Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 décembre 1922 14 décembre 1922
Description : 1922/12/14 (T22,N2229). 1922/12/14 (T22,N2229).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525272
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
r Finistère 0
DES
ityi ^Es étrangères
N° 2229
Jeudi 14 décembre 1922
j Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les artiol-
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^SSE LKMANI)i;- — Les propositions du
nii fiistère Cuno : l'attitude de l'industrie
ministère Cuno : l'attitude de l'industrie
allemande, (Vossische Zeitung, Kölnis-
(J.' e lcitung). - La France et les gages
(Fr an'^urter Zeitung).
,
G anglaise. - La dette française et la
G"Bretagne (Daily News). — La
d' ance et les gages (Manchester Guar-
dia it, Dai/IJ Chronicle, Daily Telegraph,
Yo Ol'kshire Past.).
hi-* re POSI).
p~ 'tauenne. - Les réparations : le
-Jet italien (Mondo, Tribuna, Epoca).
'-.
POLITIQUE GENERALE
; LES RÉPARATIONS v
Lus PRopOSITIONS DU MINISTERE
~()t: L'attitude DE l'industrie ALLE-
Qui Sous 1,e titre : « Les irresponsables
ei) ?
N/,c/S°uverne QÙi\i en Allemagne ? x. - La
b,,, 'Ise-Illgenteiiie Zeitung écrit ce qui
- il ei/ tete de son édition d'hier soir :
le rejet de la proposition alle-
{îî^de Londres, il reste à établir ceci :
le je n'a pas été interrogée sur l'offre
C' Il ne lui a rien demandé ; elle
Pas 't- informée. Nous, estimons que la
Hposit• °n envoyée à Londres par le cabi-
!,*' est inoPP°rtune et impossible économi-
t ^ap°e quelle n'apporte aucune si-
h 0u rrR
tuation Ve- Si elle était agréée par la
.^si les milieux économiques et
in il d U,trie tenteraient pourtant d'ob-
4ir des négociations à venir le définitif
■ l''sDen
t. iv l e-.. »
'ill}ce i u. 'Püs. besoin d'insister sur l'impor-
te itio a'culablc i d'une publication de ce
eti
th s' Ce moment critique où personne
Proposition allemande est vrai-
d^ fen °Uss®6 ou quelle signification on
1' en à. cei rejet? En effet, cela éveil-
ce et en Angleterre l'impres-
to* que n'on seulement le cabinet Cuno n'a
l'appui des milieux industriels alJe-
m que l'industrie projette d'ern-
b l'eJeter t'PUIssance politique et économique
Leieter toute solution qu'elle ne juge pas
bonne. o~te solution qu'elle ne juge pas
e.
dolflc se permettre cette question:
yra'ment en Allemagne un
'^Pnej^p. n P^uement responsable ?
til,. faut en finir ,enfin avec cette légende
'IUa lir»dustiIe ^ait un sacrifice » quand
*a patrie ce qu'on réclame
Rl]e est, comme toutes les classes de
citoyens, objet de la législation. Elle a ex-
clusivement le droit et le devoir de récla-
mer par les organes compétents contre les
mesures qu'elle croit ne pouvoir supporter..
Certes, le gouvernement actuel aime
mieux les solutions définitives que les solu-
tions provisoires. Mais il lui faut faire de
la politique pratique. Et les hommes d'Etat
responsables ont vu, comme tous les poli-
ticiens raisonnables, qu'il est très vrai-
semblable qu'on obtienne les solutions défi-
nitives dans un temps qui n'est pas trop
élojgné: Par la nature des choses toute so-
lution définitive doit être précédée d'une
solution intermédiaire.
Toute solution intermédiaire qui est liée à
l'emprunt — et il n'y en a, pas d autre —
ne sera jugée satisfaisante à l'intérieur et
acceptée à l'étranger que si l'industrie alle-
mande qui dispose de devises donne sa ga-
rantie et s'intéresse à lamélioration du
change. Cette garantie de l'industrie ne sera
jamais obtenue tant que l'on demande des
« sacrifices » ; il faut que la loi établisse
des impôts, des impôts sur l'industrie.
Le cabinet Cuno sera bientôt en face
de ce grave problème. Il ne peut continuer
à laisser saper son autorité. Car à la lon-
gue le peuple allemand avec sa grande ma-
jorité ne souffrira pas d'être gouverné ano-
nymement. Nous pouvions avoir celà aussi
bien avec Guillaume II. — B h d. [Georg.
Bernhard].
VOSSISCHE ZEITUNG, 12.12, matin.
— De Berlin, 12 décembre Jusqu'à midi en
n'avait pas de nouvelles officielles de Londres
sur le détail de l'accueil fait aux propositions
allemandes. La déclaration du communiqué of-
ficiel de la conférence disant que les proposi-
tions sont insuffisantes ne suscite évidemment
pas un optimisme particulier. Mais, d'autre part.
nous ne pouvons considérer cette nouvelle com-
me un simple refus. Il était prévu d'avance ;
particulièrement parce que le gouvernement al-
lemand en citant des chiffres ne voulait exposer
que des exemples pratiques, afin que la partie
adverse fît ses remarques. Le secrétaire d'Etat,
Bergmann. doit rester a. Londres et on assure
qu'il s'efforcera d'apprendre les désirs des al-
liés sur les compléments à apporter à nos pro-
positions. Peut-être le cabinet Cuno arrivera-t-il
entre temps à gagner l'industrie. Il semble que
le nouveau gouvernement fasse tous ses efforts
pour faire appel au sentiment de responsabi-
lité de l'industrie dans la question des répara-
tions, afin que, d'ici au 2 janvier. la partie ad-
verse puisse reconnaître rjue les principaux-
milieux économiques de l'Allemagne sont dispo-
sés. eux aussi, à envisager sérieusement une
solution de la question.
KOELNISCIIE ZEITUNG.
12.13, 1re éd., matin
LE PROJET ITALIEN. — On donne dans
les milieux bien informés sur le projet ita-
lien, œuvre de M. D'Amelio, adopté avec
d'importantes modifications formulées par
M. Mussolini, les précisions suivantes :
1. - La proposition italienne a pour base
essentielle la jonction du problème des ré-
parations dues par l'Allemagne et du pro-
blème des dettes que les alliés ont entre eux
et de celles qu'ils ont solidairement avec les
Etats-Unis.
2. - L'acceptation de ce principe devrait
comporter une action unique d'accord très
étroit des puissances à la Conférence de
Bruxelles, de façon à ne pas engendrer de
doutes et surtout de ne pas encourager l'es-
poir de l'Allemagne en une attitude plus
favorable de l'une des puissances du bloc
allié.
3. — Quant à la formule de compensation
des dettes interalliées, la proposition serait
présentée en ces termes : a) L'Angleterre
renonce à ses créances sur la France et
l'Italie ; b) la France et l'Italie renoncent
d'autre part pour une somme égale à leurs
créances sur la Tchéco-Slovaquie, la Serbie
la Pologne ; c) la dette anglaise envers les
Etats-Unis continuerait à exister tant que
le gouvernement die Washington ne décla-
rerait pas explicitement si, et jusqu'à quel
point il entend renoncer — en faveur de la
Grande-Bretagne — à ses créances. Les
sommes dont les Etats-Unis consentiraient
à faire remise à l'Angleterre seraient défal-
quées des réparations allemandes.
4. — Ces propositions se fondent sur une
raison pratique : l'inutilité de réclamer le
paiement d'une dette à quelqu'un qui n'est
pas en mesure de payer ; sur une raison
morale : l'opportunité d'aider à une reprise
de la production dans toute l'Europe et de
rétablir le marché européen.
Cette seconde raison intéresse spéciale-
ment-l'Amérique et la proposition italienne
pourrait par suite y trouver bon accueil.
• 5. - Pour traduire en acte le projet, une
fois l'entente de principe obtenue on devrait
entamer des pourparlers des deux côtés :
avec les Etats-Unis pour obtenir leur adhé-
sion, avec l'Allemagne pour qu'elle donne
des garanties suffisantes de faire face aux
engagements qui la lient aux alliés. Les
nouvelles propositions des alliés doivent
trouver des garanties d'exécution.
6. — Les décisions définitives devraient
être prises à Bruxelles. La réunion pour les
réparations ne serait donc pas renvoyée
dans l'attente d'une réponse américaine et
la question serait posée aux Allemands dans
la forme dite phi® haut, pour qu'une situa-
tion nouvelle de confiance réciproque dérive
de la Conférence de Bruxelles.
L'Allemagne devrait accepter de payer ce
qui lui est imposé, sauf réduction due à la
remise des dettes dans une période sui-
DES
ityi ^Es étrangères
N° 2229
Jeudi 14 décembre 1922
j Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les artiol-
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^SSE LKMANI)i;- — Les propositions du
nii fiistère Cuno : l'attitude de l'industrie
ministère Cuno : l'attitude de l'industrie
allemande, (Vossische Zeitung, Kölnis-
(J.' e lcitung). - La France et les gages
(Fr an'^urter Zeitung).
,
G anglaise. - La dette française et la
G"Bretagne (Daily News). — La
d' ance et les gages (Manchester Guar-
dia it, Dai/IJ Chronicle, Daily Telegraph,
Yo Ol'kshire Past.).
hi-* re POSI).
p~ 'tauenne. - Les réparations : le
-Jet italien (Mondo, Tribuna, Epoca).
'-.
POLITIQUE GENERALE
; LES RÉPARATIONS v
Lus PRopOSITIONS DU MINISTERE
~()t: L'attitude DE l'industrie ALLE-
Qui Sous 1,e titre : « Les irresponsables
ei) ?
N/,c/S°uverne QÙi\i en Allemagne ? x. - La
b,,, 'Ise-Illgenteiiie Zeitung écrit ce qui
- il ei/ tete de son édition d'hier soir :
le rejet de la proposition alle-
{îî^de Londres, il reste à établir ceci :
le je n'a pas été interrogée sur l'offre
C' Il ne lui a rien demandé ; elle
Pas 't- informée. Nous, estimons que la
Hposit• °n envoyée à Londres par le cabi-
!,*' est inoPP°rtune et impossible économi-
t ^ap°e quelle n'apporte aucune si-
h 0u rrR
tuation Ve- Si elle était agréée par la
.^si les milieux économiques et
in il d U,trie tenteraient pourtant d'ob-
4ir des négociations à venir le définitif
■ l''sDen
t. iv l e-.. »
'ill}ce i u. 'Püs. besoin d'insister sur l'impor-
te itio a'culablc i d'une publication de ce
eti
th s' Ce moment critique où personne
Proposition allemande est vrai-
d^ fen °Uss®6 ou quelle signification on
1' en à. cei rejet? En effet, cela éveil-
ce et en Angleterre l'impres-
to* que n'on seulement le cabinet Cuno n'a
l'appui des milieux industriels alJe-
m que l'industrie projette d'ern-
b l'eJeter t'PUIssance politique et économique
Leieter toute solution qu'elle ne juge pas
bonne. o~te solution qu'elle ne juge pas
e.
dolflc se permettre cette question:
yra'ment en Allemagne un
'^Pnej^p. n P^uement responsable ?
til,. faut en finir ,enfin avec cette légende
'IUa lir»dustiIe ^ait un sacrifice » quand
*a patrie ce qu'on réclame
Rl]e est, comme toutes les classes de
citoyens, objet de la législation. Elle a ex-
clusivement le droit et le devoir de récla-
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Certes, le gouvernement actuel aime
mieux les solutions définitives que les solu-
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la politique pratique. Et les hommes d'Etat
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ne sera jugée satisfaisante à l'intérieur et
acceptée à l'étranger que si l'industrie alle-
mande qui dispose de devises donne sa ga-
rantie et s'intéresse à lamélioration du
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jamais obtenue tant que l'on demande des
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des impôts, des impôts sur l'industrie.
Le cabinet Cuno sera bientôt en face
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à laisser saper son autorité. Car à la lon-
gue le peuple allemand avec sa grande ma-
jorité ne souffrira pas d'être gouverné ano-
nymement. Nous pouvions avoir celà aussi
bien avec Guillaume II. — B h d. [Georg.
Bernhard].
VOSSISCHE ZEITUNG, 12.12, matin.
— De Berlin, 12 décembre Jusqu'à midi en
n'avait pas de nouvelles officielles de Londres
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ficiel de la conférence disant que les proposi-
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pas un optimisme particulier. Mais, d'autre part.
nous ne pouvons considérer cette nouvelle com-
me un simple refus. Il était prévu d'avance ;
particulièrement parce que le gouvernement al-
lemand en citant des chiffres ne voulait exposer
que des exemples pratiques, afin que la partie
adverse fît ses remarques. Le secrétaire d'Etat,
Bergmann. doit rester a. Londres et on assure
qu'il s'efforcera d'apprendre les désirs des al-
liés sur les compléments à apporter à nos pro-
positions. Peut-être le cabinet Cuno arrivera-t-il
entre temps à gagner l'industrie. Il semble que
le nouveau gouvernement fasse tous ses efforts
pour faire appel au sentiment de responsabi-
lité de l'industrie dans la question des répara-
tions, afin que, d'ici au 2 janvier. la partie ad-
verse puisse reconnaître rjue les principaux-
milieux économiques de l'Allemagne sont dispo-
sés. eux aussi, à envisager sérieusement une
solution de la question.
KOELNISCIIE ZEITUNG.
12.13, 1re éd., matin
LE PROJET ITALIEN. — On donne dans
les milieux bien informés sur le projet ita-
lien, œuvre de M. D'Amelio, adopté avec
d'importantes modifications formulées par
M. Mussolini, les précisions suivantes :
1. - La proposition italienne a pour base
essentielle la jonction du problème des ré-
parations dues par l'Allemagne et du pro-
blème des dettes que les alliés ont entre eux
et de celles qu'ils ont solidairement avec les
Etats-Unis.
2. - L'acceptation de ce principe devrait
comporter une action unique d'accord très
étroit des puissances à la Conférence de
Bruxelles, de façon à ne pas engendrer de
doutes et surtout de ne pas encourager l'es-
poir de l'Allemagne en une attitude plus
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3. — Quant à la formule de compensation
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renonce à ses créances sur la France et
l'Italie ; b) la France et l'Italie renoncent
d'autre part pour une somme égale à leurs
créances sur la Tchéco-Slovaquie, la Serbie
la Pologne ; c) la dette anglaise envers les
Etats-Unis continuerait à exister tant que
le gouvernement die Washington ne décla-
rerait pas explicitement si, et jusqu'à quel
point il entend renoncer — en faveur de la
Grande-Bretagne — à ses créances. Les
sommes dont les Etats-Unis consentiraient
à faire remise à l'Angleterre seraient défal-
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4. — Ces propositions se fondent sur une
raison pratique : l'inutilité de réclamer le
paiement d'une dette à quelqu'un qui n'est
pas en mesure de payer ; sur une raison
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de la production dans toute l'Europe et de
rétablir le marché européen.
Cette seconde raison intéresse spéciale-
ment-l'Amérique et la proposition italienne
pourrait par suite y trouver bon accueil.
• 5. - Pour traduire en acte le projet, une
fois l'entente de principe obtenue on devrait
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avec les Etats-Unis pour obtenir leur adhé-
sion, avec l'Allemagne pour qu'elle donne
des garanties suffisantes de faire face aux
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nouvelles propositions des alliés doivent
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6. — Les décisions définitives devraient
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la question serait posée aux Allemands dans
la forme dite phi® haut, pour qu'une situa-
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