Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 décembre 1922 06 décembre 1922
Description : 1922/12/06 (T22,N2222). 1922/12/06 (T22,N2222).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525205
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
r M1N'STÈRE
DEs
^FAÎ RES ÉTRANGÈRES
N° 2222
Mercredi 6 déecmbre 4922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
t: ALLEMANDE. — La tâche du minis-
tere CUIlO (Franhfurter Zeitung). — Les
c°nces<10ns ^mPP en Russie, méridio-
.{^ nale "eUe Badische Landes zeitung).
a: RlCAlNE' — Un contrat russo-
aiïiéiievln ("Walter Duranty dans Acte
Vow. T.
l mes t
J.. : Lo\ISE. — Le rappel du ministre
4vitun rii* que à Athènes (Daily Chronicle).
(Hl La peo-chaine entrevue de Londres
MaCijtmtnster Gazette, Morning Post,
•^anc/jp^ 6r Guardian, Daily Herald).
(1) BELGE. - Le régime des Détroits
el/ple XXe Siéclef
PRESSE HOLLA NDAISE- —; Le régime des Dé-
des ministres grecs (Algemeen Handels-
bla AASCKE *W).
V i":NNK- - L'extension du traité
sej'a) allo-"Il Sse de Rapallo (Corriere della
S'erQ)
POLITIQDF, GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA TACHE DU MINISTERE CUNO. -
et du Reich a pris dix
d~ Pour iami!liariser avec les tâches
du 50Uverri)pm en i Hier, à l'occasion de la
cçu^ion %dp. ,a Presise berlinoise, le chan-
celier Cuno a prononcé pour la deuxième
d'un „ e. aUocution publique. Il s'a-
~H~t'~s représ'entatif. Aussi les
d llt ^h^celier restèrent-elles
clafft,s, le domaine des géné-
On Ï\P- 0lt P°int J'en blâmer, mais
srai. t ternes c''Ue 'e nouveau gouverne-
ment se fi tCOIlnaitre à ses act.e:s.. En ef -
he la féun?01JS trouvons à quelques jours
!>éunion d(1, ^rtres. où doivent s'éla-
Ser '&s basP & , politiques du règlement de
la Qu ^s^°n. dp.o^eParatio-n,s. Jusque-là, il s' a-
d, te f alre prellve dune volonté propre
in SAN§ M, 01 on riïous. traitera comme
° °n^' On nous dictera des
au iieu de nous laisser trouver
]„ v'oi.e de notre guérison, on
i t'eu PIe avec ia dignité d'un
RpQnd peuple, et Poincaré aura beau jeu
pour réaliser ses projets de des truction de
l'unité du Reich.
La situation est grave et réclame instam-
ment qu'on se hâte. Dans les correspon-
dances de Paris [Cf. Bulletin, n° 2220 de
notre journal], nous avons déjà constaté
sur ce fait que l'opinion publique française
est actuellement unie fermement pour sou-
tenir la politique de force et les. exigences
de Poincaré. L'expérience nous a montré
que la majorité du peuple français adopte
toujours pour l'Allemagne la politique de la
brutalité, mais tous les Français n'approu-
vent pas l'esprit dans lequel Poincaré la
conduit et il y a quelques jours à Paris se
manifestaient des velléités de renverser le
Premier ministre qui n'a rien obtenu de
tangible et a seulement gâté les perspec-
tives de la France en matière de répara-
tions.
Il se produit sur ce point un revirement.
En France on est désillusionné. On est dé-
sillusionné parce que dans les déclarations
faites jusqu'ici par le cabinet Cuno, on
n'aperçoit aucun indice d'une disposition
de l'Allemagne à tenter d'obtenir un grand
emprunt international, emprunt qui ne ser-
virait pas seulement à assainir les finan-
ces allemandes, mais encore à apaiser le
grave besoin d'argent de la France. Nous
avons déjà montré que le sentiment de
désillusion de la France reposait sur une
erreur. Le paragraphe 8 de la note alle-
mande du 13 novembre accepte l'idée d'em-
prunts extérieurs pour le service des répara-
tions. Cest aussi le projet du cabinet Cuno
de travailler à l'aide d'emprunts extérieurs
à satisfaire au besoin d'argent de la Fran-
ce. La réussite de grands emprunts inter-
nationaux dépendra en premier lieu de la
politique que les puissances de l'Entente
jugeront bon d'adopter vis-à-vis de l'Alle-
magne. Tant que la lumière n'est pas faite
à cet égard, il n'y aurait pas grand in-
térêt à discuter le détail concret des projets
d'emprunts. Mais il ne saurait être mauvais
d'entrer d'ores et déjà en contact avec la
France sur ce point. Au contraire, c'est une
exigence impérieuse de notre situation po-
litique actuelle de faire ces démarches sans
retard pour dissiper la méfiance qui se ma-
nifeste à cet endroit dans l'opinion fran-
çaise. Nous regrettons donc le démenti don-
né à la nouvelle d'après laquelle M. Her-
mes irait à Paris pour prendre contact.
M. Hermes ou un autre. L'habileté politi-
que exige que nous prenions ce contact.
Les projets de Poincaré n'en seront sans
doute pas modifiés, mais nous n avons pas
affaire qu'à Poincaré.
Rendons-nous bien compte de ceci, que
même dans les milieux politiques de l'An-
gleterre subsiste beaucoup d'animosité con-
tre nous. Nous sommes sans doute habitués
à entendre de l'Angleterre, même du gou-
vernement, beaucoup de paroles amicales ;
mais nous aurions une cruelle désillusion
si nous n'attendions de sa part que de
bons procédés. Il est dans le tempérament
de l'Anglais de dire : « Aide-toi, les autres
t'aideront. »
Les déclarations générales et prudentes
du nouveau chancelier au sujet de nos rela-
tions dvec la Grande-Bretagne ne sont pas
satisfaisantes. On veut savoir quelque cho-
se de concret. Il ne reste au chancelier Cuno
que peu de jours pour se révéler à cet
égard.
Le cabinet Cuno assume des devoirs ter-
ribles. Mais dans une certaine mesure, sa
situation est plus favorable que celle du
cabinet Wirth dont la force était usée par
de longs mois d'une lourde responsabilité.
Le gouvernement allemand possède actuel-
lement dans le monde un fort allié, à savoir
le besoin général de repos et de rétablis-
sement qu'éprouvent les peuples.
La reconstitution est plus importante au-
jourd'hui que la réparation, car ce n'est
qu'en reconstituant le corps économique al-
lemand que l'on pourra réparer. Cela ren-
dra plus aisée au gouvernement allemand
la tâche de faire coïncider les exigences vi-
tales de l'Allemagne avec les vœux de la
partie adverse.
On réclame donc du cabinet Cuno des dé-
cisions fermes, prises dans notre intérêt et
dans l'intérêt qu'ont nos créanciers à voir
l'Allemagne se rétablir. Faire connaître en
temps utile ces décisions, et dissiper en
France en en Angleterre les suspicions qui
persistent, voilà le devoir impérieux du ca-
binet.
FRANKFURTER ZEITUNG, 4.12, soir.
LA PROCHAINE ENTREVUE DE LON-
DRES. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris : M.
Poincaré ne présentera pas son plan détaillé
pour le règlement des réparations et des
dettes interalliées, dans les prochains entre-
tiens de Londres, qu'il considère comme de
nature purement préparatoire ; il ne veut
pas empiéter sur Jes attributions de la con-
férence de Bruxelles. Vraisemblablement
M. Bonar Law sera invité à faire connaître
si le gouvernement britannique entend adop-
ter une nouvelle attitude envers l'Allema-
gne, dans le cas où le Reich ne serait pas
disposé à remplir ses obligations. On a l'im-
pression à Paris que le gouvernement tory
serait plus disposé que ne l'était le mi-
nistère Lloyd George à recourir à une poli-
tique énergique vis-à-vis de l'Allemagne.
Aussi est-il tout naturel que M. Poincaré
veuille s'assurer si le nouveau cabinet
adhérera à sa formule : « Pas de morato-
rium nouveau sans saisie de gage. »
WESTMINSTER GAZETTE, 5.12.
DEs
^FAÎ RES ÉTRANGÈRES
N° 2222
Mercredi 6 déecmbre 4922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
t: ALLEMANDE. — La tâche du minis-
tere CUIlO (Franhfurter Zeitung). — Les
c°nces<10ns ^mPP en Russie, méridio-
.{^ nale "eUe Badische Landes zeitung).
a: RlCAlNE' — Un contrat russo-
aiïiéiievln ("Walter Duranty dans Acte
Vow. T.
l mes t
J.. : Lo\ISE. — Le rappel du ministre
4vitun rii* que à Athènes (Daily Chronicle).
(Hl La peo-chaine entrevue de Londres
MaCijtmtnster Gazette, Morning Post,
•^anc/jp^ 6r Guardian, Daily Herald).
(1) BELGE. - Le régime des Détroits
el/ple XXe Siéclef
PRESSE HOLLA NDAISE- —; Le régime des Dé-
bla AASCKE *W).
V i":NNK- - L'extension du traité
sej'a) allo-"Il Sse de Rapallo (Corriere della
S'erQ)
POLITIQDF, GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA TACHE DU MINISTERE CUNO. -
et du Reich a pris dix
d~ Pour iami!liariser avec les tâches
du 50Uverri)pm en i Hier, à l'occasion de la
cçu^ion %dp. ,a Presise berlinoise, le chan-
celier Cuno a prononcé pour la deuxième
d'un „ e. aUocution publique. Il s'a-
~H~t'~s représ'entatif. Aussi les
d llt ^h^celier restèrent-elles
clafft,s, le domaine des géné-
On Ï\P- 0lt P°int J'en blâmer, mais
srai. t ternes c''Ue 'e nouveau gouverne-
ment se fi tCOIlnaitre à ses act.e:s.. En ef -
he la féun?01JS trouvons à quelques jours
!>éunion d(1, ^rtres. où doivent s'éla-
Ser '&s basP & , politiques du règlement de
la Qu ^s^°n. dp.o^eParatio-n,s. Jusque-là, il s' a-
d, te f alre prellve dune volonté propre
in SAN§ M, 01 on riïous. traitera comme
° °n^' On nous dictera des
au iieu de nous laisser trouver
]„ v'oi.e de notre guérison, on
i
RpQnd peuple, et Poincaré aura beau jeu
pour réaliser ses projets de des truction de
l'unité du Reich.
La situation est grave et réclame instam-
ment qu'on se hâte. Dans les correspon-
dances de Paris [Cf. Bulletin, n° 2220 de
notre journal], nous avons déjà constaté
sur ce fait que l'opinion publique française
est actuellement unie fermement pour sou-
tenir la politique de force et les. exigences
de Poincaré. L'expérience nous a montré
que la majorité du peuple français adopte
toujours pour l'Allemagne la politique de la
brutalité, mais tous les Français n'approu-
vent pas l'esprit dans lequel Poincaré la
conduit et il y a quelques jours à Paris se
manifestaient des velléités de renverser le
Premier ministre qui n'a rien obtenu de
tangible et a seulement gâté les perspec-
tives de la France en matière de répara-
tions.
Il se produit sur ce point un revirement.
En France on est désillusionné. On est dé-
sillusionné parce que dans les déclarations
faites jusqu'ici par le cabinet Cuno, on
n'aperçoit aucun indice d'une disposition
de l'Allemagne à tenter d'obtenir un grand
emprunt international, emprunt qui ne ser-
virait pas seulement à assainir les finan-
ces allemandes, mais encore à apaiser le
grave besoin d'argent de la France. Nous
avons déjà montré que le sentiment de
désillusion de la France reposait sur une
erreur. Le paragraphe 8 de la note alle-
mande du 13 novembre accepte l'idée d'em-
prunts extérieurs pour le service des répara-
tions. Cest aussi le projet du cabinet Cuno
de travailler à l'aide d'emprunts extérieurs
à satisfaire au besoin d'argent de la Fran-
ce. La réussite de grands emprunts inter-
nationaux dépendra en premier lieu de la
politique que les puissances de l'Entente
jugeront bon d'adopter vis-à-vis de l'Alle-
magne. Tant que la lumière n'est pas faite
à cet égard, il n'y aurait pas grand in-
térêt à discuter le détail concret des projets
d'emprunts. Mais il ne saurait être mauvais
d'entrer d'ores et déjà en contact avec la
France sur ce point. Au contraire, c'est une
exigence impérieuse de notre situation po-
litique actuelle de faire ces démarches sans
retard pour dissiper la méfiance qui se ma-
nifeste à cet endroit dans l'opinion fran-
çaise. Nous regrettons donc le démenti don-
né à la nouvelle d'après laquelle M. Her-
mes irait à Paris pour prendre contact.
M. Hermes ou un autre. L'habileté politi-
que exige que nous prenions ce contact.
Les projets de Poincaré n'en seront sans
doute pas modifiés, mais nous n avons pas
affaire qu'à Poincaré.
Rendons-nous bien compte de ceci, que
même dans les milieux politiques de l'An-
gleterre subsiste beaucoup d'animosité con-
tre nous. Nous sommes sans doute habitués
à entendre de l'Angleterre, même du gou-
vernement, beaucoup de paroles amicales ;
mais nous aurions une cruelle désillusion
si nous n'attendions de sa part que de
bons procédés. Il est dans le tempérament
de l'Anglais de dire : « Aide-toi, les autres
t'aideront. »
Les déclarations générales et prudentes
du nouveau chancelier au sujet de nos rela-
tions dvec la Grande-Bretagne ne sont pas
satisfaisantes. On veut savoir quelque cho-
se de concret. Il ne reste au chancelier Cuno
que peu de jours pour se révéler à cet
égard.
Le cabinet Cuno assume des devoirs ter-
ribles. Mais dans une certaine mesure, sa
situation est plus favorable que celle du
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de longs mois d'une lourde responsabilité.
Le gouvernement allemand possède actuel-
lement dans le monde un fort allié, à savoir
le besoin général de repos et de rétablis-
sement qu'éprouvent les peuples.
La reconstitution est plus importante au-
jourd'hui que la réparation, car ce n'est
qu'en reconstituant le corps économique al-
lemand que l'on pourra réparer. Cela ren-
dra plus aisée au gouvernement allemand
la tâche de faire coïncider les exigences vi-
tales de l'Allemagne avec les vœux de la
partie adverse.
On réclame donc du cabinet Cuno des dé-
cisions fermes, prises dans notre intérêt et
dans l'intérêt qu'ont nos créanciers à voir
l'Allemagne se rétablir. Faire connaître en
temps utile ces décisions, et dissiper en
France en en Angleterre les suspicions qui
persistent, voilà le devoir impérieux du ca-
binet.
FRANKFURTER ZEITUNG, 4.12, soir.
LA PROCHAINE ENTREVUE DE LON-
DRES. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris : M.
Poincaré ne présentera pas son plan détaillé
pour le règlement des réparations et des
dettes interalliées, dans les prochains entre-
tiens de Londres, qu'il considère comme de
nature purement préparatoire ; il ne veut
pas empiéter sur Jes attributions de la con-
férence de Bruxelles. Vraisemblablement
M. Bonar Law sera invité à faire connaître
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ter une nouvelle attitude envers l'Allema-
gne, dans le cas où le Reich ne serait pas
disposé à remplir ses obligations. On a l'im-
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nistère Lloyd George à recourir à une poli-
tique énergique vis-à-vis de l'Allemagne.
Aussi est-il tout naturel que M. Poincaré
veuille s'assurer si le nouveau cabinet
adhérera à sa formule : « Pas de morato-
rium nouveau sans saisie de gage. »
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