Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 02 décembre 1922 02 décembre 1922
Description : 1922/12/02 (T22,N2219). 1922/12/02 (T22,N2219).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252517p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 MINISTÈRE
DES
1 1 ~~At RES ÉTRANGÈRES
N° 2219
Samedi 2 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
pr,t;SSp
VIANDE- La France et la Ruhr
{K" nische Zeitung). — La prochaine en-
trevue des premiers ministres à Lon-
dres [vorwarts, Frankfurter Zeitung).
E: A\GL\ISE. - La prochaine entrevue
es Premiers ministres à Londres (Ti-
*«>■ L'exécution des ministres grecs
(Daily Chronicle, Daily Telegraph). —
Le rûppel du ministre britannique à
Alhènes les déclarations de M. Bonar
L'lw il la Chambre des Communes
estminster Gazette, Times, Daily
Chronicle).,
, '^Sse j| AuLILNNE. - L'exécution des minis-
tres rrre ( h' d
, cCS Monda; Filippo Sacchi dans
fi COrroie re délia Sera ; Tribuna).
SlISSE.- Une conférence de M. Lou-
ctieui» a ; BûJe sur la situation éco-
n 1. (iue (Basier Presse).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
CE ET LA RUHR. PRESSE
p - Sous les titres: « La politique
J:tlve de p"mc;ir^ sur le Rhin. — Les rai-
0riS de ia retnut.c' et de l'attaque ». — De
28 n °Ve:r^1:)re : Nous ne croyons pas
qu'il se SOlt agI seulement d'un bluff, nous
,,;>e8 h, Contraire persuadés que la si-
lr'lllon
tuation Sér,st tres grave et doit être envisagée
Série,, Seri. }en^- C'est la conviction à la-
quelle on arr'V° en examinant froidement
f'(prpr! eri'jon la situation où se trouve
f, DeDuis onze mois il est à la tête
"jlJrs de:rn.élfnent. Si l'on excepte ses dis-
lallcheis, il n'a rien fait d'autre
((.[(fjIoYê d' J\re la politique de Briand. Il a
irt CIA S moyens mais n'a pas ob-
fnp'n Veurs résultats. Les partis sont
s- Il a tOUjours à redouter une dislo-
Tir e s maj0,rité. C'est dans deux se-
tri,)1'1 r,s. qll a,lieu le vote sur les interpella-
tions au SoU}et de sa politique. Il a donc
Q\" une de, sa politique. Il a donc
d'un ail0,re secours. Il croit
°'P'roviv'ee en déclarant qu'il s'en tient
Mliti ue de gages qu'il a exposée à
Londres au mois d'août. Il cherche à gagner
les alliés à cette politique. C'est le point
grave de la situation, et s'il a convoqué
pour délibérer sur cette politique de grands
militaires plutôt que des experts financiers
et économiques, c'est qu'il veut créer une
sorte de fait accompli. Il sait l'état d'es-
prit de Morgan et la désillusion des ban-
quiers internationaux qui se trouvaient
encore la semaine dernière à Paris. Il lui
fallait faire quelque chose et il a fait quel-
que chose. Il a convoqué le « conseil de la
couronne » à l'Elysée.
La question de la conférence de Bruxel-
les joue maintenant un rôle dans la politi-
que internationale, et il est peut-être bon
que le nouveau gouvernement allemand soit
placé immédiatement devant cette grave
question. La Commission des réparations
doit maintenant prendre position au sujet
de la note allemande et rien ne vaudrait
mieux qu'une négociation directe entre le
gouvernement allemand et cette commis-
sion eu égard it la situation modifiée du
gouvernement.
KOELNISCHE ZEITUNG,
29.11, 2° édit. matin.
LA PROCHAINE ENTREVUE DE LON.
DRES. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris, 29
novembre : J'apprends de source officielle
que M. Poincaré a fait savoir à M. Bonar
Law qu'il était disposé à se rendre à Lon-
dres le jour de la semaine prochaine qui
conviendrait à ce dernier, et que probable-
ment le premier ministre britannique in-
vitera également M. Mussolini et M. Theu-
nis à venir le voir. Ces conversations pré-
liminaires projetées, dont l'objet sera de
préparer les voies à la conférence de
Bruxelles, remplaceront les entretiens qui
devaient primitivement avoir lieu à Paris.
On espère qu'il ne surgira aucun nou-
veau contre-temps et que les premiers mi-
nistres auront cette occasion de. procéder
à un échange de vue formel. De récentes
indiscrétions, grossies par ceux qui les ont
commentées, ont certainement démontré la
nécessité de conversations d'une franchise
absolue. Aujourd'hui on est très désireux,
au Quai d'Orsay, de réduire à leurs véri-
tables proportions les consultations de
l'Elysée. Le point sur lequel on insiste sur-
tout est qu'il n'y a pas été pris, qu'il ne
pouvait pas y être pris de décisions d'au-
cune sorte. D'abord, le conseil des minis-
tres a seul qualité pour déterminer la po-
litique française ; et il n'est guère besoin
de s'étendre sur la folie que ce serait de la
part des autorités responsables de fixer
leur plan d'action avant de savoir ce qui
sera décidé au conseil que tiendront les
ministres alliés et ensuite à la conférence
de Bruxelles.
On explique que les mesures qui pour-
raient éventuellement devenir nécessaires
ont été examinées, comme c'est l'habitude
en France, et que personne n'a pris aucun
engagement à rien qui puisse ressembler
de près ou de loin à l'occupation de la
Ruhr. Certes, le gouvernement français
est disposé à exiger des gages et il ne sera
vraisemblablement pas satisfait si l'Angle-
terre n'approuve pas la saisie de ces gages
et si l'Allemagne s'y refuse. Ces gages
comprennent des hypothèques spéciales
sur les mines et sur les forêts de l'Alle-
magne. Il y aurait lieu d'établir un con-
trôle allié en échange d'une prolongation
du moratorium. Tous ces points de vue,
qui restent des points de vue et ne sont
pas des décisions, sont susceptibles d'être
ajustés aux vues britanniques. — (Du cor-
respondant spécial.)
TIMES, 30.11.
-_o. Sous le titre : « Une grande occasion ».
-. Mais si l'Italie et la Belgique sont gran-
dement intéressées au paiement des répara-
tions, la charge principale et la responsabi-
lité principale incombent à l'Angletere et à
la France. Une fois de plus, comme lors de
la visite de M. Poincaré l'été dernier, une
grande occasion s'offre à elles. Une fois de
plus c'est à elles de la saisir avec grandeur,
comme elles n'ont pas su la saisir au mois
d'août. Voilà que, de nouveau, il dépend
d'elles d'effectuer un règlement large et défi-
nitif des qu'estions inséparables des répara-
tions et des dettes interalliées sous tous
leurs aspects les plus importants. Les con-
ditions, il est vrai, sont moins favorables
qu'elles ne l'étaient il y a quatre mois.
mais le succès est encore possible. Chaque
semaine qui s'écoule aggrave les difficultés ;
il se peut que l'occasion de les surmonter ne
se retrouve plus jamais. Si les discussions
sont limitées à des points secondaires, si
elles ne portent que sur les moratoriums
plus ou moins longs qu'il conyiendrait d'ac-
corder à l'Allemagne, sur les gages qu'il y
aurait lieu d'exiger d'elle, sur les mesures
de contrainte à employer à son égard au ca.a
où elle persisterait à refuser de faire des
efforts raisonnables en vue de payer ses det-
tes légitimes, il ne peut pas résulter
grand'chose de bon de cette réunion. Ces
points peuvent avoir une importance intrin-
sèque, mais à supposer même qu'il fût pris
des décisions à leur sujet, ces décisions ne
contribueraient que fort peu à assurer un
règlement véritable, un règlement qui servi-
rait de base à la reconstruction économique
de l'Europe et à la sécurité politique que
DES
1 1 ~~At RES ÉTRANGÈRES
N° 2219
Samedi 2 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
pr,t;SSp
VIANDE- La France et la Ruhr
{K" nische Zeitung). — La prochaine en-
trevue des premiers ministres à Lon-
dres [vorwarts, Frankfurter Zeitung).
E: A\GL\ISE. - La prochaine entrevue
es Premiers ministres à Londres (Ti-
*«>■ L'exécution des ministres grecs
(Daily Chronicle, Daily Telegraph). —
Le rûppel du ministre britannique à
Alhènes les déclarations de M. Bonar
L'lw il la Chambre des Communes
estminster Gazette, Times, Daily
Chronicle).,
, '^Sse j| AuLILNNE. - L'exécution des minis-
tres rrre ( h' d
, cCS Monda; Filippo Sacchi dans
fi COrroie re délia Sera ; Tribuna).
SlISSE.- Une conférence de M. Lou-
ctieui» a ; BûJe sur la situation éco-
n 1. (iue (Basier Presse).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
CE ET LA RUHR. PRESSE
p - Sous les titres: « La politique
J:tlve de p"mc;ir^ sur le Rhin. — Les rai-
0riS de ia retnut.c' et de l'attaque ». — De
28 n °Ve:r^1:)re : Nous ne croyons pas
qu'il se SOlt agI seulement d'un bluff, nous
,,;>e8 h, Contraire persuadés que la si-
lr'lllon
tuation Sér,st tres grave et doit être envisagée
Série,, Seri. }en^- C'est la conviction à la-
quelle on arr'V° en examinant froidement
f'(prpr! eri'jon la situation où se trouve
f, DeDuis onze mois il est à la tête
"jlJrs de:rn.élfnent. Si l'on excepte ses dis-
lallcheis, il n'a rien fait d'autre
((.[(fjIoYê d' J\re la politique de Briand. Il a
irt CIA S moyens mais n'a pas ob-
fnp'n Veurs résultats. Les partis sont
s- Il a tOUjours à redouter une dislo-
Tir e s maj0,rité. C'est dans deux se-
tri,)1'1 r,s. qll a,lieu le vote sur les interpella-
tions au SoU}et de sa politique. Il a donc
Q\" une de, sa politique. Il a donc
d'un ail0,re secours. Il croit
°'P'roviv'ee en déclarant qu'il s'en tient
Mliti ue de gages qu'il a exposée à
Londres au mois d'août. Il cherche à gagner
les alliés à cette politique. C'est le point
grave de la situation, et s'il a convoqué
pour délibérer sur cette politique de grands
militaires plutôt que des experts financiers
et économiques, c'est qu'il veut créer une
sorte de fait accompli. Il sait l'état d'es-
prit de Morgan et la désillusion des ban-
quiers internationaux qui se trouvaient
encore la semaine dernière à Paris. Il lui
fallait faire quelque chose et il a fait quel-
que chose. Il a convoqué le « conseil de la
couronne » à l'Elysée.
La question de la conférence de Bruxel-
les joue maintenant un rôle dans la politi-
que internationale, et il est peut-être bon
que le nouveau gouvernement allemand soit
placé immédiatement devant cette grave
question. La Commission des réparations
doit maintenant prendre position au sujet
de la note allemande et rien ne vaudrait
mieux qu'une négociation directe entre le
gouvernement allemand et cette commis-
sion eu égard it la situation modifiée du
gouvernement.
KOELNISCHE ZEITUNG,
29.11, 2° édit. matin.
LA PROCHAINE ENTREVUE DE LON.
DRES. — PRESSE ANGLAISE. — De Paris, 29
novembre : J'apprends de source officielle
que M. Poincaré a fait savoir à M. Bonar
Law qu'il était disposé à se rendre à Lon-
dres le jour de la semaine prochaine qui
conviendrait à ce dernier, et que probable-
ment le premier ministre britannique in-
vitera également M. Mussolini et M. Theu-
nis à venir le voir. Ces conversations pré-
liminaires projetées, dont l'objet sera de
préparer les voies à la conférence de
Bruxelles, remplaceront les entretiens qui
devaient primitivement avoir lieu à Paris.
On espère qu'il ne surgira aucun nou-
veau contre-temps et que les premiers mi-
nistres auront cette occasion de. procéder
à un échange de vue formel. De récentes
indiscrétions, grossies par ceux qui les ont
commentées, ont certainement démontré la
nécessité de conversations d'une franchise
absolue. Aujourd'hui on est très désireux,
au Quai d'Orsay, de réduire à leurs véri-
tables proportions les consultations de
l'Elysée. Le point sur lequel on insiste sur-
tout est qu'il n'y a pas été pris, qu'il ne
pouvait pas y être pris de décisions d'au-
cune sorte. D'abord, le conseil des minis-
tres a seul qualité pour déterminer la po-
litique française ; et il n'est guère besoin
de s'étendre sur la folie que ce serait de la
part des autorités responsables de fixer
leur plan d'action avant de savoir ce qui
sera décidé au conseil que tiendront les
ministres alliés et ensuite à la conférence
de Bruxelles.
On explique que les mesures qui pour-
raient éventuellement devenir nécessaires
ont été examinées, comme c'est l'habitude
en France, et que personne n'a pris aucun
engagement à rien qui puisse ressembler
de près ou de loin à l'occupation de la
Ruhr. Certes, le gouvernement français
est disposé à exiger des gages et il ne sera
vraisemblablement pas satisfait si l'Angle-
terre n'approuve pas la saisie de ces gages
et si l'Allemagne s'y refuse. Ces gages
comprennent des hypothèques spéciales
sur les mines et sur les forêts de l'Alle-
magne. Il y aurait lieu d'établir un con-
trôle allié en échange d'une prolongation
du moratorium. Tous ces points de vue,
qui restent des points de vue et ne sont
pas des décisions, sont susceptibles d'être
ajustés aux vues britanniques. — (Du cor-
respondant spécial.)
TIMES, 30.11.
-_o. Sous le titre : « Une grande occasion ».
-. Mais si l'Italie et la Belgique sont gran-
dement intéressées au paiement des répara-
tions, la charge principale et la responsabi-
lité principale incombent à l'Angletere et à
la France. Une fois de plus, comme lors de
la visite de M. Poincaré l'été dernier, une
grande occasion s'offre à elles. Une fois de
plus c'est à elles de la saisir avec grandeur,
comme elles n'ont pas su la saisir au mois
d'août. Voilà que, de nouveau, il dépend
d'elles d'effectuer un règlement large et défi-
nitif des qu'estions inséparables des répara-
tions et des dettes interalliées sous tous
leurs aspects les plus importants. Les con-
ditions, il est vrai, sont moins favorables
qu'elles ne l'étaient il y a quatre mois.
mais le succès est encore possible. Chaque
semaine qui s'écoule aggrave les difficultés ;
il se peut que l'occasion de les surmonter ne
se retrouve plus jamais. Si les discussions
sont limitées à des points secondaires, si
elles ne portent que sur les moratoriums
plus ou moins longs qu'il conyiendrait d'ac-
corder à l'Allemagne, sur les gages qu'il y
aurait lieu d'exiger d'elle, sur les mesures
de contrainte à employer à son égard au ca.a
où elle persisterait à refuser de faire des
efforts raisonnables en vue de payer ses det-
tes légitimes, il ne peut pas résulter
grand'chose de bon de cette réunion. Ces
points peuvent avoir une importance intrin-
sèque, mais à supposer même qu'il fût pris
des décisions à leur sujet, ces décisions ne
contribueraient que fort peu à assurer un
règlement véritable, un règlement qui servi-
rait de base à la reconstruction économique
de l'Europe et à la sécurité politique que
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Bernheim Adrien Bernheim Adrien /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bernheim Adrien" or dc.contributor adj "Bernheim Adrien")
- Auteurs similaires Bernheim Adrien Bernheim Adrien /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bernheim Adrien" or dc.contributor adj "Bernheim Adrien")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252517p/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252517p/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252517p/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252517p/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252517p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252517p
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252517p/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest