet- Bonar Law a
fait savoir à M. Poincaré qu'il était dispo-
sé à faire au point de vue français plus de
concessions que son prédécesseur. Il a dé-
claré, par exemple, au cours des négocia-
tions, qu'il ne demandait pas mieux que
d'examiner dans un esprit bienveillant la
question des « gages productifs » que cons-
tituerait par exemple la saisie des douanes
allemandes et des mines et forêts de l'Etat
allemand, mesure que rejeta M. Uoyd
George au mois d'août. Mû par un curieux
esprit de contradiction, M. Poincaré a
écarté lui-même la possibilité d'un accord
dans ce sens, en abandonnant la méthode
des « gages productifs Il en faveur de la
mesure plus radicale de l'occupation de la
Ruhr. - (Du correspondant particulier.)
MANCHESTER GUARDIAN, 12.12,
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