Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 novembre 1922 27 novembre 1922
Description : 1922/11/27 (T22,N2214). 1922/11/27 (T22,N2214).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252512m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 fi MIÎ*1STÈRE
DES
^AÎD Es ÉTRANGÈRES
----
N° 2214
Lundi 27 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J>HESSE
pliESSE AL'- E - « L'Allemagne et
Lan", 'ullle (Prof. Dr Ludwig Stein
da V Iss-selle Zeitung). — Les Etats-
lurtS et les affaires d'Europe (Frank-
1>1\ farto Zeitung).
ESSE..
Ur¡ AMERICAINE. — Les dettes des alliés :
Un * J règlement (New York
Times)
PRESSE ANGLAISE. — La conférence de Lau-
saane s premiers travaux (Craw-
furyj Pnee dans Sunday Price) ; une
Gr ellse de la politique orientale de la
*pretagjne : à propos d'un dis-
9raph\ de Iord Newton (Daily Tele-
- Le voyage de M. Clemen-
J> ian). Etats-Unis (Manchester Guar-
^l«n)
liESSE'
G PAG'Nole- - Les paiements de
GIa .Illagne et le change du franc (Luis
0Olariaga dans Sol).
VK ^lariflrr8aaansSol>-
ge â ALIENNE.. — Les résultats du voya-
ge de M. Musscwni (Mario Borsa dans
MOndo).
POLIlTQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
IZ MMNTS DE L'ALLEMAGNE
0LEHA*GE DU FRANC. — OPINION
fr ant, est - La dépréciation actuelle du
est P-< r^,rnement grave. Elle ne le
i>as •1 obéissait simplement à des
Pas® agèr>es comme quelques-unes de
W!!® n°dUits agricoles à l'étranger,
L de la situation financière, infla-
t'rof^^étai C Mais elle a des causes, plus
"t'Plus m-enaçantes. C'est que la
t ouie de la solidité finan-
Sf la prar!ce' cette nation a pu
tl:bra,OI tant qu'elle faisait croire aux in-
était mrf?Se&seurs de francs répandus
riw 115 1), qu'elle pouvait et qu'elle
êfI llres Int à obtenir de l'Allemagne les
es Héc es'Sa'res pour faire face à ses
'bJUc<>u'P ne lui ont pas encore été
res
W n éyiter à l'Europe de plus
t la d ordre politique et financier.
Pl'i %*& nce a vécu dans l'illusion
evf de faire accomplir à tout
pmk S Pourrait lui procurer des
Nî&s o nanciers, la spéculation s'est
laissé entraîner à de chimériques et en-
thousiastes espoirs de crédits. Mais la
France a perdu sa foi dans l'or qu'elle pour-
rait obtenir du vaincu. Elle sait que, dans
les années où elle va le plus en avoir be-
soin, les sommes qu'elle touchera seront
extrêmement modiques, et qu'elles se rédui-
ront d'autant plus que le mark perdra de
sa valeur. C'est pourquoi les possesseurs de
francs offrent l'argent qu'ils ont en dépôt,
en voyant que le mark continue à perdre
rapidement sa valeur.
La cause de la baisse du franc est par
conséquent purement psychologique. La
situation financière de la France n'est pas
pire actuellement qu'il y a quelques mois
ou qu'il y a un an. Ce qui se produit,
c'est que, il y a quelques mois, on
espérait que ceète situation serait maté-
riellement soulagée par les paiements de
l'Allemagne, et que maintenant on n'y croit
plus
La. France laissera-t-elle la panique se
produire et détruire la valeur de son unité
monétaire ? La France peut faire beaucoup
pour améliorer sa situation et contenir
l'alarme. Mais pour cela il est nécessaire
que sa bourgeoisie, qui a fini par se rési-
gner à l'idée que l'Allemagne ne pourra pas
payer de longtemps les dettes de guerre, se
résigne également à cette autre idée qui en
est la conséquence naturelle : celle de payer
les dettes elle-même. - Luis Olariaga. (
SOL, 17.11.
—— ——
LE PROCHE ORIENT
« L'ALLEMAGNE ET LAUSANNE »
[Sous ce titre]. — On sait que l'Allemagne
n'est pas représentée à la conférence de
Lausanne, où il semble qu'une sorte de
nouvelle alliance balkanique se forme
contre la Turquie renaissante et ses aspira-
tions européennes. La Russie ne prend pas
part officiellement non plus aux négocia-
tions, sauf pour ce qui touche aux ques-
tions des Dardanelles ; le représentant des
soviets à Rome assiste simplement aux dé-
bats sans y prendre part. Ce n'est que: lors-
qu'on abordera la question des Détroits que
la Russie — représentée probablement alors
par le ministre des affaires étrangères
Tchitcherine — sera reçue dans les cercles
où l'on délibère et où l'on décide. L'Alle-
magne n'a pas reçu d'invitation même pour
la question des Dardanelles.
La répartition actuelle des forces dans
les Etats de l'Entente explique suffisam-
ment ce fait, et nous sommes bien loin de
protester contre cette exclusion de deman-
der à être introduits. On doit rappeler à
cette occasion que la Prusse n'a pas été
invitée à la conférence orientale de 1856.
Bismarck estimait alors qu'il ne devait pas
s'imposer, mais attendre jusqu'à ce que l'on
se souvînt que l'Allemagne avait aussi des
intérêts à représenter sur les Dardanelles.
La méthode de Bismarck s'est révélée d'une
habile politique.
L'Allemagne qui n'a aucun projet d'ex-
pansion politique vers l'Europe sud-orien-
tale et l'Asie antérieure — le temps du Ber-
lin-Bagdad est définitivement passé - a
exactement le même intérêt économique
dans les Dardanelles que tout autre grand
peuple industriel et commerçant d'Europe.
Les experts financiers internationaux ont
fait remarquer avec raison que seule la li-
berté des exportations peut permettre à
l'Allemagne de rétablir l'équilibre de son
économie et de payer les réparations dans
des limites raisonnables. Liberté des expor-
tations dans toutes les directions.
Pour le règlement d'ensemble des affaires
d'Orient, la question financière jouera vrai-
semblablement un rôle important. Le gou-
vernement. d'Angora peut difficilement se
maintenir sans une aide financière de l'ex-
térieur ; ses caisses, en effet, sont vides et
ses possibilités de rentrées très limitées. La
France aurait du mal à financer suffisam-
ment Angora; les dépenses en Syrie grè-
vent le budget français d'un milliard de
francs, et cette charge dans l'état défavo-
rable des finances françaises est générale-
ment considérée comme lourde. Plus facile-
ment qu'en France, l'emprunt dont Angora
a besoin pourrait se placer sur les marchés
financiers anglo-saxons et ce fait a naturel-
lement son importance en politique. — Prof.
Dr Ludwig Stein.
VOSSISCHE ZEITUNG, 23.11, soir.
LES RESULTATS DU VOYAGE DE
M. MUSSOLINI. — De Lausanne : Que rap-
porte en Italie M. Mussolini? Dans les
nombreuses déclarations qu'il nous a fai-
tes, il ne nous a rien dit de précis et de dé-
fini.
.Devrions-nous en inférer que rien n'est
changé ? Je ne le dirais pas. L'extraordi-
naire personnalité de l'homme suffirait pour
créer une différence. Mais je voudrais
avec le maximum d'objectivité et de séré-
nité mesurer les résultats pratiques obtenus,
par nous.
M. Mussolini est venu en Suisse pour
faire un procès en revision à l'entente en
général et en particulier à la situation qu'y
a occupée l'Italie. Mais à en croire les infor-
mations qu'on possède, le procès a été
coupé court après le réquisitoire et au
moins pour l'instant, il s'est arrêté là.
.Le réquisitoire rude et franc de M. Mus-
solini a, tout d'abord, un peu surpris nos
alliés qui toutefois déclarèrent qu'ils ne
croyaient pas opportun de le suivre sur ce
terrain. Ils déclarèrent que le point essen-
DES
^AÎD Es ÉTRANGÈRES
----
N° 2214
Lundi 27 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J>HESSE
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Un * J règlement (New York
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Gr ellse de la politique orientale de la
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- Le voyage de M. Clemen-
J> ian). Etats-Unis (Manchester Guar-
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GIa .Illagne et le change du franc (Luis
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i>as •1 obéissait simplement à des
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L de la situation financière, infla-
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t ouie de la solidité finan-
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était mrf?Se&seurs de francs répandus
riw 115 1), qu'elle pouvait et qu'elle
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W n éyiter à l'Europe de plus
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Pl'i %*& nce a vécu dans l'illusion
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pmk S Pourrait lui procurer des
Nî&s o nanciers, la spéculation s'est
laissé entraîner à de chimériques et en-
thousiastes espoirs de crédits. Mais la
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rait obtenir du vaincu. Elle sait que, dans
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ront d'autant plus que le mark perdra de
sa valeur. C'est pourquoi les possesseurs de
francs offrent l'argent qu'ils ont en dépôt,
en voyant que le mark continue à perdre
rapidement sa valeur.
La cause de la baisse du franc est par
conséquent purement psychologique. La
situation financière de la France n'est pas
pire actuellement qu'il y a quelques mois
ou qu'il y a un an. Ce qui se produit,
c'est que, il y a quelques mois, on
espérait que ceète situation serait maté-
riellement soulagée par les paiements de
l'Allemagne, et que maintenant on n'y croit
plus
La. France laissera-t-elle la panique se
produire et détruire la valeur de son unité
monétaire ? La France peut faire beaucoup
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l'alarme. Mais pour cela il est nécessaire
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payer de longtemps les dettes de guerre, se
résigne également à cette autre idée qui en
est la conséquence naturelle : celle de payer
les dettes elle-même. - Luis Olariaga. (
SOL, 17.11.
—— ——
LE PROCHE ORIENT
« L'ALLEMAGNE ET LAUSANNE »
[Sous ce titre]. — On sait que l'Allemagne
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ment ce fait, et nous sommes bien loin de
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cette occasion que la Prusse n'a pas été
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se souvînt que l'Allemagne avait aussi des
intérêts à représenter sur les Dardanelles.
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lin-Bagdad est définitivement passé - a
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Les experts financiers internationaux ont
fait remarquer avec raison que seule la li-
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l'Allemagne de rétablir l'équilibre de son
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des limites raisonnables. Liberté des expor-
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d'Orient, la question financière jouera vrai-
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ment Angora; les dépenses en Syrie grè-
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M. MUSSOLINI. — De Lausanne : Que rap-
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solini a, tout d'abord, un peu surpris nos
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