Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 décembre 1922 01 décembre 1922
Description : 1922/12/01 (T22,N2218). 1922/12/01 (T22,N2218).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525168
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
ldINISTÈR E
'S ES DES
IIAlnES ÊTRAN GÈRES
-----
N° 2218
Vendredi 1er décembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
A
(eer~~E. - La France et la Ruhr
(Berliner Tageblatl Vorwärts, Tag). —
proar amrne ûlleniaiid de travaux pu-
blics (R"e' "')
blics lei ische-IVestialische Zeitung).
-Le fasCIsme allemand (Hermann
^c'hiitzina°e'r dans Berliner Volkszei-
tung.) ~s Bev~er Vo~e
1er aUx E' - Les partis politiques
Unis : un discours de M. But-
h Yni., T
eto Herald).
l%r:\NGLAISE. - Le commandement du
maréchal ai - (Times). - Le voyaw, de
Gaz tOIncaré à (Times)- — Le voyage de
Gtlzelle).
Gazette Londres. (Westminster
'-,E lT
h S(llUie ?pr,NNE' - Les Russes à Lau-
sanne Popolo d'Italia. Tribuna).
SSE SUÉ ISE' Le régime des territoi-
l'es rhénn - Le régime des territoi-
(Güteb élians ; le raPPoirt de M. Dariae
^bom 0 Handetstidning).
^LÏLQUE GENERALE
E DE LA GUERRE
Co
;lG. Nî)ElVrENT DU MARECHAL
^1°^^v,uYSE D UN OUVRAGE BRITANNIQUE.
, thés soutenue dans l'ouvrage Sir
boublas H ai,,' s C°mmand [« Le comman-
4t a J's COmrhand. [« Le comman-
¡i~rge Ae 8lL' UgUlS HaiS » ]' 1915-18, par
S A- B n GWar, avec le e, ncours du
s~e fel J: H- Boratson, C. B., est
t*L^e NR ., „eri^ certains « événements si-
fe sont produits pendant la
kl4( °ù L°e brita ni^Ue sur le front occidental,
ne ces événements sont. déve-
lui* Plus î
plu lmglleme,nt dans le chapitre Ier,
p du haUt e Une étude préliminaire des ac-
d C?tnrnandement britannique en
ance ^enii- ~~s de décembre 19J6
^ri en. n PUIS le mO'is de décembre 1916
les qd re 1918, et, dans un très
il CbeUJ( vOl e de Passages contenus dans
les deux volumes considérées, l'auteur invite
de n-/t:mt le lecteur à prendre le
Vg PQ: n 1 er sur la vérité et l'impor-
• po- nts qui y sont spécifiquement
«m t
Par te e générale cet otivrige donne
i\ S Sfl t'l?6 générale cet ouvrage donne
^s rL!? 1,e public anglais et, à un.
loable encore, nos alliés
i^V' e 8 n'ont Pus apprécié à sa juste va,
ÍtIllle ûOdement de sir Douglas Haig
^an les trois dernières et formidables
années de la guerre, que non seulement il
a existé certains doutes — il serait peut-être
plus exact de dire une certaine ignorance —
quant à sa loyauté envers ses collègues
français, mais que l'on n'a jamais suffi-
samment reconnu le mérite du commandant
en chef britannique en ce qui concerne sa
part dans la conception des grandes opé-
rations qui ont permis de remporter des
succès au moment où le besoin s'en faisait
grandement sentir et qui ont déterminé di-
rectement la victoire finale des puissances
occidentales. Enfin, l'auteur signale à cha-
que instant à l'attention du lecteur les in-
terventions de M. Lloyd George, non seule-
ment dans le domaine de la stratégie, d'où
à vrai dire l'homme d'Etat ne peut être en-
tièrement banni sous un régime démocrati-
que moderne, mais aussi dans les plans et
dans les. opérations purement militaires.
RELATIONS AVEC LE COMMANDEMENT FRANÇAIS.
- Pour ce qui est du premier de ces points
on nous invite à noter que pendant la ba-
taille de Verdun « Haig offre promptement
à Joffre tout l'appui que lui demandait ce
dernier huit jours auparavant »; que « Haig
consent à se charger d'une partie du front
plus étendue, à attaquer en force partout où
faire se peut et, au besoin, à envoyer quel-
ques-unes de ses divisions renforcer les
Français ». Joffre lui en exprime sa recon-
naissance et déclare que cet appui lui per-
met de reconstituer les réserves françaises.
« Tout cet incident, nous fait-on observer,
caractérise admirablement l'étroite liaison
et l'esprit de camaraderie et d'estime qui
existent entre Joffre et Haig pendant toute
l'année 1916. »
Puis comme exemple des relations entre
Haig et Foch, l'auteur de l'ouvrage nous
rappelle ceci : « Le 11 juillet 1918, Foch de-
mande l'appui des Britanniques, car il s'at-
tend à une forte attaque allemande sur son
front. Dès le 14 juillet, Haig et son état-ma-
jor ont accordé ce que demande Foch -
l'aide immédiate de huit divisions britanni-
ques. Cependant le cabinet de guerre envoie
d'Angleterre le général Smuts au Grand
Quartier Général demander s'il ne convien-
drait pas de faire appel dans ces conditions
au gouvernement britannique. Haig refuse
incontinent cette offre et assume lui-même
toute la responsabilité; et le 15 juillet, les
Allemands attaquent le front français.
Les exemples de ce genre de la loyauté de
Haig envers ses collègues se rencontrent à
foison dans ces deux volumes; mais cette
loyauté ou cette fraternité d'armes n'est-elle
pas une qualité militaire que ,les plus àpres
et les plus hostiles de ceux qui le critiquent
- s'il - en est vraiment — n'ont jamais re-
fusée au commandant en chef de nos
armées de France ? A vrai dire, cette insis-
tance ne semble nullement de mise.
La deuxième plainte — suivant laquelle il
n'aurait pas été attribué suffisamment de
mérite à sir Douglas Haig et aux généraux
qui commandaient sous lui, en ce qui con-
cerne le rôle qu'ils ont joué dans le renver-
sement de la puissance militaire allemande
est probablement plus fondée. Comme le dit
l'auteur : « La science et la saine straté-
gie mises à diriger la campagne sur le théâ-
tre principal de la guerre, par Haig, par
ses collaborateurs du Grand Quartier Géné-
ral et par ses commandants de corps d'ar-
mée ne sont pas comprises comme elles
devraient l'être par un grand nombre de
personnes; autrement, beaucoup mieux con-
vaincus de leur noble effort et du triomphe
et de la gloire merveilleuse des armes bri-
tanniques, nous aurions dans une large
mesure échappé au pessimisme destructeur
et aux autres maux qui ont suivi la vic-
toire de si près. »
Afin de démontrer la vérité de cette as-
sertion, ainsi que la sagacité de Haig et la
compréhension exacte qu'il montrait des né-
cessités de toutes les situations à mesure
qu'elles se présentaient, M. Dewar cite
beaucoup d'exemples. Il suffira de repro-
duire ici les deux suivants :
« En avril 1917. Nivelle s'opposa vigou-
reusement à la décision de Haig, qu'il nous
faillait. prendre la crête de Vimy afin d'as-
surer notre position dans la bataille
d'Arras, etc. ; Haig eut la sagesse d'insister
et, en fin de compte, Nivelle fut obligé de
céder », avec les bons résultats que nous
connaissons tous. De même, le 8 août 1918
parlant de la bataille d'Amiens :
c Cette bataille est la première de la
grande série décisive des opérations britan-
niques qui toutes furent conçues et. exécutées
par le commandement britannique. Cette
vérité a. été voilée, ou même supprimée par
ceux qui, unissant la folie au mensonge ont
été jusqu'à prétendre que jusqu'au jour où
ils ont été pris en main et inspirés, par le
génie français, le commandant en chef bri-
tannique et ses collègues étaient ineptes au
point de vue de la stratégie. Il
UNE INTERVENTION DU CABINET. — Chez beau-
coup de nos compatriotes — m £ pne chez un
certain nombre de ceux qui se piquent
d'avoir étudié la guerre — il se manifeste
une disposition à faire peu de cas de la me-
sure dans laquelle les généraux et les états-
majors anglais contribuèrent à la débâcle fi-
nale des Allemands ; et le livre dont nous
nous occupons valait la peine d'être publié
ne fût-ce que pour faire justice de la légende
d'après laquelle, « grâce à l'unité de com-
mandement, le génie français, ayant enfin
l'occasion de se manifester, rattrapa d'un
seul mouvement de sa baguette magique des
années entières marquées par la médiocrité
du commandement britannique et par une
politique insensée d'usure ».
'S ES DES
IIAlnES ÊTRAN GÈRES
-----
N° 2218
Vendredi 1er décembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
A
(eer~~E. - La France et la Ruhr
(Berliner Tageblatl Vorwärts, Tag). —
proar amrne ûlleniaiid de travaux pu-
blics (R"e' "')
blics lei ische-IVestialische Zeitung).
-Le fasCIsme allemand (Hermann
^c'hiitzina°e'r dans Berliner Volkszei-
tung.) ~s Bev~er Vo~e
1er aUx E' - Les partis politiques
Unis : un discours de M. But-
h Yni., T
eto Herald).
l%r:\NGLAISE. - Le commandement du
maréchal ai - (Times). - Le voyaw, de
Gaz tOIncaré à (Times)- — Le voyage de
Gtlzelle).
Gazette Londres. (Westminster
'-,E lT
h S(llUie ?pr,NNE' - Les Russes à Lau-
sanne Popolo d'Italia. Tribuna).
SSE SUÉ ISE' Le régime des territoi-
l'es rhénn - Le régime des territoi-
(Güteb élians ; le raPPoirt de M. Dariae
^bom 0 Handetstidning).
^LÏLQUE GENERALE
E DE LA GUERRE
Co
;lG. Nî)ElVrENT DU MARECHAL
^1°^^v,uYSE D UN OUVRAGE BRITANNIQUE.
, thés soutenue dans l'ouvrage Sir
boublas H ai,,' s C°mmand [« Le comman-
4t a J's COmrhand. [« Le comman-
¡i~rge Ae 8lL' UgUlS HaiS » ]' 1915-18, par
S A- B n GWar, avec le e, ncours du
s~e fel J: H- Boratson, C. B., est
t*L^e
fe sont produits pendant la
kl4( °ù
ne ces événements sont. déve-
lui* Plus î
plu lmglleme,nt dans le chapitre Ier,
p du haUt e Une étude préliminaire des ac-
d C?tnrnandement britannique en
ance ^enii- ~~s de décembre 19J6
^ri en. n PUIS le mO'is de décembre 1916
les qd re 1918, et, dans un très
il CbeUJ( vOl e de Passages contenus dans
les deux volumes considérées, l'auteur invite
de n-/t:mt le lecteur à prendre le
Vg PQ: n 1 er sur la vérité et l'impor-
• po- nts qui y sont spécifiquement
«m t
Par te e générale cet otivrige donne
i\ S Sfl t'l?6 générale cet ouvrage donne
^s rL!? 1,e public anglais et, à un.
loable encore, nos alliés
i^V' e 8 n'ont Pus apprécié à sa juste va,
ÍtIllle ûOdement de sir Douglas Haig
^an les trois dernières et formidables
années de la guerre, que non seulement il
a existé certains doutes — il serait peut-être
plus exact de dire une certaine ignorance —
quant à sa loyauté envers ses collègues
français, mais que l'on n'a jamais suffi-
samment reconnu le mérite du commandant
en chef britannique en ce qui concerne sa
part dans la conception des grandes opé-
rations qui ont permis de remporter des
succès au moment où le besoin s'en faisait
grandement sentir et qui ont déterminé di-
rectement la victoire finale des puissances
occidentales. Enfin, l'auteur signale à cha-
que instant à l'attention du lecteur les in-
terventions de M. Lloyd George, non seule-
ment dans le domaine de la stratégie, d'où
à vrai dire l'homme d'Etat ne peut être en-
tièrement banni sous un régime démocrati-
que moderne, mais aussi dans les plans et
dans les. opérations purement militaires.
RELATIONS AVEC LE COMMANDEMENT FRANÇAIS.
- Pour ce qui est du premier de ces points
on nous invite à noter que pendant la ba-
taille de Verdun « Haig offre promptement
à Joffre tout l'appui que lui demandait ce
dernier huit jours auparavant »; que « Haig
consent à se charger d'une partie du front
plus étendue, à attaquer en force partout où
faire se peut et, au besoin, à envoyer quel-
ques-unes de ses divisions renforcer les
Français ». Joffre lui en exprime sa recon-
naissance et déclare que cet appui lui per-
met de reconstituer les réserves françaises.
« Tout cet incident, nous fait-on observer,
caractérise admirablement l'étroite liaison
et l'esprit de camaraderie et d'estime qui
existent entre Joffre et Haig pendant toute
l'année 1916. »
Puis comme exemple des relations entre
Haig et Foch, l'auteur de l'ouvrage nous
rappelle ceci : « Le 11 juillet 1918, Foch de-
mande l'appui des Britanniques, car il s'at-
tend à une forte attaque allemande sur son
front. Dès le 14 juillet, Haig et son état-ma-
jor ont accordé ce que demande Foch -
l'aide immédiate de huit divisions britanni-
ques. Cependant le cabinet de guerre envoie
d'Angleterre le général Smuts au Grand
Quartier Général demander s'il ne convien-
drait pas de faire appel dans ces conditions
au gouvernement britannique. Haig refuse
incontinent cette offre et assume lui-même
toute la responsabilité; et le 15 juillet, les
Allemands attaquent le front français.
Les exemples de ce genre de la loyauté de
Haig envers ses collègues se rencontrent à
foison dans ces deux volumes; mais cette
loyauté ou cette fraternité d'armes n'est-elle
pas une qualité militaire que ,les plus àpres
et les plus hostiles de ceux qui le critiquent
- s'il - en est vraiment — n'ont jamais re-
fusée au commandant en chef de nos
armées de France ? A vrai dire, cette insis-
tance ne semble nullement de mise.
La deuxième plainte — suivant laquelle il
n'aurait pas été attribué suffisamment de
mérite à sir Douglas Haig et aux généraux
qui commandaient sous lui, en ce qui con-
cerne le rôle qu'ils ont joué dans le renver-
sement de la puissance militaire allemande
est probablement plus fondée. Comme le dit
l'auteur : « La science et la saine straté-
gie mises à diriger la campagne sur le théâ-
tre principal de la guerre, par Haig, par
ses collaborateurs du Grand Quartier Géné-
ral et par ses commandants de corps d'ar-
mée ne sont pas comprises comme elles
devraient l'être par un grand nombre de
personnes; autrement, beaucoup mieux con-
vaincus de leur noble effort et du triomphe
et de la gloire merveilleuse des armes bri-
tanniques, nous aurions dans une large
mesure échappé au pessimisme destructeur
et aux autres maux qui ont suivi la vic-
toire de si près. »
Afin de démontrer la vérité de cette as-
sertion, ainsi que la sagacité de Haig et la
compréhension exacte qu'il montrait des né-
cessités de toutes les situations à mesure
qu'elles se présentaient, M. Dewar cite
beaucoup d'exemples. Il suffira de repro-
duire ici les deux suivants :
« En avril 1917. Nivelle s'opposa vigou-
reusement à la décision de Haig, qu'il nous
faillait. prendre la crête de Vimy afin d'as-
surer notre position dans la bataille
d'Arras, etc. ; Haig eut la sagesse d'insister
et, en fin de compte, Nivelle fut obligé de
céder », avec les bons résultats que nous
connaissons tous. De même, le 8 août 1918
parlant de la bataille d'Amiens :
c Cette bataille est la première de la
grande série décisive des opérations britan-
niques qui toutes furent conçues et. exécutées
par le commandement britannique. Cette
vérité a. été voilée, ou même supprimée par
ceux qui, unissant la folie au mensonge ont
été jusqu'à prétendre que jusqu'au jour où
ils ont été pris en main et inspirés, par le
génie français, le commandant en chef bri-
tannique et ses collègues étaient ineptes au
point de vue de la stratégie. Il
UNE INTERVENTION DU CABINET. — Chez beau-
coup de nos compatriotes — m £ pne chez un
certain nombre de ceux qui se piquent
d'avoir étudié la guerre — il se manifeste
une disposition à faire peu de cas de la me-
sure dans laquelle les généraux et les états-
majors anglais contribuèrent à la débâcle fi-
nale des Allemands ; et le livre dont nous
nous occupons valait la peine d'être publié
ne fût-ce que pour faire justice de la légende
d'après laquelle, « grâce à l'unité de com-
mandement, le génie français, ayant enfin
l'occasion de se manifester, rattrapa d'un
seul mouvement de sa baguette magique des
années entières marquées par la médiocrité
du commandement britannique et par une
politique insensée d'usure ».
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Robe Eugène Robe Eugène /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Robe Eugène" or dc.contributor adj "Robe Eugène")
- Auteurs similaires Robe Eugène Robe Eugène /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Robe Eugène" or dc.contributor adj "Robe Eugène")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/10
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62525168/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62525168/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62525168/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62525168/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62525168
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62525168
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62525168/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest